samedi 25 novembre 2023

Lettres de "Petticoat Discipline Quarterly"

Les lettres publiées sur le site "Petticoat Discipline Quarterly" (fermé depuis quelques mois) racontaient des témoignages de "petticoat discipline" (discipline par le jupon, ou "enjuponnage")

Discipline par enjuponnage pour Ian

Chère Tatie Helga,

Je lis votre site Web depuis environ 6 mois et je dois dire que je le trouve excellent. Je suis en accord à 100% avec cette discipline pour les garçons. Je pense cependant que ma mère est allée trop loin. J'ai grandi dans un village rural et isolé d'environ 220 habitants seulement, dans le nord de l'Angleterre. Notre école locale ne compte que 35 élèves, soit presque le même nombre d'élèves que lorsque j'y étais.

J'ai vécu et je vis toujours dans un grand cottage avec mes parents et mes 3 sœurs qui étaient toutes plus âgées que moi. En privé, ma mère me mettait une robe quand j'avais été méchant dès mon plus jeune âge, et cela fonctionnait toujours car elle me ridiculisait avec cette robe. Mais c’était une punition qui demeurait dans la sphère privée dans laquelle seuls elle et moi étions impliqués. Puis, quand j'ai eu 8 ans, tout a changé, mon père est parti travailler à l'étranger contre la volonté de ma mère, et il n'a donc jamais été autorisé à revenir. Après cela, mon comportement a empiré, je suis devenu irrespectueux envers tout le monde, sauf envers mes amis masculins qui ne faisaient que m'encourager.

Une fois de plus, maman est venue dans ma chambre avec une robe, mais cette fois, j'ai pris la fuite, et je me suis caché dans les bois non loin de là pendant des heures. [Cela a été la plus grande erreur de ma vie]

A mon retour à la maison, mes sœurs m'ont durement fessé, et m'ont entrainé dans la maison. Une fois à l'intérieur, ma mère, ma tante Susan, ma stricte grand-mère et 3 cousines me regardèrent avec dégoût. J'ai demandé pardon à maman. Elle m'a alors dit que les choses allaient changer désormais. J'entendais des murmures disant qu'il ne fallait plus me laisser me sauver, car c'était ce que j'allais faire en connaissant le sort qu'on me réservait. Pour commencer, ma sœur ainée Wendy m'a retiré mon pantalon, et maman m'a dit que je ne serais plus jamais autorisé à porter un pantalon dans sa maison. Elle le pensait vraiment, et elle a tenu parole. Jusqu'à aujourd'hui.

Tous mes vêtements de garçon m'ont été enlevés et détruits. Les seules exceptions ont été le pantalon et les chaussures que je portais à l'école. Alors que je me tenais nu dans la chambre de Wendy, ma mère et ma tante Susan sont entrées avec 7 jolies robes et 5 d'entre elles m'allaient très bien. Elles étaient de diverses couleurs, et plusieurs d'entre elles étaient bordées de dentelles. Alors que je me retrouvais habillé de la plus jolie de ces robes, ma cousine Donna est entrée avec 8 jupes, 7 chemisiers, 2 paires de chaussures de fille, un assortiment de petites culottes et des chaussettes de fille. Ma mère m'a fait enfiler une petite culotte, ainsi que des chaussettes et des chaussures. J'étais si embarrassé que je me suis senti mal. Mais je savais que j'avais mérité d'être puni. Il était inutile de chercher à supplier ma mère, car mes vêtements de garçon avaient été détruits, et toutes les femmes et filles de ma famille m'avaient maintenant vu habillé en fille.

Une fois que j'étais complètement habillé en fille, il a été décidé que j'allais passer le reste des 4 semaines de vacances avec ma grand-mère, qui détestait les garçons, et qui disait qu'elle allait faire de moi une fille. Wendy est venue avec nous pour garder un œil sur moi. Le reste de ma famille venait parfois me voir, et m'apportait d'autres affaires de filles, dont 3 chemises de nuit.

Ma grand-mère et Wendy m'apprenaient à me comporter, à parler ou à marcher comme une fille, et me punissaient à chaque fois que j'échouais. Je pouvais être sévèrement engueulé ou fessé. Elles m'appelaient Nancy, et m'emmenaient partout en fille. Rien ne m'était épargné et elles racontaient tout à propos de ma situation à certaines de leurs amies. Elles m'ont emmené chez le coiffeur pour me donner une coiffure plus féminine. La coiffeuse m'a dit qu'elle aurait pensé que j'étais une fille si elle ne m'avait pas connu. Elle m'a demandé si j'allais à une soirée costumée, mais ma grand-mère lui a répondu que j'étais maintenant Nancy, et que j'allais rester ainsi. Elle a ri, remarquant que je me tenais déjà comme une fille. Elle m'a alors demandé si cette situation m'embarrassait, mais Wendy a répondu que j'étais maintenant une fille, et qu'il faudrait bien que je m'y fasse.

Au moment de la rentrée des classes, je suis rentré à la maison, et j'espérais bien que ma mère me laisserait reprendre une vie normale. Mais elle est restée inflexible, et ma punition devait être permanente. Maman a dit que personne ne porterait de pantalon dans sa maison, et elle le pensait.

Le premier jour d'école du lundi matin que je redoutais tant est enfin arrivé. Mes sœurs m'ont fait me lever, j'ai enlevé ma nuisette, elles m'ont mis ma petite culotte la plus féminine et cela m'a rendu encore plus nerveux. Les chemises de mon uniforme scolaire avaient été remplacées par la version chemisier féminin. Heureusement, j'avais encore le pantalon et les chaussures et le reste de l'uniforme était unisexe. Je ne pouvais mettre le pantalon et les chaussures qu'au moment de quitter la maison.

Après quelques heures à peine, quelqu'un avait dit à tout le monde que je portais un chemisier et une culotte de fille sous mon uniforme scolaire, et cela m'a valu bien des taquineries, et pendant une longue période. Je devais aussi garder ma coiffure de fille. En fait, ma mère aurait souhaité me faire porter l'uniforme scolaire complet des filles, y compris la jupe et des chaussures des filles, mais elle a pensé que l'école ne le permettrait pas.

​Après une année, je me suis habitué à ma situation, et progressivement les autres ont cessé de me taquiner ou de se moquer de moi. Au moment de débuter la 10e année, tout le monde à l'école était habitué à me voir me comporter comme une fille, et avait accepté que j'aime me faire appeler Nancy, et que je portais des dessous féminins. Bon, en fait, je n'aimais pas vraiment cela, mais je n'avais pas le choix.

Ma mère est allée à l'école voir la directrice et elles sont devenues des amies proches. Elle lui a expliqué que j'ai toujours voulu être une fille depuis mon plus jeune âge et que j'étais vraiment une fille à l'intérieur.

Et, comme je me comportais de manière si convaincante en tant que fille, elle a réussi à la manipuler pour lui faire croire. La directrice n'était pas au courant des mois de discipline féminine qu'on m'avait imposés.  Elle m'a autorisé à porter l'uniforme complet des filles à l'école. Ma mère a même ajouté un soutien-gorge que je porte depuis.

Ainsi, le lendemain matin, j'ai découvert que mes pantalons et mes chaussures d'école avaient également été détruits et remplacés par des jupes et des chaussures de fille. Maman avait maintenant remporté une victoire totale et complète. Je portais même une paire de collants en hiver. J'étais désormais à l'abri de toute moquerie et je me disais même intérieurement que j'étais une fille.

Depuis, je n'ai plus jamais porté de vêtements masculins, ni même de pantalons pour femmes et j'ai maintenant 26 ans. Quand j'ai quitté l'école à 16 ans, j'ai pensé qu'elle me laisserait peut-être devenir un garçon. Mais elle a dit qu'aussi longtemps que je vivrais sous son toit, j'allais devoir vivre en tant que Nancy, et que si je portais des vêtements masculins, elle me mettrait dehors.

J'ai également travaillé à domicile pour ma mère et ma plus jeune sœur Jane. J'étais chargé des livraisons,  ce qui rapporte plus que les quelques emplois locaux que j'aurais pu trouver. Donc, à elles deux, elles ont réussi à me maintenir en femme, toujours en robe et toujours maquillé.

J'ai pensé un moment quitter le pays pour devenir un homme et trouver un autre emploi. Mais comme je suis éduqué pour être une femme depuis l'âge de 8 ans, j'ai beaucoup de mal à ne pas me comporter comme une fille très féminine. Je trouve tellement plus facile de sortir en tant que femme qu’en tant qu’homme. Mais j'ai quand même failli partir il y a 2 ans à cause du fait que je ne pouvais pas trouver de petite amie dans ma situation.

Puis, finalement, j'ai eu beaucoup de chance de rencontrer une dame très compréhensive appelée Caroline. Elle m'a accepté tel que je suis. Notre relation est maintenant sérieuse et elle dit que je peux rester tel que je suis si je le souhaite. Même si j'ignore si nous finirons par acheter notre propre maison ou même emménager ensemble, si je vais rester habillée en femme ou redevenir Ian.

Je pense que c'est Caroline qui finira par décider pour nous deux. Elle va bientôt emménager avec ma mère et moi dans le cottage et j'espère que tout s'arrangera pour nous. Si ma copine me le permet, je pourrais rester tel que je le suis maintenant.

Je crois fermement que la discipline par le jupon n'est pas assez pratiquée et sous-estimée. Mais je pense que ma mère est allée trop loin en faisant durer cela pour toujours. Même si je respecte toujours sa décision.

Cordialement

Nancy/Ian


Le petit ami féminin de Caroline

Chère Helga,

Je suis caroline. Mon petit ami féminin Nancy vous a écrit récemment, et je dois dire qu'après qu'il m'ait montré votre site, je me suis dit que c'était une idée fantastique de pouvoir partager nos expériences de cette discipline si importante, mais malheureusement si peu usitée.

Bien, j'ai rencontré Nancy il y a 18 mois environ en recherchant a faire des rencontres sur Internet. J'ai su dès le départ qu'il s'habillait en fille, même avant de le rencontrer, car il a été très honnête à propos de sa vie dans ses lettres. Et lui savait que j'étais lesbienne.

Nous nous sommes rencontrés dans un restaurant qu'il avait choisi. Cette fille est entrée, et je me suis dit qu'elle ne pouvait en aucun cas être Nancy. Elle portait une jolie robe rouge, des bas noirs, et des escarpins à talons aiguilles dans lesquels elle se déplaçait avec élégance, et elle portait du rouge à lèvres et un maquillage élégant. Sa coiffure était longue et jolie.

Elle s'est approchée de moi, et m'a dit "Bonjour, vous appelez-vous Caroline? Je suis Nancy." Je l'ai regardée avec étonnement. Non seulement il/elle avait l'apparence impeccable d'une femme, mais en plus, elle marchait, parlait et se comportait comme une dame.

Dès notre second rendez-vous, nous sommes tombés amoureux l'un de l'autre, et nous le sommes toujours. Sa mère, sa grand-mère et ses sœurs ont fait du beau travail en le féminisant. Certaines personnes pensent que c'était cruel de le forcer à rester habillé en fille en permanence, mais sa mère m'a expliqué que le fait de l'habiller en fille était très efficace, qu'il cessait instantanément d'être méchant, mais qu'à chaque fois qu'il enfilait un pantalon, il redevenait rude et même parfois agressif.

Sa mère a décidé que de constamment le changer de garçon en fille serait trop déroutant pour lui. Ainsi, elle et le reste de sa famille l'ont habillé en fille en permanence et lui ont donné des leçons de maintien  jusqu'à ce qu'il se comporte en fille. Je suis donc tout à fait d’accord avec tout ce qu’elles lui ont infligé, même si lui n'est pas à 100 pour cent en accord avec cela. Le moment le plus embarrassant pour lui a été de devoir porter l'uniforme des filles à l'école quand il avait 14 ans. Je ne sais pas pourquoi, car après tout, il n'avait plus porté de pantalon nulle part, sauf à l'école, depuis ce merveilleux jour où il n'avait que 8 ans et tout le monde le savait.

​Comme il l'a dit dans sa lettre, il ne lui est pas permis porter le moindre vêtement masculin tant qu'il vit chez sa mère. Et même s'il a aujourd'hui 26 ans, je ne crois pas qu'elle lui permette un jour de faire autrement.

Comme il est moins grand qu'un homme moyen, et que je suis un peu plus grande que la femme moyenne, nous avons la même pointure de chaussures, et donc nous échangeons souvent nos chaussures et nos robes entre nous. Nous ne partageons pas les mêmes sous-vêtements, mais je lui choisis sa lingerie.

Nous avons discuté de ce qu'il serait autorisé à porter lorsque nous emménagerons ensemble. Je lui ai dit qu'il pourrait peut-être porter ce qu'il voulait, mais je l'ai prévenu que s'il portait des vêtements masculins, je ne le trouverai plus attirant sexuellement et que notre relation pourrait en souffrir. Je lui ai expliqué que je ne l'aime pas sans maquillage. Je l'ai également découragé en lui rappelant que s'il mettait ces stupides vêtements masculins, cela ne lui donnerait qu'une apparence de garçon efféminé, alors que d'habitude, il a l'air d'une fille convaincante. Il est vrai qu'il ne parvient plus à se comporter qu'avec des manières féminines. Ce serait très embarrassant pour lui en public.

Il sait maintenant qu'il restera Nancy pour de bon. Peut-être allons-nous rester encore quelques années chez sa mère, car elle et moi nous entendons parfaitement.

Et mes parents ont accepté Nancy telle qu'elle est, comme ils avaient accepté mes précédentes petites amies. Certaines de mes relations sont moins tolérantes, mais c'est leur problème, pas le mien.

J'espère que ces quelques mots pourront vous être utiles, à vous et à vos lecteurs.

Bien cordialement,
Caroline

Discipline par enjuponnage pour Nancy

Chère Helga,

Je suis Jane (la sœur de Nancy). Vous avez demandé de connaitre l'avis de notre mère sur Nancy. Comme elle n'utilise pas d'ordinateur, je vais répondre à sa place.

Caroline vient à peine de me faire découvrir votre site, et je dois dire que cela m'a impressionné. Ce genre de punition réservée aux garçons et aux hommes est parfait. L'enjuponnage est une bonne manière de qualifier cela.

Nancy n'a pas été le premier garçon de notre famille à être enjuponné. Ma grand-mère habillait souvent son fils en vêtements féminins quand elle estimait cela nécessaire. Ma mère était sa grande sœur, et grand-mère a conservé ses anciennes robes ou jupes, ainsi que ses dessous pour les faire porter à son fils quand son comportement ne respectait pas les règles dans son foyer.

Cette manière de le punir le terrifiait tant qu'il n'a fait aucune bêtise pendant très longtemps. Cela fonctionnait bien mieux que les punitions infligées par son père, c'est-à-dire la fessée à coups de ceinture. Le problème avec Nancy/Ian était que cette punition fonctionnait aussi longtemps qu'il était en robe, mais dès l'instant qu'il était en pantalon, il redevenait vite un garçon pénible et même agressif. Je suppose que, du fait de l'absence de notre père, il n'avait plus personne face à qui il se sentait diminué quand il portait des tenues féminines. Nous n'étions plus que des filles à la maison.

A peine était-il en pantalon qu'il commençait à ressembler à notre père. Irrespectueux, macho, et tentant même de jouer au chef, alors qu'il n'avait que 8 ans. Nous savions toutes que tôt ou tard, il allait finir comme son père si nous ne faisions rien. C'est là que grand-mère a suggéré que nous le transformions en Nancy en permanence, et que nous le traitions comme notre sœur. Maman était d'accord avec cette idée, et toute la famille également. Son comportement a évolué de manière spectaculaire après cela. Nous avons toutes été surprises de voir à quelle vitesse il a appris à se comporter comme une fille l'aurait fait. Quelques garçons se sont moqués de lui au début, mais avec notre aide, il a appris à gérer cela. Il s'est montré bien plus heureux en fille.

L'école n'a posé aucun problème, parce que ses résultats scolaires et son comportement se sont améliorés. En fait, pendant les 2 dernières années de sa scolarité, il a porté l'uniforme scolaire des filles, y compris la jupe, les chaussures, et des collants en hiver. C'est à cette époque que la directrice de l'école l'a sorti de la classe de garçons pour l'inscrire dans celle des filles. Après cela, il s'est montré moins distrait, et ses résultats scolaires se sont encore améliorés.

Depuis ce jour, il n'a plus jamais porté le moindre article de vêtement masculin, et il s'est montré une bien meilleure personne. Je n'ai aucun doute que ma mère a fait le bon choix. Je souhaite que mon témoignage serve à toutes les mères qui ont du mal à élever leur fils. S'il est trop compliqué à éduquer, habillez-le en fille à l'occasion. Si cela n'est pas suffisant, faites-en une fille pour toujours.

Très cordialement,

Jane

Le mariage de Nancy

Chère Tatie Helga,

C'est à nouveau Nancy… Ma petite amie Caroline et ma sœur Jane vous ont écrit l'année dernière, à propos de la manière dont ma mère et mes sœurs m'ont transformé en fille quand j'avais 8 ans. En m'interdisant tout vêtement masculin dans la maison, et en me laissant porter un pantalon uniquement pour aller à l'école, avec cependant une petite culotte, des chaussettes de fille, et un chemisier plutôt qu'une chemise. Et comme je l'ai dit dans ma première lettre, ma mère a fini par persuader la directrice de l'école de m'inscrire dans la classe des filles pour les 2 dernières années de ma scolarité. C'est là que j'ai été envoyé en classe dans l'uniforme des filles, avec une jupe bleue, un soutien-gorge, et même des collants quand le temps était froid. Je ne parle même pas de la combinaison de sport que je devais porter pendant les cours d'éducation physique.

Comme j'étais élevé en fille, j'étais forcé de me comporter et de parler comme une fille. Depuis lors, je suis incapable de me comporter en homme. Si j'essayais j'aurais l'air très efféminé.

Je vous ai dit l'année dernière que ma relation avec Caroline était sérieuse. Eh bien, nous venons juste de rentrer de notre lune de miel en France. Une lune de miel parfaite en tous points.

Mon épouse et moi vivons toujours dans le cottage de ma mère. Même si j'ai maintenant 28 ans, je suis obligé de respecter sa règle d'interdiction de port de tout vêtement masculin sous son toit. Caroline m'a dit que la même règle allait s'appliquer le jour où nous emménagerons dans notre propre maison, car elle m'a épousé en tant que femme lesbienne… Nancy. En effet, il y a quelques mois, elle m'a persuadé d'officiellement faire changer mon nom d'Ian à Nancy. Maman et mes sœurs étaient ravies. Avant que ma relation avec Caroline ne devienne sérieuse, j'en avais toujours voulu à maman de m'avoir transformé en fille de façon permanente. J'avais toujours eu l'intention de quitter la maison pour trouver un travail en tant qu'homme et de me trouver une petite amie. Mais, du fait de la sécurité financière assurée par ma mère, et parce que j'étais continuellement figé dans un rôle de femme, cela n'est jamais arrivé. De plus, je respectais la décision de ma mère.
Comme vous l'avez suggéré dans nos échanges… Les mères savent ce qui est bon pour leur enfant. Tatie Helga, vous avez vu juste. Cette situation m'a permis de rencontrer et d'épouser la femme de mes rêves. Depuis, je nage dans le bonheur et je savoure ma vie. Vous devez donc avoir raison en mettant en avant la puissance de l'instinct maternel. Notre mariage s'est très bien passé, même si nous avons connu quelques difficultés d'organisation. Notre église locale a refusé de le célébrer. Mais ma mère et ma sœur Jane ont trouvé une église à quelques kilomètres de chez nous qui a accepté. Mais elle a accepté en fixant quelques conditions. Si je devais être une épouse lesbienne, je devais comme Caroline porter une robe de mariée. Caroline a évidemment donné son accord, disant qu'elle avait espéré une telle demande. Alors que j'ai voulu protester, ma tante Anne a posé sa main sur ma bouche et a soufflé à mon oreille "d'accepter pour éviter de les offenser". J'ai alors accepté cela avec nervosité. J'étais très effrayé que certains amis de la famille de Caroline ou de la mienne ne désapprouvent le fait que je me retrouve devant l'autel en robe de mariée. J'avais déjà trouvé difficile de leur faire face en tant que femme, alors en tant qu'épouse lesbienne… Mais j'ai compris que je devais garder la tête haute et le faire.

Maman et ma tante Anne ont été chargées de m'habiller et de me préparer pour la cérémonie. Elles ont fait un travail magnifique comme vous pouvez le voir sur nos photos. Je suis la plus grande sur les photos.

Le mariage de Caroline et Nancy

 
Caroline et Nancy avec des amis le soir du mariage
 

La cérémonie s'est déroulée sans problème. J'ai été surpris de n'entendre personne dans l'assistance se moquer de moi, ou même ricaner. Mais je sais qu'ils auraient eu à en répondre à ma mère et à mes sœurs (cela n'aurait pas été une expérience plaisante pour eux). Alicia (la nièce de Caroline, âgée de 7 ans), qui était ma plus jeune demoiselle d'honneur, m'a posé énormément de questions sur la manière dont j'ai été transformé en fille étant jeune. Je lui ai simplement expliqué que cela avait été la meilleure chose à faire. Elle m'a souri, et m'a dit qu'elle espérait que sa maman transformerait son frère Darren en fille. Le père de mon épouse n'était pas d'accord à 100 pour cent avec tout cela, mais il est resté silencieux. Sa mère était ravie de la situation.

Depuis le mariage, ma compagne me pousse lentement à aller encore plus loin. Elle me fait appliquer une crème pour retarder la repousse de la barbe. Même si je suis toujours parfaitement rasé. Et elle fait des recherches sur Internet à propos d'hormones dans l'espoir de trouver un traitement sans risque pouvant me permettre de me faire pousser des seins. J'accepterais tout ce qu'elle décidera pour moi. Elle lit régulièrement votre site, et cela lui inspire de nouvelles idées. En ce moment, elle aime particulièrement me voir en guêpière bien serrée, avec des bas et des talons hauts. Mais je préfère quand elle me laisse porter une simple petite culotte et un soutien-gorge, avec des collants et des talons moins hauts. Voilà où nous en sommes à ce jour.

Cordialement,

Nancy.

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