Suite et fin de l'histoire débutée il y a quelques jours:
Chapitre 1
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Chapitre 2
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Chapitre3
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Les regrets d'Alex – chapitre 4
Les quelques semaines suivantes se déroulèrent sans incident. Alex faisait de son mieux pour bien se comporter, et de manière aussi féminine que possible, toujours dans l'espoir que sa mère décide finalement de le laisser reprendre sa vie de garçon. Mme Guthridge, quant à elle, ne faisait que peu d'allusions à l'éventuelle fin de son enjuponnage, sauf les quelques fois où elle rappelait à Alex que, plus il se montrerait féminin, plus vite sa période en jupes allait se terminer.
Ce qui inquiétait davantage Alex était le fait qu'on ne lui permettait pas de rendre visite, ou même de parler à son ami Richard/Becky. Sa mère lui expliquait que ce n'était pas le bon moment pour voir Richard – que la mère de Richard travaillait dur à sa féminisation, et qu'il valait mieux attendre que Richard ait progressé avant de "la" revoir. Alex avait bien compris que la mère de Richard n'avait pas l'intention de le laisser redevenir un garçon, et chaque jour qui passait, il s'inquiétait de plus en plus que sa mère avait des projets similaires pour lui. Il savait qu'il était dans une situation inextricable. S'il devait oser parler à sa mère de ses soupçons sur le fait qu'elle souhaitait le féminiser pour toujours, ou s'il devait tenter de se comporter de manière plus masculine, il savait que cela ne ferait qu'empirer encore plus les choses, et qu'il serait alors féminisé en permanence. Son seul espoir d'éviter cette destinée était de se comporter volontairement de manière totalement féminine pour plaire à sa mère. Malheureusement, alors qu'il s'habituait à être traité comme une fille, sa mère faisait des réflexions qui l'inquiétaient de plus en plus – des commentaires comme "Oh quel dommage que tu doives redevenir un garçon" ou "tu sais, tu es vraiment très jolie et douce, alors je me dis que peut-être, tu aurais dû naitre fille."
Malgré tout, Alex restait déterminé à trouver le courage de confronter sa mère à propos de sa promesse d'en finir avec son enjuponnage s'il se montrait suffisamment féminin. Finalement, un peu plus de trois semaines après leur visite chez Richard/Becky, Alex osa enfin tenter de parler à sa mère – sans chercher la confrontation, mais de la manière la plus douce et polie possible. "Maman," dit-il, juste avant d'aller se coucher un soir (il savait combien sa mère le trouvait mignon dans sa nuisette de couleur baby blue, et il espérait que cela l'aiderait à se faire entendre), "je, comme tu sais, je voudrais… "
"Oui Alex," réagit sa mère, "dis-moi ce que tu veux me dire. A moins que tu ne veuilles parler de la fin de ton enjuponnage. S'il s'agit de ça – oublie. Tu connais mes sentiments à ce propos. Tes progrès me font plaisir, mais ta punition cessera uniquement quand je le déciderais, et pas avant."
La discussion était terminée avant même de débuter. Alex était sans aucun doute devenu une véritable chochotte, car il ne trouva pas le courage d'ajouter quoi que ce soit. Mme Guthridge embrassa son fils, lui dit combien il était mignon dans sa nuisette, puis lui demanda de régler son réveil une demi-heure avant l'horaire habituel.
Le lendemain matin, Alex se leva tôt, pris sa douche, brossa ses cheveux, puis s'habilla avec une petite culotte, des bas et un porte-jarretelles, des sandales à talons hauts, une petite jupe plissée, et un pull angora très doux. Il prit soin de se maquiller soigneusement, et de retoucher le vernis de ses ongles avant de se présenter devant sa mère pour l'inspection de sa tenue – comme il le faisait chaque matin. Elle lui donna un B+ pour son apparence, et lui dit qu'ils avaient un rendez-vous. Quand Alex demanda où ils allaient, sa mère lui répondit simplement qu'il verrait.
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La mère et le fils féminisé s'installèrent à bord de la voiture, puis prirent la route. Après quelques minutes de route, alors qu'ils se garaient, Alex reconnut l'immeuble qui abritait le cabinet d'une des meilleures amies de Mme Guthridge, une gynécologue bien connue. Ils entrèrent, furent accueillis et dirigés vers la salle d'attente. Quand on les appela, Alex fut surpris de devoir accompagner sa mère dans le cabinet de consultation. Il sentait que cette situation était étrange, mais il ne comprenait pas en quoi.
"Donc, voici donc ton fils." Dit le docteur Katherine Rose, quand elle accueillit Alex et sa mère. "Tu as fait du beau travail. Franchement, je n'aurais jamais suspecté que cette fille soit un garçon. Bien, jeune homme, installez-vous dans ce fauteuil, et placez vos pieds dans ces étriers, que je puisse vous examiner."
Alors qu'Alex s'installait maladroitement sur le fauteuil, le docteur Rose poursuivait sa conversation avec Mme Guthridge. "Oh, au fait," dit-elle, "ton amie Mme Anderson est passée avec sa fille Becky il y a quelques semaines. Becky est tellement adorable. Nous avons débuté son traitement le jour-même, et elle va revenir dans quelques jours pour d'autres procédures. Je lui ai posée ses premiers petits implants vendredi dernier. Voudrais-tu voir de quoi elle a l'air?"
"Tu sais," dit Mme Guthridge en riant, "Mme Anderson a toujours voulu que Richard passe avant Alex, alors je en suis pas vraiment surprise qu'elle ait agi aussi rapidement dès qu'elle avait décidé de féminiser son fils. Mais si tu as des photos, j'adorerais les voir."
Le docteur Rose montra à la mère d'Alex une série de photos de Becky qui dataient de la veille. Richard/Becky portait une jupe et un collant, mais le haut de son corps était entièrement nu. La première photo montrait Becky de face, debout, et la seconde la montrait de profil, un peu penchée en avant. Même si les seins de Richard/Becky n'étaient pas très gros, on ne pouvait pas douter qu'il s'agissait bien d'une poitrine féminine. "La mère de Richard souhaiterait un jour qu'ils soient plus gros, mais pour l'instant, ils remplissent honorablement un bonnet B." Précisa le docteur Rose. "Nous devons attendre quelques mois, le temps que la nature fasse son travail avant de poser de nouveaux implants. En fait, je trouve qu'elle est déjà si jolie avec ses seins actuels que j'ai suggéré à Mme Anderson d'en rester là, mais elle semble déterminée à voir Richard avec un bonnet D d'ici la fin de son traitement."
"Eh bien" dit Mme Guthridge en riant, "je suis sûre que Becky attire déjà tous les regards avec cette silhouette! Je vais devoir demander à Mme Anderson comment elle protège Becky des garçons."
"Je n'ai pas l'impression qu'elle la protège beaucoup." Répondit le docteur Rose. "Mme Anderson m'a dit que l'ex- petite amie de Richard était en ville la semaine dernière, et qu'elle avait arrangé un double rendez-vous avec Becky. Apparemment, tout s'est bien passé selon Mme Anderson. Mais elle a précisé que quand elle est sortie, Becky portait un soutien-gorge sous son pull, mais à son retour, elle n'avait plus son soutien-gorge. Qui sait ce qui s'est passé – et quoi d'autre a été retiré!"
Alex, bien sûr, entendait tout cela. Il se sentait mal pour son ami, mais surtout, il commençait à être très inquiet de ce qui allait lui arriver, mais il savait qu'il ne pouvait pas désobéir. Avec obéissance, il s'était installé dans le fauteuil, et après avoir retiré ses sandales, il avait glissé ses pieds dans les étriers. Le docteur Rose releva la jupe d'Alex, baissa sa culotte, et commença à examiner ses parties génitales. Elle palpa son pénis, fit rouler ses testicules entre ses doigts, et avec un gant en latex, elle examina et passa le doigt sur son anus. Alex n'avait jamais vécu une telle situation, et il ressentait un mélange de honte et d'anxiété. La mère d'Alex observait toute la procédure à quelques pas de là. Le docteur Rose s'éloigna un instant, puis alors qu'Alex commençait à se détendre, pensant que c'était fini, elle revint vers lui en enduisant ses gants d'une substance grasse. Pour la première fois depuis qu'elle avait commencé à l'examiner, le docteur Rose s'adressa à Alex. "Relaxez-vous," dit-elle, "ça ne va pas vous faire mal – si vous restez détendu. Je dois introduire mes doigts dans votre derrière, pour évaluer ce que vous ressentez."
Alex ferma les yeux, essayant de se détendre, mais il se tendait progressivement, au fur et à mesure qu'un, puis deux, puis trois doigts s'introduisaient dans son fondement. Le docteur Rose continua longuement à explorer l'anus d'Alex de ses doigts.
Finalement, le docteur Rose retira sa main, nettoya l'anus d'Alex avec une lingette stérile, puis remis sa petite culotte en place. Par contre, elle ne fit pas le moindre signe pour dire à Alex qu'il pouvait se lever.
"Bien, il me semble que tout est parfait." Dit le docteur Rose à la mère d'Alex. "Allons-nous débuter le traitement hormonal dès aujourd'hui?"
Alex mit plusieurs longues secondes avant de réaliser ce que le docteur Rose venait de dire. Quand enfin il comprit, même si ses pieds étaient encore dans les étriers, il commença à essayer de se relever et, dans un hurlement désespéré "QUOI! NON! Tu ne peux pas faire ça. J'ai été gentil. Je t'en prie." Supplia-t-il en regardant sa mère. "Tu as dit que si je me comportais de manière suffisamment féminine, tu me laisserais redevenir un garçon. Je t'en prie. Tu as promis."
"Eh bien," réagit la mère d'Alex, "on dirait que les choses ne se déroulent pas exactement comme tu l'espérais. Tu t'es très bien comporté en fille, et je ne veux pas que cela s'arrête. Donc, si tu dois continuer à vivre en fille, ce sera bien mieux avec un corps féminisé. Il va falloir qu'on voie plus de formes sur ton corps – des hanches plus larges, une taille plus fine, et des seins. On va te faire porter un corset, ce qui va t'aider, et bien sûr te faire poser des implants mammaires, mais si j'en crois le docteur Rose, les hormones sont la clé pour que tout se développe proprement."
"Mais maman, non, je t'en prie." Supplia encore Alex. "Je t'en prie."
Le docteur Rose interrompit cet étrange dialogue. Elle semblait irritée par la tournure des événements. "Il va devoir cesser de se plaindre ainsi." Dit-elle à la mère d'Alex. "En fait, comme je l'ai mentionné au téléphone, il va devoir signer un consentement pour dire qu'il souhaite subir le traitement de féminisation."
"JE NE SIGNERAIS RIEN!" Clama fermement Alex – montrant soudainement bien plus de courage et d'obstination qu'il n'en avait montrés depuis le début de sa punition.
A cet instant, la mère d'Alex rougit de colère. Mais elle parvint à contrôler le son de sa voix pour dire le plus calmement possible au docteur Rose. "Tu veux bien nous excuser pour quelques minutes, Katharine. Je dois parler avec mon fils. Quand tu reviendras, je peux t'assurer qu'Alex en aura fini avec son comportement puéril, et qu'il demandera poliment à signer les papiers pour commencer son traitement."
A peine le docteur Rose avait-elle quitté la salle, Mme Guthridge se tourna vers son fils. Alex était toujours assis, avec les jambes en l'air dans les étriers, une position qui le rendait encore plus vulnérable que d'habitude. Il était à la fois en colère et terrifié de ce qui se passait, et quand il vit sa mère lui faire face, il sut qu'elle était furieuse.
"Comment oses-tu me défier ainsi." Hurla-t-elle. "Comment oses-tu. Après tous ces efforts récents pour améliorer ton comportement, et comment est-ce que tu me remercies? En m'humiliant devant une amie. En me désobéissant. En me donnant une leçon. Et veux-tu savoir de quelle leçon il s'agit? Cette leçon m'a appris qu'il était illusoire de penser qu'il existait une chance que tu sois un jour un bon garçon. C'était idiot de ma part de croire que je pourrais parvenir à te guérir de tes bas instincts de mâle en te faisant prendre des hormones. Tu savais que ton ami Richard a accepté son traitement sans discuter? Qu'il a remercié sa maman pour l'avoir aidé à devenir une bonne fille? Tu savais que Mme Anderson avait prévu pour Becky une transformation complète à 100%, et que Richard avait accepté cela aussi? Mme Anderson m'a dit que quand elle avait informé Richard qu'elle estimait que 'Becky' devait avoir un vagin, il lui avait répondu que si c'était ce qu'elle voulait, alors il acceptait de se faire opérer."
Alex restait là, abasourdi. Il ne savait pas quoi dire - et était dans un tel état de choc qu'il était de toute façon incapable de dire quoi que ce soit.
Mme Guthridge passa la main sous la jupe d'Alex, et prit dans sa main ses parties génitales. "Alors- qu'est-ce qu'on fait?" Demanda-t-elle. "J'avais prévu de te laisser garder ça." En disant cela, elle comprimait fortement son entrejambe, et Alex laissa échapper un gémissement. "Mais maintenant, je n'en suis plus sûre. Peut-être que je devrais faire comme Mme Anderson, te féminiser là aussi, et ne pas me contenter de te donner des seins. Alors, qu'en dis-tu? On va jusqu'à l'opération, ou bien tu préfères être un bon garçon et accepter le traitement hormonal et les implants?"
Alors que Mme Guthridge regardait son fils dans les yeux, il commença à pleurer – en partie à cause de la douleur, mais surtout à cause du traumatisme émotionnel qu'il ressentait à cet instant. "Eh bien, réponds, mon cœur." Poursuivit Mme Guthridge, avec un ton bien plus accommodant dans sa voix. "Le docteur Rose va revenir dans un instant. Si tu ne dis rien, je vais supposer que tu veux suivre la même voie que Becky, et que tu veux que ces trucs…" A cet instant, elle comprima à nouveau fermement les testicules de son fils, "… soient transformés en quelque chose de bien plus mignon et féminin entre tes jambes."
Entre deux sanglots, Alex parvint enfin à dire quelque chose. "Oh maman, je t'en prie. Je… je ferais ce que tu voudras. Je suis désolé. C'est juste que, je croyais encore que je pourrais redevenir un garçon. Mais si tu veux que je reste une fille, c'est ce que je ferais. Je vais signer les papiers. Je t'en prie. Je veux garder ma… S'il-te-plait. Je prendrais les hormones. Et j'accepte les implants. Je… j'ai envie d'avoir de jolis seins. C'est vraiment ce que je veux. Je… je veux être jolie et féminine. Je veux être une fille. C… comme toi. Je…je sais que je peux être la fille que tu veux avoir. Je ne veux plus jamais être un garçon, et je ne veux pas que tu sois fâchée contre moi. Je suis désolé de tout ce que je t'ai dit. Je ne voulais pas t'embarrasser. Tu sais que je ne veux pas que tu sois en colère contre moi. Je t'en prie."
Mme Guthridge sourit à son fils, comprima une dernière fois brièvement son entrejambe, puis relâcha sa prise pour se diriger vers la porte et rappeler le docteur.
"Je crois qu'Alex a compris ce qui est le mieux pour lui." Dit Mme Guthridge au docteur Rose avec un petit rire. "Alex, dis au docteur ce que tu m'as dit – tu sais – la partie où tu as dit que tu voulais être comme moi."
Alex arrêta de pleurer, puis son regard passa alternativement de sa mère au docteur, puis du docteur à sa mère. En fait, pour la première fois depuis leur arrivée au cabinet médical, il fit un petit sourire timide – il était déconcerté de ce qu'il s'apprêtait à dire, mais en même temps soulagé après ce renoncement. "Je… j'ai dit que je voulais être jolie et féminine comme maman. Je… je veux être une fille pour pouvoir lui ressembler. Je veux être une bonne fille, pour qu'elle soit fière de moi." Dit-il à voix basse.
Le docteur Rose put voir que son amie Mme Guthridge était ravie de cette annonce. Elle considérait qu'Alex était passé de la peur de subir une féminisation forcée à la volonté d'être féminisé pour recevoir l'amour et l'admiration de sa mère.
Le docteur Rose sourit. "Bien – Alex, voilà le formulaire. Il suffit de signer ici. Ce papier permet de dire que vous vous considérez comme une fille enfermée dans le corps d'un garçon, et que vous demandez à subir un traitement pour vous transformer physiquement en femme."
Alex regarda sa mère, qui fit un signe de la tête en désignant le papier. Alex signa.
"Maintenant, nous allons choisir un nouveau look pour vous, Alex. Voici quelques photos de seins. Ils sont tous très différents, vous savez. On peut les rendre plus gros, ou plus petits, ou leur donner une forme différente –avec un téton un peu plus haut par exemple. Qu'en pensez-vous? Y-at-il une forme que vous, et votre mère préférez?"
Alex regarda les photos. Il avait du mal à réaliser que dans quelque temps, sa poitrine allait ressembler à ça. "Je… je ne sais pas." Finit-il par dire. "Je crois que je voudrais ce que maman aime le mieux."
Mme Guthridge sourit. "Oh, mais que c'est délicat de ta part, Alex." Dit-elle. Puis, en regardant les photos, elle prit rapidement une décision – des seins assez épais, avec de larges tétons. "Oh, tu vas être adorable. Je suis impatiente de me débarrasser de tes faux seins. Je suis sûre que tu vas adorer ta nouvelle apparence, mon cœur."
"Euh… est-ce que je peux me lever, maintenant, s'il-vous-plait?" demanda Alex aussi poliment que possible (il était toujours dans le fauteuil avec ses pieds dans les étriers).
"Encore un moment, ma chère." Répondit le docteur Rose. "Je dois encore vous prendre un échantillon de sperme. Je ferais cela à chaque fois que vous viendrez. Cela permet de suivre les effets des hormones."
Alex ne savait pas comment réagir. Ce n'était pas comme s'il ne voulait pas donner son sperme, mais le docteur en parlait de manière si froidement médicale, comme si cela était la même chose qu'un échantillon de salive, ou une prise de sang. De plus, sa mère était là. Il regarda le docteur enfiler une nouvelle paire de gants chirurgicaux. Puis elle fit le tour du fauteuil pour se placer du côté opposé, avant de remonter complètement sa jupe sur sa poitrine, et de commencer à le masturber. Pendant tout ce temps, elle poursuivait le plus naturellement du monde sa conversation avec Mme Guthridge.
"Au fait," dit le docteur Rose à Mme Guthridge, qui se tenait de l'autre côté du fauteuil, observant la procédure appliquée à son fils, "est-ce que Mme Anderson vous a raconté comment s'était passée la première sortie de Becky la semaine dernière?"
"Non, en fait pas du tout. Je n'ai pas eu l'occasion de parler avec Kristin Anderson depuis quelques semaines."
Alex était maintenant en érection, et le docteur tendit la main derrière elle pour fouiller dans un tiroir dont elle sortit un préservatif. Tout en enfilant le préservatif sur le pénis d'Alex, elle poursuivit sa conversation.
"Eh bien," dit le docteur Rose, "si j'ai bien compris, l'ex-petite amie de Richard est venue lui rendre visite, mais elle avait amené avec elle deux amis de la fac. Deux garçons. L'un d'entre eux était le garçon avec lequel elle sort depuis quelque temps. L'autre devait tenir compagnie à Becky. D'après ce que Kristin m'a raconté, Becky ne voulait pas sortir, mais comme elle est une bonne fille, elle a accepté pour faire plaisir à sa mère."
Le docteur Rose avait fini d'enfiler le préservatif, et tenait d'une main ferme le pénis d'Alex, tout en caressant ses testicules de son autre main. "Peux-tu chronométrer cela, Mary?" demanda le docteur Rose à la mère d'Alex. "Je veux mesurer à la fois la quantité et le temps. Regarde ta montre quand je le dirais."
Mary Guthridge régla sa montre en position chronomètre et lança le décompte au signal du docteur Rose, qui se mit à lentement masturber le sexe d'Alex. Alex entendit le bip de la montre de sa mère quand elle déclencha le chronomètre.
"Bien, je disais donc," poursuivit le docteur Rose, "Becky est sortie avec son ex-petite amie et deux garçons. Mme Anderson m'a dit qu'elle n'avait jamais vu Becky si jolie. Elle était très nerveuse et a passé des heures à se préparer – comme une vraie fille avant un rendez-vous." Précisa-t-elle en riant.
"Et que s'est-il passé?" demanda Mme Guthridge. "Est-ce que tout s'est bien passé?"
"Il semblerait." Répondit son amie. "Les garçons n'ont jamais soupçonné que Becky n'était pas une vraie fille, et à leur retour, Mme Anderson a vu depuis sa chambre que Becky tenait le garçon qui l'accompagnait par la main. Et – ils sont tous sortis ensemble quelques soirs plus tard, et maintenant, Becky va ressortir – seule avec son copain – le week-end prochain."
"Oh, mais c'est merveilleux." Commenta Mme Guthridge. Puis, accordant son attention à son fils, elle dit. "Ah, j'ai l'impression qu'il est sur le point d'éjaculer, n'est-ce-pas?"
Le docteur Rose sourit. "Oui, aucun doute." Dit-elle, puis, se tournant vers Alex, elle dit. "Retiens-toi le plus longtemps possible, chéri." Mais tout en disant cela, le docteur rose accentua le rythme de son va-et-vient, et à peine dix à quinze secondes plus tard, Alex éjacula dans le préservatif.
"Voyons," dit Mme Guthridge en regardant sa montre, "environ – deux minutes et treize secondes."
Au même moment, le docteur Rose s'efforçait d'extraire le sperme de son patient jusqu'à la dernière goutte. Elle lui retira ensuite le préservatif, et le déposa sur une balance électronique, et nota le résultat sur le dossier d'Alex. Elle aida ensuite Alex à dégager ses pieds des étriers.
"Vous pouvez vous lever, et remonter votre petite culotte."
Alex se releva, remonta sa culotte, et ajusta sa jupe.
"Bien, ça suffit pour aujourd'hui." Dit le docteur Rose. "Arrêtez-vous dans le hall et adressez-vous à Marianne, l'infirmière qui va vous faire votre première injection d'hormones." Puis, se tournant vers la mère d'Alex, elle lui dit: "Et voici la prescription pour Alex. Il faudra qu'il prenne ses pilules trois fois par jour. Le mieux, ce serait de faire ça à la fin de chaque repas. Je vous reverrais pour un examen de contrôle d'ici deux semaines, et si tout va bien, on pourra prévoir la date pour les implants. Au revoir."
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Alex et sa mère rejoignirent le hall, où l'infirmière Marianne les attendait. Mme Guthridge fut surprise de voir que l'infirmière semblait très jeune, mais elle réalisa que, si elle semblait n'avoir que 16 ans, elle devait être bien plus âgée. "Bonjour." Dit l'infirmière très cordialement, puis, discernant de l'appréhension dans le regard d'Alex, elle dit. "Oh, ne vous inquiétez pas. Je suis plutôt expérimentée pour les piqures. Cela ne va pas vous faire mal."
"C'est… Ce n'est pas à cause de la douleur." Réagit Alex. "C'est à cause de ce que cette piqure va me faire."
La mère d'Alex lui lança un regard exaspéré, mais l'infirmière n'y prêta pas attention. Elle se concentrait sur la préparation de la seringue. "Approchez et inclinez-vous en avant." Demanda-t-elle à Alex. "La première piqure se fera dans une fesse." Alex s'inclina en avant, et Marianne releva sa jupe, baissa sa culotte d'un côté, puis planta d'un geste sûr l'aiguille avant de vider la seringue dans la fesse d'Alex.
"Et voilà." dit-elle avec un sourire. "Ce n'était pas si terrible, n'est-ce-pas? Je peux vous assurer qu'il n'y a aucune raison d'avoir peur de ces piqures. Vous savez, votre ami Richard a déjà reçu plusieurs injections, et n'a eu aucun problème par la suite. Vous ne remarquerez sans doute aucun changement avant un mois, peut-être même plus longtemps. Ensuite, vous sentirez vos tétons devenir plus sensibles, et grossir, et votre silhouette commencera à changer – vos hanches s'élargiront, votre taille s'amincira, et il y aura d'autres changements. Mais rien qui ne soit pas naturel. Le docteur a dit que c'est ce que vous désirez. Pour être honnête avec vous, je trouve que ce que vous faites est merveilleux. Vous êtes déjà si jolie, et cela va vous aider à âtre encore plus féminine.
Alex rendit son sourire à Marianne, ce que sa mère ne manqua pas de remarquer. "Oui," se dit-elle, "tout se passe comme je l'avais planifié."
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Et en effet, tout se déroula pour son fils comme Mme Guthridge l'avait planifié. Chaque jour, il prenait ses pilules d'hormones, et régulièrement, il retournait chez le docteur Rose pour un check-up et une injection. Bientôt, il reçut ses premiers implants, qui donnèrent à sa silhouette une forme indubitablement féminine – et sexy. Ainsi, au moment de son anniversaire (6 mois environ après le début du traitement hormonal) "Allie" était devenue, à la fois physiquement et psychologiquement, une jolie jeune femme.
Durant cette période, Allie n'avait pas revu son amie Becky – Mme Anderson avait déménagé dans une autre ville, à plus d'une heure de route, pour offrir à Becky un nouveau départ dans la vie en tant que fille. Mais pour l'anniversaire d'Allie, Mme Anderson et Becky décidèrent de faire une visite surprise à Allie. A leur arrivée, Allie ouvrit la porte. Elle aidait sa mère à la cuisine, et portait un simple short moulant, et un débardeur – et on pouvait voir, à peine dissimulée derrière le débardeur, une jolie paire de seins. Les cheveux d'Allie étaient coiffés avec une frange sur le front, et ramenés en arrière en queue de cheval. Elle avait de la farine plein les mains, et un peu sur le visage.
"Becky!" Piailla Allie en découvrant qui était derrière la porte. Les deux jeunes transsexuels se prirent dans les bras. Allie prit ensuite les mains de Becky, et recula d'un pas pour la regarder. Becky portait une paire de sandales à talons hauts, des bas sombres, une petite jupe écossaise, et un pull angora blanc à col bénitier. Allie put voir que les mains de Becky étaient parfaitement manucurées, avec de longs ongles polis d'un rouge éclatant, et que son visage était impeccablement maquillé – juste assez pour mettre en valeur ses lèvres et ses yeux, mais sans en faire trop. Allie constata aussi que Becky avait une silhouette très féminine, avec une taille mince, et d'assez gros seins.
"Oh Becky." Piailla à nouveau Allie. "Tu es superbe."
"Toi aussi." Répondit Becky. "J'adore ce que tu as fait à tes cheveux." Puis, à la surprise d'Allie, Becky s'approcha et posa ses lèvres sur les siennes pour lui donner un baiser – un baiser d'abord très chaste, mais qui évolua très vite en intensité.
"Les filles, les filles, les filles." Intervint Mme Guthridge en riant, alors qu'elle venait de rejoindre le hall. "Calmez-vous un peu! Au moins pour l'instant." Puis, se tournant vers Mme Anderson, elle dit. "Kristin, c'est si bon de vous revoir. Allie est si heureuse que vous soyez passées. Il y a si longtemps que vous avez déménagé. Est-ce que tout va bien pour vous?"
"Oh oui," répondit la mère de Becky, "je crois que je ne pourrais pas être plus heureuse. J'ai fait changer les papiers de Richard, et maintenant elle s'appelle officiellement Rebecca, et a 17 ans. J'ai pu l'inscrire dans un lycée pour qu'elle refasse sa classe terminale. Le croirez-vous – elle n'a que des 'A'. Vous vous souvenez sans doute combien Richard était un mauvais élève. Il ne pensait qu'à courir après les filles, mais maintenant qu'il EST une fille, il/elle fait ses devoirs chaque soirs comme une bonne fille, mais sans oublier de passer du temps avec ses amis."
Becky rougit joliment en entendant sa mère la complimenter, puis se tourner vers Alex/Allie pour lui demander. "Et comment ça va, Allie? La transition n'a pas été trop difficile?"
"Eh bien – peut-être par moments," répondit Allie, "mais finalement ça a été moins dur que je ne pensais. Les gens ont été si gentils avec moi, et m'ont tellement aidée. Je… j'ai du mal à me souvenir comment c'était quand j'étais encore un garçon. Quand je vois de vieilles photos, j'ai du mal à réaliser que le garçon sur ces photos, c'est moi – enfin pas le moi que je suis aujourd'hui."
"Et tu poursuis tes études?" Demanda Mme Anderson.
"Non – pas pour l'instant. Je travaille en tant que serveuse, mais maman souhaite que je devienne infirmière, et je pense que ce serait une bonne idée. Je vais probablement m'inscrire à l'école d'infirmière à la prochaine rentrée.
"Oh, mais c'est formidable." Dit Mme Anderson. "Becky, et si tu donnais à Allie son cadeau."
"Je reviens tout de suite." Gloussa Becky, et elle courut vers la voiture, et revint un instant plus tard avec deux colis dans la main. Elle tendit l'un d'eux à Allie, et l'autre à Mme Guthridge. "C'est un petit gâteau d'anniversaire." Précisa-t-elle à Mme Guthridge. Puis, se tournant vers Allie, elle dit. "Qu'est-ce que tu attends, Allie, ouvre-le vite. J'espère que tu vas aimer." Allie ouvrit la grande boîte, puis découvrit une autre boîte plus petite à l'intérieur, et en ouvrant cette deuxième boîte, elle trouva une boîte encore plus petite. En riant, elle ouvrit la troisième boîte, pour y trouver un magnifique pendentif en or, avec un cœur sur lequel était gravée la lettre "A". "Oh, merci! Il est magnifique!" S'exclama Allie avant de prendre son amie dans les bars et de l'embrasser – et encore une fois, leur baiser se transforma vite en baiser passionné. Allie sentit le vestige de sa virilité se dresser, et Becky s'en aperçut. "Et pourquoi tu ne m'inviterais pas à visiter ta chambre?" Chuchota Becky, en rompant le baiser. Allie fit un sourire, pris son amie par la main, et l'entraina vers l'escalier.
Les deux mères gardèrent le silence alors que leurs deux fils féminisés s'éloignaient, main dans la main, mais en entendant la porte de la chambre d'Allie se fermer, elles se regardèrent et sourirent. "Vous savez quoi, Mary?" dit Kristin Anderson. "Voilà exactement ce que j'espérais voir arriver. Depuis le premier jour où vous m'avez fait découvrir combien Alex pouvait être une gentille fille."
"Oh oui, je comprends ce que vous voulez dire." Répondit Mary Guthridge. "Ils étaient tous les deux des enfants si difficiles quand ils étaient des garçons, mais regardez-les maintenant. Elles sont toutes les deux si jolies, si féminines, et elles s'adorent. J'ai encore parlé de tout ça hier à Allie, et je lui ai demandé si elle avait regrettait ce que je lui avais fait. Elle m'a répondu qu'elle regrettait d'avoir été un méchant garçon, qu'elle regrettait d'avoir été un garçon si désobéissant et si irrespectueux que j'aie été forcée de le punir. Mais elle ne regrette en aucun cas d'avoir été féminisée. Elle sait que c'était pour son bien, et elle est heureuse aujourd'hui en tant que fille."
C'est alors que les deux femmes entendirent des cris étouffés et des gémissements venant de l'étage, et les deux femmes se regardèrent avec un large sourire. "Ce sont des amours," Dit Mme Anderson, "de vrais amours." Il n'y a aucun regret à avoir.
FIN
Un GRAND merci pour cettre traduction, une histoire epoustouflante comme toi seul nous en trouve;
RépondreSupprimerTrès bonne histoire. J'ai bien aimé le passage lorsqu'Alex est allongé, les jambes dans les étriers. Cela m'a rappelé une visite dans un bain sauna où je me suis fait «mettre» dans un appareil semblable. C'était il y a longtemps mais c'est toujours aussi excitant.
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