Amy et Joanne (4)
Dans les épisodes précédents nous avons découvert la vie d'Amy.
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https://rosepourlesgarcons.blogspot.com/2020/10/fantasme-ou-realite-40.html
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Nous allons maintenant en savoir
plus sur sa sœur aînée Sarah, et sur l'étrange couple qu'elle forme avec John…
Qui s'appellera bientôt Joanne. Elle a raconté son histoire sur un blog spécialisé.
Sarah
Je suis l'ainée de 3 enfants, 2 filles et 1 presque fille. Notre père nous a quittés quand j'avais six ans. J'ai du mal à me souvenir de lui. Amy (Scott) et Jennifer n'ont aucun souvenir de lui. Maman a toujours été une femme forte et indépendante et notre père ne pouvait pas l'accepter. Après 8 ans de mariage et 3 enfants, il a renoncé à ses devoirs parentaux.
Notre mère nous a élevé, Jennifer et moi, pour devenir des femmes fortes, dominantes, et indépendantes. Parfois, j'étais désolée pour Scott (Amy). Il a été endoctriné depuis tout petit pour lui faire admettre que les femmes/filles sont supérieures aux hommes/garçons. Il était très introverti et n'avait que peu d'amis. Dès l'âge de 5 ou 6 ans, il a passé beaucoup de temps en fille. Il n'a jamais eu la moindre chance.
J'ai fait des études de droit, et je travaille comme consultante pour les entreprises qui cherchent à valoriser les femmes. Après 25 ans, j'ai vécu en couple pendant quelque temps, et j'ai eu deux filles.
J'ai toujours été attirée par les hommes ou les garçons délicats, mais je ne trouvais pas ce que je recherchais. Jennifer, ma sœur, sait depuis l'âge de 13 ans qu'elle est lesbienne. En 2006, elle a rencontré Denise, qui a elle aussi une forte personnalité, et elles se complètent très bien. Après 12 ans de vie commune, elles prévoient de se marier en juillet.
John est le petit frère de Denise. Elle a essayé depuis plusieurs années de nous pousser l'un vers l'autre. Tout ce que je voyais de lui était son comportement de macho insupportable. Elle a insisté, m'expliquant qu'il ne s'agissait pas du vrai John, qu'en réalité, il avait plutôt un caractère faible et soumis.
J'ai finalement accepté de sortir avec lui. Dès le premier soir, il a sorti sa façade de gros macho. Je lui ai ordonné d'arrêter immédiatement, et il s'est soudain montré bien plus respectueux. La suite de la soirée s'est si bien passée que j'ai demandé à le revoir. Plus je passais du temps avec lui, plus sa façade se fissurait, exposant le vrai caractère de John. Quand nous n'étions pas ensembles, il jouait encore parfois les machos, mais je savais qu'avec le temps, je pourrais effacer ce comportement.
Après un an, j'ai demandé à John de se marier avec moi, et il a accepté.
1. John allait devoir signer un contrat de mariage strict, qui disait qu'il n'apportait rien à notre couple, et qu'il n'aurait donc rien en cas de divorce.
2. John devait accepter de porter mon nom.
3. Qu'on pouvait discuter de tout, mais que je prendrais systématiquement la décision finale.
4. Comme je souhaitais éventuellement avoir d'autres enfants, John devait faire un prélèvement de sperme avant de subir une vasectomie. Si je souhaitais mettre au monde d'autres enfants, cela devait se faire par insémination artificielle.
5. John devait se charger de toutes les tâches du foyer.
John a accepté toutes ces conditions, et nous nous sommes mariés en 2012.
John
Je suis le cadet d'une famille de deux enfants et Denise est mon aînée. Nous avons perdu nos parents alors que Denise avait 18 ans. Je suis resté avec elle, sous son autorité légale.
Pendant toute mon enfance, ma mère et Denise m'ont rappelé à quel point j'étais faible, et m'ont influencé dans ce sens. Plus tard, fatigué d'être traité de mauviette à l'école, j'ai commencé à me comporter en "macho", à faire du sport. J'ai réussi à effacer mon image de mauviette, mais quand j'ai commencé à sortir avec des filles, je n'avais pas souvent droit à un second rendez-vous. Les filles décelaient souvent ma vraie personnalité, et elles ne voulaient pas d'une mauviette comme petit ami.
Après le lycée, j'ai poursuivi mes études sans vraiment savoir quoi faire de ma vie. Denise poursuivait ses études et travaillait en même temps pour nous faire vivre. Pour économiser de l'argent, elle me faisait souvent porter ses anciens vêtements. Quand je refusais, elle me disait que j'étais libre de partir. Ainsi, je ne compte plus les fois où j'ai porté ses anciens pantalons, shorts, ou hauts.
Quand elle m'a présenté Sarah, je me suis dit que ma sœur allait me laisser tranquille pour un moment. A notre premier rendez-vous, j'ai essayé de jouer au macho, mais elle m'a rapidement remis à ma place, et finalement, cela ne m'a pas gêné.
Quand elle m'a demandé de l'épouser, et qu'elle m'a exposé ses conditions, j'ai rapidement accepté. Mon changement de nom ou le contrat de mariage ne me posaient pas vraiment de problème.
Sarah
John a facilement assumé son rôle d'homme au foyer. Il avait pour responsabilités de faire le ménage, la lessive, entretenir le jardin, préparer mon petit-déjeuner avant que je ne parte travailler, et préparer le dîner pour mon retour. Il faisait aussi toutes les courses. Le reste du temps, il était libre de faire ce qu'il voulait.
Pendant les 6 premiers mois, je me suis servi du sexe pour le contrôler. Je le récompensais quand il faisait de petits gestes pour moi, comme me masser les pieds ou les épaules. Puis, je lui donnais une liste de tâches à effectuer chaque jour. S'il faisait bien son travail, il était récompensé. Après moins d'un mois, il était déjà excité en découvrant la liste de son travail du jour. Je lui ai aussi appris à me donner du plaisir en ne se servant que de ses doigts ou de sa langue.
J'ai vite constaté qu'il était en mon pouvoir, alors j'ai voulu voir jusqu'où je pouvais le pousser. Un soir, alors que je complimentais John pour son bon travail de la journée, je lui ai dit que je n'aimais pas les hommes poilus. Je lui ai alors donné une crème dépilatoire. Il n'a pas dit un mot, et est allés dans la salle de bain. Il en est ressorti sans aucun poil en-dessous du niveau de ses sourcils.
Je l'ai récompensé avec le meilleur moment de sexe qu'il n'a jamais eu. Après cela, il était si épuisé qu'il s'est vite endormi. Je lui ai alors enfermé son sexe dans une cage de chasteté avant de m'endormir dans ses bras. En enfermant son pénis, j'en devenais la propriétaire.
Le lendemain matin, il a réalisé que son pénis était encagé. Il m'a demandé pourquoi, et je lui ai simplement répondu que c'était ce que je voulais. J'ai ajouté qu'il ne serait pas libéré à moins de se comporter en vraiment très bon garçon, et de m'obéir sans objection. Il a commencé à discuter, alors je lui ai dit: "Tu n'as que deux choix: Soit tu acceptes ta nouvelle vie, soit tu t'en vas." Je lui ai alors tendu une petite culotte de femme, en lui disant de jeter tous ses caleçons d'hommes. Il a alors baissé la tête avant de dire: "Oui Madame."
John
M'occuper de la maison n'était pas très gênant pour moi. Quand je vivais encore avec Denise, je m'occupais presque de tout le ménage. J'ai toujours apprécié avoir une maison propre et j'aime faire la cuisine. Quand en plus, Sarah me récompensait avec du sexe, cela n'en était que meilleur. Je me disais qu'il me suffisait de lui faire plaisir pour pouvoir coucher avec elle encore et encore. J'en suis arrivé au point de bander uniquement en pensant à mes tâches du jour.
Je savais que je ferais absolument tout pour elle. Quand elle m'a tendu le tube de crème dépilatoire, j'ai tout de suite su ce que je devais faire. Elle m'a récompensé avec le meilleur, et plus épuisant rapport sexuel de ma vie. A mon réveil, j'ai vu que mon sexe était enfermé dans une cage de chasteté. J'avais déjà vu des photos de ce genre de chose, mais je n'en avais jamais vu en vrai. Curieusement, j'ai trouvé l'idée d'être ainsi encagé et à la merci de Sarah satisfaisante. Mon pénis ne m'appartenait plus, c'était son jouet. Il n'existait plus que pour son plaisir. Quand je repense à cet instant où j'ai accepté cela, je sais que c'est là que j'ai accepté de changer de vie et de sexualité.
Sarah me contrôlait complètement, et j'adorais cela.
Sarah
Les mois suivants ont amené de nombreux changements pour John. Je lui ai fait jeter la plupart de ses vieux vêtements, et nous lui avons acheté de nouvelles affaires. Bientôt, il ne portait plus que des vêtements aux couleurs vives, ou de pastels tendres. Evidemment, en dessous, il ne portait plus que des petites culottes et des débardeurs féminins ou des caracos.
John a commencé à prendre des rendez-vous hebdomadaires pour se faire épiler le corps à la cire, subir des manucures et pédicures, et pour une épilation définitive au laser de son visage. Comme il avait prématurément des cheveux gris, je lui ai dit de s'occuper de cela également. La styliste ne s'est pas contentée de lui teindre les cheveux, elle lui a aussi fait une jolie coiffure en dégradé.
Les semaines suivantes, je lui ai donné les instructions de faire affiner ses sourcils, de se faire percer les oreilles, et de faire mettre un peu de couleur sur ses ongles. En voyant qu'il tardait à m'obéir, je lui ai demandé pourquoi. Il m'a répondu que cela lui faisait peur. Je lui ai alors dit qu'il devait être puni. Je lui ai ordonné de m'apporter une grande règle en bois. Je l'ai alors fait s'allonger en travers de mes genoux et je l'ai fessé durement. Au 5e coup, il pleurait, alors je lui en ai donné 5 de plus. Je l'ai alors laissé se redresser, et je lui ai dit que c'était pour son bien. Cela a été la seule et unique fois où j'ai été obligée de le punir. Le lendemain, il avait les oreilles percées et ses ongles étaient vernis avec un noir brillant.
Alors que ces changements se produisaient, il a progressivement perdu ses amis hommes. Il a alors commencé à occuper son temps libre en allant faire du sport, ou du shopping. Il a aussi rejoint un club de lecture, et pris des cours de cuisine. Il a rencontré et est devenu ami avec quelques femmes. Elles pensaient toutes qu'il était gay. Il a été invité à des soirées de jeu. Je n'étais pas inquiète qu'il me trompe, car je savais qu'il était encagé. Il discutait beaucoup avec ces femmes, à propos de leurs vies quotidiennes. Elles lui suggéraient de changer de coiffure, ou de couleur de vernis à ongles. En suivant leurs conseils, il s'est fait faire des mèches décolorées dans ses cheveux.
John
Quand j'ai commencé à sortir avec Sarah, je n'imaginais pas à quel point ma vie allait changer. Mais j'ai compris que c'était pour le mieux. Je vivais désormais comme la personne que j'étais destiné à être. J'ai oublié toute volonté d'insoumission le jour où Sarah m'a fessée avec la règle. J'ai pris soin de ne plus jamais discuter son autorité après cela. De plus, elle me laissait une certaine liberté, et je faisais ce dont j'avais envie pendant mon temps libre. J'ai rencontré de nouvelles amies, j'ai appris à mieux m'habiller…
Même si mes nouvelles amies savaient que j'étais marié, la plupart me prenaient pour un homosexuel. Quand j'étais avec elles, j'étais juste "l'une des filles". J'ai compris cela le jour où elles m'ont invité à une soirée de présentation de cosmétiques.
la suite bientôt...
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