Cher éditeur,
Ma petite amie Lynda, après avoir lu tant
d'histoires dans votre magazine, a décidé que le temps était venu pour moi de
vous écrire pour vous raconter comment elle m'avait complètement féminisé.
Nous avons commencé à nous fréquenter tout à fait
normalement il y a 3 ans, mais après 4 mois, nous n'avions plus de relations
sexuelles. Quand je lui en parlai, Lynda me dit qu'elle avait envie que je
porte l'une de ses petites culottes avant de lui faire l'amour. Je n'éprouvais
aucune envie de porter l'une de ses culottes, mais j'étais si excité et en
manque de sexe que je finis par accepter. Cette nuit-là, nous avons fait
l'amour de manière plus intense que jamais.
Nous faisions l'amour de plus en plus souvent, et,
parce que Lynda y tenait, je portais de plus en plus souvent ses petites
culottes. J'emménageais chez Lynda, ce qui fut mon erreur, car je n'imaginais
pas ce qu'elle comptait faire de moi.
Malgré mes protestations, elle insista pour que je
porte de plus en plus d'articles féminins quand nous faisions l'amour. Lynda
était si obsédée par cette idée qu'elle commença à me travestir entièrement en
femme quand j'étais à la maison. Son comportement m'effrayait quelque peu, mais
je me disais que tout cela n'était que la réalisation d'un fantasme bien
innocent.
Lynda me dit alors que les poils de mon corps la
dégoutaient, alors elle me fit prendre un bain et me demanda de me raser les
jambes, les dessous de bras et la poitrine. Elle me vernit aussi les ongles des
pieds en rouge et m'acheta une nuisette rose et une petite culotte assortie pour
dormir. Soi-disant pour me dissuader de la tromper, elle me poussa à porter une
petite culotte et des bas ou un collant sous mon costume. Alors que le temps
passait, je commençais à avoir des sensations étranges. Je me sentais fatigué
et faible. Mes vêtements ne m'allaient plus aussi bien. J'étais souvent déprimé
et Lynda faisait beaucoup d'efforts pour me consoler.
Puis, soudain lors d'une réunion au travail, je me
mis à pleurer sans raison. Après m'avoir prévenu qu'une telle chose ne devait
plus se produire, mon patron me renvoya chez moi. Lynda ne sembla pas étonnée
du tout et m'enlaça pour me consoler. Je lui expliquais que je m'étais senti
mal plus tôt dans la journée, et elle me demanda de lui donner des détails. Je
lui parlais de ma sensation de fatigue et de ma perte de poids. J'avais honte
de lui avouer que j'avais des difficultés à avoir une érection et que mes tétons
étaient devenus très sensibles et irrités. Je lui dis que je voulais aller voir
un médecin, mais elle me conseilla d'attendre une ou deux semaines.
La situation ne s'arrangeait pas au travail, ni mon
état de santé. Trois semaines après la première fois, une nouvelle crise de
larmes me submergea. Cette fois, je fus licencié! J'appelais Lynda pour lui
annoncer, mais elle ne sembla pas affectée par la nouvelle. Elle me demanda de
faire quelques courses et elle me promit une agréable soirée à la maison.
A mon retour à la maison, Lynda m'enlaça et
m'embrassa et elle m'entraina vers la chambre où je pleurais sur son épaule
pendant près d'une heure. Elle me dit que je lui semblais si fragile. Quand
j'ouvris mon placard pour y chercher un simple jean pour me changer, je fus
choqué de n'y trouver que des robes, des jupes et des chemisiers. Je lui
demandais si elle avait échangé nos placards, et elle me répondit que non! Elle
me dit qu'elle devait me parler…
Elle m'expliqua que depuis que j'avais emménagé chez
elle, elle s'efforçait de faire de moi une femme. Elle m'avoua qu'elle était lesbienne
et qu'elle avait commencé à sortir avec moi parce qu'elle pensait que j'avais
des prédispositions pour être une femme. Elle m'expliqua que mes symptômes, y
compris mes crises de larmes, étaient une réaction aux pilules d'hormones
qu'elle avait dissimulées dans ma boîte de vitamines. Je pleurais à nouveau quand
elle m'expliqua que mes seins se développaient, et que la graisse de mon corps se
répartissait différemment. Ce n'est qu'une fois nu que je réalisais à quel
point mon corps avait changé.
Lynda m'expliqua qu'elle avait rapidement rassemblé
mes vêtements et les avait donnés à l'armée du Salut après mon coup de fil.
Elle me dit que les vêtements dans mon placard étaient les miens, et elle
ouvrit les tiroirs où je rangeais mes sous-vêtements pour me montrer qu'ils ne contenaient
plus que de la lingerie féminine, des bas ou des collants…
Elle me dit de prendre un bain, de raser mes jambes,
et de la rejoindre dans la chambre. Sous le choc, je fis ce qu'elle me
demandait et la rejoignit enveloppé dans une serviette. Sur le lit, une tenue
compète m'attendait! Lynda me prit ma serviette, et m'enfila un corset avant de
le lacer pour réduire sévèrement ma taille. J'enfilais une petite culotte et un
soutien-gorge, puis une paire de bas, qu'elle m'aida à attacher aux jarretelles
du corset. J'enfilais ensuite un jupon avant que Lynda ne m'aide à me maquiller.
J'enfilais ensuite une jupe et une blouse, un collier et des boucles
d'oreilles, et une nouvelle perruque. Lynda semblait aimer de me voir ainsi.
Elle me tendit un sac à main, me fit enfiler une
paire de chaussures à talons, puis dit:
"Allons-y!"
"Où cela? Je ne suis jamais sorti comme ça!"
Elle me dit que désormais, j'allais sortir ainsi,
que mon prénom était Denise, et que j'allais vivre en femme.
J'étais très nerveux et embarrassé en allant vers la
ville. Lynda avait pris rendez-vous chez une conseillère en image. Son nom
était Paulette et elle complimenta Lynda pour le travail qu'elle avait déjà
accompli avec moi.
La première session fut une sorte de test. Elle
m'observa alors qu'elle me faisait marcher, bouger, parler, et me comporter
comme une femme. Ce jour-là, mes oreilles furent percées et de nouvelles
boucles d'oreilles remplacèrent mes clips. Je suivais un cours intensif de
féminité pendant trois jours par semaine avec Paulette. Lynda me déposait le
matin et revenait me chercher le soir.
Mes progrès étaient lents au début, mais les nombreuses
heures avec Paulette et son assistante et le port constant de mes nouveaux vêtements
et de talons finit par me faire changer. Progressivement, j'avais moins besoin
des conseils de Paulette, et désormais, je ne vais la voir qu'une fois par mois
pour un contrôle rapide. Je me sens bien dans ma féminité. Lynda et moi
partageons tant de choses maintenant.
Lynda me fait suivre par une femme médecin qui
surveille ma santé et mon dosage hormonal. Mes seins remplissent un bonnet B,
ma taille est mince et elle s'affine encore avec les diètes et les exercices. Mes
hanches se sont arrondies. Mon pénis est maintenant beaucoup plus petit et inutilisable.
Lynda parle parfois de castration et d'opération.
La lettre d'April (traduite et publiée sur ce blog le 17 juillet dernier) a donné
envie à Lynda de me pousser à écrire, parce que nos histoires se ressemblent!
Je suis maintenant des cours pour devenir esthéticienne. Je travaille à temps
partiel au salon où Lynda, et moi aussi désormais, nous faisons coiffer et
manucurer. La patronne sait tout à mon propos et elle est très sympathique.
Elle a beaucoup de travestis ou de transgenres dans sa clientèle.
Ainsi, après avoir été un homme d'affaire, je
deviens une esthéticienne. D'une certaine manière, comme April, cela s'est fait
contre mon gré. Votre publication a joué un rôle majeur dans tout cela.
J'imagine que vous n'avez aucune idée pour m'aider à redevenir un homme.
D'après toutes mes lectures, il n'y a aucun moyen. Je me sens trompé et trahi, et
pourtant, je ne suis pas sûr de vouloir redevenir un homme.
J'ai appris à m'adapter, et même à apprécier ma
nouvelle féminité. Tout a changé, et toute rancune contre votre revue ou Lynda
a disparu. J'ai accepté d'être une femme, et je fais tout pour être de plus en
plus féminine. Je suppose que tous les hommes féminisés connaissent ce
sentiment. Je suis sous contrôle, et pourtant heureuse.
Merci.
Denise.
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