Je publie sur ce site beaucoup
d'histoires de garçons féminisés contre leur gré. Ce ne sont (heureusement) que
des fantasmes… Dans cette histoire, le doute est permis:
Un garçon de 8 ans transformé
en fille par sa mère
pour se venger de son ex-conjoint?
(Trouvé
dans un article du Huffington Post Québec: Afin de ne pas identifier
l'enfant d'âge mineur, les prénoms sont fictifs.
Éric est né
dans le corps d'un garçon. Son père, Pierre assure que son garçon "jouait
avec des camions jusqu'à l'âge de 6 ans". Sa mère, Caroline, répond plutôt
que l'enfant "s'habillait en fille dès l'âge de 3 ans".
Pierre
souligne que c'est à la suite de la rupture amoureuse, alors que l'enfant était
âgé de 5 ans, que la mère a changé son prénom pour Marguerite et lui a acheté "des
jupes, du maquillage et des bottes à talons hauts".
Des
allégations rejetées par la mère. "J'ai eu un méga deuil à faire quand mon
enfant m'a dit qu'il était une fille prise dans son corps comme dans une petite
prison", livre la mère, la gorge nouée par l'émotion.
Elle
mentionne que "ça n'a pas été facile aussi pour mes deux autres enfants,
une fille majeure et un garçon adolescent".
"Tous
les deux perdaient leur frère et devaient maintenant jouer avec une fille".
Le père
refuse d'embarquer dans les "folies de la mère".
"J'ai
des centaines de photos de mon enfant, de sa naissance jusqu'à l'âge de 5 ans,
et pas une seule fois, il porte des vêtements de fille. C'est juste pour se
venger de moi qu'elle a transformé notre enfant", lance avec rage le père
de famille.
Pierre
ajoute que ce n'est pas la première histoire de "changement de sexe"
dans la famille de Caroline.
"À
l'âge de 50 ans environ, mon ancien beau-père - c'est-à-dire le père de mon ex-
conjointe et le grand-père de mon garçon - a décidé qu'il était une femme et
qu'il s'habillerait en femme. Et un matin, j'ai dit à mon ex-copine: "là
c'est assez, ton père doit quitter la maison", car j'avais accepté de
l'héberger".
C'est que
Pierre venait d'assister à un "film d'horreur". "Mon beau-père
était couché sur le divan en string, avec des bas pour porte-jarretelles, de
grandes bottes de danseuse, du rouge à lèvres et une perruque blonde", se
souvient-il qualifiant la scène de "dégoutante".
"Voilà
pourquoi je parle de vengeance. Elle savait que ça me choquait de voir son père
en femme. En changeant mon garçon en fille, elle sait que ça me fait chier".
La mère
assure de nouveau qu'elle pense à l'enfant en premier. "Comme mère, ce que
l'on veut, c'est le bien de notre enfant. Quoi de plus réconfortant que
d'entendre sa fille te dire: "Maman merci de m'aimer comme je suis"?"
Le père
rétorque que son garçon n'a jamais exprimé son désir de devenir une fille
lorsqu'ils demeuraient tous sous le même toit. "Quand sa mère et moi
étions un couple, il n'a jamais dit qu'il n'était pas bien dans son corps.
Cette idée folle est survenue après avoir subi un lavage de cerveau de sa mère".
La mère a
tenté d'obtenir de l'aide financière en ouvrant un compte sur le site de
sociofinancement GoFundMe portant le titre "Faites d'un petit prince, une
petite princesse". Un juge a forcé la fermeture de la page, selon le père.
"Peut-elle
vivre comme elle veut?!" s'impatiente la mère.
"Pour
l'instant, il n'est pas question de transformation complète. Elle décidera
elle-même lorsqu'elle sera plus grande si elle veut changer de sexe", explique
la mère en précisant que "la petite se tient avec des garçons à l'école"
et qu'elle y bénéficie de l'encadrement d'une infirmière formée pour travailler
auprès des personnes transgenres.
Alors que
les deux parents étaient en couple, "jamais elle m'a mentionné qu'elle
voulait "remplacer" notre fils pour en faire une fille", martèle
à plusieurs reprises Pierre.
"La
seule chose qu'elle souhaitait lorsqu'elle était enceinte, comme la majorité
des parents, c'était un bébé en santé", précise le père de famille.
Pierre
n'oubliera jamais le choc de la première fois. "Après avoir obtenu du
Tribunal un droit de visite une fin de semaine sur trois, j'ai été foudroyé en
allant chercher mon fils. En l'espace d'un été, mon garçon était devenu une
fille. Je me souviendrai toujours qu'elle portait de grandes bottes à
aiguilles, une jupe, un bandeau avec une fleur sur la tête et du rouge à lèvres",
se remémore-t-il avant de marquer une longue pause.
"J'ai
pleuré toutes les larmes de mon corps".
Un
changement aussi draconien ne passe pas inaperçu à l'école non plus. "Il
était un garçon avant de quitter sa classe en juin et il est devenu une fille
au retour des classes en septembre. La direction de l'école a même refusé qu'il
se présente en classe lors de la première journée du retour des vacances. Il
n'a pu reprendre ses cours que quatre mois plus tard. Pas surprenant qu'il ait
doublé", estime le père.
Ce que
Pierre ne comprend pas et refuse d'accepter, c'est que "l'école fonctionne
maintenant comme si c'était une fille".
"Sur
ses examens, c'est son nom de fille qui est écrit. C'est la même chose sur les
papiers de justice de même qu'à la pharmacie avec une prescription au nom de
Marguerite avec entre parenthèses le nom d'Éric. Épouvantable!", s'exclame
le papa trentenaire.
Ne voulant
surtout pas déplaire à son fils, le père a, en quelque sorte, remédié à la
situation. "Quand il est chez moi, je le prénomme ti-loup étant incapable
de prononcer le prénom Marguerite. Il ne veut pas que je le prénomme Éric car
sa mère a poursuivi son lavage de cerveau en disant que tous les hommes sont
des crosseurs".
"J'ai
peur que mon enfant se retourne contre moi et ne veuille plus me voir si je
l'oblige à être un garçon en visite chez moi. Je le laisse choisir et par
lui-même, il porte souvent des manteaux de gars, conduit son VTT et se comporte
comme un garçon. Pas de manucure ou pédicure chez moi".
Quant à
l'enfant lui-même, son père est renversé de voir que son fils lui parle de se
"faire enlever le pénis pour le remplacer par un vagin".
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire