mercredi 10 avril 2019

Un travail de femme (Histoire)

Une histoire trouvée sur Internet il y a bien longtemps, traduite par mes soins...


C'était le dernier été de liberté pour John. Il en avait fini avec le lycée et il allait devoir trouver quoi faire de sa vie. Il voulait poursuivre ses études, mais avec sa mère seule pour l'aider, il se retrouvait dans l'une de ces situations intermédiaires sans issue véritable. Il était trop pauvre pour financer des études, mais pas suffisamment pauvre pour obtenir une bourse.
Après l'été, il allait devoir trouver du travail, mais évidemment, les meilleurs emplois exigeaient d'avoir fait des études supérieures. Il allait devoir se contenter d'un emploi avec un salaire de misère. Il pouvait trouver un travail manuel dans le bâtiment par exemple, ou devenir serveur dans un café. Ses seules possibilités étaient d'exercer un métier qui ne l'intéressait pas du tout.
Sa mère essayait de l'encourager, et tentait de le consoler, mais il savait bien qu'elle était déçue qu'il n'ait pas les moyens de poursuivre ses études. Il avait été bon élève, avec de bons résultats (quand il s'appliquait). Il aurait voulu réussir pour faire plaisir à sa mère, et l'aider. Mais il sentait qu'il allait seulement être une déception pour elle…
A la maison, John faisait sa petite part de tâches ménagères. Sa mère faisait la cuisine et le ménage, mais il s'occupait des autres choses, comme sortir la poubelle par exemple. Un jour, après le dîner, sa mère lui dit:
"Tu sais, tu ne vas pas vivre avec moi éternellement. Un jour, bientôt, tu auras ton propre appartement."
"Je sais bien, m'man." Répondit-il.
"Je voudrais que cet été, tu commences à apprendre à te débrouiller tout seul. On va commencer par la vaisselle. Nous allons échanger nos rôles. Je sortirais la poubelle pendant que tu feras la vaisselle."
"Mais, je n'ai aucune envie de faire la vaisselle." S'exclama John.
Il aurait voulu dire qu'il voyait la vaisselle comme un "travail de femme."
"Quand tu vivras seul, tu seras bien obligé de la faire. Tu dois apprendre. Alors commençons tout de suite!"
Elle lui montra comment faire. C'était assez facile. Il devait seulement faire attention de ne pas utiliser d'éponge à gratter sur des surfaces trop fragiles, comme les fonds antidérapants des poêles. Au bout de deux jours, il nettoyait parfaitement bien la vaisselle, et à la fin de la semaine, il en avait pris l'habitude, et cela ne le dérangeait plus.
"C'est très bien, la vaisselle est impeccable." Complimenta sa mère. "Il est temps que tu apprennes à t'occuper du linge."
"Oh m'man, c'est un boulot pour les filles!" Maugréa John.
"Et comment feras-tu si tu n'es pas marié? Je ne vais pas venir dans ton appartement pour faire ta lessive! Tu te souviens de ton ami Bill, dont le tee-shirt blanc s'est retrouvé gris-bleu quand il a été obligé de faire sa lessive seul? Tu veux qu'il t'arrive la même chose?"
"Non, je suppose que non…" Répondit John.
"C'est aussi mon avis. Alors allons t'apprendre comment faire."
Elle lui montra comment séparer les blancs des couleurs, les températures d'eau en fonction des tissus, quand utiliser et quand ne pas utiliser de produit blanchissant…
Tout cela n'était finalement pas si difficile, et au bout d'une semaine, il lavait ses vêtements et il les pliait comme un pro. Il savait bien que sa mère souhaitait lui apprendre d'autres choses, mais il ne s'attendait pas à ce qu'elle allait lui demander ensuite.
* * *

"Tu te débrouilles très bien pour l'instant." Dit sa mère. "Mais tu n'as pas lavé d'affaires trop délicates pour l'instant. Tu dois en apprendre bien plus. Je devrais t'apprendre à laver un soutien-gorge."
"Quoi? Mais pourquoi aurais-je besoin de savoir laver ce 'truc'?" S'énerva t'il.
"John, écoute-moi. Tu dois comprendre que c'est très important. D'accord?"
"Bon, mais c'est bien pour te faire plaisir…" Répondit-il, sans dissimuler son mécontentement.
"Très bien. Ecoutes-moi bien. Tu vois, un soutien-gorge en coton, comme celui-ci, tu peux sans problème le laver avec d'autres affaires. Mais tu vois le noir à dentelles, là? Tu sens combien il est doux et satiné?"
"Oui." Répondit-il en tremblant alors que ses mains caressaient la douceur du tissu.
"Si tu le mets dans une machine à laver, tu vas l'abîmer très vite. C'est pareil avec cette petite culotte assortie. Tu sens comme elle est délicate?"
Là encore, sa main tremblait alors qu'elle lui tendit la petite culotte bordée de fragiles dentelles.
"Des tissus aussi délicats doivent être lavés à la main."
Elle lui montra comment laver ces dessous, puis comment les suspendre pour les sécher. Elle était ravie de le voir suivre chacune de ses consignes, mais il semblait évident que ces dessous féminins l'intimidaient. Il les touchait comme s'il en avait peur.
"Bien, maintenant, plie les petites culottes." Lui demanda sa mère le lendemain, alors qu'elles avaient séché. Encore une fois, il hésitait à les toucher.
"N'ai pas peur!" Le sermonna-t-elle. "Elles ne vont pas te mordre!"
"Mais m'man, ce sont des affaires de fille."
John était sorti avec quelques filles, mais il avait toujours été très timide, et il n'alla jamais très loin avec elles. Les vêtements féminins l'intimidaient vraiment.
"Tu vas devoir surmonter ta peur de cette lingerie. Tiens, range ça dans TES tiroirs. Si tu t'habitues à en voir tous les jours, tu n'en auras plus peur!"
"Mais m'man!" Protesta-t-il.
"Cela suffit! Fais ce que je te dis. Après, nous parlerons de la manière de t'occuper de robes ou de jupes. Allez!"
* * *
Quelques jours plus tard, alors que sa mère l'observait pendant qu'il pliait le linge, elle l'interrompit en secouant la tête.
"Tu agis toujours comme si la lingerie te faisait peur." Dit-elle. "Ce ne sont que des vêtements! Pourquoi es-tu aussi intimidé?"
"Je ne suis pas intimidé!" Protesta John.
Sa mère mit ses mains sur ses hanches, ce qui n'était jamais très bon signe.
"Que tu dis! Mais regarde-toi! Tu tiens ce soutien-gorge comme si c'était un rat crevé! Regarde, un soutien-gorge est seulement une pièce de vêtement. C'est fait pour soutenir une poitrine. Ce n'est rien d'autre. Tu ne dois pas en avoir peur."
"Je n'ai pas peur!" Dit-il.
"Alors mets-le!"
"Quoi???" s'exclama John. Tu veux que je mette un soutien-gorge? Jamais!"
"Je croyais que tu n'en avais pas peur…" Poursuivit sa mère, sur un ton de défi.
"Je n'ai pas peur. Mais je ne vais tout de même pas porter un soutien-gorge!"
"Tu as peur, je le vois bien." Insista-t-elle.
"Mais non, ce n'est pas une pièce de tissu qui va me faire peur!"
"Prouve-le!"
"Bon d'accord, je le mets!" Répondit-il, très énervé. Sa mère pouvait vraiment être exaspérante parfois. Il retira son tee-shirt, enfila le stupide soutien-gorge, et se démena pour essayer de le fermer dans son dos. C'était si compliqué! Cela lui prit plusieurs minutes, en se tortillant en essayant de s'aider d'un miroir. Il finit néanmoins par y parvenir.
"Voilà! Tu es contente?"
"Oui, tu peux remettre ton tee-shirt."
John commença à essayer de dégrafer le soutien-gorge.
"Non, non." Lui dit sa mère. "Garde-le!"
"Quoi? Sous mon tee-shirt?"
"Oui, c'est le principe, un soutien-gorge se porte sous les vêtements."
"Mais m'man!"
"Fais ce que je te dis, ça m'énerve quand tu discutes tout le temps."
"Désolé…" Dit timidement John en enfilant son tee-shirt au-dessus du soutien-gorge. Il espérait que le soutien-gorge ne se voyait pas sous le tee-shirt.
"Bien, et maintenant, la petite culotte assortie!" Dit sa mère.
"Oui, elle est là, je l'ai déjà pliée." Répondit-il.
"Non, mon chéri, je veux que tu la mettes aussi!"
Avec le ton qu'employait sa mère, John n'osa plus discuter. Il retira son pantalon, puis son caleçon, avant d'enfiler la petite culotte. Il n'avait jamais rien porté d'aussi doux de toute sa vie. La sensation était si bizarre sous son pantalon! Il portait une petite culotte et un soutien-gorge, et il rougissait rien qu'en y pensant.
"Bien, aujourd'hui, tu vas apprendre à passer l'aspirateur." Dit sa mère.
"Oui m'man…"
Il ne le réalisait pas encore, mais dès ce jour, sa mère l'obligea à porter des dessous féminins à chaque fois qu'il s'occupait d'une tâche ménagère. Dans ses tiroirs, il pouvait désormais trouver plusieurs ensembles de dessous féminins.
* * *
Quelques jours, et quelques étapes plus tard, John nettoyait les vitres. Le pantalon de femme noir lui donnait des sensations étranges. Il n'avait pas de braguette, comme ses habituels jeans, et puis il était si court. Il exposait ses mollets. Comme les poils sur ses mollets étaient particulièrement disgracieux, sa mère lui avait demandé de les raser.
Il luttait avec le débardeur. Il était trop large et ne restait pas en place, montrant le soutien-gorge qu'il portait en dessous.
"M'man, je déteste ce haut. Il refuse de rester en place!" Se plaignit-il.
"Oui, je vois. J'ai une idée pour arranger ça." Répondit-elle.
John resta bouche bée tandis qu'elle introduisit des chaussettes roulées en boules dans son soutien-gorge. Cela donna l'illusion qu'il avait une poitrine de fille, et le volume supplémentaire permit au débardeur de rester en place.
"Mais je ne peux pas rester comme ça!" Protesta-t-il.
"Mais si, tu peux. Maintenant, va finir de nettoyer les vitres, et arrête de penser à tes seins. Tu agis comme une petite fille, obsédée par sa poitrine. Au travail!"
John n'osa pas se plaindre davantage, surtout si cela le faisait 'ressembler à une petite fille'. Il retourna à son travail de nettoyage. C'était vraiment étrange de sentir ces faux seins sur sa poitrine! Il y pensait constamment et ne cessait d'en rougir. Il s'était progressivement habitué aux dessous, mais les autres vêtements étaient une nouveauté. Et puis ces seins. Il ne les aimait pas du tout. Pourtant, il allait devoir les supporter à partir de ce jour-là.
En fait, dès le lendemain matin, il trouva dans son tiroir à lingerie une paire de faux seins très réalistes, avec une notice d'instructions sur la manière de les placer dans le soutien-gorge. En soupirant, il les glissa dans son soutien-gorge. C'était bizarre, ils bougeaient comme une vraie poitrine à chacun de ses mouvements, et il rougit à nouveau…
* * *
"Bien, avant d'aller faire la poussière, nous allons te faire les ongles, Jenna!"
"Jenna?" S'étonna John.
"Oui, Jenna, toi!"
"Mais, je suis John!" Protesta-t-il. "Je suis ton fils John!"
"Tu es ma fille Jenna, et je ne tolèrerais pas que tu me parles sur ce ton, jeune fille!"
"Jeune fille? Maman, qu'est-ce qui se passe? Pourquoi me fais-tu ça?"
"Je t'apprends comment t'occuper de ton foyer, Jenna. Nous avons déjà fait tant de progrès ensemble, alors allons nous occuper de tes ongles."
John était sous le choc, incapable de réagir. Il ne pouvait pas se sauver. Il n'allait pas courir dans la rue habillé comme une fille. Ce jour-là, il portait une jupe et un haut minuscule. Progressivement, sa mère avait fait disparaitre ses vêtements de garçon et les avait remplacés par des affaires de fille. C'était la première fois qu'il portait une jupe. Après-tout, il n'avait pas cessé de se plaindre des pantalons qu'il avait dû porter jusque-là. Il se retrouvait assis là, sans bouger, tandis que sa mère lui mettait du vernis sur les ongles, l'appelait Jenna, ou sa fille!
Il savait qu'il devait trouver une solution pour se sortir de cette situation, mais il ignorait comment faire. Il pensait à fuguer au milieu de la nuit, mais comment? Il n'avait plus aucun vêtement de garçon. Il s'imaginait être dans la rue, de nuit, habillé en fille. C'était suicidaire…
Il était piégé. Sa mère le transformait de plus en plus en fille, et il était impuissant à y changer quoi que ce soit.
* * *
Durant les semaines suivantes, John apprit à faire la cuisine, et bien d'autres tâches ménagères. Il apprit aussi à faire en sorte de ressembler à une fille. Il se maquillait désormais chaque jour. Il apprenait à marcher avec des chaussures à talons. Ses jambes étaient épilées, et ses jupes étaient de plus en plus courtes.
Ses faux seins étaient maintenant collés à sa poitrine. Il était donc obligé de s'épiler aussi la poitrine, sinon, c'était bien trop douloureux quand il retirait ses faux seins. Il se rasait aussi sous les bras. Avec les petits hauts sans manches qu'il portait, c'était préférable.
Sa mère ne l'avait plus appelé par son prénom depuis des semaines. Elle ne l'appelait plus que Jenna. Elle lui parlait comme à sa fille. Tout n'était plus que féminin dans sa vie. Il était de plus en plus désespéré. Pourquoi sa mère semblait-elle vouloir faire de lui une fille? Pourquoi cela ne s'arrêtait jamais? Pourquoi n'écoutait-elle pas ses protestations? Il cherchait toujours un moyen de se sauver, mais sans le trouver. Quand sa mère était sortie, il fouillait partout pour retrouver ses vêtements de garçon, mais en vain. Il portait même une perruque, en attendant que ses propres cheveux soient assez longs. Il était piégé, enfermé dans une vie de fille.
Après un mois environ pendant lequel il vécut chaque minute en fille, John commençait à s'habituer. Il ne rougissait plus en se voyant dans le miroir, avec de jolis vêtements, des chaussures à talons, son maquillage, et les omniprésents faux seins. Il ne faisait plus de cauchemars la nuit où il se voyait en soutien-gorge devant des gens.
Sa mère n'avait plus rien ajouté à ses tâches quotidiennes depuis plus d'une semaine, et il se demandait ce qui l'attendait. D'habitude, elle ajoutait une petite chose chaque jour, comme les boucles d'oreilles qu'il portait maintenant, ou le collier…
Finalement, il rassembla son courage pour demander à sa mère ce qu'il se passait.
"Maman, écoute. J'ai joué à ton petit jeu durant tout l'été. Mais je n'en peux plus. J'ai une vie. Je ne suis pas ta fille. Je suis ton fils John. Tout ça doit s'arrêter, maintenant!"
"Jenna, quand tu seras toi-même une mère, tu sauras que rien est plus important que tes enfants. Une mère fera TOUT pour le bien de ses enfants. J'ai fait tant de sacrifices durant toutes ces années. Je ne suis plus sortie le soir, je suis restée à la maison pour m'occuper de toi, j'ai économisé chaque centime pour toi… J'ai même renoncé à avoir une vie amoureuse pour éviter de ramener un homme à la maison et de te partager avec lui. Tu comprends tout ça?
John ne put qu'acquiescer.
"Nous en avons déjà parlé dans le passé. Je veux plus que tout au monde que tu puisses avoir une vie plus facile que celle que j'ai eue. Je ne veux pas que tu occupes un emploi difficile ou mal rémunéré. Je veux que tu poursuives tes études, le plus loin possible."
"Mais maman, nous en avons déjà parlé. Je n'en ai pas les moyens, et je n'ai pas droit à une bourse. Je n'ai pas d'autre choix que de trouver du travail. C'est bientôt le mois de septembre, et je ne peux pas retourner à l'école."
"Si Jenna, tu peux! Il y a beaucoup d'universités de nos jours qui mettent l'accent sur l'accueil de la diversité. Elles font de leur mieux pour que toutes les minorités soient représentées parmi leurs élèves. C'est la raison pour laquelle j'ai fait tout cela. Tu vas pouvoir aller dans une bonne université."
"Maman, je ne vois pas comment le fait de me faire passer pour une fille peut m'aider!"
"Tu ne vas pas te faire passer pour une fille!"
"Ah, alors quoi?"
"Tu vas aller à l'université en tant que membre d'une minorité."
"Quelle minorité?"
"Les transgenres!"
"Quoi?" Cria John.
"L'université d'état va t'offrir une bourse d'études. Tu es inscrite en tant que Jenna, une transgenre en phase de transition. Ils sont impatients de te rencontrer."
"Mais maman, comment je vais faire?"
"Tout ce que tu auras à faire, ce sera de te présenter là-bas et de te concentrer sur tes études. Le reste sera facile. Les médecins scolaires s'occuperont même gratuitement de ton traitement hormonal, et quand tu seras prête, tu pourras te faire opérer!"
"Non, je ne vais pas prendre d'hormones!"
"Mais Jenna, tu en prends déjà!"
"Quoi?"
"J'ai commencé à t'en donner dès le début de l'été. Tu n'as pas remarqué que les poils de ton visage ne repoussent plus autant? Ou que tu as moins souvent des érections? Tes seins ont déjà commencé à se former, et bientôt, tu n'auras plus besoin d'en mettre des faux dans ton soutien-gorge!"
"Maman, non!!!!"
"Tu te transformes lentement, jour après jour. Tu deviens une femme. Grâce aux hormones, ton corps va se développer comme celui d'une femme. Bientôt tu seras plus femme qu'homme."
"Non, je t'en prie, arrête!"

"Tu iras dans cette école. Tu dormiras dans l'internat des filles. Tu apprendras tout ce qu'il faut savoir pour être une bonne fille. Tu t'habilleras comme une fille, tu te comporteras comme une fille, et tu te mettras même à penser comme une fille. Tu vas être l'une d'entre elles. Une fille. Une femme…"
"Comment as-tu pu me faire ça?"
"Tu as un avenir maintenant, Jenna. Tu vas partir de la maison pour faire des études! Ma petite fille va à l'université!"
John se sauva dans sa chambre et pleura longuement. Il était submergé par les émotions. Sa propre mère le transformait en fille…
* * *

"Oh maman, que ta robe est jolie!" Dit Jenna.
"Merci ma chérie. Ta tenue est très jolie aussi. Le jaune est définitivement ta couleur."
Jenna faisait visiter à sa mère la nouvelle maison qu'elle venait de s'offrir. Depuis qu'elle était agent immobilier, elle était devenue la meilleure vendeuse de l'agence qui l'avait embauchée. Maintenant, elle avait sa propre maison, dans une banlieue chic.
"J'adore les rideaux de dentelles. Comment les trouves-tu?" Demanda-t-elle.
"Oui Jenna, ils sont magnifiques."
"Steven ne les aime pas, mais je vais quand même les garder."
"Il ne va tout de même pas déjà s'installer avec toi?" Demanda sa mère.
"Oh maman, je suis adulte. Bien sûr qu'il va s'installer ici avec moi! Je vais avoir besoin de quelqu'un pour sortir la poubelle et faire un travail d'homme dans la maison!"
Jenna et sa mère éclatèrent de rire en se faisant un câlin. Elles étaient heureuses. Jenna avait réalisé les rêves de sa mère, et sa mère était fière de sa fille. Elles savouraient le lien que seules les mères et les filles peuvent partager.

2 commentaires:

  1. J'aime beaucoup cette histoire. Je dirais qu'elle est presque vraisemblable. La progression de la transformation en fille est naturelle.

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    1. Très belle histoire très bien raconter presque tellement belle
      Que on dirait que tu es ces histoires à vrais ces une des plus belle que j'ai lus

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