jeudi 26 septembre 2019

vendredi 20 septembre 2019

Le mode d'emploi (Histoire)

Une contribution d'un lecteur

Voici une histoire écrite par "Jackie", que je remercie beaucoup pour sa contribution à mon blog.
Si d'autres lecteurs de ce blog souhaitent y raconter leur histoire (réelle ou fictive), n'hésitez pas à me contacter!



            J’ai toujours été petit et mince ; j’ai aussi toujours eu un visage poupin, mais je n’avais aucun problème avec cela jusqu’à l’adolescence lorsqu’il m’arriva ce qui pour moi fut un drame. Quel âge ? Douze ou treize ans, je crois. J’étais dans la salle de bain, torse nu, et je regardais avec horreur ma poitrine : j’avais des seins. Ils n’étaient pas gros, mais je les tâtais et l’on sentait très bien la glande mammaire sous le mamelon. Elle avait la grosseur d’un petit abricot. Je paniquais. Étais-je en train de devenir une fille ? J’avais, quelques jours avant, essayé le soutien-gorge d’une de mes sœurs, juste pour voir ce que cela faisait. Est-ce que ceci avait provoqué cela ? C’était l’horreur. J’allais avoir une poitrine comme une fille tout en gardant un pénis qui durcissait à toute occasion. Il faut vous dire qu’à l’époque, on n’avait aucune notion de sexe. Nous n’avions pas le droit au mode d’emploi de notre corps. C’était tabou. Il n’était donc pas question que j’en parle à mes parents et encore moins au médecin. J’appris bien des années plus tard que c’était un phénomène plutôt courant chez le garçon : la gynécomastie. Cela veut dire que chez le garçon les hormones femelles peuvent supplanter temporairement les hormones mâles et ceci pendant quelques semaines ou quelques mois durant la puberté.
            Quand tout redevint normal, je fus soulagé, mais je restai en alerte. Il m’arrivait au moins une fois par jour de tâter mes seins pour constater que le phénomène ne réapparaissait pas. Au début, c’était la peur d’une résurgence, mais très vite, cela devint de la nostalgie.
            Puis je commençai à fréquenter des filles de mon âge et je fis une fixation sur leur poitrine et leur développement. Des fois, je demandais leur âge à des filles, juste pour savoir quelle grosseur aurait eu mes seins s’ils avaient continué à pousser. À la plage, à la piscine, j’aimais observer cet attribut féminin. Je ne sais pas comment cela arriva, mais j’en vins à les jalouser.
            Je me mariai à 21 ans avec la plus belle fille de mon quartier : Jackeline. Elle était comme moi petite et mince. On nous appelait « le beau petit couple ». J’adorais observer ses seins, les toucher, renifler ses soutiens-gorges. Au début de notre relation, je ne lui racontais pas mon fantasme, mais un jour je fis une erreur qui allait changer ma vie.
            Nous étions sortis avec un couple d’amis en boîte de nuit : Barbara et Serge. Nous visitâmes plusieurs clubs et bien sûr on but à chaque fois que l’on entrait dans l’un d’eux. Alors que la soirée avançait, Serge proposa que l’on aille dans un bar de travestis. On le suivit. J’eus tout de suite l’impression que ce n’était pas sa première visite : la façon qu’il regarda et salua le portier, son empressement à nous faire asseoir à une table près de la scène. Non, je crois même que cet endroit l’excitait au plus haut point.
            De mon côté, je découvrais pour la première fois ces hommes qui s’habillaient en filles et cela m’impressionna beaucoup, surtout que certains exhibaient des poitrines généreuses qui me rappelaient mon fantasme. La conversation tourna bien vite sur le sujet. Nous nous demandions si c’étaient de vrais seins. Pour certains le décolleté était si apparent que l’on n’avait aucun doute. Nous avions bu beaucoup et comme toujours, dans ces cas-là, nous parlions sans retenue.
            Barbara, qui avait une silhouette plutôt masculine, demanda à son mari s’il avait eu l’idée dans son adolescence de s’habiller en fille. Il raconta alors une expérience un soir d’Halloween et une autre au lycée où garçons et filles avaient inversé les rôles. Il donna force détail sur la robe, la perruque et le maquillage qu’il portait comme si le souvenir était encore très présent en lui. Il ajouta même qu’il ne verrait aucun inconvénient à réitérer l’expérience.
            Bien sûr les visages se tournèrent ensuite vers moi. Je n’avais aucune expérience à relater, mais je ne voulus pas paraître moins intéressant que l’autre. Alors je racontais l’épisode de gynécomastie et les fixations que cela avait provoquées chez moi. Ma femme avec un sourire malicieux me demanda si j’aimerais encore avoir des seins aujourd’hui. Mon alcoolémie me fit répondre par l’affirmative, mais je mis une restriction quand même : il faudrait que ce soit temporaire comme la première fois.
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lundi 16 septembre 2019

Un nouveau Retainerfan!

Un grand merci à lui! (d'autant plus que je manque un peu de temps pour poursuivre mon blog avec la même régularité qu’autrefois).
 
Je vous rappelle son adresse:
https://soitfemmeettaistoi.blogspot.fr/


samedi 14 septembre 2019

Captions signées Bobbie99999

Quelques dessins "vintage" que Bobbie utilise pour raconter ses histoires de "petticoat punishment" (punition ou éducation par le jupon). 

Version originale sur:  https://bobbie99999.tumblr.com/




samedi 7 septembre 2019

Knight, toujours une valeur sûre

Version originale sur: http://knightstgcaps.blogspot.fr/ 
 



Auteur original: Tricia

Version originale sur: https://tricias-captions.tumblr.com/

L'école St Joséphine pour jeunes filles (8e partie)

Il y a bien longtemps que Tricia n'a plus créé de "captions" comme je les aime. En fait, depuis son changement de site suite à une affaire de censure sur tumblr.com.
Voici les dernières de la série "St Joséphine" que j'avais sauvegardées il y a déjà quelques mois. 

Espérons que Tricia  reprendra ses créations...