Comme ce site est désormais fermé depuis quelques années, je suppose que je peux publier certaines de ses histoires. En voici une que j'ai traduite:
Cher Bobbie,
J'ai lu la plupart des lettres et des histoires publiées sur
votre site, et je me sens concerné par beaucoup d'entre elles. Mon histoire est
cependant quelque peu différente.
Mon père est décédé quand j'étais très jeune. Maman
travaillait beaucoup. C'est pourquoi je restais souvent seul. Vers l'âge de 14
ans, j'avais une petite amie. Ce n'était pas encore une véritable relation, nous
passions du temps avec des amis, trainions ensemble au centre commercial, ou
d'autres occupations du même genre. Un soir, pendant une fête, nous avons
commencé à jouer à "action ou vérité" (vérité ou défi en anglais). Bon, c'est plutôt d'habitude un jeu
pour les filles, mais cette fois, les garçons participaient.
C'était mon tour. Ma petite amie Kim me demanda: "action
ou vérité?"
Je lui demandais: "Si je choisis action, quel sera mon
défi?"
Elle me répondit: "Je ne peux pas te le dire."
"Tu ne peux pas me le dire? Alors comment saurais-je si
ça vaut la peine de dire la vérité?"
"C'est la règle du jeu!"
Une de ses amies intervint: "Attendez, on peut te le dire
en avance, que ce soit la vérité ou l'action, mais ce sera plus
difficile!"
Après un bref instant de réflexion, je donnais mon accord.
"La vérité…" Kim s'arrêta un instant pour y
réfléchir. "La vérité que tu dois nous dire est: aime-tu l'une de mes
amies? Et le défi…" Son amie se pencha vers elle pour chuchoter à son
oreille, et elles se mirent à rigoler: "Le défi est que tu devras porter
l'un de mes maillots de bain la prochaine fois qu'on restera dans le
jardin."
Je répondis: "C'est facile! Ma réponse est non!"
"Non? Comment ça, non?"
Avec un grand sourire je précisais: "Non, je n'aime
aucune de tes amies."
"Euh, Brian?"
"Euh, Brian?"
"Oui?"
"Je suis désolée, mais tu ne dis pas la vérité."
Je me mis à crier: "Quoi! Qu'est-ce que tu racontes? Je
pense que je le sais quand j'aime quelqu'un."
"Tu te souviens de la fête de samedi dernier?"
"Oui, j'y étais avec toi!"
"Tu étais avec moi, mais tu m'as dit que mon amis Lisa
était jolie!"
"Ben ouais, je la trouvais jolie, ça ne veut pas dire
que je l'aime!"
"Donc, tu ne l'aimes pas?"
"Ben non, c'est pas ça. Je ne veux pas sortir avec elle.
J'aime bien toutes tes amies, mais je ne veux pas sortir avec elles."
"Tu viens donc d'admettre que tu aimes mes amies.
Qu'est-ce que tu préfères, rose ou violet?"
"Pourquoi cette question?"
"Parce que je
dois savoir quel maillot de bain je dois amener la prochaine fois que je viens
te voir pour bronzer dans ton jardin."
"Inutile d'en amener un. Je ne vais pas accepter ton
stupide défi. Tu te moques de moi."
"Désolée, mais c'est le jeu!"
Furieux, je me levais et me dirigeais vers la porte:
"J'en ai marre, je rentre chez moi!"
Kim ne me suivit pas. Elle ne chercha même pas à me rejoindre
plus tard. Je finis par aller me coucher.
Le lendemain matin, un baiser me réveilla. En ouvrant les yeux,
je vis Kim penchée sur moi. Elle me dit: "Ta mère m'a laissé entrer. Tu es
toujours fâché pour hier soir?"
"Non, pas vraiment. Mais je ne vois pas pourquoi je
devrais accepter ce défi."
"Et pourquoi pas? Tu n'as aucune raison d'être aussi
nerveux. Personne ne te verra, je ne le raconterais à personne, et on pourra
rester dans ton jardin."
"Pourquoi cela te semble si important?"
"Je trouve seulement que ce serait drôle."
"Bon, OK, mais personne ne doit le savoir, et puis ça ne
doit pas durer trop longtemps."
Elle fit un large sourire: "C'est bien, j'ai apporté mes
maillots de bain. Je me disais que tu changerais d'avis!"
Elle les sortit de son sac et me les présenta, un dans chaque
main: "Rose ou violet?"
En découvrant qu'il s'agissait de bikinis, je lui dis:
"je ne vais pas porter ça, je pensais qu'il s'agissait de maillots une
pièce."
Elle prit sa mine boudeuse: "Tu as pourtant accepté!"
"Bon, OK, je m'en fiche de la couleur."
Elle me lança le bikini violet, puis, après m'être
déshabillé, elle m'aida à l'enfiler.
Elle se recula pour me regarder: "Tu es plutôt mignon
comme ça, mais il faudrait quelque chose pour remplir le soutien-gorge."
Après avoir cherché un bref instant, elle prit une paire de
chaussette, qu'elle roula en boules avant de les glisser dans les bonnets du
soutien-gorge. Elle enfila ensuite son bikini, me prit par la main et
m'entraina vers l'extérieur. Je m'arrêtai soudain.
Elle me regarda et vit que j'étais effrayé: "Ne
t'inquiètes pas, on est seuls. Ta mère est déjà partie travailler."
Je la suivis, puis, à notre arrivée à la porte, je jetais un coup-d'œil
pour vérifier que personne ne venait avant d'oser sortir.
Après environ 45 minutes, je dis: "Bon, ça suffit, il
fait trop chaud, je rentre."
Je rentrais, me changeais, et préparais un petit-déjeuner
pour Kim et moi. Plus tard, Kim me proposa d'aller nous baigner dans notre piscine.
Avec la chaleur, j'acceptais et j'allais enfiler l'un de mes maillots de bains
normaux. Kim était déjà dans la piscine quand je vins la rejoindre, et quand
elle me vit arriver elle sembla surprise.
"Qu'est-ce qu'il y a? Qu'est-ce que tu regardes?"
Elle désigna ma poitrine: "Regarde!"
"Quoi, qu'est-ce qu…"
Je m'interrompis immédiatement en découvrant la trace
évidente qu'avait laissée le bikini sur mon bronzage. J'étais sous le choc:
"Qu'est-ce que je vais faire? Je ne peux pas rester comme
ça!"
"Bah, garde un tee-shirt quand tu es avec des gens, et
puis continue à te laisser bronzer quand tu es seul. Ces marques devraient
disparaitre assez vite."
Quelques mois passèrent. Kim et moi faisions tout ensemble.
Puis un jour, maman rentra à la maison et m'annonça qu'elle allait être mutée
dans un autre service de son entreprise, qui était situé dans un autre état.
Elle me tendit alors un paquet, puis un autre paquet, puis un autre… Elle me
dit: "Tout cela est pour toi. Tu en auras besoin dans notre nouvelle
maison."
J'emportais les paquets dans ma chambre et les ouvris. Je n'en croyais pas mes yeux en découvrant ce qu'ils contenaient. Des petites culottes, soutiens gorges, collants, jupes, blouses, un pull rose, uniquement des vêtements de fille!
J'emportais les paquets dans ma chambre et les ouvris. Je n'en croyais pas mes yeux en découvrant ce qu'ils contenaient. Des petites culottes, soutiens gorges, collants, jupes, blouses, un pull rose, uniquement des vêtements de fille!
Je pleurais quasiment tant j'étais confus. Qu'est-ce qui se
passait? Je descendais pour interroger ma mère. Elle m'expliqua que le jour où
j'avais bronzé en bikini, elle était rentrée à la maison parce qu'elle avait
oublié son sac. En regardant par la fenêtre, elle me vit avec Kim et crut un
instant voir deux filles.
"J'allais sortir pour demander ce que vous faisiez dans
mon jardin quand j'ai réalisé que tu étais la seconde fille. C'est depuis ce
jour que je me dit que ce serait formidable d'avoir une fille, plutôt qu'un
fils."
Incrédule, je demandais: "Une fille?"
Elle me répondit: "Oui, je trouve que tu étais très
mignonne dans ton bikini. Et puis je pense qu'il est vain de te demander si tu
veux bien devenir ma fille. Je crois que je ne vais simplement pas te laisser
le choix."
J'étais incapable de parler, je ne savais pas quoi dire. Je ne pouvais pas croire ce qui se produisait. Il devait bien exister un moyen de sortir de cette situation? Elle poursuivit: "Tu sais Brain, tu n'as pas vraiment le choix. Je t'ai déjà inscrit dans ta nouvelle école comme fille, et si tu vas voir dans ta chambre, tu verras que je me suis déjà débarrassé de la plupart de tes affaires de garçon. C'est comme cela et puis c'est tout! Je ne veux pas entendre la moindre plainte. Tout ce que tu dois faire est d'être la meilleure fille que tu peux. C'est ce que j'ai décidé."
J'étais incapable de parler, je ne savais pas quoi dire. Je ne pouvais pas croire ce qui se produisait. Il devait bien exister un moyen de sortir de cette situation? Elle poursuivit: "Tu sais Brain, tu n'as pas vraiment le choix. Je t'ai déjà inscrit dans ta nouvelle école comme fille, et si tu vas voir dans ta chambre, tu verras que je me suis déjà débarrassé de la plupart de tes affaires de garçon. C'est comme cela et puis c'est tout! Je ne veux pas entendre la moindre plainte. Tout ce que tu dois faire est d'être la meilleure fille que tu peux. C'est ce que j'ai décidé."
Le lendemain, quand Kim vint me voir, elle comprit instantanément
que quelque chose n'allait pas, parce que je portais une robe, mes longs
cheveux étaient retenus en une petite queue de cheval par un ruban, et que je
portais du rouge à lèvres. Je la fis s'assoir et je lui répétais ce que ma mère
m'avait dit. Mes yeux étaient pleins de larmes.
Elle me dit: "Ne pleure pas Brian. Ce n'est pas la fin
du monde, prends ça comme un nouveau départ. Une nouvelle vie. Ça peut même
être amusant."
"De quoi parles-tu? Nous devons trouver une solution
pour me sortir de là!"
"Je pense que ce n'est pas si mal. Je crois que tu
pourrais aimer vivre en fille."
"De quoi parles-tu? Tu veux que je sois une fille? Je
croyais que tu m'aimais en garçon. Je croyais que tu aimais être ma petite
amie!"
"J'aime être ta petite amie, et je t'aime en tant que
garçon, mais tu vas bientôt déménager, et, tu sais, on ne pourra pas rester
ensemble de toute façon après ton départ."
"Je n'aurais jamais cru ça de toi. Je n'imaginais pas
que tu voulais que je devienne une fille."
"Si tu restais ici, je suppose que je t'aiderais à
trouver une solution pour te sortir de là. Mais puisque tu ne restes pas…
Autant t'aider à devenir une fille. En plus, tu ressembles déjà à une fille.
Avec une jolie poitrine, tu passerais pour une fille sans problème. Ta mère pourrait
même te faire poser des implants avant votre départ."
C'était incroyable. Ma petite amie soutenait ma mère dans son
projet de me faire vivre comme une fille. Je lui demandais de me laisser.
J'avais besoin de rester seul. Après son départ, je montais dans ma chambre et
restais assis sur mon lit. Je ne pouvais pas croire ce qui m'arrivait. Je ne
pouvais pas croire que maman pouvait me faire cela.
Le lendemain, Kim revint. Je n'étais évidemment pas sorti depuis. En descendant, je la vis discuter avec ma mère. Je portais encore ma chemise de nuit, alors que l'heure du déjeuner approchait.
Le lendemain, Kim revint. Je n'étais évidemment pas sorti depuis. En descendant, je la vis discuter avec ma mère. Je portais encore ma chemise de nuit, alors que l'heure du déjeuner approchait.
Kim me dit: "Brian, ta maman m'a expliqué à quel point
elle serait heureuse si tu étais une fille. Tu devrais accepter. Tu verras, ce
n'est pas aussi terrible que ça!"
Elle s'approcha et m'embrassa: "Ta maman m'a dit qu'elle
te donnait des hormones depuis longtemps, et qu'elle a déjà pris rendez-vous
pour te faire poser des implants mammaires. Tu seras si jolie!"
Ma mère demanda: "Kim, montre-nous ce que tu as
apporté."
Kim prit un sac, posa le sac sur le divan et en sortit un
jean de fille, une mini-jupe en jean, des socquettes roses avec des petits
volants, un chemisier blanc, un autre rose, et une paire de sneakers pour fille.
Maman intervint: "Tu peux ranger le jean, Kim. Pour
l'instant, je veux que Briana ne porte que des jupes ou des robes pour au moins
quelques mois afin qu'elle réalise qui elle est et comment elle doit se
comporter."
J'enfilais la jupe, les socquettes roses, les sneakers, et le
chemisier rose. En me regardant dans le miroir, je n'en crus pas mes yeux. A ma
place se tenait une fille, habillée comme n'importe quelle adolescente qu'on
croiserait au centre commercial.
Kim me prit la main: "Laisse-moi te montrer comment
bouger."
Après une heure de déplacement allé et retour dans le salon,
ma mère dit:
"OK, je crois qu'elle est prête, allons-y!"
"Comment ça allons-y? Où allons-nous?"
Kim me répondit: "Nous devons aller t'acheter de
nouveaux vêtements."
Elles me poussèrent jusqu'à la voiture et m'emmenèrent au
centre commercial. A notre arrivée sur place, je n'osais plus discuter. Je
sentais bien que c'était inutile, je ne voyais aucune solution pour fuir cette
situation. Dans une bijouterie, maman parla avec les vendeuses tandis que Kim
et moi regardions les bijoux. Puis maman s'approcha de moi st dit:
"Briana, elles sont prêtes."
"Prêtes pour quoi?"
"Pour te percer les oreilles, bien sûr!"
Elle me prit par la main et me fit assoir sur un fauteuil. Une
dame vint près de moi et marqua mon oreille avec un feutre et demanda à ma mère
si l'endroit convenait. Ma mère demanda de me percer tout de suite deux fois
chaque oreille. La dame s'approcha avec son instrument et fixa deux boutons en
diamant à chacune de mes oreilles. Ma mère remercia la dame puis m'entraina
vers d'autres boutiques du centre commercial.
Je lui demandais: "Maman, comment je vais faire pour
sortir avec mes amis maintenant que j'ai les oreilles percées?"
"Tu ne sortiras plus avec eux. De toute façon tu vas
quitter la maison. Tu resteras avec ta tante en attendant notre déménagement.
Kim restera avec toi pour t'apprendre comment te comporter en fille. Ainsi,
quand tu reprendras l'école, personne ne pourra s'apercevoir que tu as été un
jour un garçon."
S'arrêtant devant un salon de coiffure, Kim demanda:
"Est-ce ici que vous avez pris rendez-vous pour
Briana?"
"Oui, c'est bien ici." Répondit maman en me
poussant vers l'intérieur.
Ma mère parla avec la gérante tandis que deux autres dames me
poussèrent vers un fauteuil et me lavèrent les cheveux.
Maman me dit: "Briana, Kim et moi te reprendront un peu
plus tard, nous allons t'acheter quelques affaires."
Les coiffeuses coupèrent les pointes de mes cheveux, puis
étalèrent sur ma tête un truc qui sentait atrocement mauvais, avant de me
laisser seul pendant un long moment. Quand elles revinrent s'occuper de moi,
maman et Kim les accompagnaient.
Kim me dit: "Oh tu es si mignonne! Briana, tu vas adorer
les vêtements qu'on t'a trouvés."
Ma mère ajouta: "Bien, je crois que nous avons terminé
pour aujourd'hui. Rentrons, et préparons-la à son voyage jusqu'à la maison de
sa tante."
Le lendemain, Kim et moi sommes allés vivre chez ma tante.
Kim et ma tante m'apprirent comment me maquiller, me coiffer, marcher,
m'assoir, et même comment bouger les mains quand je parlais. Chaque jour, je
devais prendre des "pilules spéciales". Cela dura environ un mois,
puis un soir, juste avant l'heure d'aller dormir, maman passa la porte. Elle
était ravie de voir comment je me comportais. Elle me demanda:
"Tes seins ont grossi. J'ai l'impression qu'ils ont
maintenant une taille de bonnet B, non?"
"Oui, presque…"
C'était il y a quatre ans. J'ai maintenant 18 ans, et je vis
toujours comme une fille. Même si le style de mon récit ressemble plus à une
histoire qu'à une lettre, je peux vous affirmer que tout est vrai.
Briana
Une histoire intéressante très belle couleur joie pour la copine mais pas pour le garçon mais ces sur il va adorer ça être une fille
RépondreSupprimerEt puis coool