jeudi 26 octobre 2017

Défié à devenir une fille

Il y a longtemps, j'étais fan d'un site en anglais (sans doute le seul site pour lequel j'ai accepté de payer des droits d'accès). Ce site, "Bobbie's sissy site", était mis à jour chaque mois avec de nouvelles histoires originales et des lettres de lecteurs qui racontaient leur histoire (vraie ou pas?).
Comme ce site est désormais fermé depuis quelques années, je suppose que je peux publier certaines de ses histoires. En voici une que j'ai traduite:



Cher Bobbie,

J'ai lu la plupart des lettres et des histoires publiées sur votre site, et je me sens concerné par beaucoup d'entre elles. Mon histoire est cependant quelque peu différente.
Mon père est décédé quand j'étais très jeune. Maman travaillait beaucoup. C'est pourquoi je restais souvent seul. Vers l'âge de 14 ans, j'avais une petite amie. Ce n'était pas encore une véritable relation, nous passions du temps avec des amis, trainions ensemble au centre commercial, ou d'autres occupations du même genre. Un soir, pendant une fête, nous avons commencé à jouer à "action ou vérité" (vérité ou défi en anglais). Bon, c'est plutôt d'habitude un jeu pour les filles, mais cette fois, les garçons participaient.
C'était mon tour. Ma petite amie Kim me demanda: "action ou vérité?"
Je lui demandais: "Si je choisis action, quel sera mon défi?"
Elle me répondit: "Je ne peux pas te le dire."
"Tu ne peux pas me le dire? Alors comment saurais-je si ça vaut la peine de dire la vérité?"
"C'est la règle du jeu!"
Une de ses amies intervint: "Attendez, on peut te le dire en avance, que ce soit la vérité ou l'action, mais ce sera plus difficile!"
Après un bref instant de réflexion, je donnais mon accord.
"La vérité…" Kim s'arrêta un instant pour y réfléchir. "La vérité que tu dois nous dire est: aime-tu l'une de mes amies? Et le défi…" Son amie se pencha vers elle pour chuchoter à son oreille, et elles se mirent à rigoler: "Le défi est que tu devras porter l'un de mes maillots de bain la prochaine fois qu'on restera dans le jardin."
Je répondis: "C'est facile! Ma réponse est non!"
"Non? Comment ça, non?"
Avec un grand sourire je précisais: "Non, je n'aime aucune de tes amies."
"Euh, Brian?"
"Oui?"
"Je suis désolée, mais tu ne dis pas la vérité."
Je me mis à crier: "Quoi! Qu'est-ce que tu racontes? Je pense que je le sais quand j'aime quelqu'un."
"Tu te souviens de la fête de samedi dernier?"
"Oui, j'y étais avec toi!"
"Tu étais avec moi, mais tu m'as dit que mon amis Lisa était jolie!"
"Ben ouais, je la trouvais jolie, ça ne veut pas dire que je l'aime!"
"Donc, tu ne l'aimes pas?"
"Ben non, c'est pas ça. Je ne veux pas sortir avec elle. J'aime bien toutes tes amies, mais je ne veux pas sortir avec elles."
"Tu viens donc d'admettre que tu aimes mes amies. Qu'est-ce que tu préfères, rose ou violet?"
"Pourquoi cette question?"
 "Parce que je dois savoir quel maillot de bain je dois amener la prochaine fois que je viens te voir pour bronzer dans ton jardin."
"Inutile d'en amener un. Je ne vais pas accepter ton stupide défi. Tu te moques de moi."
"Désolée, mais c'est le jeu!"
Furieux, je me levais et me dirigeais vers la porte: "J'en ai marre, je rentre chez moi!"
Kim ne me suivit pas. Elle ne chercha même pas à me rejoindre plus tard. Je finis par aller me coucher.
Le lendemain matin, un baiser me réveilla. En ouvrant les yeux, je vis Kim penchée sur moi. Elle me dit: "Ta mère m'a laissé entrer. Tu es toujours fâché pour hier soir?"
"Non, pas vraiment. Mais je ne vois pas pourquoi je devrais accepter ce défi."
"Et pourquoi pas? Tu n'as aucune raison d'être aussi nerveux. Personne ne te verra, je ne le raconterais à personne, et on pourra rester dans ton jardin."
"Pourquoi cela te semble si important?"
"Je trouve seulement que ce serait drôle."
"Bon, OK, mais personne ne doit le savoir, et puis ça ne doit pas durer trop longtemps."
Elle fit un large sourire: "C'est bien, j'ai apporté mes maillots de bain. Je me disais que tu changerais d'avis!"
Elle les sortit de son sac et me les présenta, un dans chaque main: "Rose ou violet?"
En découvrant qu'il s'agissait de bikinis, je lui dis: "je ne vais pas porter ça, je pensais qu'il s'agissait de maillots une pièce."
Elle prit sa mine boudeuse: "Tu as pourtant accepté!"
"Bon, OK, je m'en fiche de la couleur."
Elle me lança le bikini violet, puis, après m'être déshabillé, elle m'aida à l'enfiler.
Elle se recula pour me regarder: "Tu es plutôt mignon comme ça, mais il faudrait quelque chose pour remplir le soutien-gorge."
Après avoir cherché un bref instant, elle prit une paire de chaussette, qu'elle roula en boules avant de les glisser dans les bonnets du soutien-gorge. Elle enfila ensuite son bikini, me prit par la main et m'entraina vers l'extérieur. Je m'arrêtai soudain.
Elle me regarda et vit que j'étais effrayé: "Ne t'inquiètes pas, on est seuls. Ta mère est déjà partie travailler."
Je la suivis, puis, à notre arrivée à la porte, je jetais un coup-d'œil pour vérifier que personne ne venait avant d'oser sortir.
Après environ 45 minutes, je dis: "Bon, ça suffit, il fait trop chaud, je rentre."
Je rentrais, me changeais, et préparais un petit-déjeuner pour Kim et moi. Plus tard, Kim me proposa d'aller nous baigner dans notre piscine. Avec la chaleur, j'acceptais et j'allais enfiler l'un de mes maillots de bains normaux. Kim était déjà dans la piscine quand je vins la rejoindre, et quand elle me vit arriver elle sembla surprise.
"Qu'est-ce qu'il y a? Qu'est-ce que tu regardes?"
Elle désigna ma poitrine: "Regarde!"
"Quoi, qu'est-ce qu…"
Je m'interrompis immédiatement en découvrant la trace évidente qu'avait laissée le bikini sur mon bronzage. J'étais sous le choc:
"Qu'est-ce que je vais faire? Je ne peux pas rester comme ça!"
"Bah, garde un tee-shirt quand tu es avec des gens, et puis continue à te laisser bronzer quand tu es seul. Ces marques devraient disparaitre assez vite."
Je fis ce qu'elle m'avait recommandé, et le lendemain soir, toute trace du bikini avait disparu.

lundi 23 octobre 2017

Auteur original: Tricia

Version originale sur: https://tricias-captions.tumblr.com/
  
Converti par la famille. Quatrième partie. 


L'année dernière, je portais toujours des jeans et des tee-shirts, le plus souvent tâchés. Je me demandais quand j'allais enfin devenir un homme et avoir de la barbe. Mais ma mère et ma sœur "intervinrent".
Je dois admettre que je suis bien plus heureux aujourd'hui. Mon pénis est insignifiant, et mes amies (pas mes petites amies, juste des filles qui sont mes amies) font de leur mieux pour que je me sente bien.
Elles sont formidables, n'est-ce-pas? 

    


C'est si bizarre! Quand j'étais un garçon dans une école publique, on me brimait et on se moquait de moi parce que j'étais doué en maths. Maintenant, depuis que ma tante m'a féminisé et m'a inscrit dans cette école privée de filles, le fait d'être doué en maths me permet de séduire toujours plus de filles. 


 
 

C'était le plus beau jour de la vie de Ben. Il faisait du shopping avec sa tante Peggy, et il essayait et achetait les plus jolies robes. Sa mère et son père lui manquaient toujours, mais sa tante Peggy comprenait sa personnalité profonde et la cultivait, plutôt que de le forcer à la cacher.




 


J'ai dit à maman que David serait ridicule avec la perruque rose, mais elle me demanda de le laisser essayer. Je dois admettre qu'elle avait raison et que j'avais tort. 


 

 En général, je demande à mes deux filles de travailler pour moi quand j'organise un événement. Mais il y a un mois, j'ai obtenu un contrat qui nécessitait la présence de trois serveuses. Lisa suggéra que son petit frère participe à l'entreprise familiale. "Mais, c'est une soirée pour une association féministe, exclusivement composée de femmes. Ce serait bizarre d'y voir travailler un garçon adolescent." Paige me répondit: "Ce n'est pas grave, il suffit de le féminiser. Depuis que Papa nous a quittés il y a quatre ans, j'ai toujours pensé que nous devrions n'être qu'entre filles à la maison."