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"Tu dois arrêter de bouder et immédiatement changer d'attitude, jeune fille," a grondé ma belle-mère. "Regarde l'heure, tu n'es même pas encore habillée!"
"Mais tu avais promis!" Ai-je pleuré. "Nous avions un accord. Tu as dit que je pourrais partir pour l'université à l'automne si tu pouvais me traiter comme une fille tout l'été. J'ai fait tout ce que tu m'as demandé. J'ai voyagé avec toi à travers toute l'Europe comme si nous étions mère et fille. Je t'ai laissé m'habiller en fille tous les jours. J'ai même appris à me coiffer et à me maquiller comme une vraie fille."
"Et c'était tellement délicieux," a-t-elle répondu. "Et tu étais si mignonne en maillot de bain sur la plage de Capri..."
"Et," Ai-je continué, "je crois bien que tu as caché des hormones féminines dans mes repas."
"Tu as compris ça toute seule, Einstein ?" A ricané ma belle-mère. "Qu'est-ce qui te l'a fait comprendre? Tes seins qui remplissent maintenant un bonnet B, ou le fait que ton petit 'machin' ne bande plus? Maintenant, dépêche-toi et enfile ta robe. La voiture sera bientôt là pour nous emmener à l'aéroport."
"Non, je n'irais pas !" Ai-je crié. "Tu ne peux pas m'obliger à aller dans un pensionnat pour jeunes filles!"
"Oh, je le peux et je le ferai!" A rétorqué ma belle-mère. "Maintenant, écoute-moi bien, petite tapette. Je sais que tu aimes t'habiller en fille. Je sais que tu as essayé mes affaires quand je n'étais pas à la maison. N'essaye pas de le nier."
J'ai baissé la tête de honte. "On en a déjà discuté cent fois", ai-je murmuré, vaincu. "Oui, j'aime porter des vêtements féminins de temps en temps. J'aime parfois faire semblant d'être une fille."
"Eh bien alors, quel est le problème? Je te laisse vivre ton rêve et faire semblant d'être une fille tout le temps. Je suis même prête à dépenser beaucoup d'argent pour t'envoyer dans la meilleure école pour devenir la meilleure des jeunes filles possible! Maintenant, plus un mot, sinon je dirai à ton père que tu es une petite tapette qui aime s'habiller en jolie fille!"
Oh non! Tout sauf ça. Ma belle-mère avait gagné et elle le savait.
"Oh mon Dieu," a dit ma belle-mère, "la limousine est déjà là. Enfile ta robe et allons dans cette l'école."
Voici un témoignage trouvé sur un ancien forum, aujourd'hui fermé.
Témoignage de Tina:
Je souhaite moi aussi réagir sur ce forum. Il est nécessaire de forcer un peu les choses, car beaucoup de garçons aiment s'habiller en fille une fois qu'ils y ont goûté. Mes 2 sœurs et moi avons habillé nos fils en filles, d'abord pour les punir, puis, tous à part l'un d'entre eux ont fini par apprécier cela. J'ai 3 fils et une fille, et mes 2 sœurs ont chacune 2 garçons et 1 fille. Nous avions parlé d'utiliser les vêtements féminins comme punition, parce que nos garçons devenaient turbulents et incontrôlables. Nous avons appris que cette pratique s'appelait l'enjuponnage (ou petticoat discipline en anglais). Notre grand-mère nous a suggéré l'idée, en nous racontant que son frère avait été enjuponné par sa mère quand il était petit. Cela avait très bien fonctionné avec lui.
Donc, mes sœurs et moi en avons parlé pendant quelque temps avant de décider d'essayer. Nos familles se retrouvaient souvent, surtout pendant les fêtes, ou pendant les vacances d'été. Mon plus jeune fils avait alors 6 ans, mais tous les autres garçons avaient entre 9 et 11 ans. Il semblait qu'à chaque fois qu'on se retrouvait, les garçons se comportaient de plus en plus mal. Donc, mes sœurs et moi avons décidé de nous préparer pour la prochaine rencontre familiale.
L'occasion s'est présentée alors que nous étions tous réunis dans la maison de ma sœur à la campagne. Les garçons étaient agités, se battaient entre eux, ou se moquaient méchamment des filles. Dons, mes sœurs et moi les avons entrainés à l'étage pour essayer cette punition. Ma sœur avait plusieurs robes de coton qui avaient appartenu à sa fille plus grande. Nous avons dit aux garçons qu'ils allaient devoir porter ces robes, ainsi que des petites culottes roses que nous leur avions achetées. Ils ont semblé effrayés et pleuraient, sauf le plus jeune, qui a obéi sans discuter. Nous avons dû forcer les autres à se changer. Ils étaient tous terriblement bouleversés et en colère. Un seul garçon avait vraiment des cheveux courts, alors ma sœur a bouclé les cheveux de l'un d'entre eux, et a attaché les cheveux des autres avec des rubans, ce qui les a fait bouder terriblement. Elle leur a ensuite mis du rose à lèvres à chacun.
