jeudi 30 mai 2024

Auteur original: Linda Trainer

Version originale sur le site: http://lindastgcaptions.blogspot.com/

La nouvelle lingerie sexy


 "Oh Belinda! Viens ici!" a appelé ma femme depuis sa chambre en faisant sonner une cloche qu'on entendait à travers toute la maison. J'avais redouté cet instant toute la nuit.

Quatre heures plus tôt, avant de sortir avec son nouvel amant, ma femme m'avait tendu un paquet venant d'une boutique de lingerie du centre-ville. "C'est un nouvel ensemble avec culotte et soutien-gorge. Je veux que tu portes ça quand je rentrerais à la maison. Et je veux que tu aies ce nœud dans les cheveux. Ainsi que ce gant. Tu as compris?"

"Oui Madame," ai-je répondu docilement. Et alors que ma femme était sortie, j'ai enfilé cet ensemble comme elle me l'avait ordonné. J'ai soigneusement replié mon petit sexe pathétique entre mes jambes pour qu'on ne voie pas de bosse disgracieuse. J'ai ensuite pris soin de me coiffer et de me maquiller du mieux possible.

Ma femme est rentrée depuis environ une heure, et elle est restée avec son amant dans la chambre. J'ai attendu en silence dans la buanderie, qui me servait désormais de chambre. Et maintenant, elle attendait ma présence.

Je me suis dépêché de monter les escaliers jusqu'à la chambre parce que ma femme déteste attendre. Et j'ai trouvé ma femme et son amant dans le lit, complètement nus, et essoufflés d'avoir fait l'amour.

"Tu vois Charles, tu ne me croyais pas. Voici mon mari féminisé. Je l'appelle Belinda." A expliqué ma femme à son bel amant musclé.

"Impossible!" S'est-il exclamé. "Cette jolie poulette a été ton mari?"

"Eh bien, malheureusement, techniquement, il est toujours mon mari, mais ce n'est pas important." Puis elle a ajouté: "Bon, ne reste pas là, Belinda. Montre-nous ta nouvelle lingerie. Prends quelques poses sexy, et montre-nous à quel point tu es mignon et féminisé. Je veux te prendre photos."

Comme elle me l'a demandé, j'ai pris diverses poses, tandis que ma femme prenait des photos. Je voyais les draps qui couvraient Charles se soulever pendant qu'il me regardait. Il était évident qu'il aimait ce qu'il voyait, et qu'il commençait à être excité.

"Tu sais, Charles, Belinda n'a pas seulement l'air d'une fille. Oh non, il suce aussi comme une fille. N'est-ce-pas Belinda?"

"Oui Madame," ai-je répondu avec honte. Ce n'était pas la première fois que ma femme ramenait un amant à la maison, et me forçait à "m'occuper de lui".

"Bien, alors ne reste pas là. Approche toi et pose tes lèvres là-dessus," A-t-elle ordonné en écartant le drap. J'ai eu le souffle coupé en voyant la taille monstrueuse du sexe de son amant. En lisant le choc sur mon visage, ma femme a éclaté de rire. ""Allez, au travail!"

dimanche 19 mai 2024

Captions du site "forcedfemme99"

Il y a quelques années, ce site a proposé des captions, avec notamment des images un peu "vintage" que j'aime beaucoup (sans doute en raison de mon grand âge 👴). Hélas, il a fermé au bout de quelques semaines à peine. J'ai tout de même sauvegardé certaines captions de ce site, que j'ai décidé de vous faire partager. En espérant que l'auteur original ne m'en voudra pas!





vendredi 17 mai 2024

Lettre de "Petticoat Discipline Quarterly"

Les lettres publiées sur le site "Petticoat Discipline Quarterly" (fermé depuis quelques mois) racontaient des témoignages de "petticoat discipline" (discipline par le jupon, ou "enjuponnage")

 

MAMAN M'A FORME POUR ETRE SA SERVANTE FEMINISEE

Par Christine

Chère tatie Helga,

Voici mon histoire qui raconte comment ma mère m'a formé pour être sa servante féminisée (sissymaid dans le texte original). Tout a commencé il y a environ un an, quand j'ai eu ce désir très fort d'être un domestique. A cette époque je n'avais vu que des photos d'hommes d'intérieurs ou de soubrettes traditionnelles. J'ignorais l'existence des servantes féminisées. Pourtant, j'en ai parlé à ma mère. Elle a ri à cette idée, m'expliquant qu'être domestique de quelqu'un représentait un travail très dur. Ma mère voulait en savoir plus, alors je lui ai montré le site Internet sur lequel j'avais lu des histoires d'hommes travaillant comme servantes. Là encore, ma mère a ri en pensant aux hommes habillés en soubrettes, mais elle s'est dit que cela pouvait être une bonne idée. Nous en avons reparlé plusieurs fois avant que ma mère a dit que je pourrais être sa servante. Elle m'a fait assoir devant l'ordinateur, et m'a montré des tenues de soubrettes, y compris les dessous. Tout cela était nouveau pour moi, mais je restais à regarder les images et j'écoutais ce que me disait ma mère. Finalement, ma mère a décidé que je devais porter un uniforme de servante professionnel, plutôt qu'un uniforme de soubrette de fantaisie.

Ma mère a pris mes mesures, puis m'a proposé un accord. Elle allait m'acheter la lingerie, car je n'y connaissais absolument rien, mais j'allais devoir acheter moi-même les uniformes et les chaussures. Ma mère a trouvé les boutiques où je devais aller, et les a même appelées pour les prévenir de ma venue, ce que j'ai appris plus tard. Un matin, j'ai quitté la maison avec la liste des articles que je devais acheter. Je me suis rendu dans un magasin qui vendait toutes sortes de tenues professionnelles. Là-bas, j'ai d'abord cherché le rayon des uniformes de soubrette. J'ai ensuite essayé de trouver un uniforme à ma taille, mais c'était compliqué de faire ça sans me faire voir. Cela n'a pas duré longtemps avant qu'une vendeuse ne s'approche pour m'aider. Elle m'a demandé si j'étais Chris, ce qui m'a surpris, mais j'ai dit oui. Elle m'a alors dit que ma mère avait appelé, et qu'elle savait que j'étais là pour acheter trois uniformes. J'ai fortement rougi en entendant cette femme me dire tout ça. Elle m'a alors expliqué qu'il n'y avait aucun problème, et qu'elle avait l'habitude de vendre ce genre d'uniforme à des hommes. Cela m'a fait me sentir mieux, mais en même temps, j'étais troublé. Je suis resté longtemps dans ce magasin avant de trouver mes achats et de rentrer à la maison.

Ce n'est que plusieurs heures plus tard que maman est rentrée avec ses achats. Elle m'a dit que j'avais intérêt à être sûr que j'avais envie d'être une servante avec tout ce qu'elle avait acheté pour moi. Je lui ai répondu que j'en étais sûr, même si ma connaissance de cette activité se résumait à quelques photos vues sur Internet. Ma mère a examiné les uniformes que j'avais achetés avec un large sourire. Elle m'a dit que cela avait été amusant de m'acheter de la lingerie, et qu'elle avait eu un fou rire à plusieurs reprises pendant ses achats. Elle m'a alors montré ce qu'elle m'avait acheté. Je ne pouvais pas y croire en voyant la quantité d'articles. Ma mère m'a demandé de l'aider à faire de la place dans mes tiroirs et mon placard. Ensuite, elle a choisi une tenue pour moi, et nous avons commencé à m'habiller. Peu de temps après, je me suis retrouvé devant ma mère habillé en soubrette. Elle s'est beaucoup amusée à m'aider à m'habiller, et a ri en voyant le résultat final. Cela a été mon premier jour en tant que sa servante.

Les jours suivants, j'ai appris à m'habiller seul. Ma mère m'a appris à me maquiller, et m'a montré comment raser mon corps. Elle m'a aussi appris à faire le ménage, la cuisine, la lessive et le repassage. Pendant que je travaillais, elle cherchait sur Internet plus d'informations sur les garçons et les hommes qui jouent les servantes. Elle en a appris beaucoup sur les servantes féminisées bien avant moi. De mon côté, j'étais heureux de réaliser mon désir d'être la servante de ma mère, même si je me rendais compte que le travail était bien plus dur que je n'avais pensé. Un jour, ma mère m'a demandé si cela me conviendrait d'être sa servante à plein temps. Elle songeait à se débarrasser de toutes mes affaires de garçon, de me laisser pousser les cheveux, ainsi que mes ongles. Je n'avais pas imaginé à quel point ma mère accepterait de me soutenir dans mon désir et je n'avais pas envisagé de franchir ce pas. Pour moi, il ne s'agissait que du port de vêtements, et je pouvais arrêter dès que j'en avais envie. Mais ce que ma mère voulait, c'était que je vive à plein temps comme sa servante, et non plus comme son fils. C'est au bout de plusieurs conversations que j'ai compris à quel point elle était sérieuse. J'ai finalement accepté, et le fait de la voir si heureuse m'a fait me sentir bien.

Quelques jours plus tard, ma mère m'a montré comment entretenir mes ongles, et comment les vernir. Elle m'a aussi verni les ongles des pieds. Ma mère m'a montré différents styles de coiffures féminines qui pouvaient m'aller. En attendant que mes cheveux poussent, elle m'a acheté une perruque avec une coiffure qu'elle aimait. Je n'ai jamais discuté les goûts de ma mère, tant j'étais convaincu qu'elle savait mieux que moi ce qui m'allait. Un samedi matin, avant que je m'habille, ma mère est entrée dans ma chambre. Je ne portais à ce moment qu'une petite culotte. Elle s'est assise à côté de moi sur mon lit, et m'a dit qu'elle avait quelque chose qui était nécessaire pour que je devienne une meilleure servante. Intrigué par ce qu'elle me disait, je l'écoutais. Ma mère m'a expliqué que la plupart des servantes féminisées portaient une cage de chasteté. Elle en a alors sorti une d'un petit étui pour me la montrer. Je n'avais jamais vu une telle chose avant cela, alors je l'ai interrogée à ce propos. Mais je ne lui ai pas demandé pourquoi elle pensait que je devais en porter une parce que j'avais l'habitude de toujours obéir à ma mère sans discuter. Quelques instants plus tard, l'objet était fixé sur mon pénis et fermé par un petit cadenas. Ma mère m'a expliqué que c'était un modèle d'entrainement, et qu'elle allait me le retirer de temps en temps pour voir comment cela agissait. J'ignorais complètement de quoi il s'agissait, alors j'ai commencé à le porter sans discuter.

Alors que les jours et les semaines passaient, ma mère m'a laissé l'objet pendant des périodes de plus en plus longues. Le matin, il me gênait, parce qu'il empêchait mes érections matinales. Pourtant, j'ai fini par m'y habituer. Un jour, ma mère m'a annoncé qu'il était temps d'aller me faire coiffer dans un salon. Elle m'a acheté une robe, une jupe et un chemisier pour les fois où je devais sortir de la maison. J'étais sous le choc en comprenant que ma mère attendait de moi que je sorte de la maison habillé en femme pour me rendre dans un salon de coiffure. Nous n'en avions pas parlé avant, mais ma mère m'a rappelé que j'avais été d'accord pour être sa servante à plein temps. Elle m'a aidé à me préparer, puis nous sommes partis en voiture. Arrivés au salon, j'étais terrifié à l'idée de sortir de la voiture. Ma mère m'a alors assuré que tout allait bien se passer. Eh bien, quelques heures plus tard, mes cheveux étaient coupés, colorés, et coiffés. Quand la coiffeuse m'a montré le miroir, j'ai été très étonné de voir à quel point j'étais féminin. Ma mère était ravie, et je n'ai donc pas résisté, d'ailleurs, je n'avais pas vraiment d'autre choix.

Avec le temps, j'ai appris à me coiffer chaque jour. Je maitrisais maintenant parfaitement ma vie de servante, que ce soit dans mon apparence, ou dans mon travail. Mais ma mère n'en avait pas encore fini avec moi. Elle m'a fait épiler au laser. Elle était très forte quand il s'agissait de m'expliquer pourquoi tout cela était nécessaire. Une fois les traitements au laser terminés, ma mère a commencé à évoquer les prochaines étapes. De quoi pouvait-elle bien parler, me demandais-je en me regardant dans le miroir. Ma mère m'a alors parlé de mes faux seins, en me disant que ce serait bien mieux si j'en avais des vrais. C'est vrai que je n'aimais pas les faux seins qui bougeaient parfois de manière désagréable pendant mon travail. Ma mère m'a expliqué que beaucoup de servantes féminisées se font faire des implants mammaires, et elle pensait que je serais bien plus heureux avec de vrais seins. D'une manière ou d'une autre, ma mère parvenait à me convaincre que ce qu'elle pensait était le mieux pour moi. J'étais terrifié pour être honnête, mais je l'ai accompagnée dans une clinique. Là-bas, la femme médecin s'est montrée très professionnelle, et j'ai compris qu'elle avait de l'expérience avec des hommes. Bref, nous sommes ressortis avec un rendez-vous pour une opération la semaine suivante. Comme ma mère m'assurait que c'était la meilleure chose à faire, j'ai accepté. La première semaine après l'opération a été très pénible, tant j'avais mal, puis tout est rentré dans l'ordre. Ce que m'avait dit ma mère était vrai. C'était bien plus agréable d'avoir de vrais seins, que ces faux seins collants. J'ai cependant mis plusieurs semaines avant d'être capable de reprendre tout mon travail.

Quand le soutien-gorge de protection que je portais après l'opération n'était plus nécessaire, ma mère m'a emmené essayer de vrais soutiens gorges. Une fois de plus, j'étais très intimidé, mais la vendeuse s'est montrée très professionnelle. J'étais assez choqué de voir le nombre de femmes qui acceptent l'idée d'un homme dans le rôle d'une servante, mais peut-être que la plupart pensent que je suis transsexuel. Nous sommes ressortis de la boutique avec plusieurs soutiens gorges que j'adore porter. A notre retour à la maison, j'ai remercié ma mère pour m'avoir aidé à devenir sa servante, et pour m'avoir offert ces prothèses mammaires. Ma mère m'a demandé si j'étais heureux. J'étais heureux, même s'il arrivait souvent que je sois effrayé. Nous avons alors parlé de choses et d'autres, et notamment de l'idée qu'un jour, j'allais peut-être me marier. Je savais pourtant que maintenant que j'avais des seins, j'allais rester pour toujours une servante.

Ma mère m'a alors expliqué que les femmes aiment les hommes qui se soumettent à leur mère ou à leur épouse. Ce qu'elle me disait était nouveau pour moi, alors j'écoutais avec attention. Ma mère m'a dit que j'étais presque prêt à être une servante féminisée, et qu'elle voulait m'aider à aller dans cette direction. Elle m'a dit que les servantes féminisées sont très populaires, et que je n'aurais aucun mal à trouver une merveilleuse femme. Elle m'a alors expliqué que j'allais encore devoir apprendre certaines choses pour devenir une bonne servante féminisée, pour elle, ou pour ma future épouse.

Ma mère était très heureuse de voir que je progressais chaque jour pour devenir une parfaite servante féminisée. Elle a souhaité que je rencontre des femmes qui seraient intéressées par l'idée d'épouser une servante féminisée. Nous passerons la première, qui s'est révélée bien trop dominante à mon goût, mais ensuite, ma mère m'a fait rencontrer Helen. J'ai passé une semaine chez elle avant de rentrer à la maison chez ma mère. Ma mère et Helen se rencontraient souvent alors que je faisais le ménage chez Helen. Ma mère voulait être sûre qu'Helen soit la bonne épouse pour moi, ce que je pensais moi aussi. J'ai alors commencé à passer une semaine chez elle en alternance avec une semaine chez ma mère. Maintenant que je suis habitué à cette situation, la semaine dernière, Helen m'a emmené essayer des robes de mariée, ce que j'ai trouvé assez embarrassant. Nous étions les seuls clients présents, avec deux vendeuses. La patronne de la boutique m'a assuré qu'elle avait déjà fait essayer des robes de mariées à d'autres hommes, et que je n'avais aucune raison d'être nerveux. Mais elle n'a pas pu cacher sa surprise en découvrant mes seins. Cela a changé nettement le style de robes qu'elle me proposait, puisqu'elle pouvait désormais me montrer des robes avec décolleté profond. Après quelques heures d'essayages, nous sommes rentrés à la maison, et j'ai repris mon uniforme. Helen considère qu'à la maison, ma tenue doit toujours être celle d'une parfaite servante, et que mes sorties dans des jolies robes ou jupes doivent être des récompenses.

Tatie Helga, je voulais vous remercier pour votre soutien au cours de tous ces mois. J'avais souvent très peur de poursuivre dans cette voie, mais grâce à votre site, j'ai compris que c'était la meilleure chose à faire. Aujourd'hui, Helen fait partie de ma vie, et elle souhaite que je devienne son épouse.

Merci

Christine

 

Merci pour votre lettre Christine. Quelle histoire merveilleuse, merci de l'avoir partagée avec moi et mes lecteurs. Avec le soutien de votre mère, vous êtes devenue la servante que vous rêviez d'être. Tant d'hommes ont le même rêve, et si peu parviennent à le réaliser. Vous êtes la preuve que c'est possible.

Vous êtes maintenant sur la bonne voie, formée pour être une parfaite servante par la personne la mieux placée pour le faire. Avec son esprit ouvert et sa personnalité forte et confiante, votre mère vous a parfaitement préparé à devenir l'épouse d'Helen. J'espère que vous pourrez nous écrire à nouveau pour donner de vos nouvelles.

Tatie Helga

mardi 14 mai 2024

samedi 11 mai 2024

Le neveu - traduction d'un texte signé Alia (Алия)

- Attends, je croyais que tu avais un neveu.

- C'est vrai.

- Mais c'est une fille sur cette photo.

- Pas du tout. C'est bien lui... Mais tu as raison, d'une certaine manière. Maintenant, il serait plus ma nièce.

- Mais pourquoi? Comment?

- Tu sais que je crée et je vends des vêtements. Bien sûr, pour améliorer le chiffre d'affaires, j'avais besoin d'un bon modèle.

- C'est toi qui as fait ça?

- Pas vraiment. Depuis la mort de ses parents, il vit avec moi. Alors je lui ai expliqué que c'était malheureux, mais qu'il allait devoir m'aider. Après tout, l'argent que je gagnais était non seulement pour moi, mais aussi pour lui.

  - Et il a si facilement accepté ?

  - Non, au début je n'osais pas vraiment. Je ne l'ai pas poussé tout de suite. On est parti de choses simples, et avant de pouvoir prendre une telle photo, ça m'a pris quelques années.

- Je ne comprends toujours pas...

- C'est beaucoup plus facile pour moi de travailler, car maintenant j'ai un mannequin personnel disponible à tout moment de la journée.

- Non, je ne parle pas de ça... Son apparence me surprend.

- Quel est le problème avec ça?

- Je ne sais même pas par où commencer... Ses longs cheveux par exemple.

- Oui, nous les avons coupés juste avant la séance photo. Avant ils étaient bien plus longs et lui tombaient sur les épaules.

- Ce n'est pas une perruque?

- Bien sûr que non!

- Et sa silhouette? On dirait que son corps a des proportions féminines...

- Un régime strict, et de l'exercice…

- Mais, sa poitrine? Elle semble réelle.

- Oui, elle est vraie.

- Vraiment?!

- Oui. La chirurgie permet de faire des merveilles.

- Attends, c'est du silicone?!

- Oui, c'est très réaliste.

- Mais comment... Je veux dire, comment l'as-tu convaincu de se laisser poser des prothèses mammaires?

- J'ai dû ruser un peu, mais ça a marché.

- Je veux absolument connaître les détails

- Avant, quand je prenais des photos, je devais constamment mettre quelque chose dans les bonnets de son soutien-gorge. Parfois ça gâchait vraiment les choses.

- Parfois?

- Oui, et je m'en plaignais souvent auprès de lui. Et une fois, en plaisantant, j'ai dit que si nous lui donnions de vrais seins féminins, les ventes augmenteraient considérablement et nous allions gagner plus d'argent.

- Et il a tout de suite accepté ?

- Non, à ce moment, nous avons juste ri. Mais après ça, j'ai fait comme si les ventes baissaient. Et puis un jour, il est venu me voir et m'a dit qu'après de longues réflexions, il allait accepter mon idée.

- Comment l'a-t-il expliqué?

- Il a dit que j'étais comme sa mère et que ce serait terrible si je perdais mon affaire. J'avais fait beaucoup pour lui et maintenant il voulait en quelque sorte me rembourser.

- Ouah! Donc, maintenant il reste constamment en vêtements féminins?

- Ouais. Pas ce genre de tenue évidemment, mais quand même.

- Je ne pensais pas que ce genre de chose serait possible!

- Comme tu peux le voir, c'est possible. Au fait, Tu veux voir mon catalogue?