Une histoire publiée il y a longtemps sur le site hélas disparu "Bobbie's Sissies Stories".
Vous connaissez déjà un peu ce site, puisque j'y ai trouvé d'autres histoires déjà publiées ici:
"Comment j'ai transformé mon mari en femme"
https://rosepourlesgarcons.blogspot.com/2021/02/comment-jai-transforme-mon-mari-en.html
"Vente aux enchères"
https://rosepourlesgarcons.blogspot.com/2020/08/vente-aux-encheres-histoire.html
"Défié à devenir une fille"
https://rosepourlesgarcons.blogspot.com/2017/10/defie-devenir-une-fille.html
Cette histoire est un peu plus longue que celles que je publie d'habitude (il faut du temps pour traduire correctement un texte, et donc, je me limite en général à des histoires assez courtes). Elle sera donc, comme à l'origine, publiée en quatre chapitres... Mais rassurez-vous, vous n'aurez pas à attendre un mois entier avant d'avoir la suite, comme sur le site d'origine de cette histoire. 😁
Les regrets d'Alex – chapitre 1
Alex Guthridge venait d'obtenir son diplôme d'études secondaires. Il n'était cependant pas un élève brillant, se montrait souvent immature, et ses plans pour l'année suivante étaient incertains. En fait, Mme Guthridge était très inquiète de ce qui allait lui arriver. En partie pour discuter de cette situation avec sa sœur, Mme Guthridge décida qu'elle et Alex allaient rendre visite à la tante d'Alex (Amanda Simpson) et à ses deux jeunes cousines, Sandra et Cindy.
"Salut tata" dirent les deux filles Simpson à l'unisson, quand Mme Guthridge et Alex arrivèrent à leur porte. "Nous t'attendions." Derrière elles se tenait Mme Simpson, qui salua rapidement avant de dire qu'elle serait là dans un instant avec quelques boissons. Alex a lancé un "salut" désinvolte aux filles et à sa tante, puis, un instant plus tard, Mme Simpson introduit le groupe dans le salon. "Alex, pourquoi est-ce tu n'irais pas avec les filles dans la cuisine, pour boire un verre de lait et manger quelques biscuits pendant que je parle avec ta mère."
Alex grimaça en suivant les filles dans la cuisine. Il était clair qu'il n'était pas ravi de devoir passer l'heure suivante avec deux gamines. Une fois arrivés là, Cindy suggéra qu'ils jouent ensemble en prenant une collation: "Alex, tu peux être le papa." Fit Cindy, "Sandra peut être la maman, et regarde, c'est Bobby, le fils des voisins. Il peut être le petit garçon et je serai la petite fille."
Alex commença par dire qu'il n'avait aucune envie de jouer, mais Cindy insista tant qu'il accepta finalement. Sandra sortit des poupées, et dit qu'ils allaient faire semblant de fêter l'anniversaire de Bobby, et que les poupées étaient ses cadeaux. Sandra sortit le lait et les gâteaux comme "repas d'anniversaire". Alex commença à s'amuser un peu en chaperonnant les deux "enfants" de la "famille" – en particulier Bobby, qu'Alex trouvait mièvre et efféminé. Alex commença même à taquiner Bobby sur le fait qu'il jouait à la poupée avec des filles, lui disant qu'il allait devoir changer ses habitudes s'il voulait grandir et devenir un homme fort comme "son père" Alex. Alors que Bobby commençait à s'agacer, Cindy vint à son secours.
"Arrête ça," dit Cindy, "Laisse-le tranquille. Ce n'est pas grave s'il est un peu maniéré. Il se trouve qu'on aime bien ça. Bien plus que de t'entendre te moquer de lui."
C'est justement à ce moment que Mme Simpson et Mme Guthridge entrèrent dans la cuisine.
"ALEX" dit sa mère. "Qu'est-ce que tu fais? Est-ce que tu te moques de ce pauvre petit garçon?"
"Il se comporte comme une fille." Répondit Alex. "J'ai juste dit qu'il était une fillette."
"Certains garçons sont comme ça." Dit Mme Guthridge. "Et cela n'est pas grave, si un garçon aime jouer avec des poupées et avec des filles. Mais," continua-t-elle avec un ton irrité, "il n'y a aucune raison pour que tu te moques de lui. Tu n'aimerais pas non plus que cela t'arrive."
"Bah, ça ne risque pas, je ne suis pas une fillette comme lui." Répondit Alex en fanfaronnant.
Des larmes commencèrent à couler sur les joues de Bobby.
"Non, en effet." Dit sa mère, qui était de plus en plus en colère. "Mais si tu continues, je vais m'arranger pour que tu en deviennes une. Même si tu as 18 ans, tu n'es pas encore assez adulte pour m'empêcher de te faire porter une robe si j'estime que cela peut t'apprendre à mieux te comporter.
"Tu n'oseras jamais." Cracha Alex.
"Fais-le tata, fais-le!" Crièrent ensemble Cindy et Sandra. Alex n'avait jamais laissé passer une occasion de les taquiner. Elles étaient donc ravies qu'il en subisse enfin les conséquences.
Il était évident que Mme Guthridge était maintenant furieuse. Elle était aussi très embarrassée du comportement mal élevé de son fils. "Eh bien, qu'en dis-tu, chère sœur?" Demanda Mme Guthridge à Mme Simpson. "J'ai l'impression que je vais devoir le faire. Je n'en peux plus du comportement de ce jeune homme. S'il faut lui faire porter une petite culotte de fille et une robe pour le guérir de son attitude, et peut-être même le mettre sur la bonne voie pour faire quelque chose d'utile de sa vie, alors faisons cela, et nous n'en tireront tous que des avantages." Et alors qu'Alex restait là avec un regard incrédule, sa mère se tourna vers les filles Simpson et demanda: "Sandra, serais-tu assez gentille pour aller me trouver une petite culotte pour Alex? Et bien sûr une robe, si tu peux en trouver une qui convienne. Alex est à peine plus grand que toi. Si la robe est un peu trop petite, ce n'est pas grave. Si non, une jupe et un chemisier pourraient très bien aller aussi. Oh, et Sandra, ma chérie, apporte s'il-te-plait aussi ta brosse à cheveux. Je crois qu'elle va nous servir pour deux raisons – c'est l'outil parfait pour une bonne fessée, et ensuite, nous pourrons donner à mon vilain fils une coiffure un peu plus soignée."
"Maman, non, tu ne peux pas faire ça. Je suis désolé, je ne voulais pas être méchant. Je plaisantais, c'est tout. Je t'en prie." Supplia Alex en comprenant à quel point sa mère était sérieuse en disant qu'elle voulait l'enjuponner.
Mais Mme Guthridge n'avait que faire des supplications de son fils. Elle le saisit par l'oreille, et le conduisit au salon.
"Je pense que ces filles n'ont jamais vu un garçon de ton âge recevoir une fessée, mais elles vont voir ça dès maintenant. On va te faire enfiler une petite culotte pour couvrir un fessier bien rouge. Et ce petit garçon dont tu t'es moqué va voir qu'un grand garçon comme toi peut aussi pleurer."
A cet instant, Sandra était revenue avec quelques vêtements, et elle riait avec sa sœur, et avec Bobby, de voir Alex dans cette position humiliante.
Mme Guthridge tenait toujours fermement Alex par l'oreille, le forçant à prendre une position inclinée. En tirant son visage vers elle, afin qu'elle puisse le regarder dans les yeux, elle continua à le gronder: "Tu as été très méchant avec ces filles, Alex, et encore plus avec ce pauvre Bobby. Ton comportement mal élevé me fait honte, et j'ai décidé de faire tout ce qui est possible pour que cela ne se produise plus jamais. Donc, voilà ce que tu vas faire. Tu vas commencer par retirer ton pantalon pour recevoir une bonne fessée cul nu – le genre de fessée que tu n'as plus reçue depuis des années, mais que tu mérites sans aucun doute."
Mme Guthridge poursuivit en exposant la suite de la punition de son fils: "Et quand tes fesses seront bien rouges, et que tes larmes auront suffisamment coulé pour que les filles voient à quel point tu peux toi aussi être une fillette, on va t'enfiler une petite culotte, ainsi que tout ce que Sandra a bien voulu apporter. Et tu porteras ces affaires pour le reste de l'après-midi, ainsi que sur le chemin du retour à la maison. C'est compris? – Bon, baisse-moi ce pantalon, jeune homme – TOUT-DE-SUITE!"
Alex se dépêcha d'obéir, faisant de son mieux pour retirer son pantalon rapidement en évitant les regards amusés de ses cousines. Mais sa mère continuait à le tenir fermement d'une oreille, et le forçait à tourner sa tête face aux filles, chez qui il voyait des regards amusés. Réalisant que toute tentative de plainte était inutile, Alex laissa docilement sa mère le coucher en travers de ses genoux.
"Voilà qui est mieux." Dit Mme Guthridge. "Maintenant, Sandra, peux-tu me donner ta brosse à cheveux, que je puisse commencer à le fesser." En quelques instants, la défiance d'Alex se transforma en larmes. "Et voilà." Dit Mme Guthridge. "Je vous avais bien dit que ses fesses allaient être bien rouges. Je peux vous dire qu'elles sont aussi chaudes qu'elles en ont l'air, et que c'est une position bien inconfortable, comme les larmes d'Alex le montrent." Alex pleurait, et tentait comme il le pouvait de couvrir ses fesses de ses mains, mais sa mère ramenait ses mains devant lui. "Vous voyez à quel point il est désolé." Continua-t-elle. "Que cela vous serve de leçon, les filles. Quand un garçon vous manque de respect, rien n'est plus efficace qu'une bonne fessée – Sauf peut-être le fait de l'enjuponner. Et c'est justement ce que nous allons faire maintenant avec Alex. Les garçons détestent être forcés de porter des vêtements de fille, et c'est donc un merveilleux moyen de les punir. Plus vous féminiserez un garçon, plus il se comportera bien."
"Bon, Alex, le moment est arrivé." Dit Mme Guthridge à son fils, alors qu'elle le tirait par l'oreille pour qu'il se remette sur ses pieds. "Il est temps d'enfiler la petite culotte et les autres affaires que Sandra a été si gentille de t'apporter."
Sandra avait apporté une petite culotte mauve bordée de dentelles. Mme Guthridge, qui tenait toujours son fils par une oreille, prit la petite culotte dans sa main et la tendit à Alex. "Bon, maintenant je suis sûre que les filles, et bien sûr Bobby, sont impatients de voir comment cette culotte te va. Allez, enfile-la vite – Je pense que tu n'as pas envie d'une autre fessée."
Alex retira lentement son slip, passa ses jambes dans la petite culotte, et la remonta. Mme Guthridge le laissa ainsi un petit moment, puis elle commença à chercher le vêtement suivant dans les affaires amenées par Sandra. Elle découvrit un soutien-gorge. Mme Guthridge le tint devant elle. "Quelle bonne idée Sandra. Alex va bientôt avoir 19 ans, et donc il devrait porter un soutien-gorge, n'est-ce-pas?"
Alex prit lentement le soutien-gorge des mains de sa mère. Mme Guthridge restait derrière lui, tapotant la brosse à cheveux du plat de sa main. Alex reçut clairement le message qu'elle essayait de lui faire passer.
"Euh… Oui, merci Sandra. Merci de me prêter ce soutien-gorge." Dit-il avec docilité. Sa mère lui fit alors retirer son tee-shirt pour enfiler le soutien-gorge. Il commença à essayer de le mettre, sans grand succès. "Dépêche-toi!" Lui dit sa mère. "Nous n'avons pas toute la journée. Si tu en as besoin, je suis sûre qu'une des filles se fera un plaisir de t'aider, mais tu dois le demander gentiment.
"S'il-te-plait, Sandra, est-ce que tu veux bien m'aider. Je… Je n'y arrive pas tout seul."
"Je serais ravie de t'aider." Répondit Sandra. "Tiens, passes tes bras par là. Bien. Maintenant, ramène-les derrière ton dos. C'est bien. Je vais te montrer." Sandra guida alors les doigts d'Alex au niveau des crochets du soutien-gorge pour qu'il parvienne à le fermer de lui-même. Cindy tendit alors quelques mouchoirs en papier à Sandra pour remplir les bonnets du soutien-gorge. "Oh, merci, Cindy." Dit Mme Guthridge. "Alex, laisse tes bras le long du corps, pour que Sandra puisse remplir correctement les bonnets de ton soutien-gorge. Il en faudrait peut-être un peu plus, Cindy, qu'en penses-tu?" Cindy alla chercher d'autres mouchoirs en papier que Sandra bourra dans les bonnets du soutien-gorge, en prenant soin de leur donner une forme naturelle.
Mme Guthridge tendit ensuite un chemisier à Alex. Il était jaune pâle, avec des broderies et un col Claudine, de longues manches, et des petits volants autour des poignets. C'était le style de chemisier qui était légèrement transparent – suffisamment pour laisser entrevoir le soutien-gorge. Ensuite, ce fut le tour de la jupe – un kilt plissé vert qui arrivait aux genoux. De petites socquettes blanches et une paire de chaussures "babies" complétèrent la tenue.
"Eh bien, chère sœur," dit Mme Simpson, "il semble que ton fils Alex est terriblement désolé de s'être moqué de notre petit invité. N'est-ce-pas Alex?"
"O… Oui ma tante." Répondit Alex avec une voix faible. "Je suis vraiment désolé, et je promets que cela ne se reproduira plus jamais. Vraiment, je promets."
La mère d'Alex l'embrassa sur la joue. "Je te crois quand tu dis que tu es désolé, Alex, et je suis sûre que tu as compris la leçon. Mais tu vas tout de même rester dans cette tenue toute la journée, et si j'entends la moindre plainte, tu dormiras dans tes jolis dessous cette nuit."
"Mais maman," supplia Alex, "ne m'oblige pas à rester comme ça pour rentrer à la maison. Je t'en prie."
Mme Guthridge se tourna vers sa sœur et rit: "Décidément, il refuse de comprendre." Puis, se tournant vers Alex, elle lui dit avec une voix forte: "J'AI DIT QUE JE NE VOULAIS RIEN ENTENDRE, JEUNE HOMME. Maintenant, tu vas garder cette petite culotte et ce soutien-gorge, plus une chemise de nuit pour dormir cette nuit. Et si j'entends encore quelque chose d'ici demain matin, tu porteras à nouveau une jupe et un chemisier demain. Alors, continue à te montrer insolent, et tu te retrouveras à vivre ainsi pour toujours. C'est compris?"
"Oui Ma'ame" Répondit Alex.
"C'est mieux. Et j'espère qu'il n'y aura plus de plainte, ni le moindre soupir plus tard, même quand nous nous arrêterons au restaurant sur le chemin du retour. En tous cas, pas si tu espères être dispensé de petites culottes dans un proche avenir.
Les larmes coulaient sur les joues d'Alex, mais il parvint à marmonner un "Oui maman."
"Et que vas-tu dire à ta tante et à tes cousines?" Demanda Mme Guthridge.
"Je… Je suis désolé. Je ne me comporterais plus comme ça. C'est promis." Répondit Alex, avec la tête basse, et les larmes coulant sur ses joues. Mme Guthridge sortit un mouchoir pour essuyer le visage de son fils et sécher ses yeux. "Allons, allons, cesse de pleurer. Fais simplement ce qu'on te demande, et tout se passera bien."
Mme Guthridge et Mme Simpson proposèrent alors à Alex et aux autres d'aller regarder la télé, tandis qu'elles parleraient des problèmes d'Alex et de son avenir. Alex n'imaginait pas que c'est là, en quelques instants, qu'elles décidèrent que de le féminiser était la meilleure solution à long terme.
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Peu de temps après, Sandra et Cindy revinrent dans le séjour, disant qu'elles s'ennuyaient. Comme il faisait très chaud, Mme Simpson suggéra de sortir le tuyau d'arrosage pour leur permettre de jouer dans le jardin. Les filles trouvèrent l'idée amusante. Alex, par contre, se plaignit de ne pas pouvoir participer car il n'avait pas de maillot de bain. "Oh, ça ne va pas être un problème." Dit sa tante. "Tu es si petit que je suis sûre que l'un des maillots de Sandra devrait t'aller."
En réalisant ce que sa tante proposait, Alex commença à s'énerver, et se tourna vers sa mère. "Maman," supplia-t-il, "J'essaye de bien me comporter, mais tu ne peux tout de même pas me demander de sortir en maillot de bain de fille. Que vont dire les gens s'ils me voient?"
Mme Guthridge lança à son fils un regard sévère et secoua la tête. "Alex, Alex, Alex. Pourquoi est-ce que tu persistes à te comporter ainsi? Je croyais que tu avais compris que chaque plainte de ta part ne ferait que rallonger la durée de ta punition. Je voulais te laisser le choix entre rester à l'intérieur, ou sortir jouer avec les filles, mais maintenant, j'ai décidé que je veux te voir jouer dehors en maillot deux pièces. Puis, se tournant vers sa sœur, elle demanda: "Tu crois que tu peux trouver un maillot qui irait à Alex?"
"Bien sûr que je vais en trouver un." Dit Mme Simpson. "Sandra en a deux qui sont encore un peu grands pour elle, et je crois qu'ils iront à Alex. Même s'ils sont un peu petits, cela devrait aller pour aujourd'hui."
Mme Guthridge se retourna vers son fils. "Tu sais, tu ne me laisse pas le choix, Alex. Si tu t'étais contenté d'accepter ta punition, tu aurais retrouvé tes affaires de garçon dès ce soir. Au lieu de ça, tu ne fais qu'aggraver les choses. Je vais devoir prolonger ta punition. Ce soir, sur le chemin du retour, on s'arrêtera pour t'acheter quelques petites culottes. C'est ce que tu porteras au moins durant la semaine qui vient. Et maintenant, j'attends de toi que tu sois obéissant et poli. Oh bien – Voilà Sandra qui revient avec un maillot pour toi." Sandra tendit à Alex un maillot de bain deux pièces rose à volants.
"Oh, regardes ça, mon cœur," dit Mme Guthridge à Alex en tenant les deux pièces du maillot devant lui, "Qu'il est mignon. Qu'est-ce que tu dis à Sandra, jeune homme?"
Le regard d'Alex passait du maillot à sa mère. Sachant ce qu'on attendait de lui, il se tourna vers Sandra. "M… Merci Sandra. Il est très joli."
"De rien Alex." Gloussa Sandra. "J'ai hâte de te voir le porter."
Alex se rendit dans la salle de bain, où il lutta pendant plusieurs minutes pour parvenir à bien enfiler le maillot. A son retour, Sandra et Cindy s'apprêtaient à sortir. "Un instant, les filles," appela Mme Simpson, "Le soleil brille très fort, et je ne veux pas que vous attrapiez un coup de soleil. Revenez-là que je vous mette de la crème solaire." Les filles s'approchèrent de Mme Simpson et de Mme Guthridge, et les deux femmes étalèrent de la crème solaire sur leurs corps. Quand ce fut le tour d'Alex, Cindy ne put se retenir d'éclater de rire.
"Qu'est-ce qu'il y a de si drôle?" Demanda Alex. Sandra le regarda, puis regarda sa sœur et sa mère avant de répondre: "C'est juste que dehors, on va bronzer. Et tu vas avoir des marques de bronzage, avec le maillot que tu portes." Alex ne réagit pas tout de suite, mais quand il réalisa que Sandra avait raison, il voulut éviter de sortir. Mais il savait que s'il se plaignait, les choses ne feraient qu'empirer. "Maman," dit-il de la manière la plus polie possible, "je vais sortir si c'est ce que tu me demandes, mais tu ne penses pas qu'il serait mieux que je reste à l'ombre? C'est que… Ben… Il fait vraiment chaud au soleil.
Mme Guthridge apprécia la tentative de son fils de se montrer obéissant et poli, mais ne voyait aucune raison pour que son fils ne profite pas du soleil. "Non, je ne pense pas, mon cœur." Répondit-elle. "Tu vas sortir et t'amuser au soleil avec le tuyau d'arrosage, avec les filles. Ne t'en fais pas. Avec la crème solaire, tu ne risques pas de coup de soleil. Par contre, tu vas avoir un joli bronzage. Sauf bien sûr sous ton joli maillot. Maintenant, embrasses moi, et sors jouer avec les filles."
Alex leva les yeux vers sa mère, espérant un sursis de dernière seconde, mais il comprit qu'il n'arriverait pas, alors il suivit docilement ses instructions, lui donnant un petit bisou et se dépêchant de rejoindre les filles dans le jardin.
"Je n'arrive pas à croire qu'Alex réagisse aussi docilement au fait d'être ainsi enjuponné." Commenta sa mère alors qu'elle regardait les enfants jouer dans le jardin. "Tu sais à quel point il peut se montrer grossier et méchant, surtout vis-à-vis des filles. Et maintenant, regardes-le s'amuser." A cet instant précis, Cindy s'était emparée du tuyau d'arrosage et poursuivait Alex, qui riait et couinait comme une fille en s'enfuyant, et qui tendait même ses mains sur les côtés en écartant ses doigts d'une manière typiquement féminine. Mme Guthridge sourit et lâcha un soupir en voyant son fils agir ainsi. "Et je suis surprise du plaisir que je prends à l'enjuponner." Poursuivit-elle. "Je me suis sentie si bien en le voyant enfiler avec obéissance une petite culotte et un soutien-gorge. Je crois que tu as raison – le laisser habillé en fille est probablement la meilleure chose à faire pour lui en ce moment."
"Eh bien," répondit Mme Simpson, "je dois dire qu'il y a un moment que je m'inquiétais pour Alex, et que j'espérais que tu ferais quelques chose pour le faire changer de comportement. Je pense vraiment que pour de vilains garçons comme lui, rien ne fonctionne mieux que de les mettre en jupes. Et je crois que s'il devait passer plus de temps en fille, il commencerait à montrer bien plus souvent ce côté gentil et délicat qu'il nous fait voir en ce moment."
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Les deux filles et Alex continuèrent à jouer dehors pendant près de deux heures, avant de finalement rentrer dans la maison – mouillés, fatigués, et affamés. Mme Simpson leur donna un goûter dans la cuisine, puis ils allèrent se changer. Les vêtements d'Alex étaient restés dans le séjour, et c'est là qu'il rejoignit sa mère pour s'habiller pour le chemin du retour. Alors que Mme Guthridge aidait Alex à retirer le haut de son maillot de bain, elle vit immédiatement les traces de bronzage sur son corps – qui montraient à l'évidence qu'il avait porté un soutien-gorge. Alex remarqua lui aussi les marques de bronzage, et recommença à s'énerver. "Oh non!" Dit-il. "C'est vraiment arrivé. Qu'est-ce que je vais faire, maman. Je ne peux pas laisser mes copains voir ça. Ils vont se moquer de moi. Je ne vais plus pouvoir rien faire avec eux avant que ces marques de bronzage disparaissent."
"Eh bien," répondit sa mère, "Je suppose que tu vas devoir plutôt passer du temps avec des filles pendant un moment. Ou alors, tu peux aussi raconter à tes copains ce qui s'est passé. Peut-être qu'ils seront compréhensifs, et qu'ils ne se moqueront pas trop de toi. Je pense que c'est encore ce que tu peux faire de mieux. Je pourrais aussi dire à leurs mères comment je t'ai puni, et alors elles pourraient demander à tes copains de ne pas se moquer de toi. C'est sans doute une idée encore meilleure. Qu'en penses-tu?"
"Oh non maman, je t'en prie. Ne vas pas raconter aux mères de mes copains que tu me fais porter des affaires de fille. Tu ne peux pas faire ça, je t'en prie."
"Eh bien, voilà encore ces mots que je ne veux plus entendre. 'Non', ou 'tu ne peux pas'. Tu étais si obéissant, et voilà que tu recommences. Je crois bien que demain, non seulement tu porteras une petite culotte, mais en plus, que nous irons rendre visite les mamans de tous tes amis pour leur montrer comment tu te comportes, et à quoi tu ressembles quand tu es habillé en fille. Quand on s'arrêtera pour t'acheter des petites culottes sur le chemin du retour, on va devoir aussi t'acheter d'autres vêtements – une jolie tenue que tu porteras demain." Mme Guthridge vit tout de suite que ses paroles avaient l'effet désiré. Les yeux de son fils étaient pleins de larmes, et elle pouvait deviner à quel point il voulait négocier avec elle pour lui faire changer d'avis, et qu'il se retenait avec docilité de le faire. En fait, Alex avait espéré que sa mère le laisse reprendre ses vêtements de garçon avant de reprendre la route, et qu'elle n'était pas tout-à-fait sérieuse à propos des décisions qu'elle avait exposées. Mais il savait maintenant à quel point elle était sérieuse et déterminée à tenir sa parole. "En fait," poursuivit Mme Guthridge, "je ne serais pas surprise de voir au moins l'un de tes amis se retrouver vêtu d'une petite culotte après que leurs mères auront pu voir combien tu te comportes avec obéissance et aussi à quel point tu es mignon en jupe et chemisier. Bon, retirons maintenant ce bas de maillot, que tu puisses enfin remettre ta culotte et ton soutien-gorge."
Obéissant, Alex resta debout tandis que sa mère lui baissait le bas de son maillot de bain. En s'appuyant sur elle d'une main, il retira alors le maillot. Mme Guthridge remplaça alors le maillot par une petite culotte, qu'elle remonta rapidement le long des jambes de son fils, avant de la positionner convenablement. Puis ce fut le tour du soutien-gorge. Mme Guthridge le tint face à son fils afin qu'il puisse passer ses bras dans les bretelles. Il se tourna ensuite pour la laisser attacher le soutien-gorge dans son dos. A cet instant, Mme Simpson entra dans la pièce avec deux coussinets en mousse. "je viens juste de me souvenir qu'on avait ça," dit-elle, "des faux seins pour son soutien-gorge." Mme Guthridge glissa les deux faux seins dans les bonnets du soutien-gorge de son fils, puis recula de deux pas pour en admirer l'effet. "Parfait." Dit-elle avec un petit rire. "Ces faux seins font vraiment illusion." Mme Guthridge rendit ensuite à son fils la jupe et le chemisier qu'il avait portés plus tôt, et le regarda enfiler ces vêtements. Pour finir, il remit les socquettes et les chaussures babies. "Tu sais," dit la mère d'Alex à cet instant, "ce serait très joli si on mettait un joli verni sur tes ongles. Je suis sûre que les mamans de tes amis en seraient très impressionnées. Bien sûr, cela met plusieurs jours avant que le vernis ne disparaisse, mais comme tes amis sauront, tu n'as pas d'inquiétude à avoir. Je suis presque sûre d'en avoir sur moi."
Mme Guthridge fouilla dans son sac un instant, avant de trouver ce qu'elle cherchait. Elle fit alors assoir Alex devant elle et prit sa main. "Ecarte bien tes doigts comme une bonne fille. Je vais d'abord limer un peu tes ongles pour leur donner une forme plus arrondie. Voilà. Maintenant, j'applique le vernis. Regarde bien comment je fais, Alex. Tu positionnes bien le pinceau sur le début de l'ongle, puis tu avances sur l'ensemble de l'ongle. Il faut faire ça environ trois fois sur chaque ongle – au milieu, puis sur chaque côté. Tu vois comme le vernis s'étale bien. Maintenant, l'autre main. Excellent. Tes mains sont bien plus jolies avec les ongles vernis. Souffle un peu sur tes ongles, que le vernis sèche plus vite." Après cela, elle se tourna vers Mme Simpson pour lui dire qu'il était temps pour elle et Alex de prendre la route pour rentrer.
"Les filles." Appela Mme Simpson. "Descendez pour dire au revoir à Alex. Lui et sa mère vont partir dans une minute." Sandra et Cindy descendirent en bondissant. "Salut Alex." Chantèrent-elles à l'unisson, puis Sandra se tourna vers sa mère et sa tante. "C'était chouette qu'Alex soit habillé en fille. Est-ce que vous croyez qu'il pourrait toujours être en fille quand il viendra nous voir? Je sais bien qu'il n'aime pas ça, mais il est beaucoup plus gentil et amusant en fille qu'en garçon."
Mme Simpson lança un regard à Mme Guthridge, et les deux femmes eurent un large sourire, avant que Mme Guthridge ne réponde "Eh bien, je trouve que c'est une idée formidable. La prochaine fois que nous viendrons, nous resterons pour quatre jours. Je vais juste devoir me souvenir d'emporter suffisamment de vêtements de fille pour habiller Alex pendant quatre jours! Bien que, s'il continue à se plaindre, je crois qu'il ne porteras plus jamais autre chose."
"Oh, ce serait vraiment amusant." Dit Cindy, puis, se tournant vers Alex, elle ajouta "Tu es vraiment jolie et marrante en fille, tu sais. Peut-être qu'un jour tu auras envie d'être une fille pour toujours. Ce serait génial!"
Alex regarda Cindy avec embarras, puis baissa les yeux. "Dis merci à Cindy pour ce joli compliment, mon cœur." Dit Mme Guthridge. Alex savait désormais qu'il était vain de désobéir à sa mère. "Merci d'avoir dit que tu me trouvais jolie." Dit Alex. "Mais je ne crois pas que j'aurais un jour envie d'être une fille." "Oh, n'en sois pas si sûr." Dit Mme Simpson en riant. "Je crois que tu pourrais découvrir qu'il y a une part féminine en toi, qui n'attend que l'occasion pour s'exprimer et de te voir en petite culotte et soutien-gorge pour toujours." Alex rougit fortement, mais ne dit rien. Tout le monde remarqua son rougissement.
Les filles recommencèrent à glousser, puis Cindy se tourna vers Alex pour lui dire "Je parie que tu as déjà envie de devenir une fille, n'est-ce pas? Allez, dis-nous. Allez Sandra, il faut l'obliger à répondre." Alex, en rougissant encore davantage, recula et se blottit près de sa mère, mais les filles s'amusaient trop pour le laisser tranquille. Sandra se plaça derrière lui et le poussa pour l'obliger malgré sa résistance à se retrouver nez-à-nez avec sa plus jeune cousine Cindy. "Alors," continua-t-elle en riant, "dis-nous. Tu veux être une fille, n'est-ce pas. Je parie que tu voudrais ne plus avoir besoin de remplir ton soutien-gorge avec des faux seins. Dis-nous."
Alex continuait à lutter, mais ne parvenait pas à échapper aux mains des deux filles. Il se tourna vers sa mère avec un regard suppliant. "Maman," dit-il en gémissant, "Aide-moi, je ne veux pas être une fille, et elles ne doivent pas m'obliger à le dire. S'il-te-plait, dis leur d'arrêter." Mais sa mère ne fit rien pour intervenir. Au contraire, elle encouragea les filles. "Alex," dit-elle, "regarde-toi, tu me supplies de t'aider à faire face à deux filles plus petites que toi. Je crois bien que Cindy a raison, et que tu as envie de devenir une fille."
En entendant cela, les filles surent qu'aucune des mères n'allait venir au secours d'Alex. "Remonte sa jupe, que je puisse le fesser." Dit Sandra à sa sœur. "Cela devrait le faire parler." Cindy souleva la jupe d'Alex par l'arrière, et Sandra commença à battre ses fesses couvertes d'une petite culotte. Même si elle était plus petite qu'Alex, elle le fessait aussi fort qu'elle le pouvait, et rapidement, des larmes commencèrent à couler sur les joues d'Alex. Finalement, il réalisa qu'il n'avait qu'un seul moyen pour que les filles le lâchent. "V…v…vous avez raison." Murmura-t-il. "Je veux être une fille." "Et toujours porter une petite culotte et un soutien-gorge." Ajouta Cindy. "Dis-le – dis que tu veux porter une petite culotte et un soutien-gorge." "Je… je veux porter une culotte et un soutien-gorge." Ajouta Alex dans un murmure presque inaudible. "Et dis-nous aussi ce que tu penses de la jupe et du chemisier." Dit alors Sandra en riant. "Oui – une jupe et un chemisier aussi." Pleura Alex. Sandra frappa encore deux ou trois fois les fesses d'Alex pour s'assurer de sa coopération, puis dit "Et je suis sûre que tu veux plus que tout, être toujours habillé en fille, et grandir pour devenir une femme, comme ta maman." Alex n'était plus en état d'émettre la moindre protestation. Il dit alors "Oui, je veux toujours rester habillé en fille, et je suis impatient de grandir pour devenir une femme comme ma maman."
En riant, les filles laissèrent Alex libre de ses mouvements. Sa mère fit un sourire à Mme Simpson et commenta "Eh bien, n'est-ce pas là la plus gentille chose qu'un jeune homme puisse dire? Je crois que je vais laisser Alex en jupes pour la semaine, pour que son souhait se réalise, au moins partiellement!" Et les deux femmes commencèrent à rire elles aussi.
Mme Guthridge prit son fils par la main, puis prit la direction de la porte. Il était temps de partir. Elle salua tout le monde, et demanda à Alex d'en faire autant… Au passage de la porte, Alex hésita, mais sa mère le tira fermement par la main, et d'une voix ferme, lui fit comprendre qu'il ferait mieux de ne pas résister au fait de se retrouver en fille en public. Alors que leur voiture s'éloignait, Sandra se tourna vers sa mère "Maman," demanda-t-elle, "tu crois que ça va durer longtemps avant qu'Alex ne puisse de nouveau vivre comme un garçon? Je n'arrive pas à croire combien ça lui allait bien d'être en fille." Mme Simpson fit un sourire. "Je ne sais pas, chérie. Peut-être dans quelques jours. Mais sa mère semble très contente de son comportement quand il est féminisé, alors peut-être ses jours de garçon sont définitivement derrière lui. Une chose est certaine – il n'aura pas droit à la parole sur ce sujet. Ta tante, tu le sais, est capable d'être très déterminée, donc si elle décide qu'elle préfère qu'Alex soit une fille, alors c'est ce que ton cousin va devenir. En fait, si je devais dire comment les choses vont finir pour lui, je dirais que d'ici un an ou deux, il portera un soutien-gorge tous les jours, et ce sera parce qu'il en aura besoin!"
(à suivre)
Chapitre 2:
https://rosepourlesgarcons.blogspot.com/2023/02/les-regrets-dalex-chapitre-2.html
c'est toujours un plaisir de pouvoir lire de longue histoire d'une seule traite !! vivement la suite s'il y en a une !!
RépondreSupprimerMerci! Il y a plusieurs semaines que je travaille à cette traduction.
RépondreSupprimerC'est une histoire bien écrite. Par contre, j'ai du mal à croire que le garçon à l'âge de dix-huit ans ne se révolte pas plus que cela.
RépondreSupprimerMerci Jackie. En lisant cette histoire, j'avais l'impression, vu ses réactions, qu'elle parlait d'un garçon bien plus jeune. Je suppose que c'était le cas dans une première version de cette histoire, et que l'auteur a changé au dernier moment l'âge de son personnage principal pour faire de lui un jeune adulte, et ainsi éviter une certaine censure...
RépondreSupprimerOui tu as sans doute raison : l'âge de 18 ans a été rajouté pour éviter la censure. Moi-même, lorsque j'écris une histoire, je fais attention à ce genre de détail.
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