samedi 29 décembre 2018

samedi 22 décembre 2018

Fantasme ou réalité? 26

Une histoire vraie de féminisation forcée, publiée par un auteur anonyme sur un forum en février 2017. 

Ma petite amie avait pris l'habitude de parler de me féminiser quand nous faisions l'amour. Au début, cette idée me rebutait, puis, petit à petit, elle commença à m'exciter. Elle m'en parlait à chaque rapport sexuel, et j'en étais arrivé à entrer en érection simplement en  l'entendant me chuchoter ce qu'elle voulait me faire.
Elle décrivait en détails les tenues qu'elle voulait me faire porter, et à quelle point j'allais devenir une petite salope. Bientôt, elle me faisait lui dire que je voulais qu'elle me travestisse, et que je me mettrais à genoux devant elle pour sucer son godemiché.
Puis, elle commença à vraiment me travestir. C'était comme un fantasme devenant réalité, et même si je n'avais jamais désiré cela, j'en étais très excité. Elle passait des heures à m'habiller, à m'enfiler des corsets et à les lacer, ou à me maquiller. Il semblait que nous faisions des progrès à chaque fois que nous faisons l'amour. Elle ajoutait progressivement des éléments à notre pratique.
Nous regardions des films pornos et elle me disait que j'étais la fille dans la vidéo pendant qu'elle me masturbait. Je savourais tout cela déguisé en lingerie. Quand je prenais mes vitamines, elle faisait semblant que c'étaient des hormones féminines pour m'exciter et elle me massait la poitrine avec une crème hydratante en me disant que cela me ferait pousser des seins.
Bientôt, elle ajouta dans sa collection de godemichés à lanières un modèle qui imitait l'éjaculation et elle me disait qu'elle y mettait une solution spéciale d'œstrogènes qui allaient ainsi pénétrer mon corps. Après m'avoir injecté ce liquide, elle m'introduisait un plug anal pour que je le conserve en moi.
Pour être honnête, toutes ces pratiques que nous faisions pour faire semblant de me féminiser me plaisaient beaucoup et j'étais très heureux. Un jour, elle remplaça les films pornos hétéros par des films gays. Elle me faisait l'amour pendant que je regardais les films et que je lui disais que je voulais une bite dans ma bouche, une autre dans mon cul, et une dans chaque main.
Ma poitrine commençait à me démanger à force d'être massée, et je sentais une gêne au niveau de mes hanches, mais je pensais que cela venait de l'excès de sexe. Quand je lui en parlai, elle dit que je devais être un peu fatigué et elle a augmenté mon dosage de pilules de vitamines, ce qui me semblait correct. Après tout, ce n'étaient que des vitamines. Elle me prenait par derrière deux fois par jour, et me massait la poitrine deux fois par jour et même trois fois les week-ends.
Nous ne quittions pratiquement plus la chambre, et j'étais épuisé, mais le sexe était fantastique.
Deux mois plus tard, je commençais à m'inquiéter et j'ai demandé à mon médecin d'examiner le gonflement de ma poitrine. Il m'a demandé s'il y avait des cas de gynécomastie dans ma famille, mais je n'en connaissais pas. Il m'a fait faire une prise de sang et m'a prescrit un supplément de vitamines si je me sentais fatigué. Je ne devais pas m'inquiéter outre mesure et revenir le voir si les choses s'aggravaient.
Idiot que j'étais, je suis rentré à la maison et en ai parlé à ma petite amie, qui semblait très concernée par mes inquiétudes. Elle alla m'acheter un flacon de vitamines plus fortes et j'ai pris deux semaines de congé. Elle m'a préparé un remède maison avec des herbes qu'elle appliqua comme un cataplasme sur ma poitrine et que je devais garder toute la journée en le maintenant avec un soutien-gorge. Pour la nuit, elle m'en appliquait un nouveau que je devais garder en dormant. Elle insistait toujours pour me prendre par derrière avec ce liquide qu'elle m'injectait. Comme elle m'offrait aussi une fellation je ne me plaignais pas.
J'en étais arrivé à oublier la prise de sang et j'ai trop attendu pour avoir les résultats. Après une nouvelle visite chez le médecin, j'ai été obligé de faire une nouvelle prise de sang. De retour à mon travail, je me sentais mieux et j'ai attendu sans inquiétude le résultat de cette prise de sang. Nous gardions les mêmes habitudes à la maison, mais je ne portais le soutien-gorge avec le traitement aux herbes uniquement la nuit. L'odeur des herbes médicinales n'aurait pas été très discrète au travail. Mais le gonflement de ma poitrine ne diminuait pas, et mes mamelons étaient très sensibles.
Le vendredi après-midi, je pus enfin retourner chez le médecin pour avoir les résultats de ma prise de sang. Le docteur semblait très inquiet parce que j'avais un niveau très anormal d'œstrogènes dans le sang. Il m'a prescrit des tests supplémentaires et a examiné ma poitrine, disant que j'avais de vrais seins qui poussaient.
A mon retour à la maison, ma petite amie m'a dit qu'elle allait me préparer des repas plus virils, comme de bons steaks, plutôt que les crudités qu'elle me faisait manger depuis quelque temps. Elle m'a rassuré en me disant qu'ils avaient sans doute fait une erreur avec mon test sanguin, mais pour que j'arrête de m'inquiéter elle m'a dit qu'elle ne m'injecterait plus cette solution dans l'anus. Elle me préparait une boisson énergisante trois fois par jour, et je continuais les cataplasmes aux herbes durant la nuit.
Je ne sais pas trop quand cela s'est produit, mais un matin, alors que je passais devant le miroir en petite culotte et soutien-gorge, j'ai remarqué que j'avais énormément changé. Mes hanches avaient changé de forme et j'avais clairement une paire de seins. Mon visage semblait plus doux, plus féminin, et mes jambes épilées ressemblaient à celles d'une jeune femme.
Le téléphone a sonné et c'était le docteur qui me demandait de passer le voir car il avait reçu les résultats de mes dernières analyses.
Je m'habillais en vitesse, en oubliant que je portais encore ma petite culotte et mon soutien-gorge, et j'allais le voir.
Le docteur m'a annoncé que mon corps était saturé de 3 différentes substances contenant des œstrogènes. Mon niveau de testostérone était au plus bas, et mon niveau d'œstrogènes était le même que celui d'une jeune fille à la puberté. Il m'a demandé si je prenais des médicaments contenant des œstrogènes par choix délibéré, alors je lui ai répondu que je ne prenais que des vitamines et des cataplasmes aux herbes.
Il m'a alors demandé de me déshabiller pour m'examiner, et c'est là que je me suis souvenu de mes sous-vêtements féminins…
Bref, j'ai fini par comprendre que ma petite amie ne faisait pas semblant de me féminiser, et qu'elle m'avait fait prendre à mon insu plusieurs substances féminisantes. Les cataplasmes aux herbes contenaient des phyto-œstrogènes, et j'avais avalé diverses pilules d'hormones, pensant prendre des vitamines. Le docteur m'a expliqué que mon corps était si saturé d'hormones féminines qu'il allait sans doute encore continuer à se développer comme celui d'une femme, même en arrêtant complètement les traitements que je prenais. Pour me débarrasser de mes seins, je devais envisager une opération chirurgicale.
J'ai évidemment tout arrêté et j'ai quitté ma petite amie. Mes seins ont continué à pousser et cela devenait impossible de les dissimuler. J'ai fini par remettre un soutien-gorge. J'avais gardé les affaires que ma petite amie avait laissées.
Un jour, j'ai rappelé ma petite amie et je lui ai proposé de passer pour discuter. Elle m'a dit qu'elle était désolée, et j'ai fini par lui proposer de rester pour la nuit. Nous avons fait l'amour normalement, mais elle m'a caressé les seins en me donnant énormément de plaisir. J'ai fini par lui demander de revenir… Et de continuer son œuvre.
Je ressemble maintenant à une femme, et je vis à plein temps en femme. Ma petite amie et moi nous comportons comme un couple de lesbiennes. Elle m'a persuadé d'essayer le sexe avec des hommes. J'ai tenté l'expérience plusieurs fois, et maintenant j'aime les hommes autant que les femmes. Ma petite amie ne fait l'amour qu'avec moi.
Nous recherchons activement un moyen de continuer à utiliser mes organes génitaux, parce qu'avec toutes les hormones, c'est devenu difficile d'avoir une érection, même si nous faisons l'amour plus que jamais.
J'ai appris à aimer ce que je suis devenu, malgré la manière dont ma petite amie m'a dupé. Je ne changerais désormais pour rien au monde.
J'aurais pu porter plainte contre elle, mais j'ai décidé d'accepter mon sort de de savourer ma vie avec elle.

mardi 18 décembre 2018

dimanche 16 décembre 2018

jeudi 13 décembre 2018

Ma voisine Alice. Auteur original: Alia (Алия)



Notre voisine Alice est une très belle femme, mais elle a connu jusque-là une vie plutôt difficile. Elle est âgée de 27 ans. Elle est veuve malgré son jeune âge et elle a un petit garçon. Elle n'a plus d'autre famille et aucun véritable ami. Elle travaille essentiellement de chez elle, mais quand elle doit partir, elle doit trouver quelqu'un pour garder son fils. Elle a parfois fait appel à des nourrices, mais c'était très cher pour  une mère seule. Elle a donc accepté avec joie le jour où je lui ai proposé mon aide.



Le travail n'était pas trop compliqué. Il faut simplement faire attention au petit garçon, et parfois lui faire à manger. La plupart du temps, je faisais mes devoirs ou je jouais sur son ordinateur. Elle me payait peu, mais je n'attendais pas plus. J'étais ravi de pouvoir aider ma si jolie voisine.

Un jour, le petit garçon a vomi sur mes vêtements. Je n'avais pas de quoi me changer. Je ne pouvais pas quitter sa maison, et il n'y avait personne chez moi pour m'aider. J'ai donc été obligé de me résoudre à chercher quelque chose dans les affaires d'Alice. J'ai vite vu que je n'avais que peu de choix. Ses pantalons ne m'allaient pas. Alice est très mince. On ne pourrait pas deviner qu'elle a eu un enfant. J'ai été obligé de me contenter d'une jupe et d'une veste. Avec l'hiver, j'avais froid, j'ai donc aussi enfilé un collant à contrecœur. C'était chaud et agréable à porter. Je suis resté en jupe toute la journée. J'étais mal à l'aise, mais en même temps, cela me semblait naturel de m'occuper d'un enfant dans cette tenue.

Quand elle est rentrée à la maison, Alice a été très surprise de découvrir ma tenue. En comprenant mes raisons, elle s'est excusée pour son fils, et a promis de me laver mes vêtements.

J'ai enfin pu appeler mon père qui était rentré à la maison et je lui ai demandé de m'apporter des vêtements. Je n'ai pas osé me montrer devant lui en jupe, alors c'est Alice qui l'a accueilli et qui m'a donné mes affaires. Le soir, j'ai été obligé de m'expliquer auprès de mes parents. Je craignais qu'ils ne soient fâchés, mais au contraire, ils semblaient ravis de la relation que j'avais avec notre voisine. Ils appréciaient Alice. Ils disaient même que si je voulais l'épouser après mes études, je pourrais le faire.
La fois suivante, pendant que je gardais le petit garçon, je ne parvenais pas à me sortir de la tête l'envie de porter à nouveau une jupe. Sans vraiment comprendre pourquoi, j'ai remis la même tenue que la première fois. Curieusement, je me sentais très à l'aise ainsi.
A son retour à la maison, Alice m'a demandé avec surprise si j'avais encore sali mes vêtements. J'ai été obligé de lui avouer que mes vêtements n'étaient pas sales, mais que je me sentais bien en jupe. J'ai essayé de lui expliquer ce que je ressentais sans vraiment le comprendre moi-même. Elle a hoché la tête et a semblé me comprendre.

Elle m'a alors proposé de faire un petit changement dans mes conditions de travail. Je devais faire quelques tâches ménagères en son absence. Cela ne me dérange pas de faire la vaisselle ou de balayer le sol. En échange, j'ai le droit de choisir ce que je veux porter dans sa garde-robe, sauf évidemment ses affaires les plus chères. Comme, en plus elle a légèrement augmenté mon salaire, j'ai accepté.
Mes habitudes ont changé. Quand j'arrivais chez elle, je commençais par me changer et enfiler des vêtements féminins. Ensuite, je faisais rapidement tout mon travail pour avoir un maximum de temps pour essayer d'autres tenues. Le choix de vêtements d'Alice était très vaste. C'était ce qui lui restait de sa vie conjugale.
J'en étais arrivé à attendre avec impatience les jours où elle aurait besoin de moi pour garder son fils. J'étais si impatient que je commençais à rendre visite à Alice, même quand elle n'avait pas besoin de moi. J'ai finalement trouvé le courage de lui demander de me laisser m'habiller en femme, en lui promettant d'accomplir toutes les tâches que je faisais habituellement en son absence.

J'ai passé toute la journée avec Alice. Elle m'a appris à cuisiner, et à faire un certain nombre de tâches ménagères. Le soir, quand je l'ai quittée, elle m'a invité à revenir quand je le souhaitais. J'ai promis de revenir dès le lendemain.

Ainsi, progressivement, Alice m'a non seulement appris à m'occuper des tâches ménagères, mais aussi à me coiffer, à me maquiller, et à me comporter comme une femme. Dans cette période, nous nous sommes énormément rapprochés, mais sans que notre relation n'évolue vers de l'amour. Alice ne semblait pas s'intéresser à cela. Je crois qu'elle ne pouvait tout simplement pas me voir en tant qu'homme alors que j'étais habillé en femme.


Très naturellement, j'ai commencé à dormir chez elle, puis, à la fin de mes études, je me suis installé chez elle. Mes parents m'ont approuvé sans limite, mais je sais qu'ils ignoraient la vraie cause de mon déménagement. Alice m'a demandé si j'aimerais vivre comme une fille. J'ai acquiescé. Elle m'a alors suggéré de rester ainsi pour toujours. J'ai accepté. Peu après, je commençais à prendre des hormones féminines. Je me choisissais aussi un nouveau prénom: Tanya.

Pour Alice, je suis devenu une sorte de gouvernante. Je m'occupais de la maison, je veillais sur son enfant. Alice a décidé de déménager pour nous éloigner de mes parents. Nous sommes allés habiter de l'autre côté de la ville.

Sans vraiment en parler avant, nous avons commencé à élever son fils comme une fille. Alice était heureuse, car elle n'avait que de l'hostilité pour les hommes. C'est sans doute la raison pour laquelle elle a si facilement accepté de m'aider à devenir une femme. Nous avons rebaptisé son enfant Vladimir et nous l'avons appelé Vera. Elle a commencé à aller à l'école tandis que je devenais une vraie femme. Sa mère nous a aidées pour les papiers. Elle avait de bons contacts. Maintenant, nous sommes officiellement des filles, même si aucune d'entre nous n'est opérée.



Des années plus tard, Vera a grandi et s'est mariée. Alice est devenue grand-mère (évidemment d'un enfant adopté). J'ai continué à travailler comme gouvernante ou nounou. En fin de compte, j'ai vécu une vie exceptionnelle. Tout le monde n'a pas fait l'expérience d'éduquer un petit garçon pour devenir une femme…