UNE FEMINISATION INVOLONTAIRE
Par Brianna
Chère Tatie Helga,
Bonjour, je me nomme Brandon. Je suis un fan de votre site depuis un bon moment maintenant, et je me sens suffisamment en confiance pour vous raconter l'histoire de ma féminisation involontaire par celle qui est aujourd'hui ma fiancée et ma Maîtresse. Tout a commencé de manière très innocente, mais a évolué vers quelque chose de bien plus intense.
J'avais 17 ans quand j'ai commencé à sortir avec une fille prénommée Emily, qui était une amie de la copine de mon meilleur ami. Nous nous sommes rencontrés par hasard alors qu'elle rendait visite à Evan, mon ami, avec Amanda, sa petite amie de l'époque. Nous nous sommes immédiatement très bien entendus, et une semaine plus tard, nous sortions ensemble. Après quelque temps, nous étions très intimes, et je crois que c'est à cette époque que ma fascination pour les vêtements féminins a débuté. Je ne cessais d'admirer et de la complimenter pour ses dessous soyeux. Un jour, alors qu'elle passait la nuit chez moi, j'ai réalisé que je n'avais plus de sous-vêtements propres, car la lessive devait être faite le lendemain. Presque en plaisantant, elle a suggéré que je porte la petite culotte de rechange qu'elle avait apportée plutôt qu'un caleçon sale. J'y ai réfléchi pendant un moment, et au moment de me coucher, j'ai décidé d'accepter son offre. Sa culotte était noire, avec une dentelle rose autour de la taille et des jambes, et quand je l'ai enfilée je me suis senti comme au paradis! Je lui ai dit que je la trouvais très confortable, ce qui a semblé lui faire plaisir, mais je n'ai pas osé lui avouer à quel point j'adorais la porter. Je l'ai portée pour la nuit, mais malheureusement, j'ai dû lui rendre le lendemain avant de la raccompagner chez elle. Je n'imaginais pas à cet instant à quel point l'envie d'être féminisé par elle était déjà ancrée dans mon esprit. Plus tard dans notre relation, elle m'a dit que mes poils pubiens la grattaient pendant nos rapports sexuels et qu'elle n'aimait pas cela. Elle m'a demandé de les raser. Après un peu de réticence, j'ai accepté, et j'ai réalisé que j'aimais bien être rasé là et que cela la rendait heureuse. Après cela, j'étais disposé à faire presque tout ce qu'elle me demanderait, car le plus souvent, j'appréciais cela autant qu'elle.
Notre relation s'est poursuivie pendant plusieurs années, et a survécu à 4 années d'études dans des facs différentes. Nous avons alors décidé d'emménager ensemble. J'avais déjà pris l'habitude de me soumettre à elle, ce qui semblait nous plaire à tous les deux. La majeure partie de ma vie d'adolescent, j'avais été élevé par ma mère qui travaillait à plein temps comme serveuse, tandis que mon père était chauffeur routier, et n'était à la maison que quelques jours par mois. Je devais donc me débrouiller seul la plupart du temps. J'adorais donc que quelqu'un prenne les décisions pour moi. Je faisais tout ce qu'elle me demandait, et j'étais ravi d'avoir l'occasion de lui faire plaisir. Je ne crois pas qu'à l'époque, elle prévoyait de provoquer tous ces changements en moi, mais elle prenait du plaisir à m'assujettir. Une nuit, dans notre appartement, après de nombreuses années sans avoir reparlé de la première fois, elle m'a suggéré de porter à nouveau l'une de ses petites culottes, même si je disposais cette fois de sous-vêtements propres. Toujours dans le but de lui plaire, j'ai accepté, et j'ai enfilé l'une de ses culottes en satin si doux. Cette fois, j'ai été très heureux de lui avouer à quel point j'aimais cette sensation, et que je préférais cela à mes caleçons. Elle a alors décidé que le lendemain, nous irions faire les boutiques pour m'acheter un assortiment de petites culottes de femme, et que nous jetterions mes vieux caleçons, une décision que j'ai accepté avec enthousiasme. Nous avons acheté suffisamment de petites culottes douces et soyeuses pour une semaine entière, et je ne devais plus porter que cela désormais. Elle adorait me voir en petite culotte et disait toujours à quel point j'étais mignon ainsi, ce qui me plaisait énormément.
Cela n'a pas duré longtemps avant qu'elle ne me fasse essayer d'autres vêtements de femme quand nous étions seuls. Cela a commencé le jour où elle m'a dit que je serais surement mignon en jupe. Comme nous avons environ la même taille, j'ai enfilé l'une de ses mini-jupes, et je l'ai gardée sur moi toute la journée. Curieusement, c'était presque naturel pour moi, et je me suis senti plus libre de mes mouvements en jupe qu'avec les jeans serrés dont j'avais l'habitude. Peu de temps après, je portais régulièrement ses chemisiers, ses corsets emo (c'était sans doute ce que je préférais), ses robes, ses jupes, et tout ce qu'elle me faisait essayer à la maison. A chaque fois, elle me complimentait. Quand j'avais une journée de congé, je m'habillais en fille pour la journée dans une tenue qu'elle choisissait pour moi, et quand je travaillais, je me changeais à peine rentré à la maison. C'est à cette époque que j'ai commencé à l'appeler "Maîtresse", ou "Madame" quand nous étions entre nous, ce qu'elle semblait beaucoup apprécier.
Bientôt, nous avions acheté une garde-robe féminine complète pour moi, et j'adorais porter chaque jour les vêtements qu'elle continuait à choisir pour moi. Nous avons aussi commencé à expérimenter un peu de maquillage sur moi les jours où je ne travaillais pas, et cela me fascinait et semblait beaucoup lui plaire. Je lui étais alors complètement soumis, et heureux de l'être. Je la chouchoutais et je la traitais comme une déesse à la maison, et je restais courtois et polis avec elle en public. C'est alors qu'est arrivée la nuit fatidique qui a décidé de mon changement définitif. Ma Maîtresse venait de recevoir une offre d'emploi dans une autre ville, et nous devions déménager dans un lieu où personne ne nous connaissait. La veille de notre départ, elle m'a fait assoir et m'a posé un ultimatum. Je devais faire un choix définitif entre les vêtements féminins et les vêtements masculins. Dans notre nouvelle vie, j'allais devoir soit être complètement un homme, soit une femme. J'y ai réfléchi toute la nuit, et au matin, je lui ai annoncé ma décision: j'avais choisi de vivre en femme. Ma Maîtresse était ravie de mon choix, elle m'a dit qu'elle m'aimait et qu'elle allait rendre ma transition aussi douce que possible, et qu'elle allait faire en sorte, si possible, que personne ne connaisse jamais mon vrai sexe.
Depuis, j'ai été plus heureuse que jamais! Ma Maîtresse et moi sommes heureuses ensemble, et nous espérons bientôt nous marier, quand nos finances le permettront. Je travaille, et je vis en femme, maquillée et épilée. Mes amis et collègues me connaissent en tant que Breanna, le nom que ma Maîtresse a choisi pour moi, et tout va pour le mieux. Même si les jupes ne vont pas à tout le monde, elles me vont certainement très bien à moi, et je ne changerais pour rien au monde. Je suis plus heureuse en tant que servante et amante de ma Maîtresse que je ne l'aurais été en restant un garçon.
Sincèrement,
Breanna
Merci pour votre lettre, Breanna. Votre lettre est un nouvel exemple de ce qui peut être accompli dans une relation où l'honnêteté mène au vrai bonheur. J'espère avoir de vos nouvelles prochainement.
Tatie Helga
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