dimanche 17 mars 2019

Maman et moi

Une histoire publiée en anglais il y a bien longtemps sur Internet. La voici, traduite par mes soins.


L'année scolaire venait de se terminer et c'était le début de l'un de ces étés chauds et interminables. J'étais un garçon timide de 16 ans, très attiré par les filles, mais bien trop effrayé pour les approcher. Je restais la plupart du temps en retrait, à observer sans rien dire. J'étais plutôt réservé et je n'avais aucune envie de faire ce que faisaient habituellement les garçons de mon âge. J'aimais rester à la maison. Plus que tout, j'aimais simplement passer du temps avec ma mère.
C'était d'autant plus vrai depuis le départ de mon père. Mes parents s'étaient séparés après quelques terribles disputes. Il était parti à l'autre bout du pays pour se calmer. J'ignorais quand il reviendrait. Maman disait simplement que cela allait sans doute durer un moment, ajoutant à voix basse que cela ne la gênerait pas s'il ne revenait jamais. Il me manquait, mais honnêtement, pas énormément. Il n'avait jamais été méchant avec moi, mais je ne m'étais jamais senti proche de lui. Je me sentais bien plus proche de maman.
Ma merveilleuse transformation commença environ deux semaines après le début des vacances. C'était un matin très chaud – nous n'avions pas d'air conditionné – et la journée qui s'annonçait allait être encore bien plus chaude.
Je me redressai péniblement sur mon lit quand maman entra dans ma chambre pour m'annoncer que nous avions un petit problème.
"Tu n'as plus de sous-vêtements ou de vêtements propres. Pourquoi ne m'as-tu pas prévenu à temps, que je puisse faire une lessive?"
Encore à moitié endormi, je répliquais que je ne pensais pas que tous mes vêtements étaient sales.
Maman, avec ce regard sévère qu'elle prenait pour me gronder, me dit: "Et pourtant, c'est vrai." Elle posa alors une pile de vêtements qu'elle cachait derrière son dos sur mon lit.
"Tu devras mettre ça en attendant que j'ai fait une lessive." Puis après une pause, elle ajouta: "Après-tout, c'est plutôt mieux ainsi, tu auras moins chaud avec ça."
Elle quitta ma chambre.
Encore vaseux de sommeil, je regardais la pile de vêtements qu'elle m'avait laissé. Devant moi, sur le lit, je vis une petite culotte de femme, l'un des shorts de ma mère, et l'une de ses blouses sans manches (à cette époque, nous avions environ la même taille).
"Euh maman?" J'appelais, mais je ne reçus aucune réponse. Je criai plus fort, et j'entendis la voix de ma mère me dire de mettre ces vêtements.
En haussant les épaules, je retirais mon pyjama avant d'enfiler la petite culotte. Je ressentis immédiatement une sensation agréable, et dois-je l'admettre, un début d'érection. Un peu gêné, j'enfilais ensuite son short, qui, je mis un peu de temps à le comprendre, se fermait sur le côté. Je venais d'enfiler la blouse quand maman revint dans ma chambre. "Tu verras, tu auras moins chaud avec ces affaires. Et tu te sentiras bien mieux. Tiens, mets ça!"
Elle me tendit alors une paire de ces sandales à semelles de bois, en tissu rouge, assorti à la couleur du short.

J'hésitais un long moment. Je dois avouer que l'idée de porter ces trucs m'était désagréable.
"Mets-les." Ordonna-t-elle. Je glissais mon pied dans ces sandales, puis je bougeais mes orteils. Maman se baissa pour ajuster la fermeture.
"Parfait! Bien, fais ce que tu veux, maintenant. Regarde la télé si tu veux, mais reste à l'intérieur, il fait bien trop chaud dehors."
Je me sentais bizarre dans cette tenue, mais aussi étrangement bien. J'avais longtemps envié les femmes parce qu'elles disposent d'une si grande variété de vêtements, et maintenant je portais des vêtements féminins. D'une certaine manière, j'aimais bien cela, et j'avais l'impression que cela plaisait aussi à maman.
Une partie de moi montrait bien que cela me plaisait, et elle prenait de plus en plus de place dans ma petite culotte. J'en étais très embarrassé. Ma culotte ne parvenait pas à contenir la bosse qui devenait impossible à dissimuler. Je m'efforçais de ne plus y penser, et au bout d'un moment, la bosse avait quelque peu diminué. Les sensations que me donnaient la petite culotte en satin et la liberté de mes orteils dans les sandales étaient très agréables et sensuelles.
Je pris mon petit déjeuner, puis m'installais devant la télé. Environ une heure plus tard, ma mère m'appela. Je suivis le son de sa voix et je la retrouvais dans la salle de bain. De l'eau coulait dans la baignoire.
"Je veux que tu prennes un bain!" Me dit maman.
"Maintenant?" Demandai-je. "D'habitude je…"
"Fais ce que je dis!" m'interrompit-elle. "Déshabille-toi!" Elle quitta la salle de bain. Je me déshabillais en remarquant de la lingerie féminine posée sur le siège des toilettes. Je me demandais ce qu'elle attendait de moi, et un instant plus tard, j'étais complètement nu. Je commençais à entrer dans la baignoire quand maman revint. J'étais assez gêné. Elle ne m'avait pas vu nu depuis des années, et ne m'avait pas fait prendre de bain depuis que j'étais petit. Mais elle se comportait comme si tout était normal.
Elle me tendit une bombe de crème à raser, et un rasoir.
"Je veux que tu enlèves tous ces horribles poils!" Ordonna-t-elle. "Je ne sais pas pourquoi les hommes ont toujours tant de poils, c'est si laid! Et chaud… Tu te sentiras bien mieux après."
Je restais immobile, debout dans la baignoire. Elle sembla perdre sa patience et me fit assoir dans la baignoire, puis elle commença à me laver, partout. Elle frotta vigoureusement mes parties génitales, faisant mine d'ignorer mon érection.
Ensuite, elle étala de la crème à raser sur mes jambes et sous mes bras. J'étais sous le choc, alors je la laissais faire. En quelques minutes, elle m'avait rasé mes poils. Elle me rinça, enduisit mon corps d'une crème parfumée, puis me tendit un peignoir. Je me tenais debout en prenant soin de ne pas entrer en contact avec elle avec mon sexe tendu. Elle désigna la lingerie sur le siège des toilettes. "Mets-ça!" Me dit-elle, "et enfile ces pantoufles." Elle me tendit une paire de mules de femme, avec des talons et des plumes sur le dessus. Je me retrouvais dans une nuisette de soie et ces mules.
Elle me prit par la main et me guida jusqu'à ma chambre où je découvris plusieurs articles féminins posés sur le lit. Elle me fit assoir sur mon lit, me retira l'une des mules, puis commença à me vernir les ongles des orteils en un rose clair et brillant. Elle s'occupa ainsi d'un pied, puis de l'autre.
J'étais complètement perdu. Mais que m'arrivait-il? J'avais peur, et en même temps, une autre partie de moi était excitée, et je ressentais des choses que je n'avais jamais ressenties! Je me souvenais que maman m'avait dit des années plus tôt qu'elle aurait voulu avoir une fille et qu'elle avait été déçue en découvrant que j'étais un garçon. Maintenant que papa était parti, voulait-elle faire en sorte d'avoir la fille tant désirée? Allais-je aimer cela? Je l'ignorais, mais la combinaison des sensations dues au bain chaud, à mes jambes soudain si douces, au satin de la nuisette, et maintenant de mes ongles roses – Oh, comme tout cela était féminin! – me faisait me sentir très bien!
Maman acheva de me vernir les ongles des orteils, puis me dit de me détendre en attendant que le vernis sèche. Je m'allongeai sur le lit, dans un état second. Je sentais ma virilité entre mes jambes, caressée par la douceur de la nuisette. Ma main finit par se glisser pour caresser mon sexe.
C'est alors que maman revint soudainement dans la chambre et dit: "Ah non! Pas de ça!" Honteux, je retirai immédiatement ma main. Elle me fit me lever et m'enleva la nuisette. Je devais être très rouge en faisant face à ma mère, entièrement nu, à part les mules de femme à mes pieds, et avec mon sexe dressé. Maman grogna quelque chose comme: "C'est pénible ces choses-là, toujours là quand on n'en veut pas."
Je vécus la suite comme dans un rêve quelque peu comateux. Avant que je ne m'en rende compte, maman, attachait autour de ma taille un porte-jarretelles rose. Puis elle me fit enfiler une nouvelle petite culotte rose elle aussi, très douce et satinée. Elle me la remonta de manière à ce qu'elle soit bien en place au niveau des hanches, en prenant soin faire passer les jarretelles sous la culotte.
Ensuite, elle me mit un soutien-gorge assorti.
"Chaque fille doit porter un soutien-gorge." Dit-elle en insérant dans les bonnets deux coussinets en silicone qui donnait l'illusion que j'avais des seins. En sentant leur poids et la manière dont ils bougeaient, je me demandais si c'était ce que ressentait une fille. Si c'était bien cela, j'aimais la sensation.
Elle me fit ensuite assoir sur le lit, et me retira les mules. Elle prit ensuite un emballage plat qu'elle ouvrit. "Maintenant, tu vas découvrir ce qu'est vraiment la vie, ce qui te manquait jusque-là." Elle sortit une paire de bas couleur chair de l'emballage, avec un renfort au niveau des talons et des pointes.
Je ne me souviens pas bien de ce qui se passa ensuite, sauf que je me sentais excessivement bien. Elle prit un bas, puis l'enfila lentement sur ma jambe droite. C'était comme une caresse qui remontait le long de ma jambe épilée jusqu'à ma cuisse. Je n'avais jamais rien ressenti de tel. C'était un plaisir pur auquel je m'abandonnais totalement. C'était indescriptible. Une fois le bas en place, elle l'attacha aux jarretelles, puis commença à m'enfiler le second bas. Cette fois, j'attachais moi-même le bas aux jarretelles, et c'était merveilleux.
Pendant tout ce temps, mon sexe était tendu au point de me faire mal. Il déformait la culotte, et il semblait vouloir s'en échapper.
Une fois les bas en place, maman me fit me relever, et me fit remettre les mules. Oh mon dieu, la manière dont mes pieds gainés de nylon glissait dans les mules était elle aussi très agréable. Tandis que je m'efforçais de comprendre toutes ces nouvelles sensations, maman me fit enfiler un jupon de satin rose. Quand il tomba le long de mon corps, caressant mes jambes, j'eus la sensation de sentir de minuscules décharges électriques.
Pendant ce temps, la douleur s'intensifiait au niveau de mon entre-jambe. Une bosse déformait l'avant du jupon. Maman secoua la tête, puis me repoussa sur le lit. Elle remonta mon jupon, puis baissa ma petite culotte.
"On ne peut pas laisser cela sans faire quelque-chose." Dit-elle avant de soudain prendre mon sexe dans sa main et de commencer à le masturber vigoureusement. Elle s'arrêta un bref instant pour mettre un peu de crème dans sa paume, puis continua. Je commençais à me tortiller, et je me positionnais de manière à admirer mes jambes gainées de bas.
"Ça te plairait d'être une fille?" demanda maman alors que mon plaisir était sur le point d'exploser.
"Oh…" J'étais seulement capable de soupirer.
"Ceci n'est qu'un avant-goût mon chéri. Réponds-moi, ou j'arrête!"
"Oh oui!" Criais-je en fixant le vernis de mes orteils qu'on distinguait à travers mes bas… J'avais l'impression qu'un torrent me submergeait.
Mon sexe explosa, projetant sa semence directement sur mon visage, une fois, deux fois, je ne sais plus… Je coirs que je perdis connaissance.
Je repris connaissance alors que maman nettoyait les taches de sperme sur mon corps.
"C'est une telle nuisance…" Protestait-elle, "Malheureusement on n'y peut rien, pour l'instant. Peut-être un jour…" Elle acheva de m'essuyer en soupirant.
Ensuite, elle s'assit et me regarda longuement. Je me remettais doucement de mes émotions, et je me sentais soudain misérable, avec mon sexe soudain inutile, qui pendait lamentablement hors de ma culotte.
"Tu pourrais être bien plus heureux sans cela." Me dit maman, "je ne peux pas te décrire toutes les joies de la féminité, mon enfant. Mais je peux te dire que ce qu'une fille – ou une femme – possède entre les jambes lui permet de d'avoir bien plus de plaisir. Et puis, ça ne prend pas autant de place, et ne cause pas de bosses inconfortables dans les vêtements. Ce qu'une femme possède – et ce que tu devrais avoir toi aussi – est bien supérieur à tout ce qu'un homme peut avoir!"
Elle caressa ma poitrine, "Désormais, tu pourrais être une jeune femme. Je parie que tu pourrais avoir des seins aussi gros que les miens. C'est si doux, si agréable. Je pourrais t'aider à choisir ton premier vrai soutien-gorge… Mais en attendant, on peut s'amuser. Nous allons bientôt déménager, dans une autre ville, pour un nouveau départ. C'est le début de l'été. D'ici l'automne, la transformation peut être suffisante pour que personne ne remarque rien. D'ici-là, je vais t'initier à une vie de plaisirs que tu n'aurais jamais osé imaginer. Tu ressentiras la douceur, la jouissance… Et même le pouvoir!"
Elle se leva de son siège. "Retire tout cela, garde la culotte et le soutien-gorge." Ordonna-t-elle. "Je reviens."
J'obéissais et retirait lentement mes bas, mais avec regret. Ils étaient si agréables à porter.
Maman revint peu après avec de nouveaux trésors.
Elle me tendit une robe à carreaux bleus et blancs qui m'arrivait au-dessus des genoux. Elle était si agréable à porter, si confortable. J'ajustais la robe au niveau de "mes seins".
Elle me mit ensuite une perruque, brune avec des reflets clairs. Elle me faisait une jolie coiffure qui m'arrivait environ au niveau des épaules. "Dans quelques mois, tu n'en auras plus besoin!" Me dit-elle.
Je ressentis une nouvelle sensation de plaisir en entendant cela.
Elle me fit mettre une paire de fines sandales féminines, mais sans talons. Elle m'accrocha des boucles d'oreilles à clips, et m'annonça que j'étais "parfaite".
"Avec cette robe et ces sandales, tu verras, tu n'auras pas trop chaud."
En effet, je passais une journée très confortable. Le seul problème était la bosse qui déformait parfois ma petite culotte.
Ce soir-là, maman me fit prendre un bain moussant. Elle me lava tout le corps, sans oublier mes parties génitales. Mon érection repris de plus belle, mais elle l'ignora.
Maman me donna une magnifique chemise de nuit verte avec un peignoir assorti. Puis elle me fit remettre les mules du matin. "Maintenant, tu sauras ce que c'est que de vraiment dormir confortablement!" Me dit-elle.
Elle m'accompagna jusqu'à mon lit, où elle me borda. "Je sais que tu as honte de ton sexe. Mais ce n'est pas de ta faute. Je vais m'en occuper."
En disant cela, elle souleva ma chemise de nuit, sortit un flacon de crème, puis commença à m'en enduire mon sexe durci.
"Pense-y mon chéri. Plus de rudes vêtements d'homme. Désormais, tu n'auras plus que des dentelles, du satin, et des bas… Oui des bas. Je sais que tu aimes enfiler des bas, et que tu adoreras porter des talons hauts. Tu aimerais avoir de jolies chaussures à talons?"
"Oui…" Grognais-je.
"Nous irons en acheter ensemble. Je t'achèterais de jolies sandales à talons aiguilles. Peut-être aussi des escarpins. Tu aimerais aussi une mini-jupe?"
"Oh oui!"
"Une jupe en jean, pas trop courte bien sûr, à porter avec des bas couleur chair. Avec des ballerines blanches. Ou bien, si tu es sage, de jolis escarpins! Tu verras, tu adoreras voir tes jambes perchées sur des talons!"
"Oh." Grognais-je, "redis-le!"
"Quoi donc mon chéri?"
"Des bas!"
"Des bas, tu en porteras aussi souvent que tu voudras. Mais avec tes jambes épilées bien sûr. Je ne veux plus y voir la moindre trace de ces horribles poils. Oui, des bas couleurs chair. Ils mettront en valeur tes jambes quand tu seras en mini-jupes et chaussures à talons."
Je n'en pouvais plus.
J'éjaculais soudainement en criant. Je crois que je surpris même maman. Encore une fois, le premier jet de sperme m'atteignit au visage. A ce moment-là, maman entreprit de me nettoyer le sexe puis le visage avec sa langue. Je crus un instant que j'allais mourir de plaisir et en même temps de honte en raison de ce nouveau tabou qu'elle venait de briser.
En finissant, elle me dit simplement: "Je ne voulais pas que ta jolie chemise de nuit soit tachée."
Peu après, je m'endormais et j'entrais en rêve dans un monde de féminité absolue.
 

.

3 commentaires:

  1. J'éprouve un réel plaisir en lisant cette histoire. Je pense que j'aurai aimé la vivre.

    RépondreSupprimer
  2. « j'allais mourir de plaisir et en même temps de honte en raison de ce nouveau tabou qu'elle venait de briser.»
    Cette dernière phrase est tellement juste que j'en suis gêné d'avouer que j'ai aimé cette histoire

    RépondreSupprimer