samedi 11 novembre 2023

TOUT A COMMENCE PAR UNE BOUCLE D'OREILLE (HISTOIRE)

Une petite histoire trouvée il y a longtemps sur Internet. traduite de l'anglais. 

"Pourquoi ne veux-tu pas porter une boucle d'oreille?" Demanda Claudia en ronronnant comme une chatte. Elle jouait avec le lobe de l'oreille de Tony, et, comme pour donner de l'intensité à sa question, elle le pinça avec ses ongles.

Tony détourna la tête et dit: "Rhôôô… Claudia, les boucles d'oreilles, c'est pour les filles. Que diraient mes potes, aucun d'entre eux ne porte de boucle d'oreille."

"Allez," insista-t-elle en essayant de lui attraper l'oreille à nouveau, "c'est juste qu'aucun n'a encore essayé. Il y tellement d'hommes qui ont les oreilles percées. Regarde simplement autour de toi, j'en connais au moins une dizaine, que tu connais aussi. Certains ont même les deux oreilles percées."

Tony roula des yeux. Il était un peu gêné par la demande de Claudia. Ce n'était pas la première fois qu'elle soulevait la question, mais jamais auparavant elle n'avait insisté ainsi. Bien sûr, elle avait raison, en disant que ce n'est pas gênant pour un jeune homme d'avoir une oreille percée, mais d'une manière ou d'une autre, il avait peur que ses amis ne le taquinent parce qu'il porte un bijou traditionnellement réservé aux filles.

"Je vais y réfléchir." dit-il, espérant qu'elle finirait par le laisser tranquille.

"Réfléchir, réfléchir… Qu'est-ce que ça veut dire?" Répondit Claudia, visiblement déçue.

"Ca veut dire que je vais y penser, rien d'autre."

"OK," Claudia se leva, "je ne veux surtout pas te déranger pendant que tu réfléchis." Elle mit l'accent sur ces derniers mots et se dirigea vers la porte.

"Où est-ce que tu vas?" Demanda Tony, surpris.

"Chez moi." Répondit-elle froidement.

"Tu veux dire que tu ne restes pas avec moi pour la nuit à cause d'une stupide boucle d'oreille? Claudia, c'est dingue." Dit-il, quelque peu irrité.

"Dingue? Vraiment? Qu'est-ce qu'il y a de dingue à avoir une apparence soignée et à être la mode? Je veux que mon petit ami porte une boucle d'oreille, et c'est mon dernier mot. Appelle-moi quand tu seras décidé." Claudia claqua la porte derrière elle en sortant. Tony était abasourdi. Était-elle vraiment sérieuse ? Allait-elle vraiment mettre fin à leur relation juste à cause d'une stupide boucle d'oreille? Cette pensée le tint éveillé presque toute la nuit. Encore et encore, il considéra le pour et le contre. "Qu'est-ce que ça peut faire d'avoir un petit bouton dans l'oreille gauche?" Il se dit finalement: "C'est à peine perceptible, et puisque Claudia insiste vraiment, pourquoi pas?" Le lendemain matin, au moment d'aller travailler, il avait décidé de téléphoner à Claudia dans l'après-midi pour lui dire qu'il allait faire ce qu'elle voulait, puisque cela semblait si important pour elle. Mais pendant la journée, son humeur changea plus d'une fois. Lorsqu'il alla déjeuner avec Tamara, l'une de ses collègues, il rassembla tout son courage et lui fit part de la demande de Claudia et lui demanda ce qu'elle en pensait. Son commentaire le surprit. "C'est super", dit-elle sans un soupçon d'étonnement dans sa voix, "je pense qu'un petit anneau doré t'irait très bien."

"Oh, vraiment?" Répondit-il, incrédule.

Tamara le prit par le menton et fit tourner sa tête d'un côté à l'autre. "Tu as un très joli visage," poursuivit-elle, "je parie que deux petits anneaux dans tes oreilles t'iraient très bien – et qu'un petit bouton en diamant mettrait en valeur ton lobe gauche."

"Oh non, c'est trop." Dit Tony, un peu effrayé.

Tamara haussa les épaules. "Tu m'as demandé mon avis. Si tu étais mon petit ami, je t'encouragerais à faire ce que je t'ai dit."

"Tu ne penses pas que c'est un peu trop pour un homme?"

"Allez Tony, nous ne sommes plus au 19e siècle. Les limites entre les genres disparaissent peu à peu. Les femmes portent des pantalons, et les hommes des boucles d'oreilles. En quoi est-ce grave? Certains créateurs de mode ont même créé des jupes pour hommes." Tony éclata de rire, mais changea de sujet pour parler de choses moins embarrassantes pour lui. Il était quasiment convaincu, mais, plus tard, de retour au bureau, il demanda à son collègue Philip ce qu'il pensait des hommes qui portaient une boucle d'oreille. "C'est sympa," répondit-il, "pourquoi, tu veux en porter?"

"Oh, non… enfin oui… C'est Claudia qui veut que j'en porte une." Balbutia Tony.

"Eh bien, tu me diras si ça fait mal. J'y ai déjà pensé pour moi-même, mais je n'ai pas encore trouvé le temps." Cette réponse de son ami fit basculer la balance. Plus tard dans l'après-midi, Tony téléphona à Claudia et lui dit qu'il avait changé d'avis et qu'il acceptait de se faire percer le lobe de l'oreille gauche. Claudia était ravie, et comme elle ne voulait pas lui laisser le temps de changer d'avis une fois de plus, elle lui demanda de la rencontrer devant le centre commercial à cinq heures précises. Il eut une sensation désagréable dans son ventre quand il atteignit le centre commercial. L'image d'une aiguille pénétrant son oreille en un rien de temps pour y placer un bijou étincelant qui allait être permanent le fit quelque peu trembler. Claudia était d'excellente humeur en retrouvant son petit ami qui l'attendait déjà. Elle attrapa son bras et le traîna jusqu'à l'escalator. Malgré les réactions encourageantes de ses collègues, il la suivit avec une certaine réticence. Puis il vit la grande enseigne au néon "PIERCING CENTER".

"Oh non, on ne pourrait pas faire ça à la maison?" Demanda-t-il en chuchotant, mais Claudia l'ignora.

 

Tony comprit enfin où elle le conduisait. Ce n'était pas une vraie bijouterie, c'était plutôt une sorte de comptoir rond au milieu du troisième étage du centre commercial. Tout autour du comptoir étaient exposées des milliers de boucles d'oreilles dans tous les styles. A l'intérieur du comptoir rond, une jeune vendeuse de moins de 20 ans attendait les clients. A côté d'elle, Tony vit un fauteuil qui était apparemment un peu surélevé. Sans doute l'endroit où de nombreuses filles s'étaient assises avant lui pour se faire percer les oreilles, et, dans quelques instants, il allait être assis au même endroit et tout client qui passerait par là allait le voir quand la fille fixerait le bijou dans son oreille.

"Mon petit ami ici aimerait se faire percer les oreilles." dit Claudia avec un sourire à la fille.

Tony rougit. 'Quel mensonge', pensa-t-il, 'J'aimerais? C'est toi qui as insisté pour que je porte une boucle d'oreille. J'ai seulement accepté pour avoir la paix.'

"Très bien", dit la vendeuse en faisant face à Tony, "quel genre de boucles d'oreilles préférez-vous?" Sa main fit un mouvement désignant les présentoirs.

"Oh... ça m'est égal", balbutia Tony, "en fait c'est l'idée de ma copine de me faire percer l'oreille gauche." Il avait posé sa main sur l'épaule de Claudia.

"Eh bien, l'oreille gauche, dans ce cas, vous n'en prendrez qu'une seule", dit la vendeuse elle en voulant lui montrer un échantillon de boucles d'oreilles simples. Mais Claudia l'arrêta.

"Allez Tony, pourquoi ne pas tout faire d'un coup. Je parie que quand tu seras habitué à la boucle d'oreille, tu te feras aussi percer l'autre lobe. Alors pourquoi ne pas le faire tout-de-suite?"

"Allons, Claudia. Les deux oreilles? Ce n'est pas ce qu'on avait dit!"

"Je pense que votre petite amie a raison", intervint la jeune fille, "lorsque les trous seront cicatrisés dans quelques semaines, vous pourrez décider si vous portez une boucle d'oreille à gauche ou à droite ou dans les deux oreilles, selon votre humeur." Pour la seconde fois ce jour-là, on lui suggérait de percer ses deux oreilles et alors qu'il hésitait encore, Claudia commença à choisir les boucles d'oreilles sans attendre la réponse de Tony. Très vite, elle en avait trouvé une paire et les avait désignées. "Je pense que celles-ci lui iront très bien, qu'en pensez-vous?"

"Je le pense aussi", répondit la fille en ouvrant un tiroir. Elle prit une paire d'anneaux et les posa sur un présentoir en velours. Ils avaient un diamètre d'un peu plus d'un centimètre, et leur aspect doré brillant reflétait les lumières scintillantes.

"Est-ce qu'elles vous conviennent?" Demanda la fille à Tony.

Toujours confus, mais voulant éviter de nouvelles embrouilles avec Claudia s'il refusait, il haussa les épaules, et dit: "Si vous trouvez qu'elles conviennent, alors c'est bon. Je n'ai pas la moindre idée de ce qui pourrait m'aller ou non." Il ne s'en rendait pas compte, mais en disant cela, il avait donné la permission aux deux femmes de lui percer les oreilles autant qu'elles le voudraient.

"Très bien, voulez-vous s'il vous plaît vous asseoir ici." La jeune fille pointa le fauteuil surélevé et souleva une petite trappe pour qu'il puisse franchir le comptoir. Elle lui tendit un papier et lui demanda de le lire attentivement et de le signer ensuite. C'était la déclaration de routine qui disait qu'il se faisait percer volontairement et qui expliquait les risques et les soins nécessaires à apporter aux piercings récents. Pendant qu'il lisait ce document, il ne put pas voir Claudia s'incliner sur le comptoir et chuchoter quelque chose à l'oreille de la fille. Celle-ci tourna la tête vers Tony et hocha la tête avec un sourire. Tony avait signé le papier quand la fille s'approcha de lui. Ses mains étaient maintenant couvertes de gants en caoutchouc fin. Tony ferma les yeux et sentit comment ses lobes étaient tamponnés. Une odeur pénétrante emplit son nez."Ouch" geigna-t-il, et en une seconde il sentit la main de la fille lâcher son lobe d'oreille et la petite douleur diminua. Il ressentit un sentiment étrange, mais il n'eut pas le temps d'y penser. Après une nouvelle piqure, le deuxième anneau était inséré et il ressentit seulement une légère brûlure dans ses deux lobes d'oreilles, qui lui faisait réaliser qu'il portait désormais des bijoux qui deviendraient presque une partie de son corps. Il leva les mains pour toucher ses oreilles douloureuses.

"Un petit instant," intervint la fille en interrompant son mouvement, "ce n'est pas encore fini." Tony ignorait tout de la procédure et il ne se méfia pas. Peut-être devait-elle appliquer un désinfectant? Il se trompait. "Ouch", geigna-t-il une nouvelle fois. Qu'est-ce-qui s'était passé? La fille lui avait-elle fait un second piercing? Sa main se dirigea vers son oreille droite, où il sentit qu'effectivement, la fille avait inséré un petit bouton au-dessus de l'endroit où l'anneau doré pendait maintenant. Il ouvrit les yeux et vit que Claudia lui présentait un miroir.

"C'est parfait," dit-elle avec une intonation de plaisir dans sa voix, "ça te va vraiment comme je l'avais espéré." Bien que Tony se soit senti abusé par sa petite amie, il dut admettre que cela avait l'air vraiment élégant. Les anneaux dorés bougeaient légèrement quand il tournait la tête et le bouton en diamant scintillait et reflétait les lumières comme une étoile dans le ciel nocturne.

"Claudia, qu'est-ce que tu m'as fait? Nous étions d'accord pour une seule boucle d'oreille, et maintenant..."

"Ce ne sont que des mots, chéri," l'interrompit-elle, "dis-moi, est-ce que tu aimes ça autant que moi."

"Oui, ça a l'air mieux que je ne le pensais ... mais ..." Il réprima d'autres protestations. C'était fait et il ne pouvait pas revenir en arrière. Tony se souvint soudain de la suggestion que Tamara avait faite quelques heures auparavant. Deux petits anneaux dorés et un petit bouton plus haut – si toutes ces femmes disaient que ça lui allait bien, ça ne pouvait pas être complètement faux.

"Oh maman, le monsieur vient juste de se faire poser des boucles d'oreilles! Est-ce qu'il va devenir une dame maintenant?" Entendit soudain Tony. La voix appartenait à une petite fille qui se tenait derrière le comptoir, et qui tenait la main de sa mère. Tony rougit, n'osant pas lever les yeux. La mère sembla gênée par la question dite à haute voix de sa fille et lui dit de se taire. Mais il était trop tard, la honte qu'il était parvenu à surmonter éclata à nouveau. Claudia paya la vendeuse et prit Tony par la main. Quand ils quittèrent le centre commercial, il pouvait sentir le petit poids supplémentaire au niveau de ses lobes d'oreille à chaque pas. Chaque fois qu'ils allaient croiser quelqu'un, Tony essayait de cacher ses nouveaux bijoux en détournant la tête. Mais il n'y avait aucun moyen de cacher la totalité de ses boucles d'oreilles. Même lorsque son oreille droite était hors de vue, il présentait sa gauche et vice versa. Il se rendit compte que personne ne le remarquait et il se calma progressivement. Ce ne fut qu'après qu'il se rendit compte que son pénis était aussi dur qu'un roc. D'où est ce que ça venait? Était-ce les bijoux? La conscience d'avoir maintenant les oreilles comme émasculées? L'humiliation publique qu'il ressentait encore? Pourquoi, pour l'amour du ciel, le piercing de ses oreilles l'excitait-il autant? Tandis que les pensées défilaient dans son esprit, Claudia continuait de louer sa patience et de le complimenter. Elle semblait être si heureuse d'avoir finalement réalisé son vœu, qu'elle ne prit pas conscience du silence de Tony. Tony avait espéré qu'ils rentreraient chez eux immédiatement mais il n'avait pas pensé que Claudia était folle de montrer son amant stylé au grand jour.

"Oh non, pas ça, pas maintenant," supplia Tony quand Claudia se dirigea vers un restaurant où ils avaient dîné quelques fois. Ils étaient bien connus là, et certaines de leurs connaissances le fréquentaient eux aussi à l'occasion.

"Ne sois pas stupide, Tony, tu ne veux tout de même pas te cacher jusqu'à la fin de ta vie?"

"Bien sûr que non, mais je dois encore m'habituer à l'idée." Répondit-il à voix basse, sachant qu'il était illusoire de discuter, et il suivit sa petite amie dans le restaurant. Ils prirent une place proche de la fenêtre. Claudia choisit le menu, tandis que Tony était seulement content de constater que personne ne semblait faire attention à ses boucles d'oreilles.

"Salut! C'est sympa de vous rencontrer!" Dit soudain une voix féminine derrière Tony. Il tourna la tête et sentit ses boucles d'oreilles se balancer dans les piercings encore légèrement douloureux. C'était Gloria et son mari Paul, des amis communs. Claudia les invita à s'assoir à leur table. Les deux femmes commencèrent à parler de la pluie et du beau temps, et d'autres banalités, et Tony se demanda si ce couple avait remarqué ses boucles d'oreilles. Il n'osa pas engager la conversation avec Paul, et il fit comme s'il s'intéressait à la conversation des deux femmes.

Tony entendit soudain sa petite amie dire: "Au fait, on sort à peine du centre commercial. Tony a reçu des boucles d'oreilles aujourd'hui. Tu ne le trouves pas mignon comme ça?" Il aurait voulu s'enfoncer sous terre. Pourquoi fallait-il qu'elle attire leur attention là-dessus? Pourquoi avait-elle dit 'mignon'? Ignorait-elle à quel point cela le gênait?

"Ça te va bien, Tony", dit Gloria à sa grande surprise, "tu ne pourrais pas expliquer à Paul que ça ne fait pas mal, et que c'est joli? J'ai souvent essayé de l'en convaincre, mais malheureusement sans succès."

Tony n'avait aucune idée de ce qu'il devait répondre mais heureusement, Paul intervint le premier, peut-être pour se défendre : "Oh non, ça peut aller à Tony. Après tout, c'est un beau jeune homme, mais sur moi ce serait ridicule."

"Tu vois, il n'y a pas moyen", dit Gloria en souriant et en haussant les épaules. Tony était content que la conversation sur ce thème se termine ainsi, mais il était aussi content que personne n'ait fait de remarque désobligeante sur ses nouveaux bijoux. Quand Gloria et Paul les quittèrent, il se laissa aller à une profonde inspiration de soulagement. Plus  tard dans la soirée, Claudia et Tony rentrèrent dans son appartement. Ils venaient de fermer la porte derrière eux quand Claudia se colla contre son petit ami et commença à jouer avec ses boucles d'oreilles. "Je t'en prie, ne les touche pas Claudia, ça fait encore un peu mal."

"Oh, je suis tellement excitée, mon chéri.", ronronna-t-elle," J'ai envie qu'on aille au lit tout de suite. Faisons-le chéri."

"Il n'y a qu'à demander," répondit Tony en commençant à déboutonner sa chemise. A peine quelques minutes plus tard, ils étaient allongés sur le grand lit, faisant tendrement l'amour.

"Reste allongé et détends-toi", chuchota Claudia peu après en jouant avec son oreille, "Tu m'as fait très plaisir aujourd'hui, laisse-moi m'occuper de toi cette nuit." Lentement, sa langue se promena sur son corps, et ses doigts effleuraient sa peau. Tony ronronna de plaisir tandis que ses mains caressaient les magnifiques cheveux de sa compagne. Lentement, elle commença à chatouiller ses têtons de sa langue, avant de se mettre à le sucer comme un nouveau-né sur le sein de sa mère. Elle n'avait jamais fait une telle chose, et le membre dressé de Tony lui montrait combien il appréciait cette caresse. Après s'être attardée un moment sur ses têtons, sa bouche descendit lentement plus bas, pour atteindre enfin son pénis en érection. Sa langue tourna plusieurs fois autour du gland, puis elle prit le membre dans sa bouche comme si elle voulait l'avaler entièrement. Quelques secondes à peine avant qu'il n'explose, Claudia changea de position et empala sa chatte sur la virilité dressée. Son corps montait et descendait au son de leurs râles de plaisir, râles qui se transformèrent en cris au moment où tous les deux éprouvèrent le plus grand orgasme qu'ils aient jamais partagé. Encore essoufflé, Tony sentit la langue de Claudia à nouveau sur son pénis. Tout en le suçant, elle fit pivoter son corps pour se retrouver au-dessus de la tête de son amant. Avec ses jambes qui encadraient son visage, il sentait la chaleur de son corps sur sa peau. Il vit que la chatte de Claudia se rapprocher de plus en plus de sa bouche. Sa langue se montra impatiente. Il ne lui avait jamais offert une telle caresse, mais à cet instant, submergé qu'il était par son odeur, il ne put s'empêcher de commencer à lui lécher la chatte, humide de plaisir et de son propre sperme. En sentant sa langue en elle, Claudia rejeta sa tête en arrière dans un râle de plaisir, avant de ressentir un orgasme qui lui sembla interminable. Finalement, elle se retourna et s'assit sur la poitrine de Tony, ses mains reposant sur ses épaules, et ils se regardèrent sans un mot avec amour. Ils restèrent comme pétrifiés dans cette position pendant de longues minutes. Claudia rompit enfin le silence en murmurant: "Oh, Tony, c'était tellement génial." "Je t'aime," répondit Tony avec la même douceur, en jouant avec une boucle de ses longs cheveux. Elle retira les mains de ses épaules, et caressa lentement son visage, en repoussant délicatement les cheveux humides de sueur de son front.

"Oh Tony, tu es si beau avec tes boucles d'oreilles, je pourrais te regarder encore et encore."

"Ah ouais, les boucles d'oreilles..." Tony les avait presque oubliées. Claudia joua avec les mèches de cheveux autour de ses oreilles, et soudain un sourire joyeux se dessina sur son visage : "Tu ressembles presque à une fille, Tony."

"Est-ce que c'est pour ça que tu voulais que je porte des boucles d'oreilles, pour ressembler à une fille ?"

"En fait non, mais en te voyant maintenant, je t'imagine avec un peu de maquillage et tes cheveux un peu plus longs. Tu pourrais facilement passer pour une fille, vraiment."

"Bon chérie, ça suffit maintenant…" Tony était un peu gêné par cette idée, mais Claudia semblait presque obsédée. "Laisse-moi essayer, c'est juste pour s'amuser."

Tony secoua la tête – toujours souriant. Claudia sauta du lit et revint quelques secondes plus tard avec des pièces de lingerie.

"Assieds-toi Tony, je vais faire de toi une jolie fille."

Tony était quelque peu agacé par cette soudaine lubie, et il essaya d'esquiver en disant :

"Claudia, ça ne m'ira pas, tu prends juste le risque de déchirer tes sous-vêtements."

"Allez, c'est un tissu très élastique et puis, tu es plutôt mince – presque comme une fille. Assieds-toi maintenant."

"Parfois, je me demande d'où tu sors tes idées idiotes?" Demanda Tony, mais en prenant la pose qu'elle attendait, sans vraiment savoir pourquoi il jouait le jeu.

"Tends tes bras en avant, chéri." Claudia glissa son soutien-gorge le long de ses bras. Ella passa la main derrière son dos et l'attacha. Alors qu'elle plaçait soigneusement les bretelles sur ses épaules, Tony sentit une tension inhabituelle mais aussi, d'une certaine manière, assez excitante. Il ne pouvait pas l'expliquer et il espérait que Claudia ne verrait pas son membre qui se tendait à nouveau. C'était stupide d'avoir un tel espoir, d'autant plus qu'elle se mit à genoux devant lui pour lui enfiler la culotte assortie. Le contact si léger renforça son excitation lorsque Claudia remonta le tissu soyeux le long de  ses jambes. Soudain, elle arrêta de l'habiller et laissa la culotte au niveau de ses cuisses. Elle ouvrit la bouche et recommença à sucer son pénis comme une glace bâtonnet. Après un court moment, elle s'arrêta et leva les yeux vers un Tony confus.

"Tu vois comme c'est agréable de porter de tels atours?"

"Je ne sais pas, Claudia. J'ai honte", dit-il en pointant son pénis, "je ne devrais pas être excité comme ça."

"Pourquoi?" Demanda Claudia surprise.

"Tu me demandes pourquoi ? Claudia, un homme qui s'excite en portant des vêtements de femme, c'est..." Il n'osa pas prononcer le mot.

"... un Travesti ?" Claudia compléta sa phrase et s'assit à côté de lui sur le lit. Ses mains caressaient ses mamelons à travers les bonnets vides du soutien-gorge. "Ecoute Tony, qu'est-ce qu'il y aurait de mal à en être un? Cela ne me dérangerait pas du tout. Au contraire, j'aimerais plutôt ça."

"Mais c'est bizarre, nous devrions arrêter et essayer d'oublier ça."

"Je ne pense pas que ça marcherait. Tu sais, une fois qu'on a goûté aux bonbons, on ne peut plus s'en passer. Et puis d'ailleurs, je ne vois rien de pervers à ça.

"Mais..." essaya-t-il de l'interrompre.

"Il n'y a pas de mais, chéri, le viol est pervers, maltraiter des enfants est pervers, ce sont des crimes. Mais qu'y-a-t-il de mal quand un homme montre sa nature douce et tendre en portant des vêtements colorés et féminins. Puisque ça nous plait à tous les deux, on devrait en profiter."

"Mais que diront nos amis s'ils le découvrent." Il se rendit compte lui-même que ses arguments étaient de plus en plus faibles.

"Cela ne les regarde pas. Est-ce que tu t'es déjà demandé ce que font Gloria et Paul font quand ils sont seuls dans leur maison? Allez, continuons, je suis curieuse de voir à quoi tu vas ressembler."

Claudia balaya ses derniers scrupules. Presque avec impatience, Tony se leva et la laissa poursuivre sa transformation. Aucun doute ne troubla son esprit lorsqu'elle attacha son porte-jarretelles autour de sa taille et attacha ses bas noirs soyeux qui couvraient bien ses jambes. Elle reporta son attention sur le soutien-gorge et remplit les bonnets de mouchoirs.

"Nous devrions te raser les poils, tu ne crois pas?" Lui chuchota-t-elle à l'oreille en ajustant la forme de sa 'poitrine'. En baissant les yeux, il dut accepter sa suggestion. Un corps poilu ne convient pas au port de vêtements féminins, même si ce n'était qu'un jeu. Il ignorait alors qu'elle l'avait déjà entrainé dans un nouvel univers d'où il n'y avait aucun moyen de revenir. Il était content qu'elle ne lui fasse pas voir son apparence dans un miroir. Sans doute était-il effrayé par son propre reflet et peut-être que tous ses efforts étaient vains. Au lieu de cela, elle le ramena dans le lit où Tony dut garder ses sous-vêtements sur lui toute la nuit pour s'y habituer le plus possible. Jusqu'au moment de s'endormir, Claudia n'arrêta pas de caresser de ses pieds ses jambes en gainées de bas, et de ses mains, les bonnets de son soutien-gorge, comme s'il y avait de la vraie chair sous le tissu. Le lendemain matin, quand Claudia se réveilla, elle trouva Tony déjà debout. Il essayait désespérément de dégrafer de son soutien-gorge.

"Tu vas devoir apprendre, une fille fait ça facilement. Laisse-moi t'aider." Claudia se leva d'un bond et se dirigea vers son petit ami. Avant d'ouvrir le soutien-gorge, elle ne put s'empêcher de passer ses bras autour de sa poitrine, caressant les bonnets une fois de plus. Le pénis de Tony se réveilla à nouveau et le voyant, la main de Claudia descendit. Elle caressa son membre à travers la culotte soyeuse et posa son menton sur ses épaules. "Oh mon si doux garçon-fille, pourquoi veux-tu enlever ces parures? Reste comme ça, pour moi."

​Dans un soupir, il répondit: "Chérie, je dois admettre que j'aimerais bien, mais je dois aller travailler."

"Et alors, personne ne le verra sous tes vêtements."

"Je ne sais pas. Tu ne crois pas que c'est risqué ?"

"Où est le risque? Tu as l'intention de faire un spectacle de strip-tease au travail?"

"Non, pas du tout", il cherchait encore une issue, "mais ce sont tes affaires, tu dois aussi aller travailler."

Quelle erreur de croire qu'un tel argument pouvait la faire changer d'avis. Comme elle se préparerait à une telle intervention, elle dit : "Ce n'est pas un problème. Je vais t'emprunter quelque-chose. A l'heure du déjeuner, je pourrais rentrer chez moi et me changer. Je crois que je survivrais à une demi-journée en sous-vêtements d'homme."

"Dois-je aussi garder le soutien-gorge ?" Demanda-t-il. Claudia sourit, elle savait qu'elle avait gagné. Pendant un court instant, elle hésita. Non, elle ne pouvait pas lui épargner le soutien-gorge. Il devrait être forcé de porter un ensemble complet de froufrous féminins et un soutien-gorge était indéniablement l'un des vêtements les plus importants.

"Bien sûr chérie, enlève simplement les mouchoirs. Ta chemise et ta veste cacheront le tissu. Ce soir, nous t'en procurerons un qui t'ira beaucoup mieux."

Une fois de plus, il soupira. L'annonce de l'achat de son propre soutien-gorge ce soir même le dérouta, d'autant plus qu'il était sûr qu'ils n'allaient pas seulement acheter un soutien-gorge. Mais Tony garda le silence. Il sentait qu'il y avait quelque chose au plus profond de son être qui le désirait. Durant toute la journée de travail, il se sentit comme un agent infiltré. Les sensations que lui donnaient les bas et surtout le soutien-gorge serré autour de sa poitrine lui rappelaient en permanence, ce qu'il portait en dessous. Mais il appréciait cela. Étonnamment, personne dans le bureau ne fit d'histoires à propos de ses nouvelles boucles d'oreilles et les quelques remarques furent plus encourageantes que taquines. Lorsqu'il alla déjeuner avec Tamara et qu'il l'entendit le complimenter, il ne put s'empêcher de sourire. Le port secret de sous-vêtements de fille le faisait se sentir plus proche que jamais de Claudia. Soudain, l'expression du visage de Tamara changea. Elle avait un air interrogatif. Tony lui fit face et pâlit. Comme d'habitude, il avait enlevé sa veste et maintenant les contours de son soutien-gorge étaient visibles sous sa chemise. La fourchette qu'il tenait à la main tomba en tintant sur l'assiette et quelques autres convives tournèrent la tête effrayés. Il déglutit. Même s'il ignorait que le soutien-gorge était réellement la raison de son changement d'attitude, il était sûr qu'elle l'avait vu et cela lui fut immédiatement confirmé.

"Tony, ce ne sont peut-être pas mes affaires, mais comme je peux le voir, il y a des choses bien plus féminines que des boucles d'oreilles sur toi aujourd'hui?" C’était plus une remarque qu'une question.

"Ah... ah... Tamara je ne sais pas ce qui m'est arrivé hier soir... c'était une idée de Claudia...", balbutia-t-il.

"Mais tu apprécies ça, n'est-ce pas?"

"Je crois," répondit-il dans un murmure, en paraissant embarrassé, "tu penses que c'est dingue, n'est-ce pas?"

"Non – non, pas vraiment. C'est inhabituel. J'ai déjà entendu parler de ce genre de choses, mais je n'ai jamais rencontré un homme comme toi. Depuis combien de temps est-ce que tu te travestis?" Elle semblait franchement intéressée.

"Tamara, tu dois me croire, je n'ai jamais fait ça auparavant, je n'y ai même pas songé. C'est hier soir, quand Claudia et moi… tu sais quoi... après, Claudia a eu cette idée idiote de me faire porter ses sous-vêtements. J'en ai vraiment honte, mais en même temps, j'ai cette étrange sensation d'excitation, plus forte que toute la honte…" Il sentit ses yeux se mouiller de larmes.

Tamara se rendit compte qu'elle avait touché un point sensible et que Tony n'était pas prêt à en parler librement et facilement. "Ecoute Tony, comme je l'ai dit, ce ne sont vraiment pas mes affaires, toi et Claudia, vous êtes adultes. Vous pouvez faire tout ce qui vous rend heureux et je ne voulais vraiment pas t'embarrasser. Quant à mon avis, je trouve ça sympa, et j'imagine que tu dois faire une jolie fille, entièrement maquillé. Fuyant le regard de Tamara, Tony regarda par la fenêtre. Il se rendit compte que Claudia penserait la même chose, et qu'en un rien de temps, elle pourrait le maquiller complètement en fille.

"S'il te plaît Tamara, ne le dis à personne, je mourrais de honte."

​"Ne t'inquiète pas, je garderais ton secret." Tony hocha la tête et son visage exprimait de la gratitude. Même s'il avait toujours honte, il était heureux que Tamara ait pris les choses si aisément et ne l'ait pas poussé à avouer qu'il portait d'autres pièces de lingerie.

Alors qu'il rentrait chez lui en fin d'après-midi, Claudia l'attendait déjà derrière la porte. Elle l'enlaça et l'embrassa et comme elle ne pouvait pas attendre, elle arracha les vêtements d'homme de son corps. Elle caressa de nouveau sa peau et lorsqu'elle s'agenouilla devant lui, sa langue caressa son pénis à travers le tissu doux de sa culotte. "Retire tes froufrous, ma chérie", murmura-t-elle, "tu portes ta lingerie depuis hier soir. Une fille change de sous-vêtements tous les jours." Cela le dérangea un peu quand elle lui parla au féminin, car il se rendit compte qu'elle était apparemment décidée à lui faire porter des petites culottes de façon permanente. Il se demandait où tout cela le mènerait mais resta silencieux. Tony était complètement sous son charme et il aimait ça. Il la suivit dans la salle de bain et la laissa lui raser le corps jusqu'à ce que sa peau soit aussi douce que celle d'un bébé. Il ne résista pas quand elle lui épila les sourcils, ni quand elle lui fit les ongles. Même en découvrant que ses tiroirs étaient remplis de dessous féminins et que tous ses propres sous-vêtements avaient disparu, il ne s'opposa pas à la façon dont elle le traitait. Claudia avait acheté une pile de nouveaux vêtements pour son petit ami cet après-midi-là – des vêtements pour filles bien sûr. Elle était obsédée par l’idée de faire de lui une femme autant que possible. Cela lui fit monter les larmes aux yeux lorsqu'elle lui fit enfiler un corset qui lui coupa le souffle, mais il était dépassé et excité par ses nouvelles formes. Le corset avait un soutien-gorge intégré que Claudia remplit de faux seins en silicone et Tony pouvait les sentir bouger à chaque mouvement, comme s'il avait une vraie poitrine. Comme son corps était fortement corseté, il ne pouvait pas enfiler ses bas tout seul. Claudia s'agenouilla à nouveau devant lui et lentement elle couvrit ses jambes du tissu soyeux. Encore et encore, elle caressait ses jambes féminines et au plus profond de lui, Tony devait admettre qu'il allait avoir du mal à se passer de ces sensations délicieuses désormais. Claudia sortit une robe rouge avec une jupe évasée de sa garde-robe. Sans doute un des achats qu'elle avait fait cet après-midi. À travers une petite fente, Tony pouvait deviner une abondance de jupes, chemisiers et robes qui remplissaient désormais sa garde-robe, prenant la place de ses vieux vêtements habituels.

"Est-ce que tu as vraiment acheté tout ça pour moi Claudia?"

"Bien sûr, ma chérie."

​"Mais, Claudia…" Un long baiser l'interrompit, et Tony sentit la langue de Claudia pénétrer sa bouche. C'était agréable d'occuper un rôle passif et Tony se laissa faire. Claudia posa ses mains sur sa taille et lui lança un regard envoûtant: "Je vais faire de toi la plus jolie fille que tu n'aies jamais vu. Allez, essaye cette robe. Tu vas être étonné de sentir la jupe te caresser les jambes."

Tony ne pouvait qu'imaginer cette sensation, et eut soudain hâte d'essayer. En entendant le bruit de la fermeture éclair qui se fermait dans son dos, il eut l'impression d'entendre la serrure d'une porte qui venait de se refermer sur lui, et qui allait le maintenir enfermé pour toujours dans la féminité. Claudia le prit par la main et le fit tournoyer sur lui-même. Finalement, les deux s'effondrèrent sur le lit en riant comme deux jeunes filles.

"Nous devrions te trouver un joli nom, ma chérie, tu ne crois pas?"

Tony fit face à sa petite amie, il était tout à fait logique qu'il ait besoin d'un nouveau nom – un nom de fille.

"Et je suppose que tu as déjà une suggestion?"

"Tonya t'irait bien." Rigola Claudia en câlinant ses seins en silicone. 'Bientôt, tu en auras une vraie paire', pensa-t-elle, mais il était certainement encore trop tôt pour lui dire ce qu'elle avait en tête.

"Oui, Tonya, c'est pas mal. Je n'aurais pas à faire de gros efforts pour m'y habituer." Sans s'en rendre compte, sa voix avait pris une intonation légèrement plus aiguë.

"Allez Tonya, laisse-moi finir de te préparer." Une fois de plus, il la suivit dans la salle de bain et subit la fin de sa transformation. Un soupçon de maquillage suffit à le faire ressembler à une fille et avec la perruque brune qui lui tombait sur les épaules, on pouvait aisément le prendre pour une fille.

Le même soir, Tony se retrouva forcé de sortir ainsi. Claudia ne songeait pas à garder sa sœur, comme elle l'appelait maintenant, cachée au regard du monde. Il était étonné de voir avec quelle facilité il pouvait tromper les gens avec son apparence et il apprécia d'être traité comme n'importe quelle autre femme.

C'était comme un nouveau départ et à partir de maintenant les choses évoluèrent très vite. Claudia ne lui permit plus  de porter ne serait-ce qu'un seul sous-vêtement masculin. Après quelques semaines déjà, elle commença à remplacer ses pantalons et ses chemises par des pantalons et des chemisiers pour femmes. Ses cheveux poussaient, et une fois suffisamment longs, Claudia l'a persuadé de se faire faire une permanente. Maintenant, avec sa nouvelle coiffure indéniablement féminine, le moment était venu de faire son coming-out au travail. Cela sema une certaine confusion au début, mais avec l'aide de Tamara, qui s'avéra être une grande amie, et une véritable complice, ses collègues acceptèrent finalement sa transformation. Peut-être que le fait qu'il ne ressemblait pas à un homme en jupe, mais plutôt à une jeune femme à la mode, bien soignée et jolie, permettait aux gens autour de lui de le voir plus facilement comme telle.

Petit à petit, Claudia lui apprit à agir et à se comporter comme une femme et il commença de plus en plus à voir les choses d'un point de vue féminin. Après six mois en jupes, Tony ne pouvait plus imaginer revenir à ses vieux vêtements pour hommes, même s'il ignorait jusqu'où leur obsession commune allait le mener. Il ne savait pas que la fatigue qu'il ressentait depuis quelques semaines n'était pas causée par son travail. Il ne savait pas que ce n'était pas la nourriture qui faisait gonfler sa poitrine et ses hanches et il ignorait pourquoi il avait des sensations aussi agréables quand Claudia lui caressait tendrement les têtons. Claudia ne lui avait pas encore avoué qu'elle lui donnait secrètement des hormones féminines. Tonya allait l'apprendre bien assez tôt.

Parfois, Tonya repensait à la façon dont tout cela avait commencé et elle se souvenait que tout avait commencé avec une simple boucle d'oreille.

1 commentaire:

  1. il se rendit compte que son pénis était aussi dur qu'un roc.
    il n'y a pas que le personnage dans cette situation, le lecteur aussi. Très bonne histoire qui doit se répéter plus souvent que l'on croit derrière les portes fermées.

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