Étranges fantasmes que ceux-ci: La féminisation d'hommes ou de garçons. Des histoires imaginaires, illustrées ou non, de garçons transformés en filles, bien souvent contre leur gré. Blog réservé aux adultes, même si les histoires et les illustrations resteront très "soft".
mardi 23 avril 2019
lundi 22 avril 2019
Captions du Web 22
vendredi 19 avril 2019
mercredi 17 avril 2019
Une petite histoire signée Julia (Юлия)
Une traduction du russe:
Version originale sur : http://tg-wonderland.ru/
Version originale sur : http://tg-wonderland.ru/
Echange par Internet
Correspondance
de deux amis qui ne se sont pas vus depuis longtemps... Par SMS ou via les
réseaux sociaux (à vous de choisir).
- Salut! Il y avait longtemps que je n'avais pas de tes nouvelles! Comment vas-tu?
- Salut. Bof, ça ne va pas bien…
- Salut! Il y avait longtemps que je n'avais pas de tes nouvelles! Comment vas-tu?
- Salut. Bof, ça ne va pas bien…
- Mais, je
croyais que c'était pour cette raison que ta mère avait voulu déménager dans
une autre ville, pour trouver un meilleur climat et t'aider à améliorer ta
santé…
- Ouais, je
le pensais aussi… Mais ça ne va pas vraiment mieux…
- Tu prends
toujours ces médicaments?
- Oui, je
n'ai pas le choix… Mais j'ai l'impression que c'est encore pire…
- A ce
point-là?
- Ouais… Tu
sais, j'avais des problèmes au niveau de ma poitrine… C'était de plus en plus
enflé, et ça me démangeait…
- Oui, je me
souviens…
-
Maintenant, c'est bien pire…
- Tu veux
dire que ça a augmenté?
- Tu
n'imagines pas à quel point!
- Tu en as
parlé avec ta mère?
- Oui, bien
sûr… Alors elle m'a emmené à l'hôpital…
- Et ils ont
trouvé ce que tu avais?
- Rien… Ils
ont dit que c'était juste une gynécomastie ordinaire… Un dérèglement hormonal
courant… Que ça s'arrêterait bientôt… Ils m'ont fait des injections, m'ont
prescrit des vitamines, et je devais retourner chez le médecin.
- Mon pauvre
vieux… Tu as vu le médecin?
- Oui, il y
a déjà quelques semaines…
- Et?
- Rien. Il
m'a seulement dit de continuer à avaler ces pilules…
- Mais alors
depuis, ça va mieux?
- Oh non,
c'est de pire en pire!
- Pire?
- Oui, ils
ont dit que mes seins avaient tellement grossi qu'ils allaient devoir être
soutenus… Sinon, ça pouvait être très grave…
- Soutenus?
Comment?
- Un soutien-gorge!
Tu t'imagines?
- Non, c'est
pas vrai?
- Tu crois
que j'ai envie de plaisanter avec ça? Non seulement je dois porter un
soutien-gorge, mais en plus, pour mieux protéger ma poitrine il est rembourré
et il me fait des seins encore plus gros…
- C'est dingue! Et tu as accepté de le porter?
- C'est dingue! Et tu as accepté de le porter?
- Comme si
j'avais le choix...
-
Inimaginable!
- En plus,
ils m'ont dit d'utiliser des produits… Des trucs de maquillage…
- Pourquoi
faire?
- Il y a
quelque chose qui ne va pas avec ma peau… Alors, je dois utiliser toutes sortes
d'hydratants, de nettoyants… Je n'y connais rien, mais c'est maman qui m'a tout
acheté.
- Tu as
beaucoup changé alors?
- Tu
n'imagines pas à quel point! Je ressemble à une fille… Surtout quand c'est ma
mère qui me maquille… Elle a même voulu me faire une nouvelle coiffure!
- Pourquoi
ça?
- Pour que
ce soit plus facile... Tu sais, je ne ressemble plus vraiment à un gars avec ces
produits de beauté et avec des seins. Les gens commençaient à me montrer du
doigt dans la rue.
- Et une
nouvelle coiffure t'a aidé?
- Ouais, ça
va mieux avec cette nouvelle coiffure, et surtout depuis que maman m'a acheté
de nouveaux vêtements…
- Ne me dis
pas que ce sont des vêtements de fille?
- Si, mais
rien de trop voyant… Des jeans ordinaires… Peut-être un peu plus moulants…
- C'est
tout?
- Non, il y
a aussi les chemises… Maman appelle ça des chemisiers… Avec ma poitrine, je ne
peux plus mettre mes anciens tee-shirts.
- C'est
horrible… Tu dois être mort de honte?
- Je suis
presque habitué… Tout le monde me traite comme une fille…
- Mais, c'est
pas normal!
- Je crois
que c'est mieux ainsi… Plutôt que d'être un gars maquillé et bizarre, je
préfère passer pour une fille…
- C'est
dingue. Tu pourrais m'envoyer une photo?
- Tu veux
vraiment?
- Oui, ça
m'intéresse de voir ça… Je voudrais voir ta poitrine…
- Je ne sais
pas trop…
- Allez, tu
n'as rien à craindre. On se connait depuis si longtemps! Je ne me moquerais pas
de toi, c'est promis!
- Vraiment!
- C'est
juré!
- Eh bien…
Je viens juste de recevoir un nouveau soutien-gorge… Je ne l'ai pas encore
essayé, parce qu'il est trop féminin, avec des dentelles, et tout ça…
- J'aimerais
voir ça!
- Je ne l'ai
même pas encore essayé….
- Alors vas-y, et envoie-moi la photo!
- Alors vas-y, et envoie-moi la photo!
- Bon, OK…
Laisse-moi une minute…
- OK
…
- Tiens,
voilà la photo.
lundi 15 avril 2019
dimanche 14 avril 2019
samedi 13 avril 2019
Traduction du russe. Auteur: Julia (Юлия)
Version originale sur : http://tg-wonderland.ru/
vendredi 12 avril 2019
jeudi 11 avril 2019
Captions signée Mr Freek
Dupé par ma petite amie
Version originale sur:
La transformation
Version originale sur:
Vacances à la ferme
Version originale sur:
mercredi 10 avril 2019
Un travail de femme (Histoire)
Une histoire trouvée sur Internet il y a bien longtemps, traduite par mes soins...
C'était le dernier été de liberté
pour John. Il en avait fini avec le lycée et il allait devoir trouver quoi
faire de sa vie. Il voulait poursuivre ses études, mais avec sa mère seule pour
l'aider, il se retrouvait dans l'une de ces situations intermédiaires sans
issue véritable. Il était trop pauvre pour financer des études, mais pas
suffisamment pauvre pour obtenir une bourse.
Après l'été, il allait devoir
trouver du travail, mais évidemment, les meilleurs emplois exigeaient d'avoir
fait des études supérieures. Il allait devoir se contenter d'un emploi avec un
salaire de misère. Il pouvait trouver un travail manuel dans le bâtiment par
exemple, ou devenir serveur dans un café. Ses seules possibilités étaient
d'exercer un métier qui ne l'intéressait pas du tout.
Sa mère essayait de l'encourager,
et tentait de le consoler, mais il savait bien qu'elle était déçue qu'il n'ait
pas les moyens de poursuivre ses études. Il avait été bon élève, avec de bons
résultats (quand il s'appliquait). Il aurait voulu réussir pour faire plaisir à
sa mère, et l'aider. Mais il sentait qu'il allait seulement être une déception
pour elle…
A la maison, John faisait sa petite
part de tâches ménagères. Sa mère faisait la cuisine et le ménage, mais il
s'occupait des autres choses, comme sortir la poubelle par exemple. Un jour, après
le dîner, sa mère lui dit:
"Tu sais, tu ne vas pas vivre
avec moi éternellement. Un jour, bientôt, tu auras ton propre appartement."
"Je sais bien, m'man."
Répondit-il.
"Je voudrais que cet été, tu
commences à apprendre à te débrouiller tout seul. On va commencer par la
vaisselle. Nous allons échanger nos rôles. Je sortirais la poubelle pendant que
tu feras la vaisselle."
"Mais, je n'ai aucune envie de
faire la vaisselle." S'exclama John.
Il aurait voulu dire qu'il voyait
la vaisselle comme un "travail de femme."
"Quand tu vivras seul, tu
seras bien obligé de la faire. Tu dois apprendre. Alors commençons tout de
suite!"
Elle lui montra comment faire.
C'était assez facile. Il devait seulement faire attention de ne pas utiliser
d'éponge à gratter sur des surfaces trop fragiles, comme les fonds antidérapants
des poêles. Au bout de deux jours, il nettoyait parfaitement bien la vaisselle,
et à la fin de la semaine, il en avait pris l'habitude, et cela ne le
dérangeait plus.
"C'est très bien, la vaisselle
est impeccable." Complimenta sa mère. "Il est temps que tu apprennes
à t'occuper du linge."
"Oh m'man, c'est un boulot
pour les filles!" Maugréa John.
"Et comment feras-tu si tu
n'es pas marié? Je ne vais pas venir dans ton appartement pour faire ta
lessive! Tu te souviens de ton ami Bill, dont le tee-shirt blanc s'est retrouvé
gris-bleu quand il a été obligé de faire sa lessive seul? Tu veux qu'il
t'arrive la même chose?"
"Non, je suppose que non…"
Répondit John.
"C'est aussi mon avis. Alors
allons t'apprendre comment faire."
Elle lui montra comment séparer les
blancs des couleurs, les températures d'eau en fonction des tissus, quand
utiliser et quand ne pas utiliser de produit blanchissant…
Tout cela n'était finalement pas si
difficile, et au bout d'une semaine, il lavait ses vêtements et il les pliait
comme un pro. Il savait bien que sa mère souhaitait lui apprendre d'autres
choses, mais il ne s'attendait pas à ce qu'elle allait lui demander ensuite.
* *
*
mardi 9 avril 2019
lundi 8 avril 2019
dimanche 7 avril 2019
samedi 6 avril 2019
vendredi 5 avril 2019
Créations signées "Becky"
Son blog est à l'adresse: http://beckystgcaps.blogspot.fr/
Parmi les thèmes récurrents dans les créations de Becky, il y a celui de la "Sissy Académie", dont voici quelques exemples:
Parmi les thèmes récurrents dans les créations de Becky, il y a celui de la "Sissy Académie", dont voici quelques exemples:
mardi 2 avril 2019
Fantasme ou réalité? 28
Une lettre parue il y a très longtemps dans un magazine spécialisé sur la sexualité. J'étais encore adolescent quand j'ai lu cette histoire, et j'ai aujourd'hui...... ans. Bref, c'est une très vieille histoire et je suppose qu'il y a prescription et que je peux la publier ici aujourd'hui...
Je suis le dernier de quatre enfants d'une
famille dont le père est pharmacien. Trois filles et un garçon, une éducation
religieuse que je n'ai pas toujours appréciée, et, bien-sûr, des parents très à cheval sur les principes, et sensibles au
qu'en-dira-t-on. Et à une certaine image de marque de la petite bourgeoisie.
Mon enfance a été tout à fait normale sur le plan affectif, mais sur le plan
sexuel il me semble me souvenir avoir éprouvé de troubles sensations lorsque
mes sœurs me déguisaient, et le plus souvent en fille. C'est à la puberté, du
moins à cette époque où le garçon se sent changer que, je crois, mon indécision
a commencé à se manifester. Trois filles à la maison, cela représente un
potentiel en vêtements et sous-vêtements féminins, que je prenais plaisir à
essayer, la plupart du temps quand je me trouvais seul. J'ai bien été surpris
quelquefois par ma mère, mais jamais elle ne m'a expliqué quelle devait être ma
conduite en tant que garçon. Elle se contentait de dire : « Enlève ces
affaires, tu vas les abîmer». Mais j'éprouvais un trop grand plaisir au
contact soyeux de ces habits, et de plus, je ne pensais pas mal faire; j'avais
été tant de fois déguisé! J'ai donc gardé cette habitude jusqu'à 16 ans
environ, époque à laquelle je me travestissais (j'avais découvert le mot)
pratiquement tous les samedis soirs, mes sœurs sortant et mes parents allant
au cinéma. Or, un soir, l'une de mes sœurs est rentrée plus tôt que prévu, et
je n'ai pas eu le temps de tout enlever. Sur le ton de la moquerie, elle m'a
décidé à me rhabiller comme je l'étais avant qu'elle n'entre, et a entrepris de
me maquiller. Après quoi, nous avons fait des photos que je possède encore.
C'est peut-être la vue de ces photos qui m'a décidé à choisir une voie dont je
ne trouve pas l'issue, peut-être parce qu'il n'y en a pas? Ayant entendu parler
d'hormones, j'ai puisé dans les livres de mon père pour connaître la
signification de ces termes, et j'en ai conclu que je devais en prendre pour
avoir la poitrine dont je rêvais, car je voulais être femme, et il me semblait
que c'était tout à fait naturel. Je me définissais comme féminin dans un corps
masculin, et il fallait rétablir les choses. Je ressentais toujours du
bien-être quand j'étais travesti, et la présence de rondeurs dans les
soutiens-gorge de mes sœurs me rendaient jaloux. J'ai donc, et c'est là le
plus grave, pris à l'officine des médicaments contenant des hormones féminines,
et j'en ingurgitai en guettant fébrilement les résultats. Les premiers signes
se manifestèrent d'abord par l'apparition de plus en plus fréquente de
nausées, et parfois de vomissements. Enfin, j'ai ressenti les premiers
élancements dans les mamelons, et je me souviens en avoir été particulièrement
heureux. Je crois que c'est à partir de ce moment-là que j'ai eu de moins en
moins d'érections, mais cela n'avait aucune importance à mes yeux, seuls
comptaient ces petits seins que je voyais pointer imperceptiblement. Cela m'a
incité à persévérer dans ce que j'appelais « mon traitement». J'avais appris à
me faire moi-même les intra-musculaires (l'escalade!). Je constatai enfin une
augmentation plus précise de ma poitrine et c'est un peu après mes 17 ans, par
une des premières journées d'été, alors que je ne pouvais plus prétendre supporter un pull-over qui masquait ce dont
j'avais tout de même un peu honte, qu'une de mes sœurs constata mes rondeurs,
inhabituelles chez un garçon. La nouvelle eut tôt fait le tour de la famille,
et c'est en présence de mes parents que je me retrouvai nu dans ma chambre. Ma
mère était pratiquement horrifiée, mais mon père, en scientifique, invoqua un
dérèglement hormonal. C'est d'ailleurs ce qui lui mit probablement la puce à
l'oreille. Ses carnets de commande comportaient parfois des ratures, et la
tenue des stocks laissait apparaître des erreurs dont mon père comprit le sens.
J'ai dû avouer et même donner le nom des produits utilisés. Mon père fut, bien
sûr, furieux, mais le mal était fait, et sa colère aidant, il déclara qu'il
était trop tard... En vrai patriarche, personne ne le contesta, et ma punition
fut décidée : il n'était pas question de voir un spécialiste, et la
perspective pour mes parents d'entendre parier en chuchotements d'un enfant
anormal les rendaient méfiants: La solution était que je
poursuive un traitement de féminisation. J'avais voulu ressembler à une
fille? J'allais être servi! Mon père exigea que je m'habille en fille â partir
de ce moment-là. Ce que je fis, mais sans laisser paraître le contentement que
je ressentais au fond de moi. Enfin en robe toute la journée! J'ai aujourd'hui
26 ans, je travaille toujours dans l'officine familiale comme vendeuse,
secrétaire, femme à tout faire, et je crois que je suis à ma place dans la
société; mais je supporte de moins en moins ce sexe d'homme. Je me
sentirais-parfaitement bien, si n'était cet attribut qui me rappelle que je ne
suis qu'un être hybride et sans avenir. Je voudrais me faire opérer, afin de
bénéficier de la chirurgie moderne, mais je me demande si une telle opération
permet réellement de se sentir femme, en apparence bien sûr. L'ablation du sexe
original permet elle d'éliminer les angoisses et les inquiétudes perpétuelles
? Permet-elle d'envisager la cessation de l'entretien hormonal ? Je me rends
compte de l'usine chimique que je suis devenue, et je me vois mal poursuivre un
tel traitement toute ma vie. Aurais-je été plus heureuse étant homme avec des
envies de travestisme, que maintenant transsexuel sans aucun avenir ?
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