http://saragirlsissyconfessions.blogspot.fr/
Étranges fantasmes que ceux-ci: La féminisation d'hommes ou de garçons. Des histoires imaginaires, illustrées ou non, de garçons transformés en filles, bien souvent contre leur gré. Blog réservé aux adultes, même si les histoires et les illustrations resteront très "soft".
dimanche 25 février 2018
samedi 24 février 2018
mercredi 21 février 2018
mardi 20 février 2018
Nouveautés de Retainerfan
Encore une fois, j'ai la chance de pouvoir partager avec vous des créations récentes signées Retainerfan.
lundi 19 février 2018
dimanche 18 février 2018
Auteur original: Tricia
Converti par maman (3)
"Ne sois pas si timide
Jason," Me dit maman." Cette robe te va très bien. Elle est parfaite
pour ta fête de coming out. Maintenant, va saluer ta grand-mère, ainsi que
cette formidable docteur Fischer. Je dois aller voir qui vient de sonner à la
porte.
Quand
sa mère débuta sa transformation six mois plus tôt, Larry détestait cela et
résista à chaque étape. Maintenant, alors qu'elle attend Stephan qui doit
l'emmener pour aller danser, Lori, née Larry, embrasse sa mère et lui dit
combien elle l'aime.
Mon fils Marc, au chômage depuis la
réussite de son diplôme de Philosophie il y a quatre mois, suppliait son oncle
de l'embaucher dans sa société. "N'importe quel emploi, je t'en prie, je
ferais n'importe quoi."
"Eh bien, nous avons besoin
d'une assistante de direction," Lui répondit mon frère. "Mais ta mère
le sait, notre société fonctionne un peu à l'ancienne mode. Nous n'embauchons
que des femmes pour ce genre d'emploi."
"C'est injuste, maman,"
Me disait marc. "C'est de la discrimination. Nous devrions déposer
plainte."
"Non, on ne peut pas faire
cela à la famille. Mais j'ai une autre idée."
Marcie semble bien plus heureuse
que marc ne l'a été au cours de ces dernières années.
"Oh
maman!" Se plaignait mon fils Julian, "Pourquoi faut-il toujours que tu me prennes en photos?
Cette robe est bien trop courte!"
Mon frère jumeau, Jude, m'annonça
qu'il venait en ville pour me rendre visite à mon école. Il me donna
rendez-vous au "Canari Mauve" pour déjeuner. Il me fallut une minute
pour le reconnaitre. Le petit garçon qui m'avait embêté pendant tant d'années
avait bien changé. Maman et moi l'avions déguisé en fille avant mon départ à
l'université il y a quelques mois, mais je n'imaginais pas qu'il pourrait
ressembler à cela.
"Oh, regarde-toi!" Lui
dis-je avec un grand sourire en admirant sa jupe zébrée et son foulard assorti.
"Tourne-toi que je puisse d'admirer, Judy!" J'utilisai à dessein le
prénom féminin que nous lui avions donné. C'était une évidence de l'appeler par
le prénom que maman et papa lui auraient donné s'ils avaient eu deux filles.
"C'est dingue, tes jambes sont
bien plus jolies que les miennes!"
samedi 17 février 2018
vendredi 16 février 2018
Première jupe, premiers émois (histoire)
Un témoignage trouvé dans une vieille revue spécialisée...
Vers huit ans, j’étais parait-il trop
turbulent, ma mère ne pouvait pas me sentir, peut-être aurait-elle souhaité
avoir une fille après en avoir déjà une, ma sœur âgée de 15 ans, véritable
garçon manqué.
Nicole, presque toujours habillée en
pantalon, très sportive, ne m’aimait pas beaucoup non plus, elle s’ingéniait à
me diminuer. Pourtant, j’étais plutôt docile, un peu rêveur, pas efféminé, mais
la peau blanche, très douce, les cheveux couleur cuivre bouclés,
les yeux verts. Est-ce par caprice, mais on trouva, un après-midi d'été,
lors d’une dispute classique avec Nicole, que j’avais l’air bien énervé. Ma mère
lança:
- Ah, si au moins tu étais une fille, on
serait tranquille!
Ma sœur Nicole, toujours ironique et qui
n'attendait que cela, suggéra que l'on me mette une jupe et pour joindre le geste
à la parole, elle alla
chercher une de ses jupes plissées de collégienne qu’elle ne portait plus depuis longtemps (et qu'elle ne voulait plus mettre, se considérant comme un garçon et regrettant d'être née fille).
chercher une de ses jupes plissées de collégienne qu’elle ne portait plus depuis longtemps (et qu'elle ne voulait plus mettre, se considérant comme un garçon et regrettant d'être née fille).
- Allez, mademoiselle, enfilez ça.
dit-elle d’un ton autoritaire.
Ma mère assistant à la scène, un peu
interloquée, croyant à une plaisanterie, dit :
- Elle est jolie cette petite jupe, mon
chéri, ça t’irait très bien et peut-être ça te calmerait, dit-elle, un peu ironique.
Je me sentis défaillir, éprouvant à la
fois de la rage, de la haine, mais aussi et déjà une étrange excitation, mes
jambes tremblaient, je sentais venir une crise de nerfs. Ma sœur me lança la
jupe dans les bras, je l'attrapai et baissai les yeux sur ce que j’allais
mettre. Les images se bousculaient dans ma tête, j’allais devenir une petite
fille, j’écarterais les jambes et relèverais la jupe pour faire pipi, on me
mettrait des rubans dans les cheveux, du rouge à lèvres, etc... Bref, la castration.
Pourquoi j:ai accepté, je ne
saurais le dire, mais je me rappelle que, par une sorte de pulsion et sous les
regards étonnés de ma mère et de Nicole qui ne s'y attendaient pas,
je
baissai ma culotte et enfilai la jupe, mais, comment dire, comme une fille: malgré ma fébrilité, je l’enfilai comme dans un rêve, mes doigts caressant le tissu, je l’ajustai à ma taille lentement, refermai la fermeture éclair d’un geste précis et agrafai délicatement la ceinture. La jupe plissée m’arrivait au-dessous des genoux et m’allait à ravir.
Sensations douces que le froissement du tissu sur mes cuisses blanches, je me sentais fille devant les regards médusés de ma mère et de Nicole.
baissai ma culotte et enfilai la jupe, mais, comment dire, comme une fille: malgré ma fébrilité, je l’enfilai comme dans un rêve, mes doigts caressant le tissu, je l’ajustai à ma taille lentement, refermai la fermeture éclair d’un geste précis et agrafai délicatement la ceinture. La jupe plissée m’arrivait au-dessous des genoux et m’allait à ravir.
Sensations douces que le froissement du tissu sur mes cuisses blanches, je me sentais fille devant les regards médusés de ma mère et de Nicole.
Me rehaussant sur mes talons j’eus, par
une sorte d'excitation, envie de danser et avec frénésie, imitant les danseuses
de flamenco, les gestes gracieux, je tournoyai sur moi-même faisant ainsi voler
ma jupe. Nicole ne tarda pas à taper dans les mains au rythme de la danse.
Peut-être étais-je en transes, mais je me suis senti devenir fille et ressentais d’étranges désirs sous ma jupe. Ma mère n’appréciait plus le spectacle, ayant J impression que je n'étais plus dans mon état normal de garçon et pressentant justement quelque crise:
Peut-être étais-je en transes, mais je me suis senti devenir fille et ressentais d’étranges désirs sous ma jupe. Ma mère n’appréciait plus le spectacle, ayant J impression que je n'étais plus dans mon état normal de garçon et pressentant justement quelque crise:
- Bon ça suffit Nicole, laisse-la...
laisse-le! Lapsus révélateur, ma mère voyait bien que je faisais la fille (ou
plutôt que je me sentais fille).
Ma danse endiablée se termina par une
crise de nerfs en poussant des cris aigus:
- Je suis une fille, je suis une fille,
maman je suis en jupe!
Et je me réfugiai en pleurant sur les
genoux de ma mère très décontenancée et ne sachant quelle attitude prendre
devant mon attitude de fille.
- C’est fini, c’est fini... Ma chérie.
Ce “ma chérie" était en quelque sorte l’acceptation par ma mère de ma
féminité.
- Comment on va t’appeler maintenant, si
tu es une fille ? dit ma mère, Caroline, Micheline, Isabelle?...
Sophie ! On va t’appeler Sophie, ça va
bien pour une petite fille sage, dit Nicole en rajustant son chignon d’.un air
autoritaire.
- Ça te plait, Sophie? Dit ma mère.
Je ne répondis pas tout de suite, en un
instant je réalisai que mon état allait d’être une fille.
- Alors, comment tu t’appelles? répéta
Nicole, un peu énervée.
- Sophie, je m’appelle Sophie, et je
suis une jolie et gentille petite fille.
J’embrassai ma mère, Nicole elle-même
vint et après avoir rajusté ma jupe un peu froissée par tant de démonstrations,
me prit dans ses bras et m’embrassa tendrement, délicieuses sensations que les
bras de Nicole un peu musclés m’enserrant les cuisses sous ma jupe. Je crois
avoir rêvé que j’aurais aimé avoir une femme comme elle.
Sophie devint une petite fille très
sage, aujourd’hui elle a 35 ans, elle sort en froufrous la nuit, en jupe écossaise
piquée aux hanches (un ravissement), le maquillage léger (un peu de rouge à
lèvres et un peu de bleu sur les yeux), une perruque à la garçonne, 2 ou 3
slips de dentelle pour serrer mon sexe et calmer mes ardeurs.
Voilà, mes chouttes, je trouve de très
bonne qualité votre revue et grâce à elle, je pense pouvoir rencontrer une amie
ou une femme qui ressemblerait à ma sœur Nicole.
Grosses bises.
Sophie
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