Étranges fantasmes que ceux-ci: La féminisation d'hommes ou de garçons. Des histoires imaginaires, illustrées ou non, de garçons transformés en filles, bien souvent contre leur gré. Blog réservé aux adultes, même si les histoires et les illustrations resteront très "soft".
Les lettres publiées sur le site "Petticoat Discipline Quarterly" (fermé depuis quelques mois) racontaient des témoignages de "petticoat discipline" (discipline par le jupon, ou "enjuponnage")
Discipline par enjuponnage pour Ian
Chère Tatie Helga,
Je lis votre site Web depuis environ 6 mois et je dois dire que je le trouve excellent. Je suis en accord à 100% avec cette discipline pour les garçons. Je pense cependant que ma mère est allée trop loin. J'ai grandi dans un village rural et isolé d'environ 220 habitants seulement, dans le nord de l'Angleterre. Notre école locale ne compte que 35 élèves, soit presque le même nombre d'élèves que lorsque j'y étais.
J'ai vécu et je vis toujours dans un grand cottage avec mes parents et mes 3 sœurs qui étaient toutes plus âgées que moi. En privé, ma mère me mettait une robe quand j'avais été méchant dès mon plus jeune âge, et cela fonctionnait toujours car elle me ridiculisait avec cette robe. Mais c’était une punition qui demeurait dans la sphère privée dans laquelle seuls elle et moi étions impliqués. Puis, quand j'ai eu 8 ans, tout a changé, mon père est parti travailler à l'étranger contre la volonté de ma mère, et il n'a donc jamais été autorisé à revenir. Après cela, mon comportement a empiré, je suis devenu irrespectueux envers tout le monde, sauf envers mes amis masculins qui ne faisaient que m'encourager.
Une fois de plus, maman est venue dans ma chambre avec une robe, mais cette fois, j'ai pris la fuite, et je me suis caché dans les bois non loin de là pendant des heures. [Cela a été la plus grande erreur de ma vie]
A mon retour à la maison, mes sœurs m'ont durement fessé, et m'ont entrainé dans la maison. Une fois à l'intérieur, ma mère, ma tante Susan, ma stricte grand-mère et 3 cousines me regardèrent avec dégoût. J'ai demandé pardon à maman. Elle m'a alors dit que les choses allaient changer désormais. J'entendais des murmures disant qu'il ne fallait plus me laisser me sauver, car c'était ce que j'allais faire en connaissant le sort qu'on me réservait. Pour commencer, ma sœur ainée Wendy m'a retiré mon pantalon, et maman m'a dit que je ne serais plus jamais autorisé à porter un pantalon dans sa maison. Elle le pensait vraiment, et elle a tenu parole. Jusqu'à aujourd'hui.
Tous mes vêtements de garçon m'ont été enlevés et détruits. Les seules exceptions ont été le pantalon et les chaussures que je portais à l'école. Alors que je me tenais nu dans la chambre de Wendy, ma mère et ma tante Susan sont entrées avec 7 jolies robes et 5 d'entre elles m'allaient très bien. Elles étaient de diverses couleurs, et plusieurs d'entre elles étaient bordées de dentelles. Alors que je me retrouvais habillé de la plus jolie de ces robes, ma cousine Donna est entrée avec 8 jupes, 7 chemisiers, 2 paires de chaussures de fille, un assortiment de petites culottes et des chaussettes de fille. Ma mère m'a fait enfiler une petite culotte, ainsi que des chaussettes et des chaussures. J'étais si embarrassé que je me suis senti mal. Mais je savais que j'avais mérité d'être puni. Il était inutile de chercher à supplier ma mère, car mes vêtements de garçon avaient été détruits, et toutes les femmes et filles de ma famille m'avaient maintenant vu habillé en fille.
Une fois que j'étais complètement habillé en fille, il a été décidé que j'allais passer le reste des 4 semaines de vacances avec ma grand-mère, qui détestait les garçons, et qui disait qu'elle allait faire de moi une fille. Wendy est venue avec nous pour garder un œil sur moi. Le reste de ma famille venait parfois me voir, et m'apportait d'autres affaires de filles, dont 3 chemises de nuit.
Ma grand-mère et Wendy m'apprenaient à me comporter, à parler ou à marcher comme une fille, et me punissaient à chaque fois que j'échouais. Je pouvais être sévèrement engueulé ou fessé. Elles m'appelaient Nancy, et m'emmenaient partout en fille. Rien ne m'était épargné et elles racontaient tout à propos de ma situation à certaines de leurs amies. Elles m'ont emmené chez le coiffeur pour me donner une coiffure plus féminine. La coiffeuse m'a dit qu'elle aurait pensé que j'étais une fille si elle ne m'avait pas connu. Elle m'a demandé si j'allais à une soirée costumée, mais ma grand-mère lui a répondu que j'étais maintenant Nancy, et que j'allais rester ainsi. Elle a ri, remarquant que je me tenais déjà comme une fille. Elle m'a alors demandé si cette situation m'embarrassait, mais Wendy a répondu que j'étais maintenant une fille, et qu'il faudrait bien que je m'y fasse.
Au moment de la rentrée des classes, je suis rentré à la maison, et j'espérais bien que ma mère me laisserait reprendre une vie normale. Mais elle est restée inflexible, et ma punition devait être permanente. Maman a dit que personne ne porterait de pantalon dans sa maison, et elle le pensait.
Le premier jour d'école du lundi matin que je redoutais tant est enfin arrivé. Mes sœurs m'ont fait me lever, j'ai enlevé ma nuisette, elles m'ont mis ma petite culotte la plus féminine et cela m'a rendu encore plus nerveux. Les chemises de mon uniforme scolaire avaient été remplacées par la version chemisier féminin. Heureusement, j'avais encore le pantalon et les chaussures et le reste de l'uniforme était unisexe. Je ne pouvais mettre le pantalon et les chaussures qu'au moment de quitter la maison.
Après quelques heures à peine, quelqu'un avait dit à tout le monde que je portais un chemisier et une culotte de fille sous mon uniforme scolaire, et cela m'a valu bien des taquineries, et pendant une longue période. Je devais aussi garder ma coiffure de fille. En fait, ma mère aurait souhaité me faire porter l'uniforme scolaire complet des filles, y compris la jupe et des chaussures des filles, mais elle a pensé que l'école ne le permettrait pas.
Après une année, je me suis habitué à ma situation, et progressivement les autres ont cessé de me taquiner ou de se moquer de moi. Au moment de débuter la 10e année, tout le monde à l'école était habitué à me voir me comporter comme une fille, et avait accepté que j'aime me faire appeler Nancy, et que je portais des dessous féminins. Bon, en fait, je n'aimais pas vraiment cela, mais je n'avais pas le choix.
Ma mère est allée à l'école voir la directrice et elles sont devenues des amies proches. Elle lui a expliqué que j'ai toujours voulu être une fille depuis mon plus jeune âge et que j'étais vraiment une fille à l'intérieur.
Et, comme je me comportais de manière si convaincante en tant que fille, elle a réussi à la manipuler pour lui faire croire. La directrice n'était pas au courant des mois de discipline féminine qu'on m'avait imposés. Elle m'a autorisé à porter l'uniforme complet des filles à l'école. Ma mère a même ajouté un soutien-gorge que je porte depuis.
Ainsi, le lendemain matin, j'ai découvert que mes pantalons et mes chaussures d'école avaient également été détruits et remplacés par des jupes et des chaussures de fille. Maman avait maintenant remporté une victoire totale et complète. Je portais même une paire de collants en hiver. J'étais désormais à l'abri de toute moquerie et je me disais même intérieurement que j'étais une fille.
Depuis, je n'ai plus jamais porté de vêtements masculins, ni même de pantalons pour femmes et j'ai maintenant 26 ans. Quand j'ai quitté l'école à 16 ans, j'ai pensé qu'elle me laisserait peut-être devenir un garçon. Mais elle a dit qu'aussi longtemps que je vivrais sous son toit, j'allais devoir vivre en tant que Nancy, et que si je portais des vêtements masculins, elle me mettrait dehors.
J'ai également travaillé à domicile pour ma mère et ma plus jeune sœur Jane. J'étais chargé des livraisons, ce qui rapporte plus que les quelques emplois locaux que j'aurais pu trouver. Donc, à elles deux, elles ont réussi à me maintenir en femme, toujours en robe et toujours maquillé.
J'ai pensé un moment quitter le pays pour devenir un homme et trouver un autre emploi. Mais comme je suis éduqué pour être une femme depuis l'âge de 8 ans, j'ai beaucoup de mal à ne pas me comporter comme une fille très féminine. Je trouve tellement plus facile de sortir en tant que femme qu’en tant qu’homme. Mais j'ai quand même failli partir il y a 2 ans à cause du fait que je ne pouvais pas trouver de petite amie dans ma situation.
Puis, finalement, j'ai eu beaucoup de chance de rencontrer une dame très compréhensive appelée Caroline. Elle m'a accepté tel que je suis. Notre relation est maintenant sérieuse et elle dit que je peux rester tel que je suis si je le souhaite. Même si j'ignore si nous finirons par acheter notre propre maison ou même emménager ensemble, si je vais rester habillée en femme ou redevenir Ian.
Je pense que c'est Caroline qui finira par décider pour nous deux. Elle va bientôt emménager avec ma mère et moi dans le cottage et j'espère que tout s'arrangera pour nous. Si ma copine me le permet, je pourrais rester tel que je le suis maintenant.
Je crois fermement que la discipline par le jupon n'est pas assez pratiquée et sous-estimée. Mais je pense que ma mère est allée trop loin en faisant durer cela pour toujours. Même si je respecte toujours sa décision.
Cordialement
Nancy/Ian
Grande nouvelle!
Linda Trainer (du site: http://lindastgcaptions.blogspot.com/ ) m'a autorisé à traduire ses histoires et à les publier pour le plus grand plaisir des francophones!!!
Un grand merci à elle!!!
Depuis que maman m'a surpris vêtu de ses sous-vêtements, elle m'oblige à m'habiller et à me comporter comme une fille tous les jours après l'école – et tout au long des week-ends. Je n'ai plus le droit de passer du temps avec mes amis – je passe tout mon temps libre avec ma mère. Elle m'a appris à me comporter, à bouger et à parler
Hier, ma mère a annoncé que j'étais prête à "être révélée en public". Je ne savais pas ce que cela signifiait, mais je l'ai vite compris. Après l'école, ma mère a travaillé sur ma coiffure et mon maquillage pendant quelques heures jusqu'à ce qu'elle estime que mon look était parfait. Puis elle m'a fait enfiler une robe dos nu bleu vif qu'elle avait achetée pour moi. La robe était très soyeuse, moulante et sexy. Elle m'a aspergé de parfum et m'a mis certains de ses bijoux fantaisie. Une fois que j'étais habillé, maman m'a tendu une petite pochette et m'a ordonné de monter dans la voiture. Nous sommes allés en voiture au centre-ville jusqu'à un restaurant français chic où nous avons dîné. J'étais tellement nerveux. Je dois dire que les gens me regardaient – en particulier les hommes dans le restaurant. Ma mère m'a commandé un Cosmopolitan à boire pour m'aider à me calmer. Tout au long de la soirée, ma mère me murmurait des instructions à chaque fois que je montrais des hésitations sur ma manière de me comporter de façon féminine. J'ai survécu à cette expérience et nous sommes rentrés chez nous.
Aujourd'hui, en rentrant de l'école, maman m'a dit que nous retournions au même restaurant. Tout le processus de préparation a recommencé. Des heures ont été consacrées à ma coiffure et à mon maquillage. Puis elle m'a enfilé une robe de soirée noire sans bretelles. Elle était si serrée que je pouvais à peine respirer. Le pire, c'est que je me sentais pratiquement nu. Habillé ainsi, j'étais certain d'attirer encore plus de regards indésirables de la part des hommes du restaurant.Alors que nous nous arrêtions devant le restaurant, ma mère a dit : "Oh, et encore une chose. Ce soir, tu dînes avec un homme nommé Mike Carson. C'est un homme d'affaires de 45 ans qui a une préférence pour les jeunes filles de 18 ans – des jeunes filles dans ton genre! Oui, Sissy – ce soir tu vas à ton premier rendez-vous avec un HOMME! Je serai à la table d'à côté et je regarderai tout, alors tu ferais bien de te comporter parfaitement. Et surtout, n'oublie pas Sissy, après avoir offert un dîner coûteux, un homme digne de ce nom attend quelque chose en retour – et tu ferais bien de ne pas décevoir!"
Une petite histoire trouvée il y a longtemps sur Internet. traduite de l'anglais.
"Pourquoi ne veux-tu pas porter une boucle d'oreille?" Demanda Claudia en ronronnant comme une chatte. Elle jouait avec le lobe de l'oreille de Tony, et, comme pour donner de l'intensité à sa question, elle le pinça avec ses ongles.
Tony détourna la tête et dit: "Rhôôô… Claudia, les boucles d'oreilles, c'est pour les filles. Que diraient mes potes, aucun d'entre eux ne porte de boucle d'oreille."
"Allez," insista-t-elle en essayant de lui attraper l'oreille à nouveau, "c'est juste qu'aucun n'a encore essayé. Il y tellement d'hommes qui ont les oreilles percées. Regarde simplement autour de toi, j'en connais au moins une dizaine, que tu connais aussi. Certains ont même les deux oreilles percées."
Tony roula des yeux. Il était un peu gêné par la demande de Claudia. Ce n'était pas la première fois qu'elle soulevait la question, mais jamais auparavant elle n'avait insisté ainsi. Bien sûr, elle avait raison, en disant que ce n'est pas gênant pour un jeune homme d'avoir une oreille percée, mais d'une manière ou d'une autre, il avait peur que ses amis ne le taquinent parce qu'il porte un bijou traditionnellement réservé aux filles.
"Je vais y réfléchir." dit-il, espérant qu'elle finirait par le laisser tranquille.
"Réfléchir, réfléchir… Qu'est-ce que ça veut dire?" Répondit Claudia, visiblement déçue.
"Ca veut dire que je vais y penser, rien d'autre."
"OK," Claudia se leva, "je ne veux surtout pas te déranger pendant que tu réfléchis." Elle mit l'accent sur ces derniers mots et se dirigea vers la porte.
"Où est-ce que tu vas?" Demanda Tony, surpris.
"Chez moi." Répondit-elle froidement.
"Tu veux dire que tu ne restes pas avec moi pour la nuit à cause d'une stupide boucle d'oreille? Claudia, c'est dingue." Dit-il, quelque peu irrité.
"Dingue? Vraiment? Qu'est-ce qu'il y a de dingue à avoir une apparence soignée et à être la mode? Je veux que mon petit ami porte une boucle d'oreille, et c'est mon dernier mot. Appelle-moi quand tu seras décidé." Claudia claqua la porte derrière elle en sortant. Tony était abasourdi. Était-elle vraiment sérieuse ? Allait-elle vraiment mettre fin à leur relation juste à cause d'une stupide boucle d'oreille? Cette pensée le tint éveillé presque toute la nuit. Encore et encore, il considéra le pour et le contre. "Qu'est-ce que ça peut faire d'avoir un petit bouton dans l'oreille gauche?" Il se dit finalement: "C'est à peine perceptible, et puisque Claudia insiste vraiment, pourquoi pas?" Le lendemain matin, au moment d'aller travailler, il avait décidé de téléphoner à Claudia dans l'après-midi pour lui dire qu'il allait faire ce qu'elle voulait, puisque cela semblait si important pour elle. Mais pendant la journée, son humeur changea plus d'une fois. Lorsqu'il alla déjeuner avec Tamara, l'une de ses collègues, il rassembla tout son courage et lui fit part de la demande de Claudia et lui demanda ce qu'elle en pensait. Son commentaire le surprit. "C'est super", dit-elle sans un soupçon d'étonnement dans sa voix, "je pense qu'un petit anneau doré t'irait très bien."
"Oh, vraiment?" Répondit-il, incrédule.
Tamara le prit par le menton et fit tourner sa tête d'un côté à l'autre. "Tu as un très joli visage," poursuivit-elle, "je parie que deux petits anneaux dans tes oreilles t'iraient très bien – et qu'un petit bouton en diamant mettrait en valeur ton lobe gauche."
"Oh non, c'est trop." Dit Tony, un peu effrayé.
Tamara haussa les épaules. "Tu m'as demandé mon avis. Si tu étais mon petit ami, je t'encouragerais à faire ce que je t'ai dit."
"Tu ne penses pas que c'est un peu trop pour un homme?"
"Allez Tony, nous ne sommes plus au 19e siècle. Les limites entre les genres disparaissent peu à peu. Les femmes portent des pantalons, et les hommes des boucles d'oreilles. En quoi est-ce grave? Certains créateurs de mode ont même créé des jupes pour hommes." Tony éclata de rire, mais changea de sujet pour parler de choses moins embarrassantes pour lui. Il était quasiment convaincu, mais, plus tard, de retour au bureau, il demanda à son collègue Philip ce qu'il pensait des hommes qui portaient une boucle d'oreille. "C'est sympa," répondit-il, "pourquoi, tu veux en porter?"
"Oh, non… enfin oui… C'est Claudia qui veut que j'en porte une." Balbutia Tony.
"Eh bien, tu me diras si ça fait mal. J'y ai déjà pensé pour moi-même, mais je n'ai pas encore trouvé le temps." Cette réponse de son ami fit basculer la balance. Plus tard dans l'après-midi, Tony téléphona à Claudia et lui dit qu'il avait changé d'avis et qu'il acceptait de se faire percer le lobe de l'oreille gauche. Claudia était ravie, et comme elle ne voulait pas lui laisser le temps de changer d'avis une fois de plus, elle lui demanda de la rencontrer devant le centre commercial à cinq heures précises. Il eut une sensation désagréable dans son ventre quand il atteignit le centre commercial. L'image d'une aiguille pénétrant son oreille en un rien de temps pour y placer un bijou étincelant qui allait être permanent le fit quelque peu trembler. Claudia était d'excellente humeur en retrouvant son petit ami qui l'attendait déjà. Elle attrapa son bras et le traîna jusqu'à l'escalator. Malgré les réactions encourageantes de ses collègues, il la suivit avec une certaine réticence. Puis il vit la grande enseigne au néon "PIERCING CENTER".
"Oh non, on ne pourrait pas faire ça à la maison?" Demanda-t-il en chuchotant, mais Claudia l'ignora.
Version originale de ces captions sur le forum russe http://madhouse.ucoz.ru/ (anciennement tg-wonderland)
Ce que j'aime chez cet auteur, c'est la grande diversité des thèmes!