Version originale sur: http://beckystgcaps.blogspot.com/
Étranges fantasmes que ceux-ci: La féminisation d'hommes ou de garçons. Des histoires imaginaires, illustrées ou non, de garçons transformés en filles, bien souvent contre leur gré. Blog réservé aux adultes, même si les histoires et les illustrations resteront très "soft".
Les lettres publiées sur le site "Petticoat Discipline Quarterly" (fermé depuis quelques mois) racontaient des témoignages de "petticoat discipline" (discipline par le jupon, ou "enjuponnage", comme j'ai choisi de le traduire).
J'ignore si la série de trois lettres ci-dessous raconte des faits réels ou non (seuls les auteurs peuvent le savoir). Mais de telles histoires doivent bien entendu rester un fantasme. On ne touche pas aux enfants!
PREOCCUPE A PROPOS D'UN ENJUPONNAGE
Par Tom
Chère Tatie Helga,
J'ai du mal à croire que je suis vraiment en train de vous écrire, mais je suis préoccupé par la situation dans laquelle se trouve mon fils, et il se trouve que c'est le genre de situation que vous semblez bien connaitre. J'espère donc que vous ne m'en voudrez pas de vous écrire.
Ma femme et moi avons deux enfants, Jenny, une fille de 10 ans, et Jaime, un fils de 8 ans. Alors que je vous écris, Jenny et Jaime sont dans la chambre de Jenny et jouent ensemble. Jaime porte une petite culotte, une jupe, une blouse, et ses longs cheveux sont coiffés en tresses fermées par deux rubans roses. En les voyant ainsi, vous ne pourriez jamais imaginer que Jaime n'est pas une fille, et c'est justement le problème dont je veux vous parler. Je suppose que cette situation est en partie de ma faute, mais tout s'est déroulé de manière si progressive que je n'ai pas su quand ou comment arrêter cela. Voilà comment les choses se sont déroulées.
Quand la pandémie a provoqué une quarantaine dans notre région, Jaime avait déjà de longs cheveux pour un garçon, et aurait dû aller se les faire couper. Mais toute chance d'aller chez le coiffeur a été empêchée par la quarantaine, et même quatre mois plus tard, nous n'avons pas fait couper ses cheveux, même s'ils avaient atteint une longueur qu'on ne voit habituellement que chez une fille, car nous voulions éviter d'attraper le virus. Un soir, alors que ses cheveux lui tombaient devant les yeux, Valerie, ma femme, a décidé de les tenir avec quelques épingles à cheveux. Jaime a pleurniché, disant que les garçons n'utilisaient pas d'épingles à cheveux, mais Val n'en a pas tenu compte et a placé les épingles, lui expliquant qu'il fallait bien une solution pour que ses cheveux ne lui tombent pas devant les yeux. Elle a ajouté que, de toute façon, à part nous, personne ne le verrait, et ce n'était donc pas un drame. Je devrais peut-être préciser que dans notre famille, c'est Val qui prend presque toutes les décisions concernant nos enfants. De plus, elle n'apprécie pas quand l'un de nos enfants n'accepte pas l'une de ses décisions, et elle réagit encore plus mal quand je suis en désaccord avec elle, c'est pourquoi la plupart du temps, je n'interviens pas dans ses choix.
C'est donc ainsi que tout a commencé. Après cela, pendant quelques jours, Val a attaché les cheveux de Jaime avec des épingles à cheveux et il a arrêté de s'en plaindre. Puis, environ une semaine plus tard, Val a ajouté aux épingles à cheveux des barrettes rouges qui appartenaient à Jenny. Encore une fois, Jaime s'est plaint, disant que les garçons n'attachent pas leurs cheveux avec des barrettes. J'ai même osé demander à Val si tout cela était bien nécessaire, mais elle m'a répondu que les barrettes tenaient mieux que des épingles à cheveux, et que je ferais mieux de me taire, que Jaime et moi réagissions comme des idiots, car ce ne sont pas des barrettes qui allaient faire de lui une fille.
Pendant quelques semaines, les choses ont continué ainsi, avec Val qui attachait chaque les cheveux de Jaime, ou qui me demandait de m'en charger. En y repensant, je réalise qu'à ces moments-là, j'aurais peut-être dû faire en sorte que cela cesse, mais je ne l'ai pas fait. En plus, je crois que, comme parfois c'était moi qui arrangeais les cheveux de Jaime de manière féminine, cela a contribué au fait qu'il cesse de se plaindre de ce qu'on lui faisait.
Sur le forum https://newagelifestyle.createaforum.com/index.php on peut lire des témoignages de personnes qui ont choisi un mode de vie "alternatif".
Très récemment, le témoignage suivant a été publié:
Ma femme et moi sommes mariés depuis 6 ans. Comme dans beaucoup d'unions, nous avons connu des périodes d'ennui mortel. Nous avons commencé à envisager des modes de vies alternatifs, ce qui nous a finalement amené à ce site il y a quelque temps. Certaines des expériences décrites ici ne présentaient que peu d'intérêt pour nous, mais d'autres nous donnaient envie de les expérimenter. Un soir, j'ai demandé à ma femme jusqu'où elle irait dans ma féminisation si nous tentions de suivre un tel chemin. Elle m'a alors demandé jusqu'où je voulais aller. Nous étions tous les deux incapables de répondre à ces questions. Ma femme ne pensait pas que j'accepterais d'aller bien loin dans une féminisation, et de mon côté, je ne l'imaginais pas non plus aller très loin. Malgré tout, nous avons décidé d'essayer, en nous fixant des objectifs à atteindre pour nous motiver. Nous étions d'accord pour tenter des activités diverses à des moments fixés à l'avance.
Ma femme a proposé que je porte des vêtements féminins quand j'étais à la maison pendant la semaine et que je sois libre pendant les week-ends. Elle a également estimé qu'une partie de ma féminisation consistait à se décharger de ses tâches ménagères sur moi, afin que j'aie quelque chose à faire quand j'étais habillé en femme. Bien que rien de tout cela ne se soit fait du jour au lendemain, nous avons convenu d'ajouter des éléments chaque semaine. Donc, pendant les premières semaines, j'ai porté une robe d'intérieur et des chaussures à petits talons que ma femme m'avait achetées. Une semaine plus tard, on a jouté un soutien-gorge et une culotte, une semaine plus tard, des faux seins en silicone et des bas. Chaque semaine, une nouvelle partie du travail domestique a également été ajoutée à mes corvées. Au début de la 6ème semaine, ma femme m'a acheté une cage de chasteté, et j'ai donc été mis sous clé ce jour-là. Chaque fois que nous ajoutions quelque chose de nouveau, nous en parlions après. Ma femme s'est dit que si nous en parlions avant, et que je refusais, le jeu était terminé. Je lui avais donné mon accord pour lui permettre de faire ce qu'elle voulait dans la limite du raisonnable.
La 8ème semaine, ma femme m'a dit qu'il était temps d'accélérer un peu. Elle m'a fait me raser tous les poils de mon corps en me regardant faire. Je ne voulais d'abord pas le faire, et plus tard, ma femme a été surprise que je le fasse quand même devant elle. Le lendemain, ma femme m'a épilé les sourcils, ce qui m'a fait très mal. Quelques jours plus tard, elle a récidivé en leur donnant une forme plus féminine. En dînant ce soir-là, ma femme a décidé de percer mes oreilles pour y placer une paire de ses boucles d'oreilles. Nous avons discuté de la façon dont je pourrais cacher les piercings à ma famille et à mes amis, et au final, mes oreilles ont bien été percées. J'ai alors demandé à ma femme quelle était la prochaine étape, en espérant qu'on en avait fini avec ma féminisation. Elle m'a parlé de la longueur de mes cheveux à l'époque de notre rencontre. Je me souvenais très bien que j'avais les cheveux longs, alors ma femme m'a dit que je devais à nouveau laisser pousser mes cheveux. Elle disait que si je portais une de mes casquettes de baseball en présence de ma famille ou entre amis, ce ne serait pas gênant. J'étais d'accord, et 6 semaines plus tard, ma femme m'a fait la surprise de faire venir une de ses amies pour me teindre les cheveux et me faire une permanente. J'ai dit pas question d'aller si loin. Dans mon esprit, j'avais atteint tous les objectifs que nous nous étions fixés, et même d'autres. Je n'avais jamais voulu vivre en tant que femme, mais juste être un peu féminisé. Ma femme a convenu qu'au début, elle n'était pas si sûre d'avoir envie de me féminiser ou de ce qu'elle ressentirait en le faisant. Comme vous pouvez le constater en lisant cela jusqu'à présent, il semblerait que ma femme s'amusait vraiment car c'était aussi à chaque étape un nouveau défi pour elle. Elle m'a dit qu'elle s'attendait parfois à ce que je me mette en colère, que je me défile, ou que j'arrête tout, mais je lui ai à chaque fois permis de continuer. Inutile de dire que mes cheveux se sont retrouvés permanentés et colorés.
Ma femme m'a dit un jour que je faisais une sacrément jolie femme. A ce moment-là, je ne portais plus que des affaires de femme 7 jours sur 7. Ma femme m'aidait aussi à me maquiller. Donc, la plupart du temps, j'étais son mari féminisé et enfermé dans une cage de chasteté. Je dois admettre que je ne me rendais pas vraiment compte des changements qui s'étaient produits progressivement, au fur et à mesure des semaines qui passaient. Une nuit, au lit, ma femme m'a dit qu'elle avait appris à aimer davantage mon nouveau moi. Elle m'a demandé si je me souvenais de notre conversation du début, quand nous ne savions pas jusqu'où nous étions prêts à aller. Je lui ai répondu que je m'en souvenais bien, et je lui ai demandé pourquoi cette question? Ma femme m'a alors dit qu'à ce moment-là, elle ne savait pas jusqu'où je serais capable d'aller, ni jusqu'où elle avait envie d'aller avec moi. Elle a admis qu'elle m'aimait bien plus ainsi qu'elle ne l'avait imaginé. Je me disais, bon, où veut-elle en venir? Ma femme m'a alors dit qu'elle souhaitait partager mon nouveau moi avec le reste du monde, et pour commencer, avec ses sœurs. Je me suis dit Oh mon Dieu. Ma femme m'a dit de ne pas m'inquiéter, parce qu'elle était sûre que j'étais prêt à me montrer en public et à exposer ma féminité. Elle m'a parlé de sortir déjeuner, et de rencontrer ses sœurs au restaurant. J'ai dit que je ne pourrais jamais faire ça. Ma femme m'a répondu que je pouvais, et que j'allais le faire. C'était la première fois que ma femme se montrait autoritaire, et cela m'a choqué. Elle m'a dit que je devais bien avoir compris qu'une telle chose arriverait tôt ou tard. Selon elle, le fait d'être féminisé devait aussi se vivre à l'extérieur quand j'y serais préparé. Mais dans mon esprit, je n'envisageais en aucun cas de sortir ainsi.
Pourtant, le lendemain, ma femme et moi sommes sortis pour m'acheter une nouvelle robe et des chaussures. C'était la première fois que je quittais la maison habillé en femme. J'étais terrifié comme vous l'imaginez, mais ma femme était si confiante qu'elle m'a entrainé de boutique en boutique. Elle me donnait des conseils sur ma manière de marcher ou sur ma façon de me tenir. Je la suivais, essayant de marcher plus lentement, avec de plus petits pas. Dans les boutiques, ma femme s'est chargée de parler aux vendeurs. A ma grande surprise, aucun ne s'est montré désagréable avec moi, en fait, la plupart ont été très gentils et ont dit qu'ils soutenaient la décision de ma femme. Nous avons fini par me trouver une jolie robe qui m'allait bien. Les chaussures ont été plus difficiles à trouver, mais nous avons fini par en trouver une paire avec des talons de 8 cm. Ma femme porte d'habitude des talons de 10 cm, mais elle a dit que je n'étais pas encore prêt pour cela. Je lui ai demandé ce qu'elle voulait dire par là. Elle m'a souri et m'a dit qu'à l'avenir, elle comptait bien me faire porter des talons de 10 cm moi aussi. Je suis resté confus, car il semblait que ma femme avait déjà planifié mon avenir.
Quelques jours plus tard, nous sommes allés déjeuner avec les sœurs de ma femme. Elles sont restées un moment sous le choc, et moi aussi, quand nos regards se sont croisés. Elles m'ont complimenté pour mon apparence, même si elles étaient très surprises de me voir ainsi. Ma femme leur a raconté toute l'histoire, leur expliquant que cela avait débuté par une expérimentation, et que cela avait fortement évolué. Elle a expliqué qu'elle ne m'aurait jamais imaginé me voir porter un article féminin, mais qu'en me voyant travesti pour la première fois, elle avait changé d'avis. Sa sœur Connie m'a dit que j'avais plus l'air d'une femme que d'un homme, et qu'elle approuvait ma femme d'avoir choisi cette voie. Son autre sœur n'était pas convaincue, mais elle m'a dit que je faisais une jolie femme. Le déjeuner s'est bien déroulé, même si j'étais très nerveux à chaque fois que la serveuse venait à notre table, ou qu'une autre personne passait près de nous.
Plus tard, à la maison, ma femme m'a serré dans ses bras et m'a dit que je m'en étais mieux sorti qu'elle ne l'avait imaginé. Elle m'a dit que je faisais une meilleure femme que ce à quoi elle s'attendait. Je l'ai remerciée pour ce compliment. Alors que nous étions assis en train de boire un verre de vin, ma femme m'a parlé de la manière dont elle envisageait la suite. Dans mon esprit, je pensais qu'on était allé si loin qu'il ne pouvait pas y avoir de suite. Ma femme m'a alors dit qu'elle voulait que je devienne sa femme au foyer. Elle a poursuivi en me disant qu'elle m'avait acheté deux tenues de bonne que je pourrais porter durant la journée, plutôt que des joies robes. J'ai dit d'accord, ce qui l'a fait sourire. Elle a ajouté qu'à l'avenir, je n'aurais plus besoin de garder des vêtements d'homme à la maison, car je ne les porterais plus. J'ai rapidement demandé comment j'allais faire si je devais voir le médecin, le dentiste, ou le reste de la famille. Ma femme m'a répondu de ne pas m'inquiéter, et qu'elle allait m'aider le moment venu. Je lui ai demandé si elle attendait de moi que je vive en femme pour le reste de mes jours. Ma femme m'a regardé un moment avant de répondre que oui, c'était ce qu'elle voulait. Wow, je me suis dit en repensant comment tout cela avait débuté. J'ai pensé à mon permis de conduire, et je lui ai demandé comment j'allais pouvoir sortir seul en voiture. Ma femme m'a répondu qu'en temps voulu, nous allions faire changer mes papiers, et mes photos d'identité.
Un soir après le dîner, nous nous détendions après une journée bien remplie. Ma femme m'a dit que tout se passait bien et que je m'étais bien adapté à ma nouvelle vie de femme au foyer. Elle m'a pris dans ses bras pour me dire à quel point elle était fière de moi. Ma femme a poursuivi en disant qu'au début, elle n'avait aucune idée de la manière dont les choses se passeraient. Elle m'a demandé comment je me sentais, ce que j'en pensais, et si j'avais des regrets. Je lui ai répondu que certaines choses étaient allées bien plus loin que je ne l'avais imaginé. A ma grande surprise, ma femme m'a demandé si j'étais prêt à aller plus loin. Je me disais que je ressemblais déjà plus à une femme qu'à un homme, je lui ai alors demandé à quoi elle pensait. Ma femme m'a alors dit que je pourrais me faire poser des implants mammaires, ou même suivre un traitement hormonal pour me faire paraitre, et me sentir encore plus féminine. Je lui ai demandé si elle se moquait de moi. Elle m'a répondu que non, que tout était possible de nos jours. Elle a poursuivi en disant que je semblais être très heureux dans ma nouvelle vie, alors pourquoi ne pas envisager cette nouvelle étape. Je lui ai alors demandé si elle m'aimerait encore si j'avais des seins. Elle m'a souri et m'a dit bien sûr, dans son esprit, cela n'allait faire que renforcer notre relation, car cela serait une preuve supplémentaire de mon amour pour elle.
La semaine suivante, nous avons parlé d'hormones et d'implants mammaires. Nous avons choisi de privilégier les implants mammaires, du moins pour le moment. Mais nous avions prévu d'en parler à notre médecin avant de prendre une décision. En attendant, nous sommes allés voir nos deux mères pour leur présenter mon nouveau moi. Nous tenions à avoir leur soutien avant de passer à l'étape des implants mammaires ou des hormones. Ma mère, bien que choquée de me voir ainsi, a soutenu notre choix de me féminiser. La mère de ma femme était ravie de me voir, d'autant plus que l'une de ses filles lui avait déjà tout raconté à mon propos. Ma femme m'a assuré que ce serait le bon choix pour moi de vivre en femme, et jusqu'à présent, elle avait eu raison. Nos mères m'acceptant ainsi, ma femme et moi avons fixé un rendez-vous pour parler de mes implants mammaires. Cette expérience a été très éprouvante nerveusement, mais cela s'est bien passé. La dame qui s'est occupée de nous à la clinique s'est montrée très cool, ce qui m'a beaucoup surpris. Elle nous a montré différents types d'implants et m'a suggéré la bonne taille. Ma femme et moi avions songé à quelque chose comme un bonnet B, mais la dame a suggéré de prendre plus gros car c'est la tendance aujourd'hui. Elle m'a dit que je finirais très probablement avec un bonnet D, mais elle ne pouvait pas le savoir avec certitude avant l'opération. Au début, je n'étais pas sûr de vouloir de si gros seins, mais ma femme a estimé que cela me conviendrait parfaitement.
Quelques semaines plus tard, nous avions rendez-vous pour l'intervention chirurgicale. Ma femme m'accompagnait, et elle a assisté à l'opération, car elle y songeait aussi pour elle-même, mais attendait de voir le résultat sur moi. L'opération s'est bien déroulée, et j'ai eu des ecchymoses, et ressenti de l'inconfort pendant environ une semaine. C'était difficile de s'habituer aux seins, à cause non seulement de leur poids, mais aussi de leur mouvement quand je marchais. Ma femme m'a constamment soutenu, ce qui m'a aidé à me sentir mieux. J'avoue que les premiers jours, je me suis demandé pourquoi j'avais fait ça, et comment j'en étais arrivé là.
Alors que nous étions sortis avec ma femme pour m'acheter un nouveau soutien-gorge, plusieurs semaines après mon opération, que la plupart des femmes acceptaient très bien notre mode de vie. Une dame m'a dit que tant que je me présenterais comme une femme, et non comme une drag-queen, la plupart des femmes m'accepteraient comme l'une d'entre elles. Pendant mes essayages, une femme a félicité ma femme pour m'avoir aidé à devenir plus féminine, puis elle m'a dit que j'étais jolie.
J'ai commencé à faire les courses seule dans l'un de mes uniformes de bonne. Les femmes que je connais à l'épicerie parlent beaucoup plus avec moi qu'avant. Il semble que le monde soit bien plus ouvert aux hommes féminins ou aux personnes transgenres de nos jours. Est-ce que ça me manque d'être l'homme de la maison ? De temps en temps, mais ma femme m'aime plus comme ça, et c'est tout ce qui compte. Si vous avez une femme aimante qui vous soutient et que vous avez songé vivre dans une FLR (Female Led Relationship – Relation Dirigée par une Femme) ou vivre comme femme au foyer, parlez-lui de vos sentiments. Elle pourrait vous surprendre comme ma femme l'a fait.
Je vous aime.
Tina
Et ses nouvelles créations sont désormais sur: https://www.deviantart.com/wirkungsgeschichte
Suite et fin de l'histoire débutée il y a quelques jours:
Chapitre 1
https://rosepourlesgarcons.blogspot.com/2023/02/les-regrets-dalex-histoire.html
Chapitre 2
https://rosepourlesgarcons.blogspot.com/2023/02/les-regrets-dalex-chapitre-2.html
Chapitre3
https://rosepourlesgarcons.blogspot.com/2023/02/les-regrets-dalex-chapitre-3.html
Les regrets d'Alex – chapitre 4
Les quelques semaines suivantes se déroulèrent sans incident. Alex faisait de son mieux pour bien se comporter, et de manière aussi féminine que possible, toujours dans l'espoir que sa mère décide finalement de le laisser reprendre sa vie de garçon. Mme Guthridge, quant à elle, ne faisait que peu d'allusions à l'éventuelle fin de son enjuponnage, sauf les quelques fois où elle rappelait à Alex que, plus il se montrerait féminin, plus vite sa période en jupes allait se terminer.
Ce qui inquiétait davantage Alex était le fait qu'on ne lui permettait pas de rendre visite, ou même de parler à son ami Richard/Becky. Sa mère lui expliquait que ce n'était pas le bon moment pour voir Richard – que la mère de Richard travaillait dur à sa féminisation, et qu'il valait mieux attendre que Richard ait progressé avant de "la" revoir. Alex avait bien compris que la mère de Richard n'avait pas l'intention de le laisser redevenir un garçon, et chaque jour qui passait, il s'inquiétait de plus en plus que sa mère avait des projets similaires pour lui. Il savait qu'il était dans une situation inextricable. S'il devait oser parler à sa mère de ses soupçons sur le fait qu'elle souhaitait le féminiser pour toujours, ou s'il devait tenter de se comporter de manière plus masculine, il savait que cela ne ferait qu'empirer encore plus les choses, et qu'il serait alors féminisé en permanence. Son seul espoir d'éviter cette destinée était de se comporter volontairement de manière totalement féminine pour plaire à sa mère. Malheureusement, alors qu'il s'habituait à être traité comme une fille, sa mère faisait des réflexions qui l'inquiétaient de plus en plus – des commentaires comme "Oh quel dommage que tu doives redevenir un garçon" ou "tu sais, tu es vraiment très jolie et douce, alors je me dis que peut-être, tu aurais dû naitre fille."
Malgré tout, Alex restait déterminé à trouver le courage de confronter sa mère à propos de sa promesse d'en finir avec son enjuponnage s'il se montrait suffisamment féminin. Finalement, un peu plus de trois semaines après leur visite chez Richard/Becky, Alex osa enfin tenter de parler à sa mère – sans chercher la confrontation, mais de la manière la plus douce et polie possible. "Maman," dit-il, juste avant d'aller se coucher un soir (il savait combien sa mère le trouvait mignon dans sa nuisette de couleur baby blue, et il espérait que cela l'aiderait à se faire entendre), "je, comme tu sais, je voudrais… "
"Oui Alex," réagit sa mère, "dis-moi ce que tu veux me dire. A moins que tu ne veuilles parler de la fin de ton enjuponnage. S'il s'agit de ça – oublie. Tu connais mes sentiments à ce propos. Tes progrès me font plaisir, mais ta punition cessera uniquement quand je le déciderais, et pas avant."
La discussion était terminée avant même de débuter. Alex était sans aucun doute devenu une véritable chochotte, car il ne trouva pas le courage d'ajouter quoi que ce soit. Mme Guthridge embrassa son fils, lui dit combien il était mignon dans sa nuisette, puis lui demanda de régler son réveil une demi-heure avant l'horaire habituel.
Le lendemain matin, Alex se leva tôt, pris sa douche, brossa ses cheveux, puis s'habilla avec une petite culotte, des bas et un porte-jarretelles, des sandales à talons hauts, une petite jupe plissée, et un pull angora très doux. Il prit soin de se maquiller soigneusement, et de retoucher le vernis de ses ongles avant de se présenter devant sa mère pour l'inspection de sa tenue – comme il le faisait chaque matin. Elle lui donna un B+ pour son apparence, et lui dit qu'ils avaient un rendez-vous. Quand Alex demanda où ils allaient, sa mère lui répondit simplement qu'il verrait.
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Version originale de ces captions sur le forum russe (anciennement tg-wonderland)
Dans les commentaires vous pouvez voir que Yulia (Юлия en russe) nous a gentiment indiqué la nouvelle adresse du forum "tg-wonderland":
Je précise que je ne parle pas un mot de russe... Je me sers de "Google traduction", ce qui me permet de comprendre le sens général des histoires, et je les réécris en un français (à peu près) correct.
Suite de l'histoire débutée il y a quelques jours:
Chapitre 1
https://rosepourlesgarcons.blogspot.com/2023/02/les-regrets-dalex-histoire.html
Chapitre 2
https://rosepourlesgarcons.blogspot.com/2023/02/les-regrets-dalex-chapitre-2.html
Les regrets d'Alex – chapitre 3
Alex était resté assis silencieusement en attendant que la solution frisante fasse effet. Andrea retira alors consciencieusement chaque bigoudi, avant de laver ses cheveux à nouveau, puis de les coiffer. "Voilà," dit-elle à Mme Guthridge, "je pense qu'il a l'air adorable avec ses cheveux coiffés de cette manière." "Oui, c'est vrai." Répondit la mère d'Alex. "C'est exactement ce qui lui manquait pour avoir l'air d'une adolescente."
Andrea fit tourner le fauteuil d'Alex afin qu'il puisse se voir dans le miroir. Il avait du mal à croire à la réalité du reflet qui lui faisait face. C'était bien lui – mais il semblait plus jeune – comme s'il avait 15 ou 16 ans, et il avait l'air d'une fille. Cela ne faisait aucun doute. "Dis merci à Andrea, Alex. Elle a fait un travail magnifique, tu ne trouves pas?"
"M… merci Andrea." Balbutia poliment Alex. "Oh, mais je t'en prie." Répondit Andrea avec un large sourire. "Ce n'est pas tous les jours que j'aide quelqu'un à changer d'apparence à ce point. Tu as beaucoup de chance, tu sais. Je sais que ta mère t'a fait ça pour te punir, mais je crois que tu en avais grand besoin. Mais maintenant, il te faudra être prudent. Quand les garçons te verront, tu les attireras comme le miel attire les abeilles."
"Oh, sans doute!" réagit en riant Mme Guthridge. "Qu'en dis-tu Alex. Tu crois que tu es prêt à sortir avec un garçon?"
"MAMAN!" dit Alex en chuchotant pour se retenir de crier. "JE T'EN PRIE."
"Oh, je plaisante." Dit Mme Guthridge. "Tu ne sortiras pas avec des garçons – pas tant que tu n'y seras pas prêt. Bon, allons-y, il nous reste une heure de route avant d'être à la maison."
Alors qu'ils traversaient à nouveau le centre commercial, Mme Guthridge – et son fils – remarquèrent que beaucoup de visages se tournaient au passage d'Alex. Alex évita de croiser des regards, même s'il savait qu'on ne le regardait plus comme un garçon déguisé en fille, mais comme une jolie jeune fille.
Le retour à la maison se fit sans incident. Mais dès leur arrivée à la maison, Mme Guthridge appela chez le meilleur ami d'Alex, Richard. Alex était à l'étage dans sa chambre, et n'entendit pas la conversation – une conversation au cours de laquelle sa mère demanda à la mère de Richard (Mme Anderson), si elle accepterait qu'ils viennent la voir pour lui "montrer quelque chose de nouveau." Mme Anderson répondit "Bien sûr", puis demanda ce qu'ils allaient lui montrer. Dans un rire, Mme Guthridge lui répondit "Eh bien, si vous promettez de ne rien dire à Richard – Alex a beaucoup changé. J'ai décidé de faire de lui une fille."
Quand Alex redescendit de sa chambre, sa mère lui annonça qu'ils sortaient. Craintif, Alex demanda où. "Tu verras." Répondit sa mère en riant, et en le prenant par la main pour le guider jusqu'à la voiture pour effectuer le court trajet jusqu'à la maison des Anderson.
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Quand Alex vit que sa mère avait pris la direction de la maison de son ami, il commença à pleurer et à supplier sa mère de ne pas l'emmener là-bas.
"Maman, je t'en prie, je t'en supplie. Pourquoi allons-nous là-bas?" Pleurnicha-t-il. "Je veux rester à la maison. Je ne peux pas laisser mes amis me voir comme ça. Qu'est-ce qu'ils vont penser de moi?"
"Oh, ça suffit Alex, arrête de pleurer. Je veux rendre visite à Mme Anderson pour lui montrer comment je te punis, et combien cette punition est efficace. Et j'espère que tu te montreras poli, bien élevé, et le plus féminin possible. Souviens-toi, si tu nourris l'espoir de ne plus avoir à porter de jupes d'ici quelques semaines, tu vas devoir me prouver que tu peux être une bonne fille obéissante. Et pour ce qui concerne ce que tes amis vont penser de toi – Eh bien, ils penseront que tu es une chochotte, et ils auront raison. Mais je soupçonne qu'ils seront bien plus inquiets à propos de la possibilité que leur propre mère puisse leur infliger la même chose. C'est bien possible qu'un ou deux d'entre eux se retrouvera en petite culotte très bientôt."
Une minute plus tard, Mme Guthridge garait sa voiture devant la maison des Anderson. La tête basse, Alex accompagna sa mère jusqu'à la porte d'entrée, avec l'espoir qu'au dernier moment, sa mère fasse demi-tour. Mme Guthridge sonna. Alex entendit des pas s'approcher de la porte et avait envie de s'enfuir en courant, mais sa mère tenait fermement sa main. La porte s'ouvrit, et Mme Anderson salua chaleureusement la mère d'Alex.
"Oh, mais c'est Mary Guthridge." S'exclama Kristin Anderson. "C'est gentil à vous de me rendre une visite. Entrez donc. Je vais préparer un café, et vous allez me donner de vos nouvelles."
Alex suivit sa mère dans le salon des Anderson. Mme Anderson n'avait pas encore réalisé que la jolie jeune fille qui accompagnait Mme Guthridge était en fait un garçon – en réalité, le meilleur ami de son fils. Quand Mme Anderson revint avec le café, elle regarda Alex, et son visage changea quand elle le reconnut.
"Alex," dit-elle avec étonnement, "c'est bien toi? Non – c'est impossible. Je suis désolée, jeune fille, je vous ai prise pour quelqu'un d'autre. Oh, que je suis navrée. Mary, dites-moi, qui est cette jeune personne? L'une de vos nièces?"
"Non." Répondit Mme Guthridge en riant. "Votre première impression était la bonne, Kristin. C'est bien Alex."
Mme Anderson détailla longuement Alex. "Eh bien, Alex, c'est toi. C'est incroyable. Tu es bien jolie en fille. Et tu as l'air plus jeune, je dirais 16 ans. Je suis sûre que si Richard te croisait dans la rue, il demanderait à sortir avec toi avant de se rendre compte de qui tu es vraiment."
Puis, se tournant vers Mme Guthridge, Mme Anderson continua. "Alors- racontez-moi. Que se passe-t-il? Pourquoi Alex est-il habillé ainsi?"
"Il est puni, Kristin. Il a été odieux avec ses cousines, et il s'est moqué d'un jeune garçon qu'il a traité de fillette. Vous savez tous les problèmes qu'il m'a causés ces dernières années, alors j'ai décidé que j'en avais assez. J'ai décidé de l'enjuponner, et de le laisser en jupes jusqu'au moment où je serais convaincue qu'il a changé. Au départ, cela devait durer une semaine, mais maintenant, avec sa nouvelle coiffure, Alex a choisi de rester en fille pour au moins deux semaines, et après, eh bien, on verra. Au fait, est-ce que Richard est là? J'aurais voulu qu'il voie Alex, pour que tous les garçons de leur bande sachent ce qui se passe. Je voulais aussi leur demander de ne pas se moquer d'Alex, et de simplement le traiter comme une fille pour la durée de sa punition."
"Malheureusement, Richard est au cinéma," répondit Mme Anderson, "mais soyez sûre que je lui parlerais d'Alex. Et bien sûr que je lui demanderais de dire aux autres garçons de ne pas être méchants avec Alex. Oh – j'ai une idée. Je vais prendre une photo d'Alex pour la montrer à Richard. Et d'ailleurs, je me demande si cela ne ferait pas du bien à Richard d'être lui aussi enjuponné. Quand je lui montrerais la photo, je lui ferais bien comprendre que ceux qui se moqueront d'Alex subiront le même traitement."
Mme Anderson monta à l'étage pour chercher l'appareil photo. "Tu vois, je t'avais dit que tout se passerait bien." Dit la mère d'Alex tandis qu'ils attendaient. "Tu as beaucoup impressionné Mme Anderson, et je pense qu'il y a de bonnes chances qu'elle fasse la même chose à Richard. Ce serait formidable. Vous pourriez rester bons copains – on pourrait même dire bonnes copines. Vous pourriez même partager votre garde-robe, ou sortir ensemble à quatre avec des garçons."
"MAMAN!" Supplia Alex. "Ce serait horrible. Je ne veux pas sortir avec un garçon. Je ne veux pas rester une fille. Et puis tu ne peux pas laisser Mme Anderson faire ça à Richard. On ne peut pas être copines. Cela… cela ne serait pas bien."
"C'est bien si sa mère et moi disons que c'est bien!" Répliqua Mme Guthridge. "Et en plus, je pense que ce serait bien plus facile pour toi si tu avais un ami avec qui partager ça. Sauf peut-être si vous devenez jaloux du petit copain de l'autre." Elle rit.
C'est à ce moment-là que Mme Anderson fut de retour avec l'appareil photo. Elle prit cinq ou six photos d'Alex, dans une variété de poses différentes. En regardant les photos, Alex lui-même resta sous le choc en voyant à quel point il ressemblait à une jeune fille adolescente – en plus jolie, et on pourrait même dire sexy!
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