samedi 29 janvier 2022

Fantasme ou réalité? 47

Voici deux lettres trouvées il y a bien des années dans un magazine spécialisé. Je suppose qu'il y a prescription et que je peux les publier...

UNE FEMME COMBLÉE

par Claudia, 32 ans. 

II y a six mois. mon mari et moi étions au bord du divorce. Nos rela­tions sexuelles s'affadissaient, sans que le moindre piment ne vienne en relever un tantinet l'ordinaire. C'est à cette époque que j'ai renoué avec Fa­brice, un médecin curiste avec lequel j'avais entretenu une relation très se­xuelle, au cours d'un séjour à Vichy. trois ans auparavant. Nous nous étions revus à Paris, mais l'élan n'était plus le même. Il a fallu qu'il me recontacte, ces derniers temps, pour que je me souvienne avec émo­tion des formidables sensations par­tagées et de sa virilité caressante.

Nous nous sommes revus réguliè­rement, et j'y ai repris goût !... Fa­brice a quarante-cinq ans, il est brun, un peu austère et sévère, et j'aime sa façon de me prendre, rude et diri­giste. J'ai moi-même trente-deux ans, et la seule chose que je conserve de mes relations d'épouse est une espèce de fétichisme des dessous sexy et soyeux dont mon mari raffolait et dont il sut bien me faire partager le goût. 

Revoyant Fabrice régulièrement, je fus obligée de mentir à mon époux et de prétexter des rendez-vous pro­fessionnels de plus en plus fréquents. Un jour, il y a presque six mois de cela, j'avais prétexté un déplacement en province pour un vendredi et un samedi. "Ce n'est pas grave, me dit mon mari, je serai également en week-end chez des amis dans le Loir­-et-Cher." "Chic", pensai-je... "je n'aurai qu'à revenir à la maison, où je pourrai recevoir Fabrice en toute quiétude pour deux jours".

Le vendredi, mon époux m'accom­pagna à la gare de Lyon. Je déposai ma valise à la consigne et décidai de m'accorder la matinée avant de réin­tégrer la maison, au cas où Michael serait repassé chercher quelques af­faires. Vers quinze heures, je pris un taxi et retournai chez moi. Je m'arrê­tai un peu avant le pavillon, ne vou­lant pas rencontrer des voisins avec ma valise à la main, et pénétrai par l'arrière de notre jardin. J'étais pru­dente, n'étant pas sûre à cent pour cent que Michael soit déjà parti. J'en­trai doucement dans la maison, posai manteau et valise dans un placard et, silencieusement, inspectai la maison. Rien au rez-de-chaussée, tout avait l'air calme, lorsque, arrivée au haut de l'escalier de pierre, j'entendis du bruit provenant de ma chambre - nous faisions chambre à part de­puis plusieurs mois. La peur et la cu­riosité me firent passer dans le dressing-room qui sépare nos deux chambres et je risquai un oeil par la porte, entrebâillée, de la mienne...

J'eus un coup au cœur : une su­perbe créature rousse, chaussée de ta­lons aiguille, évoluait dans ma cham­bre, seulement vêtue de mes plus bel­les parures... Je regardai plus attenti­vement son visage, et j'eus bien du mal à réaliser que cette excitante rousse en déshabillé de soie rose... était mon mari ! Maquillé adroite­ment, entièrement travesti de dessous soyeux - corsets, bas noirs, slip en dentelle - il évoluait dans mon inti­mité devant ma grande glace en pre­nant des poses suggestives. Je le con­templai un bon quart d'heure avant de me retirer sur la pointe des pieds. Je repris ma fourrure et ma valise et c'est alors seulement que j'entrevis la perspective alléchante qui m'était ainsi offerte... Je crois bien qu'en évo­quant ce projet, je dus mouiller très rapidement ma culotte de satin.

Je sortis de la maison et me fis conduire au cabinet de mon amant. II me reçut comme n'importe quelle cliente, mais, à peine la porte refer­mée, il m'enlaça voluptueusement en collant ses lèvres aux miennes. Sa main se glissa par la fente de ma jupe en tweed et alla se poser sur ma cu­lotte tandis que ses lèvres murmu­raient à mes oreilles : "Tu as mis une culotte noire aujourd'hui ? " J'ac­quiesçai, profondément troublée par sa caresse et son ton direct. Je m'abandonnai dans ses bras et il m'entraîna sur son canapé. Je le suçai avidement. caressant de mes ongles ses couilles dures et recouver­tes de soyeux poils bruns.

Après avoir reçu sa semence dans ma gorge, je l'avalai - il adore me forcer à le faire - puis il me demanda si mon plan marchait toujours pour le week-end. J'eus une brève hésitation, mais finalement j'entrepris de lui ra­conter ce que j'avais découvert en rentrant subrepticement à mon domicile. Il m'écouta attentivement et me proposa quelque chose... Curieuse­ment, ma psychologie féminine m'avait permis de voir juste ! Ce plan recouvrait totalement j’avais déjà esquissé dans ma tête en découvrant mon mari travesti!

Un nouveau cadeau signé Retainerfan!

Merci à lui!!! 

 Je vous rappelle l'adresse de son blog: https://soitfemmeettaistoi.blogspot.fr/

 


jeudi 27 janvier 2022

Traduction du russe. Auteur: Julia (Юлия)

Quelques créations de Julia, cet auteur russe, toujours avec son thème favori: "maman voulait avoir une fille."
 
Version originale sur : http://tg-wonderland.ru/



Un grand merci à tout le monde!

Ce blog vient de franchir le cap du million de visites!!!

mercredi 19 janvier 2022

vendredi 14 janvier 2022

Une lettre de "Petticoat Discipline Quarterly"

Les lettres publiées sur le site "Petticoat Discipline Quarterly" racontaient des témoignages de "petticoat discipline" (discipline par le jupon).

 Malheureusement, à ce jour, le site est fermé. J'ai sauvegardé quelques autres textes issus de ce site et je vous les ferais partager. 


Une sissy adolescente

par Danielle

  

Chère Tatie Helga,

Mon nom est Danielle, et je suis une "fille" de 17 ans qui vit dans le nord du New Jersey. J'ai écrit "fille", parce que je suis génétiquement toujours un garçon. J'ai l'apparence d'une jeune fille normale parce que ma mère m'a fait prendre des hormones depuis quelques années, au début de mon adolescence. Pourquoi? En fait c'était sa manière de me punir, de m'obliger à vivre en fille. Ma maman m'a demandé de vous écrire cette lettre. Voici comment tout a commencé.

Tout a commencé il y a 5 ans quand j'avais 12 ans. Ma mère est une mère célibataire (elle a divorcé de mon père quand j'avais 2 ans) qui nous élèvent seuls, moi et mes deux sœurs, Jessie et Stephanie. Ma mère était mécontente de moi pour plusieurs raisons. D'abord, mes résultats scolaires avaient dégringolé de B à D. Ensuite, elle n'approuvait pas mes fréquentations, disant que mes amis étaient bien trop immatures. Enfin, et sans doute la raison principale, elle détestait me voir harceler mes sœurs (qui avaient 15 et 16 ans à l'époque) ainsi que toutes les gentilles filles de ma classe.

Un vendredi, l'école a appelé ma mère. J'avais été convoqué au bureau soi-disant parce que j'avais jeté les restes de mon repas sur deux des filles les plus populaires de ma classe, Kelly et Lindsey. Elles ont commencé à pleurer, et j'ai été convoqué chez la principale. Ma mère était furieuse. La principale (une femme) a demandé à parler à ma mère en privé. Elles sont restées seules pendant près de 20 minutes avant de me faire revenir. J'ai demandé quelle serait ma punition. Curieusement, la principale me dit qu'elle n'allait pas me punir. J'étais très surpris. Elle m'autorisa même à quitter l'école avant l'heure. Ma mère me prit par la main et m'entraina vers la voiture. J'ai appris plus tard que la principale avait montré votre site à ma mère et avait évoqué le "petticoat punishment" (punition par le jupon) avec elle.

J'étais nerveux. Pas de punition, le retour avant l'heure à la maison, quelque chose n'était pas normal. A notre arrivée à la maison, maman m'a pris par la main et ma trainé jusqu'à la maison. Une fois à l'intérieur, elle m'a entrainé à l'étage. Elle m'a ainsi guidé jusqu'à sa chambre, où elle m'a baissé mon pantalon avant de me fesser. La douleur était terrible. Mes fesses étaient rouges et me brulaient. Ma mère est ensuite allée à la cuisine pour préparer le dîner. Plus tard, quand mes sœurs sont rentrées, ma mère s'est isolée avec elles pour leur parler. J'avais un sentiment étrange. Peu après, maman voulu nous servir le dîner. Mes yeux étaient encore rouges après la terrible fessée. Jessie et Stephanie l'ont remarqué et ont commencé à m'appeler "sissy" et "petite fille". Alors que je me suis levé pour les frapper, ma mère m'a retenu, entrainé jusqu'au sofa, puis m'a fessé une nouvelle fois, encore plus durement. Pendant ce temps, Jessie et Stephanie riaient.

Pendant le dîner, j'avais espéré quelque chose de consistant après toutes ces épreuves, mais maman ne nous a servi que de la salade. J'aurais voulu lui demander de me faire un steak, mais j'ai bien compris qu'il valait mieux me taire. Après manger, j'ai été envoyé au lit immédiatement. J'ai obéi, et je me suis rapidement endormi. Le lendemain matin, Stephanie m'a réveillé et m'a dit de m'habiller. Elle m'a tendu une petite culotte, un soutien-gorge d'adolescente, une petite jupe, et une blouse jaune. Elle m'a dit que si je refusais d'enfiler tout cela, elle était autorisée à me fesser. Je lui ai alors obéi. Tout me semblait si serré. J'avais la sensation que ma virilité m'était arrachée alors que je portais ces vêtements. Elle m'a aussi mis une perruque blonde. C'était étrange d'avoir soudainement des cheveux longs.

Quand je suis descendu, ma mère m'a dit que j'étais jolie et m'a tendu un miroir. J'étais très embarrassé. J'ai pris mon petit-déjeuner et j'ai brossé mes dents. Ensuite ma mère m'a emmené faire les magasins. Alors que nous sortions, nous avons croisé Trey, mon cousin âgé de 27 ans, qui venait faire quelques travaux de rénovation, à la demande de ma mère. Il est entré pendant que ma mère et Jessie m'ont entrainé au centre commercial pour m'acheter des vêtements de fille. Elles m'ont acheté des petites culottes, des soutiens gorges, des jeans de fille, des tee-shirts et des chaussures. A notre retour à la maison, bien plus tard, j'ai couru me réfugier dans ma chambre, mais quand j'y suis entré, j'ai vu que tout avait changé. Tout était rose, les murs, le couvre-lit, tout. Toute ma vie a changé à partir de cet instant.

Un mois plus tard, un colis est arrivé par la poste. Ma mère m'a demandé de l'ouvrir. Je l'ai ouvert et j'y ai découvert des boîtes contenant des pilules d'hormones. J'étais abasourdi. Elle m'a lancé un regard terrifiant et m'a dit que j'allais prendre ces pilules pendant un an. J'avais peur. Ces pilules ont eu un effet bizarre sur moi. Je commençais à me sentir de moins en moins masculin et de plus en plus faible. Progressivement, j'ai commencé à être plus gentil avec Kelly et Lindsey à l'école, et nous sommes même devenues très amies. Ma mère m'a aussi fait enlever au laser les poils indésirables. Tout commençait à s'arranger dans ma vie. Mes résultats scolaires se sont améliorés, on m'appréciait d'avantage, et curieusement, je me sentais mieux. De plus, très vite, plus personne ne m'a considéré comme un garçon déguisé en fille, et mes anciens amis ne voulaient plus rien avoir à faire avec moi. Je me suis habitué aux vêtements de fille, comme aux soutiens gorges, aux petites culottes (même aux strings), aux leggings (parfois très moulants), aux robes ou aux chaussures féminines. J'ai eu un peu plus de mal à m'habituer à aller aux toilettes des filles, et à m'assoir pour faire pipi.

Après deux ans, j'étais très féminine. Mes cheveux blonds étaient longs, et mon corps s'était affiné avec de belles rondeurs au niveau de mes hanches et de mes fesses. Ma voix est restée aigüe, et mon visage était très féminin. Ma peau était lisse et douce. J'avais aussi des seins qui remplissaient un bonnet C. Mais j'avais encore mon pénis. Mon comportement et mes pensées étaient plutôt féminins. Je me faisais des manucures et je me maquillais. Stephanie était alors partie à la fac, et Jessie était en dernière année. J'étais inscrit dans une nouvelle école en tant que fille. Je me suis fait beaucoup de nouveaux amis, parmi les plus populaires de l'école. Quand je marche dans le hall, je vois les regards des garçons sur mon cul. En classe aussi, je surprends souvent les garçons en train de regarder des parties de mon corps qu'ils ne devraient pas regarder ainsi. Je réalise maintenant à quel point les garçons peuvent être pervers, et ne voient les filles que comme des objets sexuels. Aujourd'hui, je comprends combien cela peut être difficile parfois d'être une fille, et je souhaiterais que tous les garçons puissent expérimenter cela.

Aujourd'hui, je suis au lycée, dans l'équipe des cheerleaders (pom pom girls). J'aime faire les boutiques, comme Victoria's Secret, Juicy Couture, Abercrombie and Fitch and Hollister. Je porte en général un débardeur, des leggings noirs, et des bottines, dans un style très populaire ici dans le nord des Etats-Unis. Honnêtement, je me sens plus heureuse en fille. J'ai plus confiance en moi que quand j'étais un garçon. J'ai déjà eu 3 petits copains, et 2 petites amies. Il semblerait qu'en tant que bisexuelle, je suis très populaire à l'école. C'est un sentiment incroyable d'être une fille! Je remercie maman, Jessie et Stephanie de m'avoir féminisé! Et Merci Tatie Helga pour votre site! Sans lui, je ne serais pas celle que je suis aujourd'hui, c'est-à-dire une jolie jeune fille!

Sincèrement votre,

Danielle

 

Merci pour votre lettre, Danielle. Il semble que vous vous soyez bien adaptée à votre féminisation. Je ne suis pas forcément favorable à l'utilisation d'hormones, mais je respecte les choix de tous les parents.

Tatie Helga

 

 

lundi 10 janvier 2022

Auteur original: Tricia

 J'ai encore trouvé quelques vieilles captions de cet auteur dans mes archives. En voilà quelques unes:

 "Converti par sa sœur 5"





J'ai failli oublier: Mon blog vient de fêter ses cinq ans d'existence.

Bon anniversaire à mon blog!!! 😄


dimanche 9 janvier 2022

Auteur original: "Roger"

Quelques créations signées "Roger", cet ancien auteur qui avait été l'un des premiers à publier ce genre de "captions".





samedi 1 janvier 2022

Créations de Miles Davis

Pour bien commencer l'année, quelques créations de cet auteur si prolifique.

Version originale sur: https://www.pinterest.fr/wirkungsgeschic/ 




Excellente année à toutes et à tous!