Rose pour les garçons: septembre 2020

dimanche 27 septembre 2020

Indispensable Knight

Version originale sur:
http://knightstgcaps.blogspot.fr/

samedi 26 septembre 2020

Amy et Joanne (1)

Sur divers forums, sites de rencontres et réseaux sociaux, je suis tombé par hasard sur des petits bouts d'histoires qui se ressemblaient. En y prêtant un peu plus d'attention, j'ai compris que ces petits textes disséminés sur la toile racontaient la vie d'une personne: un garçon prénommé Scott, devenu progressivement Amy sous l'influence de son entourage.

Depuis quelques mois, j'ai commencé à compiler tous ces témoignages et je crois que réunis, ces petits bouts de vie racontent une histoire cohérente.

Commençons par l'enfance et l'adolescence d'Amy.

Sarah (l'une des sœurs d'Amy):

Quand nous étions petits, ma sœur et moi déguisions constamment notre petit frère en fille. Il en arriva au point où cela était devenu naturel pour lui de porter des vêtements de fille et de se comporter comme une fille. A 14 ans, il s'est fait percer les oreilles, et il a commencé à teindre ou décolorer ses cheveux à 15 ans. A la fin de ses années de collège (high school) il était très androgyne, avec un côté féminin très prononcé. Il a alors débuté une école d'esthétique et a rencontré celle qui allait devenir sa femme. Par la suite, il a achevé sa transition.

Amy:

Pour moi, tout avait commencé comme un jeu. Mes sœurs me déguisaient en fille. Elles voyaient, comme ma mère, combien je me sentais bien dans ce rôle. Je n'avais pas de figure paternelle à laquelle m'identifier en grandissant. Mes sœurs sont devenues mes modèles. Ma mère et mes sœurs m'encouragèrent à explorer mon côté féminin.

Sarah (un extrait d'un autre de ses témoignages)

Ma sœur et moi, avec l'accord de notre mère, avons habillé notre petit frère en fille tout le temps. Progressivement c'est devenu une seconde nature pour lui, et il portait même des dessous féminins.

Amy:

Je crois que j'étais destinée à être une fille, même si ma mère et mes sœurs l'ont compris avant moi. J'ai commencé à porter des robes vers 4 ou 5 ans. Je me suis fait boucler mes cheveux pour la première fois à 10 ans, et j'ai donc gardé un look androgyne pendant toutes mes années de collège.

Amy:

Mes sœurs m'ont fait porter des robes depuis que j'étais très jeune. Ce n'était pas traumatisant pour moi parce que j'étais bien accepté par mes amis et ma famille. Souvent, j'ai été invité à faire les magasins, par mes sœurs, ou par des amies. Dans ces moments là, je portais souvent une jupe ou une robe. J'ai donc assez jeune commencé à me raser les jambes.

Amy:

Tout petit, je suis tombé dans la féminité. J'étais constamment entouré de filles et de femmes. En y repensant, je me dis que c'était ce qui pouvait m'arriver de mieux. Quand j'étais habillé en Amy, on ne m'autorisait pas à me comporter en garçon, pas même en garçon efféminé. Ainsi, c'est devenu naturel pour moi de me comporter en fille.

Amy:

J'ai rasé mes jambes pour la première fois quand j'avais 14 ans. Je détestais voir les poils apparaitre sur mes jambes, et j'en ai parlé à ma petite amie de l'époque, Diane. Elle, avec l'aide de ma sœur Jennifer, m'a entrainé dans la salle de bain pour me montrer comment raser mes jambes. J'étais nerveux et excité. J'ai réussi à me raser complètement les jambes sans me couper. J'ai adoré voir et sentir mes jambes sans aucun poil. Quelques jours plus tard, je me suis à nouveau rasé les jambes, et la troisième fois, j'ai commencé à comprendre quels efforts étaient nécessaires pour garder des jambes lisses.

Jennifer avait un appareil d'épilation à la cire, et elle m'a persuadé d'essayer. C'était un peu moins douloureux que je ne le croyais. J'étais très satisfait parce que deux semaines plus tard, mes poils n'avaient pas encore repoussé. Trois semaines plus tard, Jennifer m'a à nouveau épilé à la cire, et cette fois, elle m'a poussé à accepter l'épilation de mes aisselles, ce qui a été terriblement douloureux.

Depuis, je n'ai jamais cessé de m'épiler. Aujourd'hui, 15 ans plus tard, je n'ai besoin de m'épiler que toutes les six semaines.

Amy:

Je ne peux me souvenir de la première fois où j'ai été habillé en fille. L'année de mes 15 ans, beaucoup de choses ont changé pour moi. Avant cela, je passais beaucoup de mes week-ends et parfois mes vacances en Amy. Une de mes amies, Mary, avec l'aide de mes sœurs, m'a poussé à porter un soutien-gorge sous mes vêtements, y compris à l'école.

J'allais en général à l'école à pieds avec Mary et ma sœur Jennifer. Maman était déjà partie à son travail, et quand Mary s'arrêta chez moi, elle me dit: "Amusons-nous". Elle m'a entrainé dans ma chambre, a sorti l'un des soutiens gorges que je portais parfois, et m'a dit de l'enfiler. Ce n'était pas la première fois que je portais un soutien-gorge en public, mais c'était la première fois à l'école.

J'ai vite oublié que je portais un soutien-gorge sous mes vêtements. J'ignore si quelqu'un l'a remarqué, personne n'a fait la moindre remarque. J'ai donc commencé à porter un soutien-gorge tous les jours, sauf quand nous avions cours de sport.

Amy:

Pour mes 15 ans, ma sœur et ma petite amie m'ont entrainé chez "Victoria Secret" pour m'offrir mon premier véritable ensemble de lingerie. J'avais porté des petites culottes et des soutiens gorges avant cela, mais c'étaient des anciennes affaires de mes sœurs. Je n'avais jamais eu de lingerie à moi avant cela. Une semaine plus tard, nous en avons acheté d'autres, et je n'ai jamais cessé d'en porter depuis.

Amy:

Je n'avais bien sûr pas la nécessité de porter un soutien-gorge, mais je me sentais bien avec. A l'âge de 16 ans, je portais un soutien-gorge pratiquement tous les jours. Progressivement, j'assumais de plus en plus, et je ne dissimulais plus autant que je portais un soutien-gorge sous mes vêtements. Mes seules amies étaient des filles, et elles ne mirent pas longtemps à réaliser que j'en portais un. Progressivement, elles m'ont poussé à les rembourrer pour donner du volume, et à porter des hauts plus moulants.

Amy:

En grandissant, mes sœurs m'avaient souvent maquillé, mais je n'avais jamais été maquillé en public. A l'âge de 15 ans, ma petite amie et ma sœur m'ont poussé à porter de l'eye liner à l'école. Personne ne fit la moindre remarque. J'ai alors commencé à me maquiller plus souvent. Vers 18 ans, je me maquillais tous les jours, même si cela restait discret.

Amy:

Quand j'avais 15 ans, c'était devenu acceptable pour les garçons de porter des boucles d'oreilles. Mes sœurs Sarah et Jennifer m'ont alors persuadé de me faire percer les oreilles. J'ai vite adoré porter des boucles d'oreilles.

Bientôt d'autres témoignages d'Amy et de son entourage.

Nous découvrirons aussi dans un épisode futur le beau-frère d'Amy, qui allait devenir la belle Joanne…