lundi 6 février 2017

Ma mère m'a transformé en fille (histoire traduite du Russe)

En surfant sur les sites d'histoires Russes en quête d'inspiration, je suis tombé plusieurs fois sur cette histoire, qui semble très populaire là-bas. Comme elle n'est pas trop longue, j'ai pris le temps de la traduire.




Ma mère m'a transformé en fille


 J'ai grandi modestement, j'étais un garçon tranquille et un bon élève à l'école, mais à cause de ma petite taille et ma nature timide, j'étais considéré comme un "mouton noir" et soumis à diverses provocations et humiliations de mes camarades de classe. J'étais sous la forte tutelle de ma mère, qui me couvait un peu trop et prenait soin de moi. Elle m'achetait tous mes vêtements, et m'imposait ses choix. Le choix de ma mère en matière de vêtements était souvent différent de celui que je trouvais approprié pour un garçon de mon âge. Habituellement je portais des vestes, des pantalons ridicules et laids, des affaires qui me donnaient une apparence de "nerd" et qui n'étaient pas du tout à la mode. Bien souvent, mes camarades de classe se moquaient de moi.


Un jour, quand j'avais 14 ans, je trouvais un paquet de collants dans mon armoire. C'était maman qui rangeait et pliait toujours soigneusement mes affaires dans mon armoire, mais elle n'y avait jamais rien rangé qui ne m'appartenait pas. Cette apparition de collants de ma mère me sembla donc étrange. Je demandais donc à maman pourquoi elle avait déposé ce paquet de collants dans mon armoire. Curieusement, elle sembla outrée par ma question:

"Je t'ai acheté un collant, qu'y a-t-il d'étrange à cela?"

"Mais, ce sont des collants!"

"Et alors? Ce sont des sous-vêtements chauds. Tu pourras les porter sous tes pantalons cet hiver pour ne pas geler dans le froid!"

La dernière fois que j'avais porté des collants, j'étais à l'école maternelle. Par la suite, comme pour tous les garçons, ce vêtement avait été banni de ma garde-robe. Je considérais le fait de porter des collants comme l'apanage des filles. Et pourtant, maman m'en avait acheté. C'était un collant opaque noir, que je devais porter à l'école sous mon pantalon. Au début, c'était étrange de me sentir emprisonné et serré dans ce collant, mais je finis par m'y habituer. Il me semble que personne dans l'école n'avait remarqué ce que je portais un collant, bien que parfois, quand j'étais assis, le bas de mon pantalon remontait bien haut. J'observais que beaucoup de filles de ma classe portaient des collants, et je me sentais soudain plus proche d'elles. La seule différence est qu'elles découvraient leurs jambes en portant des jupes, tandis que je portais un pantalon.

Peu à peu, de nouveaux emballages de collants apparaissaient dans mon armoire. Maman m'en achetait régulièrement, même si je n'avais pas abimé les anciens. Au bout d'un moment, je vis apparaitre des collants de différentes couleurs, même des blancs et des roses. Ces couleurs étaient bien trop féminines pour moi, mais rien n'y faisait, je devais les porter. Au bout de deux mois, je m'étais habitué, puis un jour, en ouvrant mon armoire, j'y trouvai une petite culotte blanche bordée de dentelle. En la voyant, je commençais par sourire, pensant que ma mère l'avait posée là par erreur, mais quand je lui posai la question, elle me répondit qu'elle l'avait achetée pour moi:

"C'est l'hiver, tu portes bien des collants pour avoir bien chaud? Et il faut bien que tu portes une culotte pour couvrir tes parties génitales. Il n'y avait plus de slip de garçon, alors je t'ai acheté ça!"

"Mais les autres garçons ne porteraient jamais ça!"

"Je ne me soucie pas de ce que font les autres. S'ils veulent geler, laissons les geler! Tu es mon fils, et tu porteras ce que je te dirais!"

C'était inutile de discuter, et le lendemain, je suis allé à l'école vêtu de collants et d'une petite culotte de femme sous mon pantalon. Personne ne pouvait le remarquer, mais j'étais très perturbé… Au moins, ma mère m'avait fait dispenser des cours d'éducation physique en raison de ma faiblesse. Je n'avais donc pas à me changer devant tout le monde. Oui, j'étais petit et faible, et quand on m'agressait dans la cour de récréation, j'étais incapable de me défendre et je pleurais quand quelqu'un me frappait.


Après un certain temps, ma mère m'acheta un autre article féminin. C'était une chemise de nuit transparente avec de la dentelle sur la poitrine et sur les bords. Bien sûr, avant de l'essayer pour la première fois, je me plaignais auprès de maman,  mais elle me répliqua:

"Elle est jolie cette chemise de nuit! Et puis c'est plus pratique qu'un pyjama!"

"Mais c'est pour les filles!"

"Et alors? Tu portes bien des collants et des petites culottes, alors pourquoi pas une chemise de nuit? Tu devrais essayer de dormir avec avant de te plaindre. Tu verras comme c'est agréable!"

Ainsi, ma mère m'avait  convaincu d'essayer. J'enfilais donc la chemise de nuit juste avant d'aller au lit. Ma mère vint dans ma chambre pour contrôler que je la portais bien. En m'embrassant sur la joue, elle me dit:

"Tu vois? C'est très agréable! Dors bien mon petit!"

Oui, en dépit de mes 14 ans, ma mère me traitait encore avec beaucoup de tendresse, comme un petit enfant. Je dois avouer que c'était très agréable, ainsi que de porter cette chemise de nuit pour dormir. Elle devint donc mon vêtement habituel pour dormir.


Ma mère me disait qu'elle m'avait acheté des collants pour le froid. Avec l'arrivée du printemps, j'espérais donc logiquement cesser d'en porter. Enfin j'allais porter mes pantalons sur mes jambes nues.

Et pourtant, avec les premiers jours de beau temps, je trouvais dans mon armoire un emballage de collants fins, comme ceux que les filles portent durant les beaux jours. Une fois de plus, j'allais voir maman pour comprendre:

"Maman, pourquoi, tu as acheté ces collants? Ils ne protègent pas contre le froid, et n'ont aucun effet, sauf pour rendre les jambes des filles plus jolies."

"Au printemps, toutes les filles portent ce genre de collant, alors je t'en ai acheté!"

"Mais je ne suis pas une fille!"

"Pourtant, tu portes des sous-vêtements de fille depuis des mois. Où est la différence?"
Une partie de moi résistait et me soufflait de rester un garçon normal et de jeter tous ces trucs de fille, pourtant, une autre partie de moi était excitée à l'idée d'enfiler un accessoire aussi féminin. Je ne sais pas comment ma mère avait découvert que cela pouvait me plaire, mais j'acceptais en ressentant une jouissance secrète de porter ces collants fins, avec des petites culottes de fille, qui avaient fini par remplacer complètement mes anciens slips de garçon.

Le plus humiliant fut l'apparition dans mon armoire d'un soutien-gorge. Cette fois, maman ne put pas m'expliquer clairement pourquoi je devais porter un soutien-gorge alors que je n'avais pas de seins, mais elle me força à le mettre. Cette fois, je ne comprenais pas ce qui lui prenait, mais deux mois plus tard, je remarquai que mes seins commençaient à pousser. Je n'en comprenais pas la raison. Début septembre, au commencement de la nouvelle année scolaire, mes seins avaient augmenté à un point tel que j'avais des difficultés à les cacher. Je ne pouvais plus me passer d'un soutien-gorge. Naturellement, cela causait beaucoup de confusion pour moi. Je demandais à ma mère ce qui m'arrivait, mais elle disait comme si cela était naturel que je devais devenir progressivement une fille, et que c'était pour mon propre bien.

Dans un premier temps, à l'école je portais de larges pulls ou chandails pour cacher ma poitrine, mais beaucoup de gens voyaient que j'avais changé de manière étrange. Ma voix et mes manières étaient devenues plus proches de celles d'une jeune fille.

Un jour, un camarade de classe remarqua que je portais un soutien-gorge sous mon pull. Il vit une bosse formée par une sangle, et il tira dessus en riant. Je compris que mon secret avait été révélé au grand jour...


Par la suite, tous les garçons m'appelaient "la tapette", et certains me brutalisaient. Impuissant face à leurs brimades, je pleurais comme une fille. Je commençais à chercher mon salut parmi les filles de l'école. Seules quelques filles semblaient me comprendre, me soutenir et m'accepter comme ami. Après quelques mois, le volume de mes seins avait augmenté encore plus, et même mes pulls les plus amples ne m'aidaient plus à cacher ma poitrine des autres. Puis, un jour, ma mère me défendit de continuer à porter mes hauts habituels, et m'acheta une blouse jaune moulante de fille, pour remplacer mes vieux pulls de garçon. Quand je me vis dans le miroir avec les deux bosses qui étaient désormais impossibles à dissimuler, je pleurais à l'idée d'aller ainsi à l'école. Mais je n'avais pas le choix. Le lendemain, à l'école, je devais avoir l'air d'une petite fille effrayée. Ce fut difficile de supporter de me sentir aussi ridicule, mais petit à petit, la plupart des gens commencèrent à s'habituer à mon apparence de demi-garçon, demie-fille.


Les enseignants, eux aussi, me traitèrent très négativement dans un premier temps et convoquèrent même mes parents à l'école (ou plutôt ma mère qui m'avait élevé seule, après la mort de mon père quand j'étais petit). Ma mère assura aux enseignants que tout était normal, que je souffrais d'une maladie rare qui me féminisait peu à peu. Elle réussit même à les persuader de me traiter avec douceur et de me suivre plus étroitement. Ainsi peu à peu l'attitude de tout le monde vis-à-vis de moi s'adoucit. Après un certain temps, prenant exemple sur mes amies filles, j'essayais de me maquiller. Ma mère vint à mon aide en m'achetant un nécessaire de maquillage et en me montrant comment m'en servir. Désormais, je n'allais plus à l'école sans être pomponné.


Progressivement, je me mis à ne porter que des vêtements féminins. Enhardi par mes amies, je commençais à porter une jupe à l'école, avec des bas, des chaussures à talons hauts, un joli chemisier... Rapidement après cela, j'abandonnais mes dernières affaires de garçon pour ne porter que des robes. J'allais dans un salon de beauté pour me faire faire une belle coiffure. Ainsi commença ma vie de jeune fille. Ce n'est que plus tard que j'appris que ma mère m'avait secrètement fait prendre des hormones féminines, c'est pourquoi ma poitrine s'était développée, mon apparence s'était féminisée, et ma voix avait changé. Maman pensait que ce serait mieux, pour elle et pour moi. Elle avait toujours souhaité que je sois une fille, que j'aurais eu trop de difficultés à vivre comme un homme avec ma faiblesse de caractère.

Avait-elle raison? Au moins, maintenant, je suis résignée à être désormais une fille, et je commence à découvrir les avantages d'une vie de femme...

8 commentaires:

  1. Comme il a eu de la chance ce petit garçon, j'aurais bien aimé être à sa place.C'est moi qui m'achète toute cette lingerie pour la porter souvent en cachete.

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  2. J'aurais bien aimé prendre ça placr

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  3. Quel chanceux ce petit garçon d'avoir pu devenir une fille!!! Moi aussi j'aimerais que ça m'arrive!!!

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  4. Voila une autre histoire de deux femnisations, l'une consentie, l'autre un peu forcee. Une mere divorcee et forte de caractere avait deux fils; l'un de 12 ans effemine, l'aine de 15 ans de comportement macho mais apparement; il prenait ce comportement pour se moquer de son frere. La mere ne pouvait pas supporter cet antagonisme. Elle feminisa progressivement le cadet, en lui faisant porter jupes et robes et autres sous vetemens feminins, et en lui faisant prendre des hormones sans qu'il l'ignore. Le second en revanche prit les hormones a son insu et sa castration chimique fut rapide; ensuite les seins lui apparurent, les hanches prirent une autre forme, la peau plus douce, bref malgre ses pleurs et crises de rage initiales, il se feminisa et l'accepta par obligation car il savait que son changement etait irreverssible. Trois ans apres ce fut l'operation de changement de sexe pour les deux. Evidement pendant cette periode de transformation, ils n'allaient pas a l'ecole car la societe ne l'aurait pas accepte, mais ils recevait un enseignement de qualite pas des professeures qualifiees et vivaient dans un milieu feminin et tolerant. Les ressources financieres de la mere le permettaient. Une fois transsexues, les deux soeurs firent d'excellentes etudes superieures, furent bien amies, et surtout l'aine a remercie sa mere d'avoir ete "dure" avec lui.

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  5. Merci pour cette histoire. Quelle en est la source? Est-ce une histoire que vous avez inventée? Est-ce une histoire dont vous avez entendu parler?
    Elle me fait penser à l'histoire des deux soeurs que j'ai évoquée dans "fantasmes ou réalité? 38"

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  6. super histoire qui manque d'une suite!!!

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  7. Il a eu beaucoup de chance bien qu'il n'en soit pas conscient, j'aurais bien aimé être à sa place. C'est moi qui m'achète toute cette lingerie (via le Net sur des sites pour sissys) pour la porter

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