samedi 27 janvier 2024

Fantasme ou réalité? 53

Voici un témoignage trouvé récemment sur le forum:

https://newagelifestyle.createaforum.com

Nouveau participant enthousiaste

L'été dernier, j'ai demandé à ma mère de m'aider à devenir sa servante. Ma mère occupe deux emplois, et cela la rend malheureuse de ne plus parvenir à garder la maison aussi propre qu'avant. Alors, quand j'ai proposé à ma mère de devenir sa servante, elle a ri à l'idée puis m'a remercié d'avoir voulu l'aider. Le lendemain, j'ai nettoyé la salle de bain, passé l'aspirateur dans la maison, changé les draps de son lit et commencé à préparer le dîner pendant qu'elle était au travail. Quand ma mère est rentrée à la maison, elle a été choquée de découvrir que j'avais fait tout ce travail pour elle. Au dîner, elle m'a remercié et avait même les larmes aux yeux. Je savais que ma mère occupait 2 emplois pour s'en sortir. Je lui ai demandé à nouveau si elle voulait m'aider à devenir sa servante. Cette fois, elle m'a complimenté pour mon travail, et dit que j'avais été aussi efficace qu'une vraie bonne. Mais ma mère n'avait pas vraiment compris où je désirais en venir, alors je lui ai expliqué que je voulais m'habiller et travailler comme une femme de chambre. Ma mère et moi avons alors consulté votre site Web pour qu'elle puisse mieux comprendre mes désirs. Ma mère ne semblait pas enthousiaste à l'idée de me voir habillé en femme de chambre, mais pour me récompenser du travail que j'avais accompli, elle a accepté. Le weekend, nous sommes allés acheter une tenue de bonne, y compris les sous-vêtements. Ma mère m'a fait essayer un uniforme de femme de chambre, ainsi que des chaussures à talons hauts dans un magasin de chaussures. C'était très excitant pour moi de faire les boutiques avec ma mère pour m'acheter des vêtements féminins. Je ne connaissais pas grand-chose aux soutiens gorges, aux culottes et aux bas, alors ma mère a choisi tous ces articles pour moi. Pendant que nous faisions du shopping, ma mère m'a demandé à plusieurs reprises si j'étais sûr de vouloir être sa servante. Elle m'a dit que nous pourrions toujours arrêter si je changeais d'avis mais j'ai dit non, je rêvais de  devenir sa servante plus que tout. Nous avions presque fini nos achats quand ma mère a suggéré d'aller regarder des perruques, en attendant que mes cheveux poussent. C'est à ce moment-là que j'ai compris que ma mère y avait réfléchi davantage que je ne pensais. Je lui ai demandé à quel point elle voulait que je laisse pousser mes cheveux. Ma mère m'a dit que ce serait mieux qu'ils soient plus longs pour pouvoir me coiffer, et que mes ongles devaient aussi être plus longs. Ma mère s'investissait de plus en plus dans l'idée de m'aider à devenir sa servante. Elle m'a dit que pour mon 19e anniversaire, 2 mois plus tard, elle m'offrirait une visite au salon de coiffure. Mon cœur s'est arrêté un bref instant de battre. Ma mère m'a parlé de devenir plus féminine, ce qui devait faire partie de mon rôle de servante. Elle a dit que je n'étais pas obligé de me raser les jambes, les bras et la poitrine ni de me maquiller, sauf si je le voulais. Quand je lui ai fait savoir que je rêvais d'expérimenter tout ce qui me permettrait de devenir une bonne servante, elle m'a dit de me raser le corps le lendemain matin sous la douche. C'était une sensation étrange de me raser le corps comme une femme, mais ma mère a dit qu'elle m'aiderait alors j'ai fait ce qu'elle m'a dit de faire.

Quelques mois se sont écoulés pendant lesquels j'ai travaillé à plein temps comme femme de chambre de ma mère. Elle m'a emmené au salon pour me faire couper les cheveux et me faire faire une permanente comme une femme. Elle a choisi un style facile à entretenir pour moi. Mes ongles et mes ongles de pieds ont également été faits ce jour-là. En fait, nous nous sommes fait coiffer et fait faire une manucure et pédicure tous les deux. Les dames du salon ont aimé faire en sorte que je ressemble davantage à une femme. En sortant, j'ai mis mon sweat à capuche pour que les gens ne me regardent pas alors que je portais mes vêtements d'homme avec une permanente de femme. Ma mère était très satisfaite de mon nouveau look, surtout lorsque j'ai remis mes vêtements de femme de chambre à la maison. Elle a plaisanté avec moi, et m'a bien fait comprendre que, si je voulais changer d'avis, il était presque trop tard maintenant. Ma mère m'a surpris en m'offrant un peignoir et une chemise de nuit après le dîner. Elle a dit qu'il était temps que je commence à porter des chemises de nuit au lit. Ma mère m'a également acheté 2 autres soutiens gorges et plusieurs paires de culottes. Elle m'a expliqué qu'au début, elle ne voulait pas que je devienne sa servante et que je m'habille comme telle, mais que j'avais mérité le droit d'être sa servante, et que, pour me récompenser, elle voulait m'aider à devenir aussi féminine que possible. Ma mère m'a offert quelques paires de boucles d'oreilles et un collier. Elle m'a également dit que je devrais commencer à porter des jupes et des robes lorsque je ne travaille pas et qu'elle m'aiderait à les choisir. J'ai demandé à ma mère si elle me préférait plus en Jackie qu'en Jack. Sa réponse a été pas au début, mais maintenant oui. Ma mère a dit qu'elle voulait maintenant que je sois Jackie à plein temps et que ce serait une bonne idée de me débarrasser de tous mes vêtements de Jack. J'ai été surpris que ma mère veuille maintenant que je vive à plein temps comme Jackie, sa fille et servante. J'ai demandé à ma mère si elle voulait que je prenne aussi des hormones. C'était difficile pour moi de demander cela, mais j'avais besoin de savoir ce que ma mère attendait de moi. Nous avons parlé de ma nouvelle vie, de vivre avec des hormones et des implants mammaires. Ma mère ne m'a rien imposé de tout cela, mais nous devions en parler pour savoir jusqu'où nous étions prêts à aller tous les deux. Ma mère et moi avons convenu d'attendre quelques mois pendant lesquels j'allais vivre à plein temps comme sa fille et sa femme de chambre avant de prendre d'autres mesures. J'apprécie ma vie maintenant et j'aime bien vivre comme une femme, mais l'idée d'aller plus loin m'intéresse. Mais nous sommes d'accord pour dire que rien ne se produira si nous ne sommes pas d'accord tous les deux. Ma mère veut le meilleur pour moi même si elle m'a poussé pour en arriver là. Nous sommes tous les deux d’accord sur le fait que je devrais avoir l’air aussi féminin que possible si je veux vivre à plein temps en tant que femme. La coiffure et le maquillage font beaucoup pour m'aider à passer pour une femme, mais les hormones m'aideraient encore plus. Ma mère veut que nous sortions davantage avec moi en jupe ou en robe et plus en jean. Elle a l'impression que plus je sors, plus j'ai confiance en moi, ce qui va m'aider pour les prochaines étapes. Elle pense également que lorsque je serai à l'aise pour sortir, ma prochaine étape serait de sortir seul, peut-être pour faire quelques courses par exemple. Bien sûr, elle serait également dans le magasin, non loin, au cas où j'aurais besoin d'aide.

C'est un grand pas pour un homme de mon âge de devenir plus féminin au point de ne plus s'habiller qu'en femme, y compris en public. Je n'ai pas peur de le faire étape par étape avec l'aide de ma mère. En fait, j'ai hâte de sortir avec ma mère en tant que mère et fille le weekend prochain. Ma mère va m'acheter un manteau et des bottes hautes cette semaine. Elle m'a déjà acheté un sac à main et des gants. C'est tout ce que je peux vous raconter sur moi pour le moment.

Combien d’entre vous ici ont eu l’aide de leur maman pour vous féminiser ? Avez-vous eu des implants mammaires ou pris des hormones ? Si tel est le cas, veuillez partager vos expériences à ce jour.

Merci beaucoup

Jackie

Suivent sur le forum quelques réactions que je ne traduirais pas ici.

Peu de temps après "Jackie" a ajouté:

Merci à tous pour vos belles pensées. Oui, j'ai la chance d'avoir une mère qui me comprend, même si ce n'était pas le cas au début. Maintenant, elle aime mon nouveau moi et est prête à m'aider autant que possible. C'est moi qui lui ai gentiment demandé son aide au début, mais maintenant c'est elle qui veut que je ressemble à sa fille. C'est stimulant et amusant à la fois. Je dirais que je suis plus proche de ma mère maintenant que jamais, ce qui peut paraître étrange. Elle adore me montrer comment faire des choses qu'elle aurait apprises à sa fille. Aujourd'hui, je peux être cette fille.

Je vous aime tous

Jackie

Si "Jackie" donne de ses nouvelles sur le forum, je ne manquerais pas de les partager avec vous.

mardi 23 janvier 2024

Auteur original: Linda Trainer

Version originale sur le site: http://lindastgcaptions.blogspot.com/

Une Sissy se prépare à rentrer à la maison

Charlie n'avait fait que causer des problèmes à sa pauvre belle-mère. Il était impliqué dans des affaires de drogue et de vol à l'étalage et avait été expulsé du lycée à de nombreuses reprises. Et à la maison, il se montrait impoli et odieux.

Epuisée de ce comportement, la belle-mère de Charlie fit le bon choix et me livra son répugnant beau-fils pour quelques... améliorations.

Cela ne fut pas facile et cela ne fut pas rapide. Mais en un peu plus de deux ans, Charlie était parti pour toujours et à sa place j'avais -- TA DA -- Sissy Charleen! Pour un tel résultat, il m'a fallu un travail acharné – avec quelques hormones, un peu de chirurgie, un peu de privation sommeil et de nourriture, et beaucoup, beaucoup de fessées. Sissy Charleen était désormais un garçon féminisé frémissant, soumis et totalement obéissant.

J'ai adoré préparer Sissy Charleen le jour où sa belle-mère est venue le récupérer. Dès le matin, j'ai fait venir les filles de l'institut de beauté pour apprêter Sissy Charleen. Tout d’abord, une épilation intégrale (et je dis bien intégrale) du corps – Aïe! Ensuite, ses cheveux ont été lavés et roulés avec de larges bigoudis. Pendant qu'il était assis sous le sèche-cheveux, les filles l'ont maquillé et lui ont fait une manucure. Ses cheveux ont ensuite été brossés et coiffés, pour lui donner de douces boucles retenues par un joli nœud. Adorable!

Jusqu'au dernier moment, Sissy Charleen ignorait la raison pour laquelle il était ainsi préparé. Alors que je l'aidais à enfiler sa jolie robe rose, je lui ai expliqué que sa belle-mère l'attendait dehors, et qu'elle allait le ramener à la maison. Eh bien, la petite Sissy a failli s'évanouir quand je lui ai dit ça! Sissy Charleen était terrifié à l'idée de se retrouver sous le contrôle de sa belle-mère dans sa nouvelle condition féminisée. Sissy Charleen s'est mis à pleurer et m'a supplié de ne pas le rendre à sa belle-mère. Je lui ai sévèrement demandé d'arrêter de pleurer, afin  qu'il ne gâche pas son joli maquillage. Je lui ai ensuite rappelé que personne ne se soucie de ce que veut une Sissy et qu'il ferait mieux de travailler dur pour obéir et plaire à sa belle-mère – sinon il allait avoir des problèmes.

Je me suis reculée pour regarder Sissy Charleen une dernière fois et admirer mon travail. Ses bras et ses jambes avaient l'air si délicats et féminins. Sa coiffure et son maquillage étaient parfaits. Et la robe que j'avais choisie était tout simplement ravissante, si angélique  et innocente. J'ai retouché une dernière fois sa coiffure et je me suis assurée qu'on voyait bien ses boucles d'oreilles scintillantes en forme de cœur. Il s'est tenu là, si guindé, si féminin, si terrifié, alors que j'ai invité sa belle-mère à entrer. Le menton du pauvre petit Sissy vaincu a frémi alors qu'il luttait pour retenir ses larmes.

En entrant dans la pièce pour découvrir pour la première fois son beau-fils Sissy transformé, sa belle-mère a crié: "OH MON DIEU!" Elle s'est presque effondrée de rire en détaillant sa petite Sissy. Bien sûr, Sissy Charleen était terriblement humilié, mais il se tenait là, les yeux baissés, comme il y avait été entraîné. Sa belle-mère a regardé la poitrine de Sissy Charleen et a demandé à voix haute: "Ils sont vrais?" Elle s'est approchée avec autorité de Sissy Charleen et a posé ses mains sur les seins. Elle a répété en criant: "OH MON DIEU! Ils sont vrais!" Son rire nerveux a repri.

"Viens, Sissy Charleen. Il est temps pour nous de rentrer à la maison. Mais d'abord, nous allons aller en ville pour que tous tes anciens amis puissent voir ce que tu es devenu!"

dimanche 7 janvier 2024

Captions signées Alia (Алия)

Version originale de ces captions sur le forum russe http://madhouse.ucoz.ru/ (anciennement tg-wonderland)

 Ce que j'aime chez cet auteur, c'est la grande variété des thèmes!






 

 Un grand merci à ceux qui m'ont laissé un message d'encouragement!!!

lundi 1 janvier 2024

Lettres de "Petticoat Discipline Quarterly"

Les lettres publiées sur le site "Petticoat Discipline Quarterly" (fermé depuis quelques mois) racontaient des témoignages de "petticoat discipline" (discipline par le jupon, ou "enjuponnage")

 

Bonne année à tous!!!

Et surtout, bonne santé!

 

COMMENT TOUT A COMMENCE

Par Sheila

Chère Tatie Helga,

Quand j'étais enfant, ma mère et moi habitions une petite maison isolée à la campagne. Ma tante et ses deux filles, un peu plus âgées que moi, vivaient dans la ville voisine. J'entrais en 6e année et j'avais des envies inhabituelles pour un garçon, comme celle de découvrir ce qu'on ressentait en s'habillant en femme. C'était un samedi matin et maman avait été appelée au travail à l'improviste pour la journée.

Nous aurions dû aller rendre visite à mon père, qui était dans un hospice pour vétérans de l'armée suite à un trouble de stress post-traumatique. Cet hospice, les gens qui y travaillaient et surtout les patients me donnaient la chair de poule. J'étais soulagé de savoir que nous n'allions pas y aller, et que j'allais pouvoir profiter de cette journée pour moi seul.

Cela allait être une journée spéciale pour moi, mais je n'imaginais pas à quel point. J'avais récemment reçu une perruque que j'avais commandée en ligne. J'ai décidé que ce serait la journée idéale pour enfin m'habiller entièrement en fille. J'ai commencé en vernissant mes ongles d'un rouge vif. J'ai ajouté du rouge à lèvres, puis ma perruque, à laquelle j'ai ajouté des barrettes ornées de rubans roses. Je me suis regardé dans la glace. Je me suis senti bizarre, mais je me suis demandé ce que je ressentirais une fois entièrement habillé en fille.

J'ai fouillé dans le tiroir à lingerie de maman et j'ai mis un de ses soutiens gorges et une gaine en dentelle. J'ai utilisé deux ballons remplis d'eau que j'ai insérés dans le soutien-gorge pour me donner des seins. Je commençais à sentir la chaleur m'envahir. Puis j'ai vu son jupon à crinoline et je l'ai enfilé. J'ai été émerveillé par la façon dont il remodelait mon corps. En regardant dans son placard, j'ai trouvé une belle robe blanche à fleurs bleues qui était également ornée de dentelles sur la jupe. C'était un matériau soyeux. Je l'ai enfilée et j'ai frémi tant les sensations étaient agréables. La robe se plaçait magnifiquement sur mon jupon à crinoline. Il m'a fallu un certain temps avant de parvenir à la fermer dans le dos. Finalement, je me suis regardé dans le miroir, j'ai tourné sur moi-même et j'ai crié de plaisir.

J'avais encore besoin d'une paire de chaussures et bien sûr de bas. C'était la première fois que je portais une gaine équipée de jarretelles. Je me suis assis dans un fauteuil du salon, et j'ai lentement enfilé et attaché chaque bas.

En me relevant pour m'admirer dans le miroir, je ne pouvais pas croire à quel point je ressemblais à une fille. Il faisait beau, alors pour calmer mes nerfs, je suis sorti m'assoir dans la balancelle dans le jardin. J'ai adoré la manière dont ma robe bougeait quand je marchais, et la façon dont le vent a fait voler ma robe pendant que je me balançais. C'était une sensation merveilleuse que je n'avais jamais ressentie. J'avais l'impression d'être au paradis…

Puis soudain, le choc… J'ai entendu une voix m'appeler. Je n'avais pas entendu la voiture de maman s'arrêter devant la maison. Je me suis brusquement levé de la balancelle et j'ai couru vers la maison pour me retrouver face à face avec le regard interloqué de maman. Je ne sais pas qui a été le plus choqué, moi ou elle.

Je lui ai immédiatement demandé: "Mais, qu'est-ce que tu fais là? Tu n'étais pas censée être à la maison?" Maman m'a demandé: "Mais, pourquoi es-tu habillé en fille? Je me suis arrangée et j'ai décidé que nous allions tout de même aller voir ton père. Alors, allons-y!" J'ai dit que je devais me changer, mais maman m'a arrêté: "Non, il est évident que tu avais envie d'être une fille aujourd'hui, alors tu vas y aller comme ça! Prends ton sac à main, et allons-y." J'ai répondu: "Mais je n'ai pas de sac!" Elle m'a dit: "Je t'en prête un, et tu pourras y mettre ton tube de rouge à lèvres."

En montant dans la voiture, je tremblais de tos mes membres. Maman m'a dit: "Je ne peux pas croire que tu te sois habillé en fille comme ça, tout seul." J'étais très nerveux. Maman m'a demandé: "Pourquoi t'es-tu habillé en fille? C'est la première fois?" Enervé, j'ai juste répondu: "Parce que!" J'étais incapable de trouver une raison ou une excuse pour justifier ma tenue. Je me demandais ce qui m'attendait, et comment c'était possible d'aller faire face à mon père dans son hospice dans cette tenue.

Mais les choses allaient encore se compliquer. Maman m'a dit que nous faisions d'abord un détour pour passer chez ma tante. A notre arrivée devant sa maison, j'espérais ne pas avoir à sortir de la voiture. Maman a alors saisi un paquet qui se trouvait sur le siège arrière, me l'a tendu, et m'a dit d'aller l'apporter à ma tante.

J'ai pris le paquet à contrecœur et me suis dirigé vers la porte d'entrée. Elle était verrouillée, j'ai donc dû sonner à la porte. J'espérais que ma tante ouvrirait, mais malheureusement, c'est une de mes cousines qui a ouvert la porte. Quand je lui ai dit que j'avais un colis pour sa mère, elle s'est mise à rire. Elle a crié à sa mère: "Billie est là avec un paquet pour toi et il est habillé en fille!" Sa sœur et une de ses amies de l'école sont arrivées et elles ont toutes deux commencé à rire en me voyant. Ma tante est arrivée à son tour et a commencé à rire en me voyant, puis m'a dit: "Oh, mais quelle jolie fille, et quelle jolie robe!"

Maman est finalement venue me rejoindre dans la maison. Elle a alors expliqué à ma tante qu'elle m'avait trouvé habillé ainsi, et qu'elle avait décidé de me laisser dans cette tenue pour aller voir mon père. Elle m'a ensuite demandé de décrire à ma tante et à ses deux filles tout le processus qui m'avait mené à m'habiller ainsi. Ma tante a trouvé que c'était une bonne idée de me laisser habillé en fille puisque c'était ce que j'avais choisi de faire. Elle a ensuite dit qu'elle avait certainement quelques anciennes robes de ses filles qui pourraient m'aller, et qu'elle pourrait me les donner tout de suite, si je pouvais attendre quelques minutes. Maman a répondu: "D'accord, mais dépêche-toi." Ma tante est alors allée chercher quelques robes qu'elle m'a données en me disant: "Elles devraient bien t'aller. Tu fais une si jolie fille!"

Nous sommes retournés à la voiture, et en démarrant, maman m'a dit: "Bon, on dirait que tu as maintenant ta propre garde-robe bien garnie!"

Il fallait environ une heure et demie pour se rendre à l'hospice. Nous faisions toujours un arrêt dans le restaurant où maman travaillait pour manger un morceau avant de poursuivre notre route. Ce jour-là, malgré mes protestations, nous nous sommes arrêtés comme d'habitude.

Je connaissais toutes les serveuses, et elles me connaissaient toutes. A notre entrée, j'ai senti ma robe se balancer tandis que je marchais, avec le sac à main que ma mère m'avait prêté accroché à mon épaule. Le restaurant était bondé, et l'une des serveuses nous a guidé à une table avec un grand sourire: "Ces dames sont de sortie pour la journée?" J'ai répondu que oui. L'une après l'autre, chaque serveuse est venue passer un instant à notre table pour nous saluer, et chacune m'a regardé avec un grand sourire.

Finalement, de retour dans la voiture, je commençais à me faire à l'idée d'être une fille pour la journée. Le vent soufflait fort à notre arrivée à l'hospice, et ma mère m'a recommandé: "Fais bien attention à ce ta robe ne se soulève pas. On pourrait voir ta petite culotte." Elle a ajouté: "tu devrais retoucher ton rouge à lèvres avant d'entrer."

La marche entre le parking et l'entrée de l'hospice m'a semblée interminable. Je luttais contre le vent qui soulevait ma jupe. A notre entrée, alors que nous nous dirigions vers le comptoir d'accueil pour nous enregistrer, une infirmière qui a reconnu ma mère a demandé: "Bonjour, mais qui est cette jeune fille avec vous?" Maman a répondu: "Oh, c'est mon fils Billie, il a décidé qu'il voulait s'habiller en fille aujourd'hui!" L'infirmière a ri et a dit : "Il fait une bien jolie fille, vous devriez le garder ainsi."

Mon père était dans une grande chambre avec beaucoup d'autres patients, et plusieurs infirmières qui connaissaient ma mère. Mon père a été choqué de me voir habillé en fille, et a demandé à ma mère pourquoi j'étais dans cette tenue. Ma mère lui a expliqué qu'elle m'avait trouvé dans cette tenue en rentrant à la maison, et que c'était moi qui avais choisi de m'habiller ainsi. Papa m'a demandé si c'était vrai, et je lui ai timidement répondu: "Oui papa!"

La journée s'éternisait. J'ai été particulièrement gêné lorsque nous avons rencontré le psy de papa. Maman m'a fait expliquer au psy que je m'étais habillé en fille parce que je pensais que j'allais rester seul à la maison, puis qu'elle m'avait surpris dans cette tenue en rentrant à l'improviste. Cela était étrange et effrayant de parler de tout ça à un psy dans une sorte d'hôpital psychiatrique. Le psy m'a posé des tas de questions bizarres, puis il a demandé à ma mère si j'allais à nouveau revenir habillé en fille. Ma mère lui a répondu que j'allais toujours être en fille désormais.

Plus tard, sur le chemin du retour, maman m'a dit que j'avais montré de bien meilleures manières en fille. Par la suite, nous sommes retournés voir mon père toutes les deux semaines cet été-là, et à chaque fois, j'étais complètement habillé en fille, dans l'une des robes que ma tante avait offertes à maman pour moi. Plus rien n'a jamais plus été pareil après ce jour-là. J'ai continuellement été traité comme une fille par ma tante et mes cousines.

Sheila

 

Merci pour votre lettre, Sheila. Beaucoup de garçons ont ces envies et cette curiosité, mais peu franchissent le pas pour essayer, et après que vous ayez été surpris, vous avez entretenu ces désirs spéciaux. Quelle merveilleuse manière de débuter une vie de garçon féminisé. J'aimerais en apprendre plus sur ce qui vous est arrivé par la suite.

Tatie Helga