Version originale sur: Jeannas Transformation Adventures
Étranges fantasmes que ceux-ci: La féminisation d'hommes ou de garçons. Des histoires imaginaires, illustrées ou non, de garçons transformés en filles, bien souvent contre leur gré. Blog réservé aux adultes, même si les histoires et les illustrations resteront très "soft".
Les lettres publiées sur le site "Petticoat Discipline Quarterly" (fermé depuis quelques mois) racontaient des témoignages de "petticoat discipline" (discipline par le jupon, ou "enjuponnage")
Celle-ci date des premières années de ce site:
Ma mère voulait une fille
Bien des travestis font leurs premières expériences de travestissement durant leur enfance. Souvent, ils ont des mères qui voulaient avoir une fille, et qui le leur ont dit. Pour une raison ou une autre, ces parents trouveront des prétextes pour habiller leurs fils à la manière des filles. Dans les cas les moins extrêmes, un garçon, même sans ascendance écossaise, sera vêtu d'un kilt et d'un chemisier pour servir lors d'une cérémonie de mariage. Ensuite, sous prétexte "qu'on ne peut pas se permettre d'extravagances inutiles", il sera forcé de porter cette tenue, encore et encore jusqu'à l'usure, ou jusqu'à ce que ce soit trop petit pour lui.
Dans des cas plus extrêmes, un garçon sera soumis à la punition de "l'enjuponnage", largement utilisé à l'époque victorienne, et encore utilisé parfois de nos jours. Un garçon sera alors entièrement habillé en fille pour le punir par l'humiliation ainsi procurée. Ces mesures disciplinaires peuvent durer des journées entières, voire des semaines pendant les vacances.
Quand j’avais dix ans, ma propre mère, veuve, a choisi cette voie. Après avoir volé des pommes dans un verger local, j'ai été confiné à la maison pendant une semaine et, pour m'obliger à rester à la maison, on m'a confisqué mon pantalon. Je devais alors porter une tunique bleu marine et une culotte assortie, une tenue inspirée de l'uniforme de l'école de filles locale.
Comme vous pouvez l'imaginer, j'ai détesté ça et j'étais horriblement gêné par ma jupe courte plissée, même si je prenais bien soin de n'être vu ainsi que par ma mère. Pendant la suite de l'année, je me suis de plus en plus souvent retrouvé dans cet uniforme. Ma mère y a ajouté des chaussettes blanches, des chaussures en cuir verni et même parfois de longs bas marron avec des jarretelles. Je me souviens que les chaussures avaient des brides plutôt serrées et que je trouvais infantile et humiliant de devoir les porter.
Bien sûr, avec le temps, j'ai surmonté mes sentiments de gêne, et le fait de porter des jupes a cessé d'être une épreuve pour moi. J'ai remarqué que je n'étais jamais puni d'une autre manière, comme par exemple par des gifles. De plus, ma mère me montrait beaucoup d'affection lorsque j'étais en jupe. Quand elle voyait que mes bas étaient bien tendus, et que je faisais en sorte que ma tunique tombe bien, sans faux plis, elle me récompensait par des bonbons. J'ai fini par réaliser que cet "enjuponnage" n'était qu'un prétexte pour pouvoir me traiter comme une fille plutôt que comme un fils.
Tout a brusquement évolué, lorsque, le jour de son anniversaire, je me suis levé tôt, j'ai enfilé ma tenue complète avec un soin particulier, et j'ai apporté son petit-déjeuner dans sa chambre. Elle était très étonnée de me voir porter volontairement mes jupes. Je lui ai assuré que cela me faisait plaisir, puisque cela la rendait visiblement heureuse.
Dès lors, toute prétention que cet enjuponnage était une punition a été abandonnée et c'est devenu une sorte de jeu de "déguisement" entre nous. Elle maîtrisait parfaitement l'utilisation de sa machine à coudre et confectionnait de nombreuses robes et jupons. Elle m'a même confectionné une robe de danse, un tutu, très court et avec beaucoup de volants. L'un des ajouts les plus délicieux était un kilt, que j'ai pu porter dehors. Elle l'a délibérément rendu plus court que ceux habituellement portés par les garçons, et je portais rarement un sporran (le petit sac que les écossais portent devant le kilt). Ses amies lui ont fait remarquer: "Il est ravissant dans son kilt, mais tu ne crois pas qu'il un peu court, et qu'il lui donne un air un peu féminin?" Nous nous réjouissions secrètement de ces propos.
J'ai aujourd'hui 20 ans, je suis un étudiant aux cheveux longs et je possède une vaste garde-robe composée de minijupes et de chaussures à talons hauts à la mode. Parfois, ma mère m'emmenait en vacances en tant que fille.
K.I.C. Berks.
Voici un témoignage trouvé récemment sur le forum: https://newagelifestyle.createaforum.com
Salut à tous,
Je ne sais pas encore si j'ai ma place ici. Mon histoire va peut-être sembler hors de propos à certains d'entre vous, mais peut-être aussi qu'elle pourrait vous intéresser.
Je vis depuis toujours avec ma mère, ce qui veut dire aucun père présent. Maman et moi avons toujours été très proches, parce que je n'ai pas non plus de frère ou de sœur. C'est ma mère qui m'a tout appris sur la sexualité. Peut-être que pour vous, c'est votre père qui vous a tout appris. Ma mère m'a enseigné cela et m'a montré toutes les parties de son corps. J'avais souvent vu ma mère nue, et cela n'avait donc rien de malsain.
En grandissant, j'ai admiré de plus en plus les gros seins de ma mère. Ma mère n'a rien de grand ou de gros dans son physique, sauf ses seins. Un jour, je lui ai demandé ce que cela faisait d'avoir des seins aussi gros. Elle a ri, et m'a répondu qu'elle les aimait bien, mais que parfois, c'était gênant pour certaines activités, comme je jogging. Elle m'a laissé les palper et sentir à quel point ils étaient lourds. Elle m'a fait essayer un de ses soutiens gorges dans lequel elle a glissé des ballons remplis d'eau pour que je me rende compte de ce que cela faisait. Je n'avais que 15 ans quand elle m'a fait essayer son soutien-gorge. J'ai donc fantasmé sur ses gros seins jusqu'à l'âge de 18 ans environ.
Un jour, alors que maman sortait de la douche, j'ai revu ses seins, ce qui m'a un peu excité. Je l'ai suivie dans sa chambre, et je lui ai demandé si je pouvais l'aider à s'habiller. Elle m'a répondu pourquoi pas, après tout, tu as déjà vu tout ce qu'il y a à voir. J'ai d'abord aidé ma mère à enfiler une culotte, puis elle m'a tendu un soutien-gorge que j'ai adoré mettre sur elle. Elle m'a montré comment bien placer ses seins dans les bonnets en se penchant en avant pour s'assurer qu'ils étaient bien au même niveau tous les deux. J'ai aidé ma mère à finir de s'habiller, ce que j'ai trouvé très plaisant. Elle m'a ensuite laissé l'aider le soir et le matin, ce que j'adorais.
Un jour, j'ai demandé à ma mère si elle voulait bien m'habiller avec ses vêtements pour s'amuser. Maman a d'abord ri à cette idée, puis m'a dit OK, que veux-tu porter. J'ai choisi un soutien-gorge et une culotte, puis des bas et une de ses robes. Nous nous sommes amusés à m'habiller ainsi en riant et en plaisantant. Je me sentais bizarre avec les seins énormes, même s'il ne s'agissait que de ballons. Les chaussures de ma mère ne m'allaient pas, alors elle m'a acheté une paire de chaussures à talons très hauts le week-end suivant. Ma mère voulait voir si je pouvais marcher avec le même genre de talons qu'elle. C'était pourtant censé n'être qu'un moment unique qui ne devait pas se répéter.
Un soir, après avoir aidé maman à se préparer pour la nuit, elle m'a parlé de tout cela: je l'aidais régulièrement à s'habiller ou à se déshabiller, à enfiler son soutien-gorge, sa petite culottes, ses bas et sa robe. Elle m'a demandé à quel point j'aimais m'habiller en fille. J'étais un peu à court de mots pour lui répondre, car pour moi, cela n'avait été qu'une activité amusante qu'on avait partagée. Ma mère m'a dit que cela n'était pas grave, que je veuille continuer à porter des robes, ou que je ne veuille pas. Je lui ai alors avoué que j'aimais beaucoup porter ses soutiens gorges et ses culottes. Maman a dit ok, c'est agréable à entendre. Elle a admis qu'elle aimait aussi me voir les porter, car elle me trouvait mignon ainsi. Maman m'a demandé cela parce qu'elle songeait à m'acheter mes propres robes, soutiens gorges et culottes. Elle m'a dit que nous pourrions beaucoup nous amuser si j'avais mes propres affaires de fille à porter quand je le désirais. J'y ai réfléchi et j'en ai encore parlé à maman pour m'assurer qu'elle ne pensait pas que j'étais bizarre. Nous sommes alors allés faire du shopping pour m'acheter énormément de vêtements dans un magasin de vêtements d'occasion, mais aussi dans d'autres boutiques du centre commercial.
J'ai alors commencé à porter des vêtements féminins chaque jour à la maison, ce que j'aimais beaucoup. Ma mère s'amusait à me faire essayer de nouvelles robes. Elle m'a acheté une perruque, des boucles d'oreilles et des faux ongles. Après quelque temps, ma garde-robe contenait plus de robes, de jupes et de chemisiers que d'affaires pour homme. Parfois, je n'avais pas envie de porter mes vêtements de fille, comme on les appelait. Je voyais alors que cela rendait maman triste quand je ne mettais pas de robe à mon retour de l'école. Le lendemain, je m'empressais de me transformer en fille dès mon retour à la maison pour la rendre heureuse.
A l'âge de 20 ans, ma mère m'a fait percer les oreilles, et s'est arrangée pour qu'une de ses amies me coiffe. Ma mère m'avait préparé à vivre cette nouvelle vie sans même que nous nous en rendions compte. Cela avait commencé comme une expérience amusante, et avait progressé pour que je vive plus comme sa fille que comme son fils.
Aujourd'hui, quand je lis les témoignages sur ce site, je découvre que je ne suis pas seul à vivre de cette façon. Ma mère m'a présenté une femme un peu plus âgée que moi, et nous sortons ensemble depuis quelques mois. Barbara ne m'a vu qu'en tenue féminine. Ma mère m'avait dit avant de me présenter Barbara qu'elle recherchait un homme new âge, et que donc, c'était mieux que je porte des robes quand j'étais avec elle. Ma mère m'a dit il y a quelque temps que ce serait bien si je passais le reste de ma vie en tant que femme. Elle m'a également dit que si je voulais devenir encore plus féminine, son médecin pourrait m'aider, mais que c'était à moi de décider.
Voilà, je vous ai tout dit, et depuis hier Barbara a emménagé avec nous dans l'appartement au sous-sol. Ma mère aime Barbara et pense qu'elle me convient parfaitement. Jusqu'à présent, je suis d'accord avec elle.
L'un d'entre vous a-t-il eu une mère qui l'a guidé sur ce chemin?
Wanda
Après quelques réactions sur le forum, "Wanda" a ajouté quelques détails sur sa vie:
Une chose est sûre, ma mère ne cesse de penser à de nouvelles choses. Elle m'a parlé l'autre soir de ses réflexions sur les dispositifs de chasteté. Je ne savais pas grand-chose à ce sujet, alors ma mère m'en a montré sur Internet. Elle a dit que nous devrions essayer pendant que Barbara est en voyage d'affaires. Maman semblait convaincue que c'était une bonne idée, alors elle a choisi la cage de chasteté 'Holytrainer'. Elle est arrivée le lendemain alors maman avait hâte que je l'essaye. Avec quelques essais et erreurs, nous avons compris comment cela se posait. Maman trouvait que ça lui semblait mignon et avait hâte de le montrer à Barbara dès son retour. En attendant j'ai ce machin sur mon sexe et maman garde les clés.
Nous verrons comment cela se passe et ce que Barbara en pense.
Restez à l'écoute
Wanda
Je me sens un peu bizarre avec cette cage de chasteté qui pend là toute la journée. Ma mère me permet de l'enlever deux fois par jour pendant une heure puis me le remets à condition qu'il n'y ait pas de rougeur sur la peau. Ma mère m'a expliqué que la cage de chasteté était nécessaire après m'avoir vu bander quand je l'aidais à se sécher après un bain. Je lui ai dit désolé maman, je ne l'ai pas fait exprès.
Barbara est un peu plus âgée que moi. Elle a une certaine expérience avec les hommes soumis. Barbara m'a déjà dit que pour répondre à ses attentes, je prendrai en charge les tâches ménagères comme une femme au foyer/femme de ménage. Dernièrement, je suis allée faire du shopping avec ma mère en jupe ou en robe. Ma mère m'encourage depuis un certain temps à faire preuve d'enthousiasme lorsque nous sortons tous les deux habillés comme une mère et sa fille. Barbara a un bon travail et a récemment vendu sa maison, et en attendant la construction d'une nouvelle maison, elle vit avec nous pendant un certain temps. Un parent nous a laissé une somme d'argent substantielle que ma mère a investie pour moi toutes ces années. Je ne suis pas obligé de travailler à moins que Barbara ne le veuille. En ce moment, elle préfère que j'apprenne mon rôle de femme au foyer. Comme c'est assez nouveau pour moi, je préfère le rôle de femme au foyer qu'au fait de devoir aller travailler. Nous verrons cependant comment cela se passe.
Wanda
Vous avez raison, je ne porte plus que des vêtements féminins donc Barbara ne m'a jamais vu en homme. Mes vieux vêtements ont été emballés et on prévoit de nous en débarrasser dans un avenir proche. Ma mère est plus que satisfaite de mes progrès et n'a donc pas ressenti le besoin de garder mes vieux vêtements. Je mesure quelques centimètres de de plus que ma mère et j'ai une silhouette élancée, tout comme elle. Je ne vous dirai pas la taille de bonnet de ma mère, mais je dirai qu'elle est plus grande que ce que je porte actuellement, qui est un bonnet D. Dans mon soutien-gorge, je porte des faux seins en silicone, et donc je m'habitue à leur poids. Ma mère a de la chance, car les siens sont vrais.
Le processus prendra un certain temps car ma mère veut que je profite autant du voyage que de la destination finale. Nous verrons ce que dit le médecin dans les semaines à venir.
Wanda
C'est à ce jour le dernier témoignage de "Wanda". J'espère qu'elle racontera la suite de ses aventures. Je ne manquerais pas de vous les faire partager si c'est le cas.
Version originale de ces captions sur le forum russe http://madhouse.ucoz.ru/ (anciennement tg-wonderland)
Bonjour à tous!
Comme le temps passe vite! Nous sommes déjà en octobre! Toutes sortes d'occupations diverses m'ont tenu éloigné de ce blog depuis plusieurs mois. Je vais progressivement reprendre mes habitudes et ma routine... Et pour (re)commencer à faire vivre ce blog: le traduction d'une série de lettres à "petticoated.com", ce site hélas disparu aujourd'hui (et sans doute irremplaçable).
ENJUPONNE PAR MON QUASI-FRERE
Par Sydney
Chère Tatie Helga,
J'attends toujours avec impatience la publication de nouvelles lettres sur votre site à propos d'enjuponnage et de féminisation forcée. Comme je suppose que beaucoup de ces histoires sont vraies, je trouve très réconfortant et rassurant de savoir que d'autres que moi ont expérimenté la honte et l'humiliation de cette pratique en grandissant. Merci.
Je ne crois pas, par contre, avoir lu des lettres qui racontent le type de dégradation dont j'ai été la victime, dans le sens où dans mon cas, c'est un quasi-frère plus jeune qui m'a humilié pendant des années.
J'avais 11 ans, et ma sœur 15 ans, quand mon père veuf a épousé ma belle-mère. Notre nouvelle famille recomposée comprenait également mon quasi-frère Trevor, qui a deux ans de moins que moi, et ma quasi-sœur, qui a un an de plus que ma sœur. Je dois aussi préciser que mon père voyageait beaucoup pour affaires, et qu'en plus, je pense qu'il était un peu intimidé par ma belle-mère, ce qui peut expliquer pourquoi elle fixait les règles de la maison et pourquoi mon père n'intervenait presque jamais pour arrêter les brimades et les enjuponnages dont j'ai été victime. Je pense aussi qu'il était plutôt déçu que je me sois laissé humilier ainsi par mon jeune quasi-frère.
Le problème
est que je suis assez petit, et même si Trevor a deux ans de moins que moi, même
à 9 ans, il était presque aussi grand que moi, et il a toujours été bien plus
dur et plus agressif que moi. Je suppose qu'il n'appréciait pas qu'un autre
garçon fasse partie de la famille, et il a commencé à me harceler dès le début.
C'était, je suppose, une manière de montrer qui était le patron et de protéger
son territoire. J'avais vraiment peur de lui, et il le savait, et il me dominait
sans pitié, y compris en me faisant faire des corvées pour lui, comme ranger sa
chambre. Si je ne faisais pas ce qu'il disait, ou si je me plaignais, il me
faisait mal d'une manière ou d'une autre. C'était très dur pour moi.
Ma belle-mère voyait bien ce qui se passait, mais ne m'a jamais aidé. En fait,
il était assez évident qu'elle était fière
de la façon dont Trevor était capable de me dominer et de me contrôler. Un
jour, par exemple, quelques semaines seulement après que nous ayons tous
emménagé ensemble, j'ai entendu ma belle-mère au téléphone, parlant de son
mariage et de sa nouvelle famille recomposée. Elle racontait que son nouveau
beau-fils (moi!) était une mauviette efféminée, et à quel point elle était
fière de la façon dont Trevor se montrait le plus fort. Elle a même dit que
c'était comme s'il n'y avait qu'un seul vrai garçon dans la famille. Elle a ajouté
que Trevor lui avait dit qu'il envisageait même de me faire porter une petite
culotte de fille pour démontrer son autorité totale, et qu'elle lui avait répondu
que cela ne la dérangerait pas si c'était ce qu'il voulait faire, et même que
ce serait assez drôle.
Pendant les jours qui ont suivi, j'ai eu très peur que Trevor m'oblige à porter
une petite culotte, mais rien de tel ne s'est produit pendant environ une
semaine, et j'avais donc cessé d'y penser, quand, à l'improviste, Trevor est
venu me voir un jour après l'école et m'a dit qu'il avait décidé que je devrais
commencer à porter des culottes de fille au lieu de sous-vêtements pour
garçons. Je l'ai supplié de ne pas me forcer à faire ça, mais il s'est contenté
de rire, puis je lui ai demandé combien de temps j'allais devoir les porter. Il
a dit tous les jours et si je n'avais pas envie de souffrir, j'allais faire ce
qu'il me disait. Nous sommes alors tous les deux allés voir ma belle-mère, et
il m'a obligé à lui dire que Trevor voulait que je porte des petites culottes
tout le temps, puis de lui demander si elle pouvait remplacer tous mes sous-vêtements
par des culottes. Elle a ri, a souri à Trevor, l'a appelé son petit homme, puis
est montée à l'étage et a pris une ancienne culotte de sa fille et l'a mise
dans mon tiroir à sous-vêtements. Puis, devant ma belle-mère et Trevor, j'ai dû
enfiler une culotte.
La honte que je ressentais à cet instant était immense, et, même si je savais que c'était inutile, je suppliai Trevor de ne pas m'obliger à faire ça, puis je suppliai ma belle-mère de dire à Trevor de ne pas me forcer à porter une petite culotte. Mes supplications les ont fait rire, et ma belle-mère m'a dit que c'était à Trevor seul de décider si je devais porter une petite culotte, ou pas. Elle a ajouté que je pleurnichais comme une fille, et que c'était le signe que Trevor avait sans doute raison de vouloir me faire porter une petite culotte. A cet instant, j'espérais que cela ne serait que passager, et que Trevor allait tôt ou tard se lasser de m'obliger à porter des dessous de filles, mais cela n'est pas arrivé, et depuis, j'ai porté chaque jour, et pendant des années, des petites culottes jusqu'à la fin de mes années de lycée.
Quand j'acceptais de faire ce que Trevor me demandait, les choses n'empiraient pas, sauf certaines fois. Quand Trevor invitait certains de ses amis à la maison, il se montrait plus autoritaire avec moi que d'habitude, sans doute pour se mettre en valeur devant ses amis. Presque à chaque fois, il m'ordonnait de baisser mon pantalon pour montrer que je portais une petite culotte de fille, ce qui était très humiliant pour moi. Mais le pire s'est produit lors de mon dernier été avant de quitter la maison pour aller à la fac. Au début de l'été, Trevor m'a donné un bikini et m'a demandé de le porter pour prendre le soleil dans le jardin. Bientôt, j'avais des traces de bronzage qui m'empêchait de me présenter dans certains lieux publics où je devais retirer mon tee-shirt, comme à la piscine, par exemple. Quand il m'a obligé à montrer mes traces de bronzage à sa petite amie, elle a trouvé cela hilarant, et a même ajouté que ça donnait l'impression que j'avais de petits seins. Cela lui a donné l'idée de m'obliger à porter un soutien-gorge, en plus de ma petite culotte. Ma belle-mère a trouvé tout cela très amusant, et, parfois, quand je me plaignais auprès d'elle que Trevor m'oblige à porter un soutien-gorge, elle me répondait que je devais m'estimer heureux qu'il me laisse porter des affaires de garçon par-dessus.
A la fin de l'été, j'ai quitté la maison, et j'ai enfin cessé de devoir porter les dessous imposes par Trevor, même si cela a duré près d'un mois avant que mes traces de bronzage ne disparaissent.
Merci encore pour votre merveilleux site.
Sydney.
Merci pour vos si gentils compliments pour mon site. J'ai le sentiment que le traitement que vous a infligé Trevor vous fait préférer les dessous féminins, surtout sachant combien vous aimez visiter mon site.
Tatie Helga