Chapitre 1
Mon
histoire commença alors que j'étais âgé de 15 ans. Je venais de finir le
collège et je me préparais avec appréhension
à commencer ma première année au lycée. J'avais tout l'été devant moi et
j'étais bien décidé à en profiter pleinement. Je ne sais pas pourquoi j'ai pu faire
tant de bêtises et m'attirer autant d'ennuis. Je n'étais pas un mauvais garçon.
Je ne m'étais jamais battu, mes notes étaient correctes, et à ma connaissance,
je n'avais jamais fait de mal à personne. Peut-être était-ce lié aux hormones –
ou plutôt, dans mon cas, au fait qu'elles manquaient. J'attendais encore que
les premiers signes de la puberté se manifestent. Tous mes amis étaient déjà
passés par là et avaient déjà développé plusieurs preuves de leur virilité,
certains se rasaient plusieurs fois par semaine. Je n'avais pas cette chance.
Je n'avais pas le moindre poil sur mon corps. Bon, j'avais bien un peu de duvet
sur mes jambes, mais il fallait être attentif pour le voir. Ma voix n'avait
toujours pas mué, et il n'y avait pas le moindre développement pileux sur mon
visage. J'avais demandé à ma mère de m'autoriser à me faire une coupe très
courte, comme à l'armée, espérant que cela me donnerait une apparence de
maturité, mais elle refusa. Elle disait que mes cheveux étaient bien trop beaux
pour les couper, et ils m'arrivaient au niveau de ma nuque. J'étais très embarrassé,
d'autant plus que mes amis avaient commencé à m'appeler "bébé".
J'avais tellement honte que je refusais même de prendre des douches à l'école,
après le sport. Je me plaignais auprès de ma mère, mais elle me disait d'être
patient, et que les changements viendraient en temps voulu. Cela ne me
consolait pas, mon image était en jeu.
Je
crois que j'essayais de prouver ma virilité quand je proposai à mes amis
d'emprunter une voiture pour nous amuser. Pour faire court, la police nous
arrêta et appela nos parents. Trois jours plus tard, nous faisions face à un
juge. Tout le monde reçut une mise à l'épreuve de six mois, sauf moi. Mes
copains avaient dit au juge que j'avais été l'instigateur de toute l'affaire.
Le juge ordonna une mise à l'épreuve de trois ans pour moi, sous l'autorité de
mes parents. Si nous devions encore faire une bêtise pendant notre période de
mise à l'épreuve, le juge nous condamnerait à la détention dans un établissement
pénitentiaire pour mineurs. Ma mère avait le cœur brisé. Elle promit au juge
que je ne ferais plus parler de moi. Elle m'interdit de sortir pendant tout
l'été.
Je
fis ma seconde erreur en sortant en cachette pour aller au cinéma avec mes
amis. A mon retour à la maison, ma mère était furieuse. Elle me promit que je
ne sortirais plus de la maison sinon accompagné par elle. Elle m'interdit
d'aller dans ma chambre cette nuit-là et m'ordonna d'aller me coucher dans sa
chambre sans attendre. Voyant à quel point elle était fâchée, j'obéissais sans
discuter.
Le
lendemain matin, je me rendis dans ma chambre pour m'habiller. Je n'en croyais
pas mas yeux quand j'ouvris mon placard pour y prendre un jean. Le placard
était vide. En fouillant dans mes tiroirs pour y trouver un tee-shirt et un
short, je constatais qu'eux aussi étaient vides. Je courus au bas de l'escalier
et demandai à ma mère où étaient mes vêtements. Elle répondit calmement qu'elle
avait posé des affaires pour moi sur mon lit. En remontant dans ma chambre, je
reçus le plus grand choc de ma vie. Sur mon lit, je trouvai une jupe plissée
bleue et rouge, et un chemisier bleu avec un col garni de dentelles. Furieux, je
redescendis, seulement vêtu de mon bas de pyjama pour y recevoir le plus grand
savon de ma vie. Ma mère me réprimanda sévèrement et m'expliqua que je devais
rester à la maison sous sa surveillance pour tout l'été, et pour être sûre que
je ne sorte pas sans y être autorisé, elle allait m'habiller en fille. Je
poussais d'abord des cris de colère, mais bientôt, je suppliais:
"Je t'en prie, dis-moi où sont
mes vêtements."
Elle ne me répondit pas. Elle avait pris
sa décision et allait rester ferme. Elle m'expliqua que si je voulais pouvoir
manger, j'allais devoir m'habiller avec les affaires qu'elle m'avait préparées.
Je restais dans ma chambre toute la journée,
en manquant mon petit-déjeuner et mon déjeuner. Vers 19 heures, j'étais affamé,
mais ma mère refusa de discuter avec moi tant que je n'étais pas habillé. Que pouvais-je
faire d'autre? J'enfilai la jupe et le chemisier et me regardai dans le miroir.
J'avais l'air grotesque! J'étais sûr qu'elle allait bien rire en me voyant dans
cette tenue, mais je me disais qu'elle
penserait que j'avais compris ma leçon, et qu'elle me rendrait mes affaires de
garçon. Je trouvai même des chaussures de fille pour aller avec ma tenue.
C'étaient des babies avec une fine lanière qui s'attachait au-dessus du pied.
Après une profonde inspiration, j'entrai dans la cuisine.
Elle
n'éclata pas de rire, mais ne me dit pas non plus où étaient cachés mes
vêtements. Elle se contenta de me dire:
"Tu es bien mignon commença!"
Elle m'embrassa sur le front, et commença à me
servir le diner. J'étais affamé et elle avait préparé mon plat favori.
J'oubliai rapidement mes vêtements pour savourer le repas.
Après
le dîner, ma mère me réservait de nouvelles surprises. Elle m'expliqua que la
plupart des filles de mon âge commençaient à avoir des seins et que mon
chemisier semblait bizarre avec ma poitrine plate. Elle me présenta un
soutien-gorge rembourré neuf, qui avait encore son étiquette de prix. Il
insista pour que je retire le chemisier et que j'enfile ce soutien-gorge. Je me
disais que si je coopérais, peut-être allait-elle se lasser de tout cela, et
même réaliser combien son ide était folle. Une fois le soutien-gorge attaché,
elle me présenta une petite culotte et un jupon, tous deux bordés de dentelles.
Elle jeta mon slip dans la poubelle et je me demandais si c'était ce qu'elle
avait fait de mes autres affaires. Une fois que j'étais complètement habillé,
elle me détailla pendant plusieurs minutes:
"Pas si mal," dit-elle.
"Pas mal pour un début. C'est
loin d'être parfait, mais tu as du potentiel. Vas donc te regarder dans le
miroir."
Je
me présentai devant le miroir et je restai sous le choc. Je ressemblais à une
fille avec une coiffure moche. Mes sensations étaient étranges. J'étais embarrassé,
mais en même temps un peu excité. Je me sentais honteux et coupable, mais
j'étais intrigué par l'image que le miroir me renvoyait. Je me sentais perdu.
Où était passé le garçon que j'étais? Qu'allait-il advenir de mes projets pour
l'été? Qu'allais-je devenir si je me mettais à aimer cette nouvelle image de
moi que j'observais dans la glace? Et si mes amis me voyaient?
Pourtant,
le choc de cette première soirée n'était rien en comparaison de ce que
j'endurais le lendemain. Elle m'emmena faire les magasins! Oui, dans la jupe
plissée et le chemisier. Ces articles n'étaient que les premiers éléments de ma
nouvelle garde-robe, et elle voulait s'assurer que mes nouveaux vêtements
soient bien à ma taille. Oh bien sûr, je tentai de résister, mais comme la
veille au soir, je dus me soumettre. Au moins, elle m'épargna quelque peu en
nous emmenant dans la ville voisine pour éviter de croiser quelqu'un qui me
connaissait. Je ne pouvais pas croire qu'elle ne semble pas gênée du tout
d'être en public avec moi dans cette tenue, elle semblait même plutôt
satisfaite. Les vendeuses dans les boutiques de vêtements semblaient approuver
ce qu'elle me faisait. Elles faisaient des remarques comme "il est
mignon" ou "ce serait si bien si plus de garçons porter de jolies
choses." Je me disais que cela aurait été plus facile pour moi si elles
n'avaient pas reconnu que j'étais un garçon. Mais je me taisais et j'endurais
mon humiliation. J'en étais sûr, maman allait constater ma coopération et
allait finir par me rendre mes affaires de garçon.
Maman
dépensa énormément d'argent. Nous n'étions pas excessivement riches, mais nous
vivions dans le confort. Depuis le décès de mon père trois ans plus tôt, maman
avait travaillé, mais plus pour s'occuper que pour gagner de l'argent. Mon père
avait laissé une bonne assurance décès, et ma mère touchait une pension. Elle
ne sembla pas très inquiète par la somme dépensée pour me féminiser et m'éloigner
de mes amis. Je crois qu'elle me fit essayer vingt ou trente robes, et qu'elle
en acheta près de la moitié. Elle acheta aussi des lots de lingerie, avec des
petites culottes, des soutiens gorges, des jupons, des collants, et même des
gaines. A chaque robe qu'elle m'avait achetée, elle poussa le vice à trouver
une paire de chaussures qui pourrait être portée avec cette robe.
Un
achat en particulier m'inquiéta beaucoup. Ma mère me fit essayer une petite
jupe plissée rouge, avec un haut brodé noir et un blazer rouge assorti à la
jupe. En voyant cet ensemble, elle dit:
"Oh ce sera parfait pour aller
à la messe."
Oh non, elle ne planifiait tout de
même pas de me faire aller à l'église dans cette tenue! Mais avant que je
puisse protester, elle choisit une paire de chaussures à talons pour
accompagner cet ensemble.
Alors
que j'espérais qu'on rentre enfin à la maison, elle m'entraina dans une
bijouterie où elle acheta des bagues, des bracelets et des colliers. La
vendeuse proposa des boucles d'oreilles, et maman s'éloigna avec elle à l'autre
bout du comptoir. Je n'entendais pas ce qu'elles se disaient, mais elles
semblaient examiner quelque chose avec attention. Quand elles revinrent vers
moi, la vendeuse m'invita à la suivre derrière le comptoir où elle me fit
assoir sur un fauteuil. J'aurais dû me douter de ce qui m'attendait, mais
j'étais si pressé d'en finir que je la suivis sans poser de question. Elle
m'expliqua que la luminosité était meilleure là, et elle présenta plusieurs
boucles d'oreilles devant mes oreilles pour que maman puisse mieux se faire une
idée. Au moment même où j'entendis ma mère dire:
"J'aime bien celles-ci,"
je sentis une vive douleur dans le lobe de mon oreille droite et je compris
immédiatement ce qu'elle m'avait fait. Elle m'avait percé l'oreille. C'en était
fini du gentil garçon. Je me mis à crier et je refusais qu'elle s'approche de
mon autre oreille. J'avais l'impression d'avoir été violé. Ma mère se mit à
pleurer quand j'insultais la vendeuse. Je ne supporte pas de voir ma mère pleurer,
et des gens regardaient dans notre direction. Je me sentis piégé et observé. Je
voulais seulement partir, mais maman me dit entre deux sanglots que nous
n'allions pas quitter la boutique avec une seule boucle d'oreille. Résigné et
calmé, je laissais faire la vendeuse qui perça mon autre oreille. Elle me fit
tourner devant un miroir pour que je puisse voir un bouton en diamant orner
chacune de mes oreilles. Je crois que c'était à ce moment précis que j'avais
perdu la bataille. Je me sentais complètement défait. Ma masculinité avait
disparu. J'avais perdu toute volonté de me battre, et maman allait pouvoir
m'imposer tout ce qu'elle voulait.
Je
me sentais tellement résigné que je n'offris aucune résistance quand, un peu
plus tard, ma mère gara la voiture devant un salon de beauté. Quand la styliste
me demanda de retirer mon chemisier pour mettre une blouse, j'obtempérais sans
discussion. Je restais assis dans un fauteuil dans un état second pendant que
mes cheveux étaient shampooinés, coupés puis mis en rouleaux. Tandis que la
dame achevait de travailler sur ma nouvelle coiffure, elle dit à ma mère:
"Ses cheveux sont encore un peu
courts, mais après cette coupe, ils pousseront bien. Avec la permanente, elle
ne ressemblera plus autant à un garçon en attendant." C'était la première
fois qu'on parlait de moi en disant "elle", et j'ignorais encore à ce
moment que j'allais devoir m'y habituer avant la fin de l'été.
Mes
tourments ne s'arrêtèrent pas avec ma nouvelle coiffure. Une esthéticienne me
fit un soin du visage et m'affina mes sourcils. Ensuite, elle me mit du mascara
pour allonger mes cils, et me maquilla. Pendant ce temps, une autre personne me
fit une manucure et me vernit les ongles avec une couleur rouge vif. A la fin,
quand l'esthéticienne me tourna vers le miroir, je ne pouvais pas croire ce que
je vis. Si j'avais perdu ma masculinité dans la bijouterie, c'était dans
l'institut de beauté que je tombai amoureux de ma nouvelle apparence féminine.
Le garçon que j'étais avait disparu, et à cet instant, il ne me manquait pas.
Plutôt
que de rentrer à la maison pour dîner, ma mère m'invita dans un restaurant. Je
dois admettre que j'appréciais pleinement ce premier repas en fille. Plus
personne ne me voyait comme un garçon et j'aimais cette sensation. J'étais plus
détendu et je me comportais plus gentiment avec maman, et même si j'étais bien
incapable d'exprimer ce que je ressentais, je commençais à me sentir mieux en
fille. Maman semblait très heureuse et elle me parla longuement de ses projets
pour l'été, et du fait qu'elle avait toujours désiré avoir une fille. Cette
journée avait été longue et bouleversante.
J'avais perdu ma masculinité dans une bijouterie, j'étais tombé amoureux de ma
féminité dans un salon de beauté, et j'avais découvert que maman pouvait être
ma meilleure amie dans un restaurant.
Chapitre 2
Mon été en fille venait de débuter. J'avais beaucoup à
apprendre et maman y travailla avec moi chaque jour. J'appris à me maquiller
sans en faire trop. J'appris à choisir mes vêtements et à coordonner les
couleurs. Elle corrigeait constamment ma posture, me montrant comment m'assoir,
comment marcher ou faire des gestes typiquement féminins, et en prohibant
toutes mes attitudes masculines. J'aidais ma mère dans la cuisine ou pour faire
le ménage. La nuit je dormais dans de jolies chemises de nuit et le jour, je ne
portais que des robes, ou des jupes et des chemisiers. Je commençais lentement
à m'habituer à ma nouvelle condition, et je commençais à redouter la fin de
l'été et le retour au lycée en garçon.
Parfois, un ami appelait ma mère
pour demander de mes nouvelles, et elle lui disait que j'étais parti en Floride
chez ma tante pour l'été en raison des problèmes que j'avais causés. Au bout de
quelque temps, mes amis arrêtèrent d'appeler.
Un jour, environ trois semaines
après la journée dans les boutiques, quelqu'un sonna à la porte. Ce coup de
sonnette me glaça. J'étais terrifié à l'idée d'être vu par quelqu'un qui me
connaissait en tant que garçon. Je courus dans ma chambre, effrayé à l'idée
qu'on ait pu me voir à travers la fenêtre. Maman alla ouvrir, et je reconnus la
voix de mon oncle Bob. Oncle Bob était le frère de maman, et il était médecin.
Nous avions été très proches depuis le décès de mon père, et je me disais que
j'en mourrais s'il me voyait habillé en fille. Pour la première fois, je
commençais à m'en vouloir d'avoir laissé maman me faire ça. Je restais blotti
dans un coin de ma chambre en priant pour qu'il ne monte pas. J'étais sûr que
maman allait garder le secret.
J'entendais leurs voix, mais je
ne comprenais pas ce qu'ils se disaient. Il me semblait qu'ils se disputaient,
et je commençais à me demander ce qui se passait. Les jambes tremblantes, je
m'approchais de l'escalier pour mieux entendre, prêt à me cacher si quelqu'un
commençait à monter les marches. J'entendis mon oncle dire:
"Louise,
ce n'est pas bien. Je ne ferais pas ce que tu me demandes."
"Ecoutes,
Bob, je le ferais, et si tu refuses de m'aider, je trouverais quelqu'un
d'autre. Je ne le laisserais pas finir comme son père."
Je suppose qu'ils parlaient de
mon vol de voiture. Je n'avais pas beaucoup de détails sur le décès de mon
père, mais on m'avait dit qu'il avait été assassiné suite à une bagarre dans un
bar. Etait-ce la vraie raison pour laquelle maman m'habillait en fille?
Avait-elle peur que je connaisse le même destin que mon père?
"Mais
Louise, il y a d'autres manières de le protéger."
"Oh,
bien sûr, mais de cette manière, je suis certaine que nous serons tous les deux
très heureux."
"Je ne
peux pas le croire, Paul est un garçon. Il ne voudras jamais vivre en
fille."
Mon Dieu!
Elle lui avait tout dit! Il savait! Je me sentis mal au point d'avoir envie de
vomir.
"Eh
bien tu as tort, Monsieur le Docteur qui-sait-tout. Il a appris à se comporter
en fille plus rapidement qu'à apprendre à jouer au baseball. Il aime sa
nouvelle vie, et si tu ne l'aides pas à se sentir mieux en fille, je trouverais
une autre solution."
"Mais
ce que tu me demandes est irréversible. Que se passera-t-il s'il change
d'avis?"
"Il ne
changera pas d'avis."
"Sa
puberté a-t-elle débuté?"
"Non,
et nous devons faire quelque-chose avant que ça ne commence."
"Bon,
si Paul et toi êtes vraiment sérieux à ce propos, nous devrions attendre un an.
Laisse-le vivre en fille pendant ce temps pour voir si c'est vraiment ce qu'il
veut."
"C'est
justement tout le problème. Nous n'avons pas un an. Sa puberté peut démarrer
d'un jour à l'autre."
"Bon,
c'est vrai que ces produits pourraient avoir un effet bien plus rapide si nous
commençons avant que son corps ne produise des quantités de testostérone. Mais
tu dois savoir que si nous commençons maintenant, il ne produira plus aucune
hormone mâle, et ses organes masculins seront improductifs."
"Tu vas
le faire?"
"Je
n'ai pas dit ça. Est-ce que je peux le voir? Tu dois savoir que je dois
l'examiner. Je ne peux pas simplement signer une prescription comme ça."
Ma mère m'appela. Mon cœur
s'arrêta un instant de battre. Elle appela encore: "Pauline!" Oh non,
elle m'appelait ainsi depuis trois semaines, mais jamais je n'aurais imaginé
qu'elle m'appelle Pauline devant mon oncle Bob. Je ne bougeais pas. Elle monta
les escaliers et me vit. Elle prit ma main et s'assit sur une marche pour me
parler:
"Pauline,
ma chérie. Je sais que tu as peur, mais c'est très important. Je veux tout
faire pour que tu sois heureuse. Dis-mois honnêtement. Aimes-tu être une
fille?"
Paralysé, je
ne pus que murmurer un timide "oui."
"Bientôt,
ton corps va changer. De la barbe va apparaitre sur ton visage. Ta peau va
devenir moins douce, et la forme de ton corps va changer. Ta voix va devenir
grave. Ton oncle a des médicaments qui peuvent empêcher tout cela, mais il doit
être sûr que c'est ce que tu veux avant de te les donner. Je t'aimais quand tu
étais mon fils, et je t'aime maintenant que tu es ma fille. Si tu veux vraiment
continuer, tu vas devoir lui faire face et lui dire que tu préfères être une
fille. C'est ta décision."
Elle se
leva, lâcha ma main, et redescendit l'escalier. J'entendis la voix de mon
oncle:
"Alors,
où est-il?"
"Il est
embarrassé, Bob. Il va descendre dans un instant."
Ce fut le moment la plus
difficile de ma vie. Je n'aurais jamais pensé possible que j'aurais à faire
face à mon oncle Bob habillé en fille. Je restais assis là sur une marche en
haut de l'escalier pendant un long moment. Il savait maintenant que j'étais en
fille, et quoi qu'il pouvait arriver, les choses n'allaient plus jamais être
les mêmes entre nous. Je pris enfin mon courage à deux mains et descendis
lentement l'escalier, m'attendant à supporter les rires et les moqueries de mon
oncle.
Il n'éclata pas de rire, et il
ne se moqua pas de moi. Il prit mes mains dans les siennes et me regarda dans
les yeux avant de me demander:
"Tu es
vraiment plus heureux en fille, ou bien préfères-tu être un jeune homme?"
J'étais
incapable de parler. J'avais tant de choses que j'aurais voulu pouvoir lui
expliquer, mais les mots ne venaient pas. Tout ce que je parvins à dire, ce fut
le mot "fille", et j'éclatais en sanglots.
Chapitre 3
Le
lendemain matin à 8 heures, nous étions dans le cabinet d'oncle Bob. Je portais
un short en jeans et un simple haut à col rond. Mon maquillage était léger et mes
cheveux, bien que courts, étaient coiffés de la manière la plus féminine
possible. Maman resta avec moi tout le temps, et je me sentis gêné quand
l'infirmière me demanda de me déshabiller entièrement. Comme ma mère était là,
l'infirmière quitta la pièce à mon grand soulagement. Elle n'allait pas voir
que j'étais un garçon.
Mon
oncle Bob m'examina entièrement, puis il demanda à maman si elle pouvait nous
laisser seuls un moment. Il voulait me demander une nouvelle fois si j'étais
bien sûr de moi. Je lui répondis sans conviction que oui. Il m'expliqua alors
que mon corps allait subir énormément de changements dans les prochains mois,
et que si j'avais l'impression à n'importe quel moment d'avoir commis une
erreur, je devais immédiatement l'appeler. Je lui demandai:
"Quels changements?"
"Dans un premier temps, les
choses iront lentement, et tu ne remarqueras sans doute rien,"
répondit-il. "A ton âge, et avec tes hormones masculines encore peu
présentes dans ton corps, je pense qu'après quelques semaines, les changements
seront assez rapides. Tu seras comme une jeune fille qui entre dans la puberté,
mais avec les produits que je vais te donner, je pense que tu auras une puberté
assez rapide. Je pense que les premiers effets que tu sentiras seront des
démangeaisons et un renflement au niveau de ta poitrine. D'autres changements
devraient se produire plus tard au niveau de tes hanches et de tes fesses. Ta
voix restera plutôt aigue, et tu devras sans doute de temps en temps te raser
les jambes. Par contre, tu n'auras jamais de barbe. J'avoue que je t'envie un peu
pour ça."
"Et si je change d'avis?"
"Eh bien, nous devrions
parvenir à inverser le processus, mais j'estime que d'ici un an environ, tes
testicules auront définitivement cessé de fonctionner. A ce moment-là, je crois
qu'il sera trop tard pour redevenir un garçon. Tu dois comprendre que c'est une
décision grave que tu prends, et je veux vraiment que tu sois sûr de toi."
Je suppose que j'aurais dû y
réfléchir plus longtemps, mais dans mon esprit, j'avais déjà changé. Je lui dis:
"Bon d'accord, allons-y!"
Il rappela ma mère, et me fit allonger sur le
ventre. Je sentis quelque chose de froid sur une de mes fesses quand il la
désinfecta à l'alcool. Sans dire un mot de plus, il enfonça une seringue dans
ma fesse et je sentis un liquide pénétrer dans mon corps. J'étais excité,
effrayé, et plein de doutes, tout cela en même temps. Le sort en était jeté et
je savais que cette aventure allait durer longtemps, peut-être pour toujours.
Tandis
que je me levais pour me rhabiller, mon oncle Bob me dit:
"Ton corps va maintenant réagir
comme celui d'une fille. Bientôt, il ne restera plus de trace du garçon que tu
étais."
Pendant que je m'habillais, il donna
à ma mère des flacons de pilules et expliqua à quelle fréquence je devais en
prendre.
"Si tu constates le moindre
effet secondaire, surtout, appelle-moi," ajouta-t-il, "et je veux la
revoir d'ici un mois pour une nouvelle injection. Si tout se passe bien, je
devrais pouvoir lui faire une injection plus massive qui agira pour six
mois."
C'était la première fois que
j'entendais mon oncle Bob parler de moi au féminin, et cela me fit frissonner.
Pourtant, je crois que j'aimais ça.
Alors
que nous allions partir, mon oncle Bob me prit par l'épaule et me dit:
"Pauline, je crois qu'il est
temps que je t'appelle ainsi, si tu as besoin de parler, tu peux m'appeler à
tout moment. Ce n'est pas parce que tu es maintenant une fille qu'on ne pourra
plus aller pêcher ensemble de temps en temps."
Il sourit et ajouta:
"Je devrais sans doute
accrocher les vers sur ton hameçon maintenant."
Je lui fis une bise sur la joue en
lui disant:
"Merci oncle Bob d'être si
compréhensif. Je t'aime."
Au moment de sortir, je me retournai
et lui dit:
"J'adorerais aller à la pêche
avec toi, et je crois que j'arriverais à me débrouiller avec mes
hameçons."
Les
semaines suivantes, nous restâmes le plus souvent à la maison. Maman continua à
me donner des leçons de féminité, et je crois que j'apprenais vite. Beaucoup de
choses me semblaient naturelles. Mes cheveux poussaient et j'adorais essayer
différents styles de coiffures. Je parvenais à me maquiller trois fois plus
vite qu'au début. J'apprenais à faire la cuisine et à coudre. Souvent, nous
allions dans une ville voisine pour faire les boutiques, dîner au restaurant,
ou aller au cinéma. Personne ne semblait se poser de question sur mon compte et
je commençais à être de plus en plus à l'aise dans mon nouveau rôle.
Nous
n'avions pas beaucoup de voisins proches, mais à l'occasion, une amie de maman passait
à la maison. Elle expliquait alors que Paul était en Floride chez sa tante, et
que Pauline, la fille de celle-ci, passait l'été ici. La seule fois où je crus
avoir été reconnu, c'est quand une amie de ma mère lui dit que je ressemblais à
Paul comme une sœur.
Je
remarquais de subtils changements dans mon corps, mais rien de spectaculaire
jusqu'à la troisième semaine de juillet. Mes mamelons avaient grossi et étaient
devenus très sensibles depuis un moment, mais sans plus. Mais un matin, je
trouvais mon soutien-gorge rembourré particulièrement inconfortable. Il ne
m'allait plus. Je le retirai puis j'examinais ma poitrine devant le miroir, et
je vis qu'ils étaient là! De vrais seins qui me semblaient gros. Oh bien sûr,
ils n'étaient pas si gros que cela, je m'en rends compte maintenant, mais à ce
moment, ils me semblaient très gros. Ce matin-là, maman et moi avons acheté de
nouveaux soutiens gorges, et la semaine suivante, d'autres, avec un plus grand
bonnet. Maman m'acheta aussi plusieurs bikinis, et je passais du temps dans le
jardin à me faire bronzer.
Avant
même de nous en rendre compte, il ne restait que deux semaines avant la
rentrée. Je m'étais toujours dit qu'à mon retour au lycée, j'allais redevenir
un garçon, quitte à m'habiller en fille le soir et le week-end. Après-tout,
j'étais toujours légalement un garçon. Mais mon corps avait tellement changé
que ni moi, ni maman ne parvenions à m'imaginer reprendre des vêtements de
garçon. Elle décida donc que nous allions déménager.
La semaine suivante, notre maison fut vendue.
Nous avions trouvé une autre jolie maison dans une autre ville, éloignée d'une centaine
de kilomètres. Là-bas, maman m'inscrivit au lycée comme sa fille Pauline Watson.
Comme il nous restait une petite semaine avant la rentrée, maman fit appel à
une société de déménagement qui s'occuperait de tout, et elle m'emmena pour une
semaine au bord de la mer.
Mes
cheveux tombaient désormais sur mes épaules. Mon corps avait maintenant des
courbes dont je n'aurais jamais osé rêver. Un nouvel aspect de mon éducation
devint indispensable: les garçons! Je constatais rapidement que j'attirais leur
attention sur la plage. Je tentais d'abord de sembler indifférente et d'ignorer
leurs sollicitations. Maman et moi eurent quelques conversations, et une
nouvelle phase de mon éducation débuta. Elle me poussa à accepter de sortir
avec un garçon le dernier soir. Mon Dieu que j'étais nerveuse. Mais tout se
passa bien. Le garçon se révéla être un parfait gentleman et j'appréciais
beaucoup sa compagnie, et d'être traité comme une dame. Je ne pourrais jamais
raconter cela à mes vieux copains avec qui je jouais au baseball, mais je reçus
ce soir-là mon premier baiser, et je trouvais cela merveilleux.
Chapitre 4
La
rentrée arriva, et une fois de plus, j'étais très nerveuse. Pour mon premier
jour, je portais une robe chasuble noire et blanche, avec un tricot rouge en
dessous. Je m'étais levée à cinq heures parce que je voulais être parfaite. Je
coiffai mes cheveux en queue de cheval et je me fis un maquillage discret. Je
changeais de tenue trois fois avant de revenir au premier ensemble que j'avais
essayé. Maman m'accompagna jusqu'à l'arrêt de bus, et je crois qu'elle était
encore plus nerveuse que moi.
Pendant
le voyage en bus qui se passa bien, je fis connaissance de plusieurs filles
sympathiques. Une fois arrivés, en attendant le début des cours, je remarquais
plusieurs garçons qui me regardaient avec attention. La sonnerie retentit, et une masse de lycéens se mit en mouvement
pour trouver sa salle de classe. Je m'assis à côté d'une des filles que j'avais
rencontrées dans le bus. La prof se présenta et commença à faire l'appel. Quand
elle appela "Pauline Watson", je levai la main. Elle regarda
longuement sur un papier sur son bureau, puis me regarda, puis examina à
nouveau ses papiers.
Elle
regarda à nouveau dans ma direction, puis me demanda:
"Pauline, n'étais-tu pas au
collège de Ralkeigh l'année dernière?"
Mon cœur s'arrêta de battre. Elle
avait mon dossier scolaire sur lequel figurait mon nom Paul, ainsi que mon
véritable sexe. J'avais envie de partir en courant. Ne sachant pas comment
réagir, je répondis simplement:
"Oui madame."
Mon cœur recommença à battre quand
je l'entendis dire:
"Il doit y avoir une erreur
informatique. Cela se produit tout le temps. Sur ce papier, il est indiqué que
tu es un garçon et que tu t'appelles Paul. Je vais arranger cela pour que
personne ne te pose plus de question dans les prochains cours."
Elle continua son appel comme si
rien de remarquable n'était arrivé, et ce fut la dernière fois qu'on me posa
des questions sur mon sexe.
Au
déjeuner, ce premier jour, on me présenta plusieurs garçons que j'avais
remarqués avant les cours. Une soirée dansante pour célébrer la rentrée était
programmée pour le vendredi soir, et avant que je ne m'en rende compte, j'avais
accepté d'y accompagner un garçon. Cet après-midi-là, j'attendis avec impatience
de pouvoir rentrer et pouvoir tout raconter à maman. Enthousiaste, maman passa
tous nos moments de liberté de la semaine à m'apprendre à danser comme une
fille. Je suppose que je me débrouillais bien car, ce vendredi soir, on
m'invita à danser quasiment à chaque nouvelle danse. Le lundi suivant, j'étais
déjà l'une des filles les plus populaires de l'école. J'étais si populaire que
maman m'imposa de faire tous mes devoirs chaque semaine avant d'accepter de me
laisser sortir le vendredi ou le samedi soir. Oh combien j'aimais désormais être
une fille!
Quand
je sortais avec des garçons je dus plus d'une fois repousser leurs avances.
J'avais toujours peur que quelqu'un découvre mes parties génitales masculines,
alors je devais empêcher leurs caresses d'aller trop loin. Avec toutes les
hormones que j'avais reçues, on aurait sans doute besoin d'une loupe pour
trouver ce que je dissimulais dans ma culotte, mais je ne voulais pas prendre
de risque. Rapidement, on me considéra comme une des filles les plus gentilles
et les plus raisonnables du lycée. Les garçons les plus surexcités cessèrent de
m'inviter à sortir. Pourtant, mon agenda restait bien rempli chaque week-end.
Je
n'oublierais jamais ma première rencontre troublante sexuellement. Je sortais
avec Charles, et nous passions la soirée avec Mary Anne et Jim. Mary Anne
m'avait avoué qu'elle et Jim avaient des rapports sexuels, mais je considérais
que c'était son affaire. Jim conduisait, et Charles et moi étions sur le siège
arrière de sa voiture. Après un ciné et une glace, Jim dirigea sa voiture vers
un lieu que les lycéens appelaient la route des amoureux. Je me rendais bien
compte que ce lieu serait dangereux pour moi, et j'aurais sans doute dû
demander à Jim de me ramener à la maison, mais je ne voulais pas paraitre trop
prude. Je décidais de jouer le jeu du mieux que je pouvais en préservant mon
secret. Charles commença à m'embrasser et je le laissais faire. J'avais été
embrassée plusieurs fois avant, et je dois l'admettre, j'aimais cela. Plus
tard, alors que nous échangions des baisers, je sentis sa main sur mon sein.
J'aurais sans doute dû le repousser, mais ma volonté de lui résister était faible.
Ses caresses me faisaient du bien. Mon esprit me commandait "arrête-le",
mais mon corps répondait "encore quelques instants." Je repris mes
esprits alors qu'il avait déboutonné mon chemisier et que sa main était passée
dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge. Encore une fois, je me sentis
trop faible pour le repousser. J'étais éperdue de passion jusqu'au moment où je
sentis son autre main remonter le long de ma cuisse pour passer sous ma jupe,
ce qui me rendit soudainement ma lucidité. Je repoussais sa main, et je dus m'y
reprendre à plusieurs fois avant qu'il ne comprenne le message. Il prit alors
ma main et la posa sur sa braguette. J'avais du mal à croire à quel point ce
que je sentais là était gros et dur. Après une brève hésitation, je compris ce
que je devais faire pour protéger mon secret. Tandis qu'il continuait à me caresser
et même à me lécher les seins, je commençais à caresser son sexe à travers son
pantalon. Après quelques minutes, il mouilla son caleçon, et j'avais préservé
mon secret. Je restais inquiète pendant plusieurs jours car il avait raconté à
ses amis qu'il avait couché avec moi. Mais après tout, je me dis que ce petit mensonge
allait faire croire à tout le monde que j'étais vraiment une fille. Néanmoins,
je ne ressortis plus jamais avec Charles.
Une
de mes meilleures amies me proposa de m'inscrire à l'équipe de cheerleaders
avec elle. Je ne pouvais pas y croire quand nous avions toutes les deux été
sélectionnées. L'année de ma majorité, j'ai même été désignée capitaine de
l'équipe, un honneur dont je serais toujours fière.
Ma
mère m'avait persuadé de prendre des cours de danse. Je suivis des cours de
danse moderne et classique pendant deux ans et je crois que j'avais vraiment du
talent. Je trouvais la danse classique bien plus amusante que le baseball que
j'avais pratiqué étant plus jeune. Mes succès dans la danse me menèrent à des
cours de piano, et plus tard à des cours de chant. Encore aujourd'hui, en tant
qu'adulte, je chante dans le cœur de la paroisse, et j'ai même interprété
plusieurs morceaux en soliste.
Je réussis mon Baccalauréat avec mention, et
je suis maintenant étudiante de deuxième année. Mon oncle Bob s'est arrangé
pour que je puisse me faire opérer cet été. J'en suis si excitée que je
n'arrive pas à dormir la nuit. Dans un mois, je serais enfin une vraie femme.
Ce sera merveilleux d'être débarrassée de cette difformité entre mes jambes,
parce que je crois bien que j'ai trouvé l'homme de ma vie. Nous nous sommes
rencontrés en cours d'histoire, et je crois que je vais lui parler de Paul
quand l'opération sera passée. Je suis sûre qu'il comprendra car il est l'homme
le plus gentil du monde.
Vous
voyez, finalement, j'ai bien franchi l'étape de la puberté. Cela ne s'est pas
passé comme Paul l'espérait, mais je crois que c'était bien mieux ainsi. Paul
ne m'a pas manqué depuis ce fameux jour dans l'institut de beauté, et je ne
pense presque plus à lui.
FIN
j'adore !
RépondreSupprimerque j'aime lire ces histoires où je me retrouve ! devenir, pardon, être une fille est plus qu'un rêve quand je vous lis !
RépondreSupprimeraimez-vous ma petite jupe que tant portée avec mes bas blancs et mon petit porte jarretelles ? merci pour votre aide !
allez, bonne nuit, je vais mettre ma nuisettes en gardant mon soutif, et bons rêve, que c'est doux de dormir ainsi, si féminine ...
RépondreSupprimermais oui, c'est bien moi !
RépondreSupprimerje suis fière d'être sur la toile ! c'est un beau début !
RépondreSupprimerjuliette,
jolie fille comme moi, répondez-moi !
RépondreSupprimerbisou de fille à fille !
juliette
Ma chère Juliette, on sent dans ta réaction à l'histoire que tu es une belle petite fille enthousiaste et excitée. J'espère que nous aurons le plaisir de te revoir dans les commentaires et, pourquoi pas, dans une histoire, ton histoire bien sûr. J'aime beaucoup ton prénom.
SupprimerBonjour Juliette. Merci de votre enthousiasme. :)
RépondreSupprimerAvec la pandémie, j'ai raté cette histoire. Je la trouve un peu trop classique à mon goût et même prévisible. Comme toujours je suis étonné qu'un «bad boy» devienne si facilement une «good girl». Je vois mal un garçon qui vole une voiture devenir une fille aussi facilement. Mais comme je le dis : c'est un classique.
RépondreSupprimerPour le reste, je la trouve bien écrite.
Ça pour moi ces l'histoire parfaite et comme la douce belle et sensuelle ci belle à ce une fin heureuse j'aime ce genre d'histoire la car elle finies bien et mais commence durement mais reste toujour belle à rêver de cette chaleur humaine ci douce avec les rouage de la vie parcemer de la douceur de vivre un vrais conte de fée
RépondreSupprimerMerci à toi la encore tu rendu ma fin de jour née plus belle