samedi 25 février 2023

Une lettre de "Petticoat Discipline Quarterly"

Les lettres publiées sur le site "Petticoat Discipline Quarterly" (fermé depuis quelques mois) racontaient des témoignages de "petticoat discipline" (discipline par le jupon, ou "enjuponnage", comme j'ai choisi de le traduire).

J'ignore si la série de trois lettres ci-dessous raconte des faits réels ou non (seuls les auteurs peuvent le savoir). Mais de telles histoires doivent bien entendu rester un fantasme. On ne touche pas aux enfants!

 

PREOCCUPE A PROPOS D'UN ENJUPONNAGE

Par Tom

Chère Tatie Helga,

J'ai du mal à croire que je suis vraiment en train de vous écrire, mais je suis préoccupé par la situation dans laquelle se trouve mon fils, et il se trouve que c'est le genre de situation que vous semblez bien connaitre. J'espère donc que vous ne m'en voudrez pas de vous écrire.

Ma femme et moi avons deux enfants, Jenny, une fille de 10 ans, et Jaime, un fils de 8 ans. Alors que je vous écris, Jenny et Jaime sont dans la chambre de Jenny et jouent ensemble. Jaime porte une petite culotte, une jupe, une blouse, et ses longs cheveux sont coiffés en tresses fermées par deux rubans roses. En les voyant ainsi, vous ne pourriez jamais imaginer que Jaime n'est pas une fille, et c'est justement le problème dont je veux vous parler. Je suppose que cette situation est en partie de ma faute, mais tout s'est déroulé de manière si progressive que je n'ai pas su quand ou comment arrêter cela. Voilà comment les choses se sont déroulées.

Quand la pandémie a provoqué une quarantaine dans notre région, Jaime avait déjà de longs cheveux pour un garçon, et aurait dû aller se les faire couper. Mais toute chance d'aller chez le coiffeur a été empêchée par la quarantaine, et même quatre mois plus tard, nous n'avons pas fait couper ses cheveux, même s'ils avaient atteint une longueur qu'on ne voit habituellement que chez une fille, car nous voulions éviter d'attraper le virus. Un soir, alors que ses cheveux lui tombaient devant les yeux, Valerie, ma femme, a décidé de les tenir avec quelques épingles à cheveux. Jaime a pleurniché, disant que les garçons n'utilisaient pas d'épingles à cheveux, mais Val n'en a pas tenu compte et a placé les épingles, lui expliquant qu'il fallait bien une solution pour que ses cheveux ne lui tombent pas devant les yeux. Elle a ajouté que, de toute façon, à part nous, personne ne le verrait, et ce n'était donc pas un drame. Je devrais peut-être préciser que dans notre famille, c'est Val qui prend presque toutes les décisions concernant nos enfants. De plus, elle n'apprécie pas quand l'un de nos enfants n'accepte pas l'une de ses décisions, et elle réagit encore plus mal quand je suis en désaccord avec elle, c'est pourquoi la plupart du temps, je n'interviens pas dans ses choix.

C'est donc ainsi que tout a commencé. Après cela, pendant quelques jours, Val a attaché les cheveux de Jaime avec des épingles à cheveux et il a arrêté de s'en plaindre. Puis, environ une semaine plus tard, Val a ajouté aux épingles à cheveux des barrettes rouges qui appartenaient à Jenny. Encore une fois, Jaime s'est plaint, disant que les garçons n'attachent pas leurs cheveux avec des barrettes. J'ai même osé demander à Val si tout cela était bien nécessaire, mais elle m'a répondu que les barrettes tenaient mieux que des épingles à cheveux, et que je ferais mieux de me taire, que Jaime et moi réagissions comme des idiots, car ce ne sont pas des barrettes qui allaient faire de lui une fille.

Pendant quelques semaines, les choses ont continué ainsi, avec Val qui attachait chaque les cheveux de Jaime, ou qui me demandait de m'en charger. En y repensant, je réalise qu'à ces moments-là, j'aurais peut-être dû faire en sorte que cela cesse, mais je ne l'ai pas fait. En plus, je crois que, comme parfois c'était moi qui arrangeais les cheveux de Jaime de manière féminine, cela a contribué au fait qu'il cesse de se plaindre de ce qu'on lui faisait.

 

Rien n'a vraiment changé pendant quelques semaines, puis un matin, Val a décidé que les cheveux de Jaime étaient si longs qu'il fallait faire autre chose, alors elle les a rassemblés en deux tresses retenues par un petit ruban rose. Jaime ne s'est pas plaint auprès de sa mère, mais il est venu pleurnicher auprès de moi, me demandant de dire à Val de ne pas l'obliger à rester coiffé ainsi. Je suis allé timidement dire à Val qu'elle allait peut-être trop loin, mais elle m'a répondu sèchement qu'elle refusait d'en parler. J'ai réalisé que la meilleure solution serait d'aider Jaime à accepter la situation, alors je lui ai dit que les braves guerriers Indiens portaient souvent des tresses, et que donc, cela ne posait aucun problème pour un garçon d'en avoir. Puis, comme pour les barrettes, cela n'a pas duré longtemps avant que Val ne me demande de coiffer les cheveux en tresses ou en queue de cheval chaque matin, que j'ornais de jolis rubans (quand j'utilisais des élastiques, Val me faisait comprendre que cela ne lui plaisait pas). Parfois, j'utilisais aussi l'un des chouchous de Jenny pour coiffer Jaime.

Alors que les semaines passaient, les cheveux de Jaime devenaient de plus en plus longs, et il demandait à ce qu'on les lui coupe, car ils lui tombaient toujours devant les yeux. J'ai été soulagé quand Val a accepté de lui couper les cheveux, mais en fait, elle lui a coupé les cheveux de devant en forme de frange très féminine. Encore une fois, j'aurais dû intervenir, parce Jaime était bouleversé de voir ses cheveux avec des tresses, une queue de cheval, et une frange, mais nous pensions tous que la pandémie n'allait pas durer, alors j'ai dit à Jaime de rester patient pour le moment.

Comme vous le savez, la pandémie a duré, et, à la fin de l'été, plutôt que de retourner à l'école, les enfants ont dû suivre des cours à distance depuis la maison. Et comme nous avions peur d'emmener les enfants chez le coiffeur, les cheveux de Jaime ont continué à pousser et il a gardé des coiffures féminines. Mais cela n'était rien en comparaison de ce qui s'est passé ensuite. Peu après la fin de l'été, Jaime est venu me voir en pleurant, disant que sa mère avait décidé de lui faire porter les petites culottes de sa sœur! J'ai alors décidé que cela allait trop loin, et j'ai décidé d'en parler à Val, mais la conversation ne s'est pas déroulé comme je l'avais imaginé. Val m'a fermement rappelé que nos finances n'étaient pas au beau fixe, et qu'il fallait faire des économies. L'un des moyens les plus simples était, plutôt que d'acheter de nouveaux vêtements à Jaime, de lui faire porter les anciennes affaires de sa sœur. Je lui ai alors demandé si elle envisageait de faire porter à Jaime tous les vêtements de Jenny qui étaient devenus trop petits pour elle, y compris des blouses et des jupes, et Val m'a répondu que oui, que c'était ce qu'elle avait décidé. Sachant que je ne pourrais pas lui faire changer d'avis, mais je lui ai dit l'ai suppliée de ne pas infliger ça à Jaime, que cela pouvait être acceptable de lui faire porter les anciens dessous de sa sœur, mais pas les autres vêtements de fille. J'ai été soulagé et surpris quand Val a accepté, au moins en partie. Nous étions d'accord pour que Jaime porte les petites culottes ou les anciens pyjamas ou chemises de nuit de Jenny, mais qu'il n'ait pas à porter de blouses, de jupes ou de robes, au moins pour le moment. J'ai remercié Val d'être aussi compréhensive, et je suis allé voir Jaime pour lui expliquer notre décision. Il était toujours bouleversé, mais je lui ai fait comprendre qu'il n'allait de toute façon pas passer de temps avec ses amis, et que donc, sa tenue n'avait aucune importance.

Bon, tout cela s'est déroulé il y a trois mois, et comme vous l'avez sans doute déjà compris, Val a finalement décidé que Jaime ne porterait plus que des anciennes affaires de sa sœur, et que donc il s'habillerait en fille tous les jours et toutes les nuits. Quand sa mère lui a fait enfiler des jupes et des robes, je lui ai parlé, lui expliquant que ce ne sont pas des vêtements féminins qui allaient faire de lui une fille, et qu'il devait essayer de ne pas y attacher trop d'importance. En larmes, il a accepté d'essayer. Et il semble qu'il s'y soit habitué.

Ce qui me ramène à mes préoccupations. Il semble qu'il devienne très efféminé à force de passer semaine après semaine habillé en fille, un peu comme si les vêtements le transformaient peu à peu en fille. Non seulement il a arrêté de se plaindre de devoir porter des petites culottes et des jupes, mais en plus, il semble prendre du plaisir à porter de jolis vêtements et à avoir une coiffure féminine. Jenny a même commencé à suggérer que Jaime était maintenant sa petite sœur. Je commence à être très inquiet de ce qui va se passer quand les enfants retourneront à l'école. Jaime sera à ce moment-là tellement immergé dans un mode de vie féminin qu'il pourrait avoir des difficultés à redevenir le garçon qu'il était.

Voilà donc mon dilemme, et il n'y a que peu de gens à qui je peux parler de ce problème, c'est pourquoi je vous ai écrit pour avoir vos conseils.

Merci de m'avoir lu.

Tom

Merci pour votre lettre, Tom. Je peux comprendre que vous soyez préoccupé par la féminisation de votre fils par votre femme. A la lumière de l'ensemble des informations que vous avez donné, je commencerais par faire une observation. Votre distinguée épouse semble être non seulement responsable du port de petites culottes pour votre fils, mais en plus j'ai l'impression qu'elle dirige votre famille et que vous lui êtes soumis, n'est-ce pas? Pour ce qui concerne le retour à l'école de votre fils, le choix sera difficile, mais c'est évident que c'est Val qui décidera, et que vous accepterez sa décision, parce que c'est ce que vous êtes, et c'est une bonne chose. Pour ce qui concerne les affaires d'école de Jaime, il se peut que son école soit très ouverte aux questions de genre, et qu'il puisse y aller en fille. Vous pourriez lui montrer que c'est une bonne chose d'être une fille, par exemple en portant vous-même de la lingerie ou d'autres jolis vêtements. Vous devriez demander à val ce qu'elle en pense.

Tatie Helga

 

PREOCCUPE A PROPOS D'UN ENJUPONNAGE – CONCLUSION

Par Tom


(Suite à ma réponse et à mes conseils, Tom a parlé à sa femme à propos de l'enjuponnage de leur fils, et je suis sûre que vous apprécierez les suites de cette conversation)

Chère Tatie Helga,

Eh bien, je l'ai fait. La nuit dernière, une fois les enfants couchés, j'ai trouvé le courage de parler avec Val.

Avant même que je ne dise quoi que ce soit, elle m'a prévenu que si j'avais l'intention de me lamenter à propos de la féminisation de Jaime, elle ne voulait pas m'écouter. Je lui ai immédiatement dit que ce n'était pas mon intention, et au contraire, je voulais m'excuser pour avoir mis en doute son autorité ou ses décisions concernant Jaime. En fait, on pourrait dire que je l'ai suppliée de me pardonner, et je lui ai promis de ne plus jamais faire cela. Elle m'a répondu que c'était une bonne chose pour notre relation que j'ai décidé de m'excuser et de reconnaitre son autorité, parce qu'elle était de plus en plus furieuse que je n'aie pas été en accord avec elle à plusieurs occasions pendant la féminisation de Jaime.

Mais elle m'a aussi rabaissé, me disant que nous savions tous les deux à quel point je suis pathétique et faible, et en ajoutant que nous savions tous les deux qu'il n'y avait aucune chance que je puisse vraiment lui faire changer d'avis sur la féminisation de Jaime. Puis elle a ri en disant que la meilleure chose que je puisse faire pour Jaime serait de soutenir sa transition vers une vie de fille. Tout ce que j'ai pu lui dire en réponse a été "oui ma chérie".

Quand ensuite nous avons parlé de ce qui se passerait quand Jaime allait retourner à l'école, je lui ai dit que je me doutais qu'il y retournerait en tant que fille. La réponse de Val a été "mais bien sûr", et elle a ensuite expliqué qu'elle s'était déjà occupée de ce problème. Val est amie avec la principale de l'école, et elles ont parlé de Jaime. La principale lui a dit que cela ne serait pas un problème si Jaime venait en classe en tant que fille, et qu'en fait, il y avait au moins un autre garçon qui allait revenir à l'école en tant que fille. Elle a même ajouté qu'un troisième garçon avait été féminisé pendant la pandémie, et allait sans doute revenir à l'école en fille.

Je n'étais pas sûr de la manière d'aborder votre idée que cela pourrait aider Jaime si je commençais moi aussi à porter des petites culottes et des robes, mais il se trouve que je n'en ai pas eu besoin. Après avoir parlé de la situation à l'école, j'ai demandé à Val, en choisissant d'utiliser le ton le plus poli et respectueux possible, pourquoi elle avait décidé de féminiser Jaime. Je n'avais aucune intention de me confronter à elle par cette question, mais elle a mis Val en colère. Elle m'a dit, avec un ton d'exaspération, qu'elle pensait avoir déjà mis les choses au clair, et que je ne devais en aucun cas me mêler des décisions qu'elle prenait.

Sa colère m'a vraiment effrayé, et, en raison d'une grande fatigue provoquée par des insomnies, et d'un état émotionnel des plus fragiles, je crois que j'ai perdu toute contenance et j'ai commencé à pleurer et à la supplier de me pardonner, au point de tomber à ses pieds. Alors que je commençais à peine à me ressaisir, Val m'a dit que j'étais pathétique et que je manquais de virilité, et que j'avais perdu le droit de m'habiller comme un homme. Elle m'a alors dit de monter dans notre chambre et d'y enfiler l'une de ses petites culottes. Alors que je me relevais, elle a poursuivi en disant qu'elle allait m'acheter des petites culottes, et que désormais j'en porterais tout le temps, et qu'elle allait réfléchir à l'idée de me féminiser comme elle l'avait fait avec Jaime. Elle m'a bien fait comprendre que ce qui allait arriver allait être sa décision, quelle qu'elle soit.

Et c'est pourquoi, alors que je vous écris, je porte l'une des petites culottes de Val, et je suis très inquiet de ce que les prochaines semaines vont apporter. Mais je sais que je vais devoir être extrêmement docile et obéissant pour éviter un nouvel accès de colère de Val.

Tom

Merci d'avoir continue à me tenir informée de votre situation, et je suis heureuse de constater que vous avez suivi mes conseils. Vous avez beaucoup de chance d'avoir une femme si forte et si énergique, et en lui montrant le respect et l'obéissance qu'elle mérite, j'entrevois la chance d'une merveilleuse évolution dans votre famille, alors que vous et votre fils apprendrez à être au service des femmes qui contrôlent votre vie.

Tatie Helga

 

LA FEMINISATION DE MA FAMILLE

Par Val

Bonjour Helga,

Je suppose que mon mari Tom vous l'a dit, il y a quelques jours, il m'a montré l'échange de mails qu'il a eu avec vous à propos de la manière dont j'ai enjuponné et féminisé notre fils Jaime. En un sens, je pense que c'est très typique de Tom de rechercher des conseils sur ce que lui (un homme dont la femme habille leur fils en petites culottes, jupes et blouses, et qui semble vouloir féminiser le garçon et l'obliger à vivre comme une fille) devrait faire. Cela montre à quel point Tom est faible et manque de virilité. Plutôt que de prendre des décisions et de tenter de m'empêcher de faire porter des petites culottes à Jaime, il a simplement accepté toutes les décisions que j'ai prises. Pathétique. Et maintenant, Jaime vit en fille. Et cela résume bien ce qu'est Tom.

Comme Tom a fini par le comprendre, c'était depuis toujours mon objectif de féminiser complètement Jaime. J'étais fatiguée de devoir gérer son comportement de garçon, et donc il m'a semblé que, plus tôt je le ferais vivre en fille, le mieux ce serait. De cette manière, non seulement il ressemblera à une fille, mais il se sentira comme une fille, et il pensera en fille avant d'en arriver à l'âge où il devra commencer à prendre des hormones féminines afin de vivre une puberté de fille, et non de garçon.

Même si c'était mon objectif depuis le début, j'ai commencé lentement, en faisant porter des petites culottes à Jaime, parce que je n'étais pas sûre à cent pour cent de la manière dont Tom allait réagir en voyant notre fils enjuponné. Je n'aurais sans doute pas dû m'inquiéter, sachant que j'ai toujours dominé Tom, mais il y avait toujours un risque qu'il se ressaisisse et qu'il tente vraiment de m'arrêter. Mais comme vous le savez maintenant, il ne l'a pas fait. Une fois que Tom avait laissé passer l'étape des petites culottes pour Jaime, je savais que la suite allait être facile. Et c'était le cas. C'est à peine si Tom a dit quelque chose quand j'ai mis sa première robe à Jaime, et c'était juste pour le principe, car il savait que ma décision d'enjuponner et de féminiser Jaime était définitive.

En plus de la féminisation de Jaime, et de la soumission de Tom, et ce qui m'a vraiment fait plaisir, c'est de voir notre fille Jenny s'épanouir pour devenir une fille forte et autoritaire. Elle a vraiment commencé à assumer le rôle d'une figure faisant autorité dans la vie de Jaime, puis dans celle de Tom. C'est merveilleux de voir l'ascendant qu'elle a maintenant sur les deux, sans hésitation, et sachant que ce qu'elle leur demande de faire sera fait. Là aussi, je ne savais pas comment elle allait réagir en voyant son petit frère enjuponné, mais dès le début, j'ai compris qu'elle trouvait cette situation formidable, et elle a vraiment pris du plaisir à m'aider à transformer son frère en une petite "sœur" obéissante et soumise.

Je pense que cette expérience a préparé Jenny à s'adapter aussi rapidement à l'enjuponnage de Tom. Il y a quelques jours, quand Jenny et Jaime ont vu pour la première fois Tom en petite culotte, soutien-gorge, et robe, j'ai fait comprendre à tout le monde que Jenny avait désormais autorité sur Tom. Jenny a immédiatement commencé à traiter Tom comme son subordonné, comme quelqu'un qu'elle pouvait diriger et dominer, et Tom s'est soumis à l'autorité de Jenny. Par exemple, j'ai pris plaisir à les voir tous les deux alors que Jenny a ordonné à Tom de ranger sa chambre. Quand il est revenu, disant qu'il avait terminé, Jenny est allée inspecter son travail, et elle l'a vertement réprimandé parce qu'il n'avait pas rangé ses chaussures dans l'ordre exact qu'elle attendait. Tom s'est excusé, et a rectifié son erreur, promettant que cela n'allait plus se reproduire. Jenny lui a alors dit: "il y a intérêt!" Elle lui a alors dit que désormais, elle s'attendait à le voir faire une révérence à chaque fois qu'il entrait ou sortait d'une pièce dans laquelle elle se trouvait, et qu'il devait l'appeler "Mademoiselle Jenny". Tom a fait ce qu'elle exigeait, a fait sa révérence, et a dit qu'il avait compris.

Donc, maintenant, ma maisonnée se compose d'une femme, d'une fille, et de deux garçons enjuponnés et soumis! Je ne sais pas encore quand cela va se produire, mais je soupçonne que Tom sait déjà que le jour où il commencera un traitement hormonal n'est pas très éloigné. Après tout, il n'a jamais été un vrai mec, donc je pense que c'est un destin approprié pour lui, qu'en pensez-vous? Et je dois dire qu'à aucun moment, je ne regrette ma décision de féminiser Jaime, et le fait que Tom soit lui aussi enjuponné est une solution merveilleuse (en tous cas pour jenny et moi).

Merci d'avoir donné de si bons conseils à Tom!

Bien cordialement

Val


Merci pour votre lettre Val. Quelle approche autoritaire de l'enjuponnage pour votre mari soumis et pour votre fils, et quel merveilleux exemple pour Jenny. Comme nos lecteurs ont pu suivre cette évolution au travers des mails de Tom, je trouve que c'est une belle manière de montrer le point de vue opposé. Vous savez que nous apprécierons tous si vous nous donnez de vos nouvelles à l'avenir.

Tatie Helga

3 commentaires:

  1. cette histoire me plait enormement surtout la partie ou la fille prend l ascendant sur son pere d ailleur m etonne qu elle n est pas exige de son pere qu il soit habille en soubrette mais peut etre q une suite est prevue la je pense que ca le meriterai

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  2. Une petite fille de 10 ans ne sait peut-être pas ce qu'est une soubrette... :-)
    Il n'y aura malheureusement pas de suite: Comme dit, le site sur lequel ces "lettres" étaient publiées est fermé. A moins qu'un jour, les auteurs de ces lettres se retrouvent sur un nouveau site...

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  3. suis sur que sa maman ce serait fait un plaisir de lui explique et de ce que j ai lu meme a 10 ans elle sait deja ce qu est etre a son service donc je pense que ca seraitarrive naturellement assez vite :)

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