dimanche 1 octobre 2023

 Bonjour à tous!

Comme le temps passe vite! Nous sommes déjà en octobre! Toutes sortes d'occupations diverses m'ont tenu éloigné de ce blog depuis plusieurs mois. Je vais progressivement reprendre mes habitudes et ma routine... Et pour (re)commencer à faire vivre ce blog: le traduction d'une série de lettres à "petticoated.com", ce site hélas disparu aujourd'hui (et sans doute irremplaçable).

ENJUPONNE PAR MON QUASI-FRERE

Par Sydney

Chère Tatie Helga,

J'attends toujours avec impatience la publication de nouvelles lettres sur votre site à propos d'enjuponnage et de féminisation forcée. Comme je suppose que beaucoup de ces histoires sont vraies, je trouve très réconfortant et rassurant de savoir que d'autres que moi ont expérimenté la honte et l'humiliation de cette pratique en grandissant. Merci.

Je ne crois pas, par contre, avoir lu des lettres qui racontent le type de dégradation dont j'ai été la victime, dans le sens où dans mon cas, c'est un quasi-frère plus jeune qui m'a humilié pendant des années.

J'avais 11 ans, et ma sœur 15 ans, quand mon père veuf a épousé ma belle-mère. Notre nouvelle famille recomposée comprenait également mon quasi-frère Trevor, qui a deux ans de moins que moi, et ma quasi-sœur, qui a un an de plus que ma sœur. Je dois aussi préciser que mon père voyageait beaucoup pour affaires, et qu'en plus, je pense qu'il était un peu intimidé par ma belle-mère, ce qui peut expliquer pourquoi elle fixait les règles de la maison et pourquoi mon père n'intervenait presque jamais pour arrêter les brimades et les enjuponnages dont j'ai été victime. Je pense aussi qu'il était plutôt déçu que je me sois laissé humilier ainsi par mon jeune quasi-frère.

Le problème est que je suis assez petit, et même si Trevor a deux ans de moins que moi, même à 9 ans, il était presque aussi grand que moi, et il a toujours été bien plus dur et plus agressif que moi. Je suppose qu'il n'appréciait pas qu'un autre garçon fasse partie de la famille, et il a commencé à me harceler dès le début. C'était, je suppose, une manière de montrer qui était le patron et de protéger son territoire. J'avais vraiment peur de lui, et il le savait, et il me dominait sans pitié, y compris en me faisant faire des corvées pour lui, comme ranger sa chambre. Si je ne faisais pas ce qu'il disait, ou si je me plaignais, il me faisait mal d'une manière ou d'une autre. C'était très dur pour moi.
Ma belle-mère voyait bien ce qui se passait, mais ne m'a jamais aidé. En fait, il était assez évident qu'elle  était fière de la façon dont Trevor était capable de me dominer et de me contrôler. Un jour, par exemple, quelques semaines seulement après que nous ayons tous emménagé ensemble, j'ai entendu ma belle-mère au téléphone, parlant de son mariage et de sa nouvelle famille recomposée. Elle racontait que son nouveau beau-fils (moi!) était une mauviette efféminée, et à quel point elle était fière de la façon dont Trevor se montrait le plus fort. Elle a même dit que c'était comme s'il n'y avait qu'un seul vrai garçon dans la famille. Elle a ajouté que Trevor lui avait dit qu'il envisageait même de me faire porter une petite culotte de fille pour démontrer son autorité totale, et qu'elle lui avait répondu que cela ne la dérangerait pas si c'était ce qu'il voulait faire, et même que ce serait assez drôle.
Pendant les jours qui ont suivi, j'ai eu très peur que Trevor m'oblige à porter une petite culotte, mais rien de tel ne s'est produit pendant environ une semaine, et j'avais donc cessé d'y penser, quand, à l'improviste, Trevor est venu me voir un jour après l'école et m'a dit qu'il avait décidé que je devrais commencer à porter des culottes de fille au lieu de sous-vêtements pour garçons. Je l'ai supplié de ne pas me forcer à faire ça, mais il s'est contenté de rire, puis je lui ai demandé combien de temps j'allais devoir les porter. Il a dit tous les jours et si je n'avais pas envie de souffrir, j'allais faire ce qu'il me disait. Nous sommes alors tous les deux allés voir ma belle-mère, et il m'a obligé à lui dire que Trevor voulait que je porte des petites culottes tout le temps, puis de lui demander si elle pouvait remplacer tous mes sous-vêtements par des culottes. Elle a ri, a souri à Trevor, l'a appelé son petit homme, puis est montée à l'étage et a pris une ancienne culotte de sa fille et l'a mise dans mon tiroir à sous-vêtements. Puis, devant ma belle-mère et Trevor, j'ai dû enfiler une culotte.

La honte que je ressentais à cet instant était immense, et, même si je savais que c'était inutile, je suppliai Trevor de ne pas m'obliger à faire ça, puis je suppliai ma belle-mère de dire à Trevor de ne pas me forcer à porter une petite culotte. Mes supplications les ont fait rire, et ma belle-mère m'a dit que c'était à Trevor seul de décider si je devais porter une petite culotte, ou pas. Elle a ajouté que je pleurnichais comme une fille, et que c'était le signe que Trevor avait sans doute raison de vouloir me faire porter une petite culotte. A cet instant, j'espérais que cela ne serait que passager, et que Trevor allait tôt ou tard se lasser de m'obliger à porter des dessous de filles, mais cela n'est pas arrivé, et depuis, j'ai porté chaque jour, et pendant des années, des petites culottes jusqu'à la fin de mes années de lycée.

Quand j'acceptais de faire ce que Trevor me demandait, les choses n'empiraient pas, sauf certaines fois. Quand Trevor invitait certains de ses amis à la maison, il se montrait plus autoritaire avec moi que d'habitude, sans doute pour se mettre en valeur devant ses amis. Presque à chaque fois, il m'ordonnait de baisser mon pantalon pour montrer que je portais une petite culotte de fille, ce qui était très humiliant pour moi. Mais le pire s'est produit lors de mon dernier été avant de quitter la maison pour aller à la fac. Au début de l'été, Trevor m'a donné un bikini et m'a demandé de le porter pour prendre le soleil dans le jardin. Bientôt, j'avais des traces de bronzage qui m'empêchait de me présenter dans certains lieux publics où je devais retirer mon tee-shirt, comme à la piscine, par exemple. Quand il m'a obligé à montrer mes traces de bronzage à sa petite amie, elle a trouvé cela hilarant, et a même ajouté que ça donnait l'impression que j'avais de petits seins. Cela lui a donné l'idée de m'obliger à porter un soutien-gorge, en plus de ma petite culotte. Ma belle-mère a trouvé tout cela très amusant, et, parfois, quand je me plaignais auprès d'elle que Trevor m'oblige à porter un soutien-gorge, elle me répondait que je devais m'estimer heureux qu'il me laisse porter des affaires de garçon par-dessus.

A la fin de l'été, j'ai quitté la maison, et j'ai enfin cessé de devoir porter les dessous imposes par Trevor, même si cela a duré près d'un mois avant que mes traces de bronzage ne disparaissent.

Merci encore pour votre merveilleux site.

Sydney.

Merci pour vos si gentils compliments pour mon site. J'ai le sentiment que le traitement que vous a infligé Trevor vous fait préférer les dessous féminins, surtout sachant combien vous aimez visiter mon site.

Tatie Helga

 


ENJUPONNE PAR MON QUASI-FRERE – PARTIE DEUX

Par Sydney

Chère Tatie Helga,

Comme je l'ai raconté dans ma lettre précédente, après avoir été la victime d'humiliations progressives de la part de mon quasi-frère Trevor, qui était soutenu et encouragé par ma belle-mère, je suis parti pour la fac. Pour la première fois en de nombreuses années, je ne devais plus porter de petite culotte de fille, et je pouvais rester chez moi sans avoir à porter un soutien-gorge. Malheureusement pour moi, cela n'a pas été la fin de mon enjuponnage forcé par Trevor et ma belle-mère.

Le problème était, que, de temps en temps, même si la fac était loin de la maison, je devais rentrer, et quand je le faisais, je retombais sous la domination de mon quasi-frère et de ma belle-mère. La première fois que je suis rentré à la maison, c'était pour la fête de Thanksgiving lors de ma première année de fac. Après un vol fatigant, je suis arrivé à la maison le lundi qui précédait Thanksgiving. Trevor était encore au lycée pour la journée, ce qui aurait dû me faciliter les choses. L'une des premières choses que ma belle-mère m'a demandée à mon arrivée, était pour savoir si je portais une petite culotte. J'ai répondu que non, que je n'en portais plus, et, sur un ton de défi, j'ai ajouté que je n'avais pas l'intention d'en porter à nouveau. Ma belle-mère a ri en entendant cela, puis m'a dit que si j'espérais ne plus être obligé de porter des dessous féminins, Trevor voyait les choses bien différemment, et que si je ne voulais pas le mettre en colère, alors qu'il était bien plus grand et fort que moi, j'avais intérêt à enfiler bien vite une petite culotte.

Ses paroles m'ont effrayé, car j'avais peur que Trevor me fasse du mal, alors j'ai demandé s'il en avait parlé, et elle m'a répondu que oui. Trevor avait parlé avec elle de mon retour à la maison pour la semaine, et il avait clairement dit qu'il espérait me voir en petite culotte pour toute la durée de mon séjour, et que je devais aussi porter un soutien-gorge quand j'étais à la maison. Il lui avait demandé de m'en acheter un nouveau, équipé de faux seins. En plus, Caroline, la petite amie de Trevor, a dit que si je portais une petite culotte et un soutien-gorge, j'allais aussi devoir dormir en chemise de nuit!

Bien sûr ma première réaction a été de dire "jamais" à ma belle-mère. Elle a juste souri, pris son téléphone, et m'a dit qu'elle envoyait un message à Trevor pour lui donner ma réponse. A cet instant, j'ai compris que j'allais avoir des ennuis, et je l'ai supplié de ne pas envoyer son message, mais il était trop tard. Bouleversé, je lui ai alors dit que j'allais enfiler une petite culotte et un soutien-gorge, dans l'espoir de satisfaire Trevor. Ma belle-mère a ri, avant de m'accompagner à l'étage, où elle a sorti une petite culotte rose et un soutien-gorge assorti, qu'elle m'a tendus. Elle est restée là pendant que je me changeais, puis elle m'a aidé à glisser des faux seins dans mon soutien-gorge.

Je lui ai demandé si elle pensait que Trevor serait fâché contre moi, même s'il voyait que je portais des dessous féminins. Ma belle-mère m'a répondu que mes dessous auraient sans doute été suffisants si j'avais accepté tout de suite de les porter, mais que j'allais devoir faire un effort supplémentaire pour faire plaisir à mon quasi-frère. Je ne comprenais pas ce qu'elle voulait dire, mais sans un mot de plus, elle est sortie de la chambre avant de revenir quelques instants plus tard portant deux cintres. A l'un d'entre eux était suspendue une jupe plissée grise, et à l'autre, un chemisier rose avec des dentelles. Sous son autorité, j'ai enfilé ces vêtements, puis elle m'a fait assoir pour me maquiller. Elle m'a mis du rouge à lèvres, de l'eyeliner noir, de l'ombre à paupières bleue, et un peu de rouge sur mes joues. Même avec mes cheveux courts, je pouvais voir dans le miroir que je ressemblais à une fille.

Au retour de Trevor et de sa petite amie du lycée, je les ai accueillis comme ma belle-mère me l'avait appris, avec une révérence. A mon grand soulagement, cela les a fait sourire, et Trevor a dit à sa petite amie quelque chose comme "Tu vois, je t'avais dit que j'étais le seul vrai mec de cette famille."

J'ai passé toute la semaine en vêtements féminins, et par la suite, à chaque fois que je rentrais à la maison pour des congés, la première chose que je faisais était de me changer et d'enfiler un soutien-gorge, une petite culotte, des bas ou des collants, puis une jupe et un chemisier ou une robe. Je passais l'ensemble de ces congés dominé par Trevor et par ma belle-mère. Par exemple, lors du premier Noël, Trevor a organisé une fête à la maison, et j'ai passé la semaine à nettoyer et à préparer la fête, avant de faire le service des boissons et du repas pendant la soirée.

Après avoir été diplômé, j'ai cessé de revenir à la maison, car c'était le seul moyen pour moi d'éviter de me retrouver enjuponné. Mais comme vous l'avez soupçonné dans votre commentaire sur ma première lettre, je n'ai jamais cessé d'y repenser. J'avoue honteusement qu'après un an environ sans rentrer à la maison, je commençais à fantasmer à l'idée d'être à nouveau enjuponné, et aujourd'hui, presque trois ans plus tard, j'y pense constamment. Je sais combien cela peut sembler bizarre, surtout sachant combien j'avais trouvé cela humiliant et douloureux, mais ça me fait fantasmer. Dans ces fantasmes qui me hantent tout le temps en ce moment, je rentre à la maison, et ma belle-mère et Trevor font de moi leur servante féminisée à plein temps. Le plus fou, c'est que si je décidais de rentrer à la maison maintenant, c'est sans doute ce qui m'arriverait. Je suis de plus en plus tenté d'essayer, et je me dis de plus en plus souvent que c'est la bonne chose à faire. Qu'en pensez-vous?

Merci d'avance de me donner votre opinion,

Sydney

Que c'est intéressant de découvrir que vous avez poursuivi le même traitement même après être devenu adulte. Il me semble évident que, même si vous avez du mal à l'admettre, vous adorez être enjuponné, porter de jolies petites culottes, et tout le reste. Vous rejetez la faute sur d'autres personne parce que vous ne voulez pas qu'on dise de vous que vous aimez cela. Mais si vous rentrez à la maison, et je pense que vous allez probablement le faire, je crois que le fait de devenir la servante de votre belle-mère serait la bonne chose à faire.

Tatie Helga


ENJUPONNE PAR MON QUASI-FRERE – PARTIE TROIS

Par Sydney


Chère Tatie Helga,

Vos soupçons concernant mes sentiments vis-à-vis de mon enjuponnage semblent fondés. Comme vous l'avez suggéré, j'ai décidé de rentrer à la maison pour me soumettre à l'autorité de ma belle-mère.

Cependant, il m'a fallu quelques jours de terribles doutes avant de trouver le courage de faire ce qui vous semblait avec tant de certitudes la bonne marche à suivre. J'ai alors commencé par lui envoyer un Email pour lui demander, sur le ton le plus poli, le plus soumis et le plus dévoué possible, si elle accepterait de me laisser rentrer chez moi. Je lui ai écrit que je pensais constamment à elle, que je ne voulais rien de plus dans la vie que de pouvoir la servir comme elle le souhaitait, et que j'acceptais pleinement que je n'étais qu'un loser pathétique et une tapette qui devait être humiliée en étant enjuponnée, dominée et féminisée. Je lui ai également écrit que je reconnaissais pleinement que mon quasi-frère Trevor était un vrai mec, qu'il m'était bien supérieur à tous points de vue et qu'elle avait raison de me traiter comme son inférieur.

Après avoir rédigé ce mail, j'ai tremblé de peur pendant des heures avant d'oser nerveusement cliquer sur le bouton "envoyer", et les jours suivants, je n'ai pratiquement pas dormi en attendant une réponse. Quand j'ai finalement découvert une réponse dans ma boîte mail, mon cœur battait si fort que j'ai failli perdre connaissance, et mes mains tremblaient au moment de découvrir ce qu'elle avait écrit. Plutôt que de résumer sa réponse, j'ai copié l'intégralité de son mail ci-dessous:

/Sissy Sydney/
/Tu as raison. Tu ES un loser pathétique et efféminé. Si différent de Trevor, mon fils si viril. Je ne peux pas croire que tu aies pensé pouvoir quitter la maison et t'en sortir seul dans la vie. Aucune fille ne voudrait de toi comme petit copain, et encore moins comme mari. J'ai toujours su que tu méritais d'être enjuponné et féminisé, que tu avais besoin d'être enjuponné et féminisé, et que tu ne serais jamais heureux dans une vie dans laquelle tu ne serais pas enjuponné et féminisé. Et c'est exactement ce que j'ai l'intention de faire, avec l'aide de Trevor, dès ton retour à la maison./

/Il est important que tu comprennes que ton enjuponnage et ta féminisation pour faire de toi une servante docile n'est pas un jeu. C'est ce que sera ta voie désormais. Au moment où tu franchiras la porte de ma maison, ton sort sera scellé. Tes jours en tant qu'homme seront terminés, et tu travailleras comme servante pour Trevor et moi à chaque instant et chaque jour. Le choix t'appartient, de revenir ou non, mais sachant à quel point tu désires nous servir, je sais que ce n'est plus vraiment un choix./

/Maman/

Dès le lendemain de ma réception de ce mail, je suis rentré à la maison. Elle savait que je le ferais. Vous saviez que je le ferais.

Quand ma belle-mère a ouvert la porte, je suis tombé à ses pieds et je l'ai ardemment remerciée de m'avoir autorisé à rentrer à la maison pour la servir. Elle m'a regardé de haut avec une lueur de dédain dans ses yeux, et, avec un petit rire, m'a ordonné de monter à l'étage dans mon ancienne chambre, où j'allais trouver un uniforme de soubrette pour me changer. Peu de temps après, je portais une petite culotte, un soutien-gorge rembourré, un porte-jarretelles, des bas, une petite jupe noire et un chemisier blanc. Avec du rouge sur mes lèvres et mes ongles vernis, j'étais prêt à débuter mes tâches de servante.

Depuis, j'ai appris à parfaitement gérer la lessive, le ménage, le service à table et le nettoyage après, à faire les lits, à repasser, et même à faire un peu de cuisine, et je fournis à ma belle-mère tout ce qu'elle me demande dans l'instant, etc, etc, etc. En fait tout mon travail consiste à libérer totalement ma belle-mère des tâches d'entretien de la maison. Je passe aussi deux jours par semaine à faire le ménage dans l'appartement de Trevor et de sa petite amie, et à faire tout ce qu'ils me demandent, comme parfois, faire le service pendant une fête que Trevor organise.

J'ai la chance d'être plutôt petit et peu viril, ainsi, je peux aisément passer pour une vraie femme en public (quand je sors faire des courses par exemple). Le fait que j'avais déjà les cheveux longs m'a aidé, d'autant plus que, dès mon retour, ma belle-mère m'a envoyé chez le coiffeur pour me faire faire une coiffure féminine. Je dois aussi préciser que, selon l'exigence de Trevor, je porte une cage de chasteté en permanence, et qu'il ne m'a jamais permis de la retirer, même pour un moment. Je ne sais pas si je pourrais la retirer un jour. Quand j'en parle à Trevor, il me dit qu'une sissy comme moi ne mérite pas d'avoir la moindre vie sexuelle, pas même le droit de se masturber. Je suis très frustré par cette situation, mais, ni ma belle-mère, ni Trevor ne semblent montrer qu'ils accepteraient de me libérer, et de plus, ils semblent trouver mes sentiments de frustration très amusants.

Mes journées sont donc très chargées. Je me lève très tôt pour faires diverses tâches avant d'apporter son petit-déjeuner à ma belle-mère, et mon travail ne s'arrête que tard le soir. C'est assez fatigant, et pourtant, je me sens contente de mon sort. Mes seules inquiétudes viennent d'une conversation que j'ai surprise, pendant laquelle Trevor et ma belle-mère envisageaient de me féminiser davantage. Je ne sais pas à quel point ils sont sérieux, et je ne sais pas ce que cela impliquerait. Je ne sais pas vraiment quoi en penser. Je suppose que, puisque je vis en femme, peut-être qu'un peu de féminisation plus poussée pourrait être une bonne idée. Ce que je sais, c'est que s'ils décident de quelque chose, je n'aurais aucun droit de donner mon avis.

J'espère que vous vous portez bien.

Cordialement,

Sydney.

Quel plaisir d'avoir de vos nouvelles, et je suis heureuse que vous ayez choisi de rentrer à la maison pour devenir la servante de votre famille. Je sais que cette décision n'a pas été facile, mais je suis sûre que vous avez fait le bon choix. Vos mails décrivaient si bien votre situation que ma réponse ne pouvait être différente de celle de votre famille. Servez, soumettez-vous, et obéissez, et vous aurez ainsi une vie heureuse. Il n'y a rien de plus beau que de vous sacrifier pour d'autres.

Tatie Helga.

 

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