Voici une histoire en français que j'ai découverte il y a bien longtemps sur un site Internet aujourd'hui fermé. C'est le type même d'histoire que j'adore... Même si elle est inachevée.
Qui sait, l'auteur va peut-être se reconnaitre et me proposer une suite?
J'avais 19 ans et étais très timide. Tellement que pour rencontrer une
fille je passais une annonce. Au milieu de réponses peu intéressantes, j'en
trouvais une plus à mon goût. Après deux lapins, je rencontrais une jeune fille
de mon âge, mignonne, très BCBG. Elle avait les cheveux mi-longs, châtains, des
escarpins, une jupe droite, des créoles aux oreilles. Elle me parla très
rapidement de ses goûts en matière de garçon. Elle me dit qu'elle détestait ce
qui faisait masculin, les poils et la sueur, les marcels, etc…
- Les femmes s'épilent, pourquoi pas
les hommes ?
Elle me dit tout de suite qu'elle aimait beaucoup mes cheveux mi-longs.
- Tu devrais te faire percer les oreilles, c'est très mignon pour les
garçons. Comme elle était jolie, je n'osais la contredire. C'est vrai, tu aimes
aussi ? Viens, tu vas voir, c'est moi qui te l'offre.
Un peu plus tard nous étions chez un bijoutier. Elle choisit deux perles.
- C'est mon cadeau, c'est pour me faire pardonner de t'avoir posé deux
lapins. Je me retrouvais avec les oreilles percées me demandant comment
j'allais m'en sortir à la fac.
- Mais c'est pas un problème, y a plein de garçons qui ont les oreilles
percées.
Elle me faussa compagnie rapidement après m'avoir fixé un rendez-vous pour
le lendemain soir.
- Tu sais que je ne sors qu'avec les garçons aux jambes épilées...
Le lendemain, rouge de honte je pris rendez-vous dans un institut d'esthétique
pour satisfaire aux envies de cette nouvelle rencontre. L'esthéticienne me fit un large sourire, sans
doute à cause de mes oreilles percées, et s'appliqua à faire disparaître tous
les poils de mes jambes jusqu'à la limite de mon sexe.
- Vous avez de très belles jambes. Je connais beaucoup de femmes qui
rêveraient d'en avoir des comme les vôtres. Me dit-elle en m'atteignant dans
mon honneur masculin et en croyant me faire plaisir. Ces jambes toutes douces
me firent une sensation bizarre, surtout en enfilant mon jean. Le soir, je
filais au pub ou nous avions rendez-vous, impatient de la revoir.
- Salut.
- Salut.
Après avoir discuté je lui montrais un de mes mollets fraîchement épilés.
- Yaou ! Tu vois, c'est super joli ! Tu te sens pas mieux comme ça? En tout
cas moi je te préfère comme cela. Ses copines sont arrivées écourtant notre
tête à tête. Elle me donna rendez-vous le lendemain à midi. Nous nous sommes
retrouvés au même café.
- Dis donc, j'ai rendez-vous chez le coiffeur, tu viens avec moi ? Tu en as
besoin.
Ok, ça tombe bien j'avais envie de me les faire couper.
-T'es fou, y sont super beaux ! Au contraire, il faut les mettre en valeur.
Nous entrions dix minutes plus tard dans un grand salon moderne tout en bois et
en verre. Quatre coiffeuses étaient présentes dans le salon
- Viens on va s'asseoir.
- Mettez-vous face aux glaces.
- J'aimerais que vous nous fassiez la même coupe, pour nous assortir,
dit-elle aux coiffeuses en riant. Une coiffeuse lui montrait des modèles. Quand
je voulus regarder, elle écarta le livre.
- Ha, tu verras, ce sera une surprise !
Après le shampooing, vint la coupe, puis le brushing. Je regardais dans
la glace et vis que j'avais maintenant une coupe au carré hyper féminine. Mes
cheveux me tombaient sur les joues. Quelques-uns sur les yeux. Ils étaient
gonflés. La coiffeuse nous passa à tous les deux un coup de brosse dans les cheveux.
J'avais tout d'une fille. Je n'osais rien dire.
- Je retourne vite chez un autre coiffeur, lui dis-je en sortant du salon.
- Mais non, arrête, ça te va super bien !
- J'ai tout d'une fille... Je m'apprêtais à enlever mes boucles d'oreilles
quand elle me prit par la taille, puis m'embrassa.
- C'est comme ça que je te trouve beau. Y a plein de garçons qui on ce
look. Le fait de m'embrasser fit passer ma colère.
- Tu veux rester avec moi ?
- OK.
Quelques semaines plus tard, je fis connaissance avec la mère de Nathalie. Ma
copine nous laissa tous les deux seuls dans l'appartement. Elle avait un cours:
- Je vois que Nathalie t'as un peu adouci. C'est fréquent chez les filles
qui ont subi difficilement leur père. Elles cherchent à repousser la virilité
qui signifie pour elles la violence. C'est une réaction psychologique courante
dans ces cas-là. La discussion continua puis elle revint sur le sujet.
- Ecoute, tu sais que la semaine prochaine c'est son anniversaire. Je crois
que cela lui ferait énormément plaisir si tu te éguisais en fille. D'accord ?
- Bon, pour son anniversaire, je
veux bien le faire.
- Rassure toi, Tu n'auras à t
occuper de rien, laisse toi faire, c'est tout, on va lui faire une belle
surprise. La semaine passa rapidement et le samedi matin de bonne heure, je me
rendis au rendez-vous que j'avais dans le centre-ville. Nous devions nous
rencontrer chez l'esthéticienne qui avait maintenant l'habitude de m'épiler les
jambes... Mais après la séance la mère de Nathalie me fit enlever à l'épilation
électrique les quelques poils que j'avais sur le menton. Puis l'esthéticienne
affina un peu mes sourcils. Vint ensuite le maquillage qui fut heureusement
léger.
Après deux heures de soins intensifs, nous sommes partis faire des courses.
Sous-vêtements, escarpins, elle me les fit tous essayer dans les magasins et
tous garder sur moi. Précisant que j'étais bien un garçon, elle me fit me
couvrir de honte devant les vendeuses.
- Auriez-vous un porte-jarretelles chic pour ce jeune garçon ?
La vendeuse complice me fit essayer trois modèles de sous-vêtements. Avant
que la mère de Nathalie ne se décide. Je me retrouvais en sous-vêtements sous
le regard des deux femmes qui me jugeaient attentivement. Elles optèrent pour
ensemble blanc tout simple. Les escarpins l'étaient aussi et me permirent de
marcher sans trop de difficultés. Nous sommes entrés ensuite dans une boutique où
elle m'acheta un tailleur pantalon marron foncé qui m'étonna par sa sobriété et
me rassura un peu. On voyait bien le corsage dans l'échancrure, mais un
pantalon, ouf, ce n'était pas une jupe. Vinrent les bijoux. Là par contre elle
m'acheta des bijoux fantaisies: de grands pendentifs, un collier en fausse
perle, des bagues, des bracelets.
Elle me fit même percer un troisième trou à l'oreille droite. Nous avons
terminé chez le coiffeur, juste pour brushing. Deux mois après la coupe que
m'avait imposée Nathalie, mes cheveux un peu plus longs, gonflèrent d'autant
plus sous le sèche-cheveux de la coiffeuse. La frange me tombait dans les yeux.
La mère de Nathalie semblait satisfaite. Nous devions fêter son anniversaire tous
les trois au restau. Je devais les rejoindre toutes les deux à la table une demi-heure
après leur arrivée. Je patientais la tête baissée dans un bistrot. Enfin j'y allais.
- Nathalie, ton cadeau d'anniversaire !
- Yahou, t'es super dit-elle en me voyant !
Elle se leva et vint m'embrasser sur la bouche. La soirée se passa très
bien. En arrivant à l'appart, Nathalie me sauta dans les bras.
- Fait moi l'amour en gardant tes sous-vêtements et tes bijoux mon chéri.
C'est mon anniversaire, tu ne peux pas me le refuser. !
Le lendemain matin, la mère de Nathalie nous apporta le petit déjeuner,
après une séance de coiffure, elle me fit comprendre qu'il était hors de
question que je mette d'autres habits que ceux d'hier.
Superbe histoire. Elle est plutôt réaliste par le côté progressif de la féminisation. Pas facile de refuser quand on est accroché par une fille quand on est jeune et timide. C'est malheureux que l'on ait pas la suite.
RépondreSupprimerOui c'est bien vrai ces triste de ne pas avoir la suite car cette histoire est très captivante et très romantique et pleine de charme et de douceur acidulée sucrée et sensuelle aussi mais dur juste douce et belle
RépondreSupprimerBA la ou je suis mdrrrr à ce jour ces rapports à la honte je ne porte plus de sous vêtements de garçon je m'achète tout chez Etan lingerie les vendeuses me connaissent bien du coup plus de soucis
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