L'année scolaire
venait de se terminer et c'était le début de l'un de ces étés chauds et
interminables. J'étais un garçon timide de 16 ans, très attiré par les filles,
mais bien trop effrayé pour les approcher. Je restais la plupart du temps en
retrait, à observer sans rien dire. J'étais plutôt réservé et je n'avais aucune
envie de faire ce que faisaient habituellement les garçons de mon âge. J'aimais
rester à la maison. Plus que tout, j'aimais simplement passer du temps avec ma
mère.
C'était d'autant
plus vrai depuis le départ de mon père. Mes parents s'étaient séparés après
quelques terribles disputes. Il était parti à l'autre bout du pays pour se
calmer. J'ignorais quand il reviendrait. Maman disait simplement que cela
allait sans doute durer un moment, ajoutant à voix basse que cela ne la
gênerait pas s'il ne revenait jamais. Il me manquait, mais honnêtement, pas
énormément. Il n'avait jamais été méchant avec moi, mais je ne m'étais jamais
senti proche de lui. Je me sentais bien plus proche de maman.
Ma merveilleuse
transformation commença environ deux semaines après le début des vacances.
C'était un matin très chaud – nous n'avions pas d'air conditionné – et la
journée qui s'annonçait allait être encore bien plus chaude.
Je me redressai
péniblement sur mon lit quand maman entra dans ma chambre pour m'annoncer que
nous avions un petit problème.
"Tu n'as
plus de sous-vêtements ou de vêtements propres. Pourquoi ne m'as-tu pas prévenu
à temps, que je puisse faire une lessive?"
Encore à moitié
endormi, je répliquais que je ne pensais pas que tous mes vêtements étaient
sales.
Maman, avec ce
regard sévère qu'elle prenait pour me gronder, me dit: "Et pourtant, c'est
vrai." Elle posa alors une pile de vêtements qu'elle cachait derrière son
dos sur mon lit.
"Tu devras
mettre ça en attendant que j'ai fait une lessive." Puis après une pause,
elle ajouta: "Après-tout, c'est plutôt mieux ainsi, tu auras moins chaud
avec ça."
Elle quitta ma
chambre.
Encore vaseux de
sommeil, je regardais la pile de vêtements qu'elle m'avait laissé. Devant moi,
sur le lit, je vis une petite culotte de femme, l'un des shorts de ma mère, et
l'une de ses blouses sans manches (à cette époque, nous avions environ la même
taille).
"Euh
maman?" J'appelais, mais je ne reçus aucune réponse. Je criai plus fort,
et j'entendis la voix de ma mère me dire de mettre ces vêtements.
En haussant les
épaules, je retirais mon pyjama avant d'enfiler la petite culotte. Je ressentis
immédiatement une sensation agréable, et dois-je l'admettre, un début
d'érection. Un peu gêné, j'enfilais ensuite son short, qui, je mis un peu de
temps à le comprendre, se fermait sur le côté. Je venais d'enfiler la blouse
quand maman revint dans ma chambre. "Tu verras, tu auras moins chaud avec
ces affaires. Et tu te sentiras bien mieux. Tiens, mets ça!"
Elle me tendit
alors une paire de ces sandales à semelles de bois, en tissu rouge, assorti à
la couleur du short.
J'hésitais un
long moment. Je dois avouer que l'idée de porter ces trucs m'était désagréable.
"Mets-les."
Ordonna-t-elle. Je glissais mon pied dans ces sandales, puis je bougeais mes
orteils. Maman se baissa pour ajuster la fermeture.
"Parfait!
Bien, fais ce que tu veux, maintenant. Regarde la télé si tu veux, mais reste à
l'intérieur, il fait bien trop chaud dehors."
Je me sentais
bizarre dans cette tenue, mais aussi étrangement bien. J'avais longtemps envié
les femmes parce qu'elles disposent d'une si grande variété de vêtements, et
maintenant je portais des vêtements féminins. D'une certaine manière, j'aimais
bien cela, et j'avais l'impression que cela plaisait aussi à maman.
Une partie de
moi montrait bien que cela me plaisait, et elle prenait de plus en plus de
place dans ma petite culotte. J'en étais très embarrassé. Ma culotte ne
parvenait pas à contenir la bosse qui devenait impossible à dissimuler. Je
m'efforçais de ne plus y penser, et au bout d'un moment, la bosse avait quelque
peu diminué. Les sensations que me donnaient la petite culotte en satin et la
liberté de mes orteils dans les sandales étaient très agréables et sensuelles.
Je pris mon
petit déjeuner, puis m'installais devant la télé. Environ une heure plus tard,
ma mère m'appela. Je suivis le son de sa voix et je la retrouvais dans la salle
de bain. De l'eau coulait dans la baignoire.
"Je veux
que tu prennes un bain!" Me dit maman.
"Maintenant?"
Demandai-je. "D'habitude je…"
"Fais ce
que je dis!" m'interrompit-elle. "Déshabille-toi!" Elle quitta
la salle de bain. Je me déshabillais en remarquant de la lingerie féminine
posée sur le siège des toilettes. Je me demandais ce qu'elle attendait de moi,
et un instant plus tard, j'étais complètement nu. Je commençais à entrer dans
la baignoire quand maman revint. J'étais assez gêné. Elle ne m'avait pas vu nu
depuis des années, et ne m'avait pas fait prendre de bain depuis que j'étais
petit. Mais elle se comportait comme si tout était normal.
Elle me tendit
une bombe de crème à raser, et un rasoir.
"Je veux
que tu enlèves tous ces horribles poils!" Ordonna-t-elle. "Je ne sais
pas pourquoi les hommes ont toujours tant de poils, c'est si laid! Et chaud… Tu
te sentiras bien mieux après."
Je restais
immobile, debout dans la baignoire. Elle sembla perdre sa patience et me fit
assoir dans la baignoire, puis elle commença à me laver, partout. Elle frotta
vigoureusement mes parties génitales, faisant mine d'ignorer mon érection.
Ensuite, elle
étala de la crème à raser sur mes jambes et sous mes bras. J'étais sous le
choc, alors je la laissais faire. En quelques minutes, elle m'avait rasé mes
poils. Elle me rinça, enduisit mon corps d'une crème parfumée, puis me tendit
un peignoir. Je me tenais debout en prenant soin de ne pas entrer en contact
avec elle avec mon sexe tendu. Elle désigna la lingerie sur le siège des
toilettes. "Mets-ça!" Me dit-elle, "et enfile ces
pantoufles." Elle me tendit une paire de mules de femme, avec des talons
et des plumes sur le dessus. Je me retrouvais dans une nuisette de soie et ces
mules.
Elle me prit par
la main et me guida jusqu'à ma chambre où je découvris plusieurs articles
féminins posés sur le lit. Elle me fit assoir sur mon lit, me retira l'une des
mules, puis commença à me vernir les ongles des orteils en un rose clair et
brillant. Elle s'occupa ainsi d'un pied, puis de l'autre.
J'étais
complètement perdu. Mais que m'arrivait-il? J'avais peur, et en même temps, une
autre partie de moi était excitée, et je ressentais des choses que je n'avais
jamais ressenties! Je me souvenais que maman m'avait dit des années plus tôt
qu'elle aurait voulu avoir une fille et qu'elle avait été déçue en découvrant
que j'étais un garçon. Maintenant que papa était parti, voulait-elle faire en
sorte d'avoir la fille tant désirée? Allais-je aimer cela? Je l'ignorais, mais
la combinaison des sensations dues au bain chaud, à mes jambes soudain si
douces, au satin de la nuisette, et maintenant de mes ongles roses – Oh, comme
tout cela était féminin! – me faisait me sentir très bien!
Maman acheva de
me vernir les ongles des orteils, puis me dit de me détendre en attendant que
le vernis sèche. Je m'allongeai sur le lit, dans un état second. Je sentais ma
virilité entre mes jambes, caressée par la douceur de la nuisette. Ma main finit
par se glisser pour caresser mon sexe.
C'est alors que
maman revint soudainement dans la chambre et dit: "Ah non! Pas de
ça!" Honteux, je retirai immédiatement ma main. Elle me fit me lever et
m'enleva la nuisette. Je devais être très rouge en faisant face à ma mère, entièrement
nu, à part les mules de femme à mes pieds, et avec mon sexe dressé. Maman grogna
quelque chose comme: "C'est pénible ces choses-là, toujours là quand on
n'en veut pas."
Je vécus la
suite comme dans un rêve quelque peu comateux. Avant que je ne m'en rende
compte, maman, attachait autour de ma taille un porte-jarretelles rose. Puis
elle me fit enfiler une nouvelle petite culotte rose elle aussi, très douce et
satinée. Elle me la remonta de manière à ce qu'elle soit bien en place au
niveau des hanches, en prenant soin faire passer les jarretelles sous la
culotte.
Ensuite, elle me
mit un soutien-gorge assorti.
"Chaque
fille doit porter un soutien-gorge." Dit-elle en insérant dans les bonnets
deux coussinets en silicone qui donnait l'illusion que j'avais des seins. En
sentant leur poids et la manière dont ils bougeaient, je me demandais si
c'était ce que ressentait une fille. Si c'était bien cela, j'aimais la
sensation.
Elle me fit
ensuite assoir sur le lit, et me retira les mules. Elle prit ensuite un emballage
plat qu'elle ouvrit. "Maintenant, tu vas découvrir ce qu'est vraiment la
vie, ce qui te manquait jusque-là." Elle sortit une paire de bas couleur
chair de l'emballage, avec un renfort au niveau des talons et des pointes.
Je ne me
souviens pas bien de ce qui se passa ensuite, sauf que je me sentais
excessivement bien. Elle prit un bas, puis l'enfila lentement sur ma jambe
droite. C'était comme une caresse qui remontait le long de ma jambe épilée
jusqu'à ma cuisse. Je n'avais jamais rien ressenti de tel. C'était un plaisir
pur auquel je m'abandonnais totalement. C'était indescriptible. Une fois le bas
en place, elle l'attacha aux jarretelles, puis commença à m'enfiler le second
bas. Cette fois, j'attachais moi-même le bas aux jarretelles, et c'était
merveilleux.
Pendant tout ce
temps, mon sexe était tendu au point de me faire mal. Il déformait la culotte,
et il semblait vouloir s'en échapper.
Une fois les bas
en place, maman me fit me relever, et me fit remettre les mules. Oh mon dieu,
la manière dont mes pieds gainés de nylon glissait dans les mules était elle
aussi très agréable. Tandis que je m'efforçais de comprendre toutes ces nouvelles
sensations, maman me fit enfiler un jupon de satin rose. Quand il tomba le long
de mon corps, caressant mes jambes, j'eus la sensation de sentir de minuscules
décharges électriques.
Pendant ce
temps, la douleur s'intensifiait au niveau de mon entre-jambe. Une bosse
déformait l'avant du jupon. Maman secoua la tête, puis me repoussa sur le lit.
Elle remonta mon jupon, puis baissa ma petite culotte.
"On ne peut
pas laisser cela sans faire quelque-chose." Dit-elle avant de soudain
prendre mon sexe dans sa main et de commencer à le masturber vigoureusement.
Elle s'arrêta un bref instant pour mettre un peu de crème dans sa paume, puis
continua. Je commençais à me tortiller, et je me positionnais de manière à
admirer mes jambes gainées de bas.
"Ça te
plairait d'être une fille?" demanda maman alors que mon plaisir était sur
le point d'exploser.
"Oh…"
J'étais seulement capable de soupirer.
"Ceci n'est
qu'un avant-goût mon chéri. Réponds-moi, ou j'arrête!"
"Oh
oui!" Criais-je en fixant le vernis de mes orteils qu'on distinguait à
travers mes bas… J'avais l'impression qu'un torrent me submergeait.
Mon sexe
explosa, projetant sa semence directement sur mon visage, une fois, deux fois,
je ne sais plus… Je coirs que je perdis connaissance.
Je repris
connaissance alors que maman nettoyait les taches de sperme sur mon corps.
"C'est une
telle nuisance…" Protestait-elle, "Malheureusement on n'y peut rien,
pour l'instant. Peut-être un jour…" Elle acheva de m'essuyer en soupirant.
Ensuite, elle
s'assit et me regarda longuement. Je me remettais doucement de mes émotions, et
je me sentais soudain misérable, avec mon sexe soudain inutile, qui pendait
lamentablement hors de ma culotte.
"Tu
pourrais être bien plus heureux sans cela." Me dit maman, "je ne peux
pas te décrire toutes les joies de la féminité, mon enfant. Mais je peux te
dire que ce qu'une fille – ou une femme – possède entre les jambes lui permet
de d'avoir bien plus de plaisir. Et puis, ça ne prend pas autant de place, et
ne cause pas de bosses inconfortables dans les vêtements. Ce qu'une femme
possède – et ce que tu devrais avoir toi aussi – est bien supérieur à tout ce
qu'un homme peut avoir!"
Elle caressa ma
poitrine, "Désormais, tu pourrais être une jeune femme. Je parie que tu
pourrais avoir des seins aussi gros que les miens. C'est si doux, si agréable.
Je pourrais t'aider à choisir ton premier vrai soutien-gorge… Mais en
attendant, on peut s'amuser. Nous allons bientôt déménager, dans une autre
ville, pour un nouveau départ. C'est le début de l'été. D'ici l'automne, la transformation
peut être suffisante pour que personne ne remarque rien. D'ici-là, je vais t'initier
à une vie de plaisirs que tu n'aurais jamais osé imaginer. Tu ressentiras la
douceur, la jouissance… Et même le pouvoir!"
Elle se leva de
son siège. "Retire tout cela, garde la culotte et le soutien-gorge." Ordonna-t-elle.
"Je reviens."
J'obéissais et
retirait lentement mes bas, mais avec regret. Ils étaient si agréables à
porter.
Maman revint peu
après avec de nouveaux trésors.
Elle me tendit une
robe à carreaux bleus et blancs qui m'arrivait au-dessus des genoux. Elle était
si agréable à porter, si confortable. J'ajustais la robe au niveau de "mes
seins".
Elle me mit
ensuite une perruque, brune avec des reflets clairs. Elle me faisait une jolie
coiffure qui m'arrivait environ au niveau des épaules. "Dans quelques mois,
tu n'en auras plus besoin!" Me dit-elle.
Je ressentis une
nouvelle sensation de plaisir en entendant cela.
Elle me fit
mettre une paire de fines sandales féminines, mais sans talons. Elle m'accrocha
des boucles d'oreilles à clips, et m'annonça que j'étais "parfaite".
"Avec cette
robe et ces sandales, tu verras, tu n'auras pas trop chaud."
En effet, je
passais une journée très confortable. Le seul problème était la bosse qui
déformait parfois ma petite culotte.
Ce soir-là,
maman me fit prendre un bain moussant. Elle me lava tout le corps, sans oublier
mes parties génitales. Mon érection repris de plus belle, mais elle l'ignora.
Maman me donna
une magnifique chemise de nuit verte avec un peignoir assorti. Puis elle me fit
remettre les mules du matin. "Maintenant, tu sauras ce que c'est que de
vraiment dormir confortablement!" Me dit-elle.
Elle
m'accompagna jusqu'à mon lit, où elle me borda. "Je sais que tu as honte
de ton sexe. Mais ce n'est pas de ta faute. Je vais m'en occuper."
En disant cela,
elle souleva ma chemise de nuit, sortit un flacon de crème, puis commença à m'en
enduire mon sexe durci.
"Pense-y
mon chéri. Plus de rudes vêtements d'homme. Désormais, tu n'auras plus que des
dentelles, du satin, et des bas… Oui des bas. Je sais que tu aimes enfiler des
bas, et que tu adoreras porter des talons hauts. Tu aimerais avoir de jolies
chaussures à talons?"
"Oui…"
Grognais-je.
"Nous irons
en acheter ensemble. Je t'achèterais de jolies sandales à talons aiguilles.
Peut-être aussi des escarpins. Tu aimerais aussi une mini-jupe?"
"Oh
oui!"
"Une jupe
en jean, pas trop courte bien sûr, à porter avec des bas couleur chair. Avec
des ballerines blanches. Ou bien, si tu es sage, de jolis escarpins! Tu verras,
tu adoreras voir tes jambes perchées sur des talons!"
"Oh."
Grognais-je, "redis-le!"
"Quoi donc
mon chéri?"
"Des
bas!"
"Des bas,
tu en porteras aussi souvent que tu voudras. Mais avec tes jambes épilées bien
sûr. Je ne veux plus y voir la moindre trace de ces horribles poils. Oui, des
bas couleurs chair. Ils mettront en valeur tes jambes quand tu seras en
mini-jupes et chaussures à talons."
Je n'en pouvais
plus.
J'éjaculais
soudainement en criant. Je crois que je surpris même maman. Encore une fois, le
premier jet de sperme m'atteignit au visage. A ce moment-là, maman entreprit de
me nettoyer le sexe puis le visage avec sa langue. Je crus un instant que
j'allais mourir de plaisir et en même temps de honte en raison de ce nouveau tabou
qu'elle venait de briser.
En finissant,
elle me dit simplement: "Je ne voulais pas que ta jolie chemise de nuit
soit tachée."
Peu après, je
m'endormais et j'entrais en rêve dans un monde de féminité absolue.
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J'éprouve un réel plaisir en lisant cette histoire. Je pense que j'aurai aimé la vivre.
RépondreSupprimer« j'allais mourir de plaisir et en même temps de honte en raison de ce nouveau tabou qu'elle venait de briser.»
RépondreSupprimerCette dernière phrase est tellement juste que j'en suis gêné d'avouer que j'ai aimé cette histoire
Merci pour vos commentaires!
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