lundi 1 janvier 2024

Lettres de "Petticoat Discipline Quarterly"

Les lettres publiées sur le site "Petticoat Discipline Quarterly" (fermé depuis quelques mois) racontaient des témoignages de "petticoat discipline" (discipline par le jupon, ou "enjuponnage")

 

Bonne année à tous!!!

Et surtout, bonne santé!

 

COMMENT TOUT A COMMENCE

Par Sheila

Chère Tatie Helga,

Quand j'étais enfant, ma mère et moi habitions une petite maison isolée à la campagne. Ma tante et ses deux filles, un peu plus âgées que moi, vivaient dans la ville voisine. J'entrais en 6e année et j'avais des envies inhabituelles pour un garçon, comme celle de découvrir ce qu'on ressentait en s'habillant en femme. C'était un samedi matin et maman avait été appelée au travail à l'improviste pour la journée.

Nous aurions dû aller rendre visite à mon père, qui était dans un hospice pour vétérans de l'armée suite à un trouble de stress post-traumatique. Cet hospice, les gens qui y travaillaient et surtout les patients me donnaient la chair de poule. J'étais soulagé de savoir que nous n'allions pas y aller, et que j'allais pouvoir profiter de cette journée pour moi seul.

Cela allait être une journée spéciale pour moi, mais je n'imaginais pas à quel point. J'avais récemment reçu une perruque que j'avais commandée en ligne. J'ai décidé que ce serait la journée idéale pour enfin m'habiller entièrement en fille. J'ai commencé en vernissant mes ongles d'un rouge vif. J'ai ajouté du rouge à lèvres, puis ma perruque, à laquelle j'ai ajouté des barrettes ornées de rubans roses. Je me suis regardé dans la glace. Je me suis senti bizarre, mais je me suis demandé ce que je ressentirais une fois entièrement habillé en fille.

J'ai fouillé dans le tiroir à lingerie de maman et j'ai mis un de ses soutiens gorges et une gaine en dentelle. J'ai utilisé deux ballons remplis d'eau que j'ai insérés dans le soutien-gorge pour me donner des seins. Je commençais à sentir la chaleur m'envahir. Puis j'ai vu son jupon à crinoline et je l'ai enfilé. J'ai été émerveillé par la façon dont il remodelait mon corps. En regardant dans son placard, j'ai trouvé une belle robe blanche à fleurs bleues qui était également ornée de dentelles sur la jupe. C'était un matériau soyeux. Je l'ai enfilée et j'ai frémi tant les sensations étaient agréables. La robe se plaçait magnifiquement sur mon jupon à crinoline. Il m'a fallu un certain temps avant de parvenir à la fermer dans le dos. Finalement, je me suis regardé dans le miroir, j'ai tourné sur moi-même et j'ai crié de plaisir.

J'avais encore besoin d'une paire de chaussures et bien sûr de bas. C'était la première fois que je portais une gaine équipée de jarretelles. Je me suis assis dans un fauteuil du salon, et j'ai lentement enfilé et attaché chaque bas.

En me relevant pour m'admirer dans le miroir, je ne pouvais pas croire à quel point je ressemblais à une fille. Il faisait beau, alors pour calmer mes nerfs, je suis sorti m'assoir dans la balancelle dans le jardin. J'ai adoré la manière dont ma robe bougeait quand je marchais, et la façon dont le vent a fait voler ma robe pendant que je me balançais. C'était une sensation merveilleuse que je n'avais jamais ressentie. J'avais l'impression d'être au paradis…

Puis soudain, le choc… J'ai entendu une voix m'appeler. Je n'avais pas entendu la voiture de maman s'arrêter devant la maison. Je me suis brusquement levé de la balancelle et j'ai couru vers la maison pour me retrouver face à face avec le regard interloqué de maman. Je ne sais pas qui a été le plus choqué, moi ou elle.

Je lui ai immédiatement demandé: "Mais, qu'est-ce que tu fais là? Tu n'étais pas censée être à la maison?" Maman m'a demandé: "Mais, pourquoi es-tu habillé en fille? Je me suis arrangée et j'ai décidé que nous allions tout de même aller voir ton père. Alors, allons-y!" J'ai dit que je devais me changer, mais maman m'a arrêté: "Non, il est évident que tu avais envie d'être une fille aujourd'hui, alors tu vas y aller comme ça! Prends ton sac à main, et allons-y." J'ai répondu: "Mais je n'ai pas de sac!" Elle m'a dit: "Je t'en prête un, et tu pourras y mettre ton tube de rouge à lèvres."

En montant dans la voiture, je tremblais de tos mes membres. Maman m'a dit: "Je ne peux pas croire que tu te sois habillé en fille comme ça, tout seul." J'étais très nerveux. Maman m'a demandé: "Pourquoi t'es-tu habillé en fille? C'est la première fois?" Enervé, j'ai juste répondu: "Parce que!" J'étais incapable de trouver une raison ou une excuse pour justifier ma tenue. Je me demandais ce qui m'attendait, et comment c'était possible d'aller faire face à mon père dans son hospice dans cette tenue.

Mais les choses allaient encore se compliquer. Maman m'a dit que nous faisions d'abord un détour pour passer chez ma tante. A notre arrivée devant sa maison, j'espérais ne pas avoir à sortir de la voiture. Maman a alors saisi un paquet qui se trouvait sur le siège arrière, me l'a tendu, et m'a dit d'aller l'apporter à ma tante.

J'ai pris le paquet à contrecœur et me suis dirigé vers la porte d'entrée. Elle était verrouillée, j'ai donc dû sonner à la porte. J'espérais que ma tante ouvrirait, mais malheureusement, c'est une de mes cousines qui a ouvert la porte. Quand je lui ai dit que j'avais un colis pour sa mère, elle s'est mise à rire. Elle a crié à sa mère: "Billie est là avec un paquet pour toi et il est habillé en fille!" Sa sœur et une de ses amies de l'école sont arrivées et elles ont toutes deux commencé à rire en me voyant. Ma tante est arrivée à son tour et a commencé à rire en me voyant, puis m'a dit: "Oh, mais quelle jolie fille, et quelle jolie robe!"

Maman est finalement venue me rejoindre dans la maison. Elle a alors expliqué à ma tante qu'elle m'avait trouvé habillé ainsi, et qu'elle avait décidé de me laisser dans cette tenue pour aller voir mon père. Elle m'a ensuite demandé de décrire à ma tante et à ses deux filles tout le processus qui m'avait mené à m'habiller ainsi. Ma tante a trouvé que c'était une bonne idée de me laisser habillé en fille puisque c'était ce que j'avais choisi de faire. Elle a ensuite dit qu'elle avait certainement quelques anciennes robes de ses filles qui pourraient m'aller, et qu'elle pourrait me les donner tout de suite, si je pouvais attendre quelques minutes. Maman a répondu: "D'accord, mais dépêche-toi." Ma tante est alors allée chercher quelques robes qu'elle m'a données en me disant: "Elles devraient bien t'aller. Tu fais une si jolie fille!"

Nous sommes retournés à la voiture, et en démarrant, maman m'a dit: "Bon, on dirait que tu as maintenant ta propre garde-robe bien garnie!"

Il fallait environ une heure et demie pour se rendre à l'hospice. Nous faisions toujours un arrêt dans le restaurant où maman travaillait pour manger un morceau avant de poursuivre notre route. Ce jour-là, malgré mes protestations, nous nous sommes arrêtés comme d'habitude.

Je connaissais toutes les serveuses, et elles me connaissaient toutes. A notre entrée, j'ai senti ma robe se balancer tandis que je marchais, avec le sac à main que ma mère m'avait prêté accroché à mon épaule. Le restaurant était bondé, et l'une des serveuses nous a guidé à une table avec un grand sourire: "Ces dames sont de sortie pour la journée?" J'ai répondu que oui. L'une après l'autre, chaque serveuse est venue passer un instant à notre table pour nous saluer, et chacune m'a regardé avec un grand sourire.

Finalement, de retour dans la voiture, je commençais à me faire à l'idée d'être une fille pour la journée. Le vent soufflait fort à notre arrivée à l'hospice, et ma mère m'a recommandé: "Fais bien attention à ce ta robe ne se soulève pas. On pourrait voir ta petite culotte." Elle a ajouté: "tu devrais retoucher ton rouge à lèvres avant d'entrer."

La marche entre le parking et l'entrée de l'hospice m'a semblée interminable. Je luttais contre le vent qui soulevait ma jupe. A notre entrée, alors que nous nous dirigions vers le comptoir d'accueil pour nous enregistrer, une infirmière qui a reconnu ma mère a demandé: "Bonjour, mais qui est cette jeune fille avec vous?" Maman a répondu: "Oh, c'est mon fils Billie, il a décidé qu'il voulait s'habiller en fille aujourd'hui!" L'infirmière a ri et a dit : "Il fait une bien jolie fille, vous devriez le garder ainsi."

Mon père était dans une grande chambre avec beaucoup d'autres patients, et plusieurs infirmières qui connaissaient ma mère. Mon père a été choqué de me voir habillé en fille, et a demandé à ma mère pourquoi j'étais dans cette tenue. Ma mère lui a expliqué qu'elle m'avait trouvé dans cette tenue en rentrant à la maison, et que c'était moi qui avais choisi de m'habiller ainsi. Papa m'a demandé si c'était vrai, et je lui ai timidement répondu: "Oui papa!"

La journée s'éternisait. J'ai été particulièrement gêné lorsque nous avons rencontré le psy de papa. Maman m'a fait expliquer au psy que je m'étais habillé en fille parce que je pensais que j'allais rester seul à la maison, puis qu'elle m'avait surpris dans cette tenue en rentrant à l'improviste. Cela était étrange et effrayant de parler de tout ça à un psy dans une sorte d'hôpital psychiatrique. Le psy m'a posé des tas de questions bizarres, puis il a demandé à ma mère si j'allais à nouveau revenir habillé en fille. Ma mère lui a répondu que j'allais toujours être en fille désormais.

Plus tard, sur le chemin du retour, maman m'a dit que j'avais montré de bien meilleures manières en fille. Par la suite, nous sommes retournés voir mon père toutes les deux semaines cet été-là, et à chaque fois, j'étais complètement habillé en fille, dans l'une des robes que ma tante avait offertes à maman pour moi. Plus rien n'a jamais plus été pareil après ce jour-là. J'ai continuellement été traité comme une fille par ma tante et mes cousines.

Sheila

 

Merci pour votre lettre, Sheila. Beaucoup de garçons ont ces envies et cette curiosité, mais peu franchissent le pas pour essayer, et après que vous ayez été surpris, vous avez entretenu ces désirs spéciaux. Quelle merveilleuse manière de débuter une vie de garçon féminisé. J'aimerais en apprendre plus sur ce qui vous est arrivé par la suite.

Tatie Helga

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