Une histoire trouvée il y a bien longtemps sur Internet, et traduite de l'anglais. J'espère que vous prendrez du plaisir à la lire.
Chapitre 1
Mon
histoire commença alors que j'étais âgé de 15 ans. Je venais de finir le
collège et je me préparais avec appréhension
à commencer ma première année au lycée. J'avais tout l'été devant moi et
j'étais bien décidé à en profiter pleinement. Je ne sais pas pourquoi j'ai pu faire
tant de bêtises et m'attirer autant d'ennuis. Je n'étais pas un mauvais garçon.
Je ne m'étais jamais battu, mes notes étaient correctes, et à ma connaissance,
je n'avais jamais fait de mal à personne. Peut-être était-ce lié aux hormones –
ou plutôt, dans mon cas, au fait qu'elles manquaient. J'attendais encore que
les premiers signes de la puberté se manifestent. Tous mes amis étaient déjà
passés par là et avaient déjà développé plusieurs preuves de leur virilité,
certains se rasaient plusieurs fois par semaine. Je n'avais pas cette chance.
Je n'avais pas le moindre poil sur mon corps. Bon, j'avais bien un peu de duvet
sur mes jambes, mais il fallait être attentif pour le voir. Ma voix n'avait
toujours pas mué, et il n'y avait pas le moindre développement pileux sur mon
visage. J'avais demandé à ma mère de m'autoriser à me faire une coupe très
courte, comme à l'armée, espérant que cela me donnerait une apparence de
maturité, mais elle refusa. Elle disait que mes cheveux étaient bien trop beaux
pour les couper, et ils m'arrivaient au niveau de ma nuque. J'étais très embarrassé,
d'autant plus que mes amis avaient commencé à m'appeler "bébé".
J'avais tellement honte que je refusais même de prendre des douches à l'école,
après le sport. Je me plaignais auprès de ma mère, mais elle me disait d'être
patient, et que les changements viendraient en temps voulu. Cela ne me
consolait pas, mon image était en jeu.
Je
crois que j'essayais de prouver ma virilité quand je proposai à mes amis
d'emprunter une voiture pour nous amuser. Pour faire court, la police nous
arrêta et appela nos parents. Trois jours plus tard, nous faisions face à un
juge. Tout le monde reçut une mise à l'épreuve de six mois, sauf moi. Mes
copains avaient dit au juge que j'avais été l'instigateur de toute l'affaire.
Le juge ordonna une mise à l'épreuve de trois ans pour moi, sous l'autorité de
mes parents. Si nous devions encore faire une bêtise pendant notre période de
mise à l'épreuve, le juge nous condamnerait à la détention dans un établissement
pénitentiaire pour mineurs. Ma mère avait le cœur brisé. Elle promit au juge
que je ne ferais plus parler de moi. Elle m'interdit de sortir pendant tout
l'été.
Je
fis ma seconde erreur en sortant en cachette pour aller au cinéma avec mes
amis. A mon retour à la maison, ma mère était furieuse. Elle me promit que je
ne sortirais plus de la maison sinon accompagné par elle. Elle m'interdit
d'aller dans ma chambre cette nuit-là et m'ordonna d'aller me coucher dans sa
chambre sans attendre. Voyant à quel point elle était fâchée, j'obéissais sans
discuter.
Le
lendemain matin, je me rendis dans ma chambre pour m'habiller. Je n'en croyais
pas mas yeux quand j'ouvris mon placard pour y prendre un jean. Le placard
était vide. En fouillant dans mes tiroirs pour y trouver un tee-shirt et un
short, je constatais qu'eux aussi étaient vides. Je courus au bas de l'escalier
et demandai à ma mère où étaient mes vêtements. Elle répondit calmement qu'elle
avait posé des affaires pour moi sur mon lit. En remontant dans ma chambre, je
reçus le plus grand choc de ma vie. Sur mon lit, je trouvai une jupe plissée
bleue et rouge, et un chemisier bleu avec un col garni de dentelles. Furieux, je
redescendis, seulement vêtu de mon bas de pyjama pour y recevoir le plus grand
savon de ma vie. Ma mère me réprimanda sévèrement et m'expliqua que je devais
rester à la maison sous sa surveillance pour tout l'été, et pour être sûre que
je ne sorte pas sans y être autorisé, elle allait m'habiller en fille. Je
poussais d'abord des cris de colère, mais bientôt, je suppliais:
"Je t'en prie, dis-moi où sont
mes vêtements."
Elle ne me répondit pas. Elle avait pris
sa décision et allait rester ferme. Elle m'expliqua que si je voulais pouvoir
manger, j'allais devoir m'habiller avec les affaires qu'elle m'avait préparées.
Je restais dans ma chambre toute la journée,
en manquant mon petit-déjeuner et mon déjeuner. Vers 19 heures, j'étais affamé,
mais ma mère refusa de discuter avec moi tant que je n'étais pas habillé. Que pouvais-je
faire d'autre? J'enfilai la jupe et le chemisier et me regardai dans le miroir.
J'avais l'air grotesque! J'étais sûr qu'elle allait bien rire en me voyant dans
cette tenue, mais je me disais qu'elle
penserait que j'avais compris ma leçon, et qu'elle me rendrait mes affaires de
garçon. Je trouvai même des chaussures de fille pour aller avec ma tenue.
C'étaient des babies avec une fine lanière qui s'attachait au-dessus du pied.
Après une profonde inspiration, j'entrai dans la cuisine.
Elle
n'éclata pas de rire, mais ne me dit pas non plus où étaient cachés mes
vêtements. Elle se contenta de me dire:
"Tu es bien mignon commença!"
Elle m'embrassa sur le front, et commença à me
servir le diner. J'étais affamé et elle avait préparé mon plat favori.
J'oubliai rapidement mes vêtements pour savourer le repas.