jeudi 14 juillet 2022

Une lettre de "Petticoat Discipline Quarterly"

Les lettres publiées sur le site "Petticoat Discipline Quarterly" racontaient des témoignages de "petticoat discipline" (discipline par le jupon).

J'ai la chance d'être en vacances depuis quelques jours. Voici donc la traduction d'une lettre un peu plus longue que d'habitude... Ou plutôt de trois lettres.

Voleur dans le tiroir à lingerie

de Sharon

 Chère Helga,

Il y a deux ans, un soir, je me préparais à sortir avec mon mari. J'ai pris une paire de collants opaques dans mon tiroir à lingerie. J'ai immédiatement remarqué qu'ils avaient été portés. Je l'ai su parce que je les avais achetés la veille, et qu'ils étaient déjà distendus. J'ai d'abord pensé que ma fille me les avait empruntés comme elle le faisait souvent. Mais je me suis dit qu'elle aurait mieux fait de les garder, car c'est tout de même différent que d'emprunter une robe. Je n'ai cependant plus repensé à cela jusqu'au jour où j'ai remarqué que deux de mes petites culottes étaient manquantes.

J'ai demandé à ma fille Michele, âgée de 17 ans, si elle avait emprunté des affaires dans mon tiroir à lingerie. Je lui ai expliqué d'où venaient mes soupçons. Elle m'a alors répondu "Maman, maintenant que tu en parles, je crois que quelqu'un a porté mes bas, ainsi qu'une de mes chemises de nuit, que je n'ai pas retrouvée là où je l'avais rangée."

C'était comme si un signal d'alarme venait de retentir pour nous deux. Nous avons donc vérifié dans nos deux garde-robes, et avons constaté qu'il manquait un certain nombre d'affaires, sans vraiment savoir précisément combien. Michele m'a dit: "Nous avons un petit travesti dans la maison" et j'ai pensé à mon fils Jackson, qui avait 18 ans. Mais je refusais de le croire. La veille, nous avions reçu la visite de Steven, un ami proche de la famille. Il peut aller et venir dans la maison comme il le souhaite. Il est également mince comme Michele et moi, alors je me suis dit que c'était lui.

J'ai raconté tout cela à ma sœur Michele. Elle m'a conseillé de le confronter à nos soupçons, ou plus simplement de lui interdire l'accès à la maison. Elle est venue et nous avons appelé Steven. Je lui ai dit que nous avions quelque chose pour lui. Après une heure d'attente, nous nous sommes dit qu'il se doutait de quelque chose, mais il est finalement arrivé avec des pizzas. Je l'ai immédiatement entrainé dans ma chambre. J'ai ouvert mon tiroir à lingerie, et je lui ai demandé ce qu'il aimerait porter. Il m'a regardée d'un air horrifié, et confus, il m'a demandé: "Pardon, mais de quoi on parle, là?" Michele lui a dit de faire ce qu'on lui disait, si non, elle raconterait tout à tout le monde. J'ai ajouté: "Tu aimes t'habiller en fille, alors fais-le maintenant." Ma sœur l'a alors complètement déshabillé, puis je lui ai enfilé un soutien-gorge, une culotte, les collants déjà portés, ainsi qu'une robe. Je l'ai ensuite rapidement maquillé, avant de le mettre dehors. Il allait devoir se débrouiller pour rentrer chez lui dans cette tenue.

Nous nous sommes mises d'accord pour garder cela secret, au cas où nous nous serions trompées. J'ai dit à ma fille que tout était arrangé. Malheureusement, quelques jours plus tard, Michele a recontrôlé l'état de sa garde-robe, et elle a remarqué que des petites culottes et des jupes avaient disparu. Elle voulait qu'on appelle la police. Nous avons décidé de vérifier dans la chambre de Jackson. Il n'y avait rien dans sa garde-robe ou ses tiroirs. J'ai décidé de renoncer, quand ma fille a déplacé l'armoire. Nous avons été sous le choc en découvrant derrière l'armoire quatre de mes culottes, un soutien-gorge qui m'appartenait, l'une de mes robes rouge, un collant noir, une paire de mes chaussures à talons, un haut et trois jupes qui appartenaient à ma fille. Il y avait même un tube de rouge à lèvres et du mascara.

J'ai demandé à ma fille de me laisser régler ce problème si sensible. Mais je savais que je devais agir rapidement. J'ai fait quelques recherches sur Internet pour découvrir que c'était un phénomène assez courant. J'ai appelé une dame qui s'occupe d'un groupe de soutien dans ce domaine. Elle m'a permis d'adoucir mon point de vue sur les travestis. Cette dame m'a fait changer d'opinion. J'avais d'abord eu l'intention de faire à mon fils la même chose qu'à Steven, c'est-à-dire le forcer à se travestir pour le ridiculiser. J'ai compris que cela ne changerait rien à son désir irrésistible de porter des vêtements féminins. Elle m'a convaincue de me montrer plus sensible et compréhensive. J'ai alors demandé à Michele de me laisser quelques heures seule avec lui le lendemain.

Il s'est levé le lendemain matin bien après que tout le monde ait quitté la maison. Quand il est descendu, je lui ai préparé son petit-déjeuner, puis je lui ai demandé s'il n'en avait pas assez de toujours porter des pantalons. Il ne m'a pas répondu. Je lui ai alors demandé s'il n'aurait pas envie d'essayer autre chose qu'un pantalon ou un short. En riant il m'a demandé: "Tu veux dire que je devrais porter la même chose que toi, maman?" "Oh oui" ai-je répondu. Je lui ai alors montré le groupe de soutien à propos du travestisme. Il a commencé à paniquer: "Pourquoi est-ce que tu me montres ça maman?" Je lui ai répondu: "Eh bien, parce que je sais que tu as ce genre de désir." En paniquant, il dit: "Tais-toi, de quoi est-ce que tu parles?"


Je lui ai alors parlé des affaires qu'il avait cachées derrière son armoire. Il a d'abord commencé par nier, accusant sa sœur d'avoir caché ces affaires là. Je l'ai pris dans mes bras et je l'ai embrassé: "Mon chéri, tu devrais arrêter de lutter contre ce désir, et me laisser t'habiller en fille. Nous ne sommes que tous les deux, et je te comprends. Le premier pas sera de me laisser t'habiller en fille."

Il était très nerveux alors que je le déshabillais en l'encourageant. Quand j'ai commencé à défaire sa ceinture, il m'a supplié: "Non maman pas ça, je t'en prie." Je lui ai alors demandé ce qu'il portait en dessous. Il ne répondait pas, alors j'ai ouvert sa braguette pour découvrir l'une de mes petites culottes imprimées fleuries. "Chut, tout va bien mon chéri." Ai-je dit pour le rassurer. Je lui ai retiré son pantalon, le laissant avec cette petite culotte. Je lui ai dit que je pourrais lui offrir ses propres affaires de fille, et qu'ainsi, il n'aurait plus à nous voler les nôtres. Je l'ai alors laissé se rhabiller avec ses propres vêtements, en lui laissant la culotte.

Je l'ai alors emmené au magasin M&S. Quand nous sommes entrés, il s'est dirigé vers les rayons hommes. Je lui alors dit de me suivre dans les rayons femmes. Il m'a dit: "Maman, je ne peux pas faire ça." Je lui ai alors dit fermement qu'il n'avait pas le choix. Au rayon lingerie, je lui ai demandé s'il préférait un ensemble culotte et soutien-gorge, ou plutôt une combinaison. Il était bien trop intimidé pour me répondre. J'ai alors pris un article de chaque, les ai tenus devant lui, et j'ai dit: "Bien, on prendra les deux."

Les clients commençaient à le regarder bizarrement. J'ai pris d'autres dessous de diverses couleurs. Je lui ai précisé qu'ils étaient à sa taille, et que nous allions tous les acheter. Je lui ai alors demandé de choisir parmi les bas et les collants. Une fois de plus, il m'a laissé en choisir pour lui. Je lui ai demandé de prendre l'ensemble des articles dans ses bras, puis nous nous sommes dirigés vers les robes. Je lui ai dit que la taille 10 devait lui aller. C'est là qu'il a réalisé qu'il valait mieux qu'il fasse un choix, car je parlais plus fort quand il ne parvenait pas à se décider. Il a choisi une robe droite en dentelles à fleurs de marque PER UNA, puis deux robes rouge et bleue de la marque M&S. Je lui ai aussi fait choisir quelques jupes et chemisiers. Il a d'abord sélectionné deux pantalons pour dames avec les chemisiers, mais je lui ai dit de les remplacer par des jupes. Nous avons ensuite choisi deux paires de chaussures de femme avec un petit talon, et une paire avec des talons hauts. J'ai également pris un manteau de dame pour lui. Je lui ai alors dit qu'il allait devoir tout essayer dans la cabine d'essayage. La responsable du magasin a vu à quel point il était terrifié, et nous a proposé d'utiliser des cabines réservées au personnel.

Tout le temps où nous étions dans les rayons pour choisir des vêtements, non loin de vendeuses, il essayait de faire comme si ces affaires étaient destinées à une autre personne, en disant par exemple: "Tu crois que ça va lui plaire?" Mais je suis sûre après avoir vu le regard des vendeuses qu'aucune d'entre elles ne le croyait. Les vendeuses se montraient très normales avec lui, mais quand il ne les regardait pas, elles me lançaient de larges sourires. J'ai finalement décidé qu'il avait suffisamment enduré cette gêne, et je l'ai raccompagné à la maison après avoir réglé tous nos achats. Je me disais qu'il avait été suffisamment puni et je n'en ai pas rajouté.

A notre retour à la maison, je lui ai demandé s'il était excité, et il a admis être très nerveux. Pour le calmer, j'ai tiré tous les rideaux, puis j'ai allumé quelques bougies pour nous mettre dans une ambiance calme et feutrée. Je l'ai ensuite entièrement déshabillé. J'ai ensuite déposé près de lui tous nos achats, ainsi que tous les vêtements qu'il avait volés (sauf ceux que Steven avait portés pour rentrer chez lui).

"Bien mon chéri, respire profondément et calme-toi." Lui ai-je soufflé. "Non maman, je t'en prie, je ne peux pas faire ça." Il paniquait. "Tu sais que tu dois le faire, mon chéri." J'ai commencé à lui murmurer: "Tu es une jeune femme, et tu es ma fille très spéciale." Je lui ai alors fait enfiler une petite culotte en dentelles, en lui chuchotant encore combien il était spécial pour moi. J'ai poursuivi en lui faisant enfiler un soutien-gorge, en lui conseillant de me regarder dans les yeux pendant ce temps. Je l'ai alors complimenté: "Tu es une bonne fille." A ce moment-là, il semblait comme en trance. J'ai choisi la jolie robe rouge, lui disant de continuer à me regarder dans les yeux. En m'obéissant, il a levé le bras. Je lui ai alors enfilé la robe, et j'ai noué les rubans qui permettaient de la fermer. "Tu vois, ce n'était pas si dur, mon chéri."

"Tu es magnifique." L'ai-je complimenté. Je l'ai alors fait assoir pour l'aider à enfiler un collant opaque sur ses jambes. Je l'ai fait se relever pour remonter le collant jusqu'à couvrir sa culotte. Ce faisant, j'ai plusieurs fois caressé ses jambes. Il m'obéissait et réagissait à chacun de mes gestes comme s'il était hypnotisé. Je lui ai alors fait enfiler les chaussures à talons, puis j'ai glissé du rembourrage dans son soutien-gorge. Je lui ai dit: "Maintenant écoute-moi. Tu n'es plus mon fils. Tu es bien plus que cela. Tu es ma fille très spéciale." Elle a timidement répondu: "Oui maman, je suis ta fille." J'ai alors décrété: "Ton nom est désormais Janet, ma chérie."

Elle s'est alors levée pour marcher dans la chambre avec ses nouvelles chaussures dans sa tenue féminine. Soudain, elle a entendu du bruit venant de la porte d'entrée de la maison. Elle m'a demandé si elle pouvait se cacher. Je lui ai répondu qu'elle n'avait pas besoin de se cacher, parce qu'elle était une jeune femme habillée normalement.

Puis, ma mère a fait son entrée. Elle a commencé à parler avec moi de la pluie et du beau temps de  manière parfaitement normale. Puis soudain elle a dit: "Janet, tu es bien silencieuse." C'est là que Janet a réalisé que sa grand-mère était parfaitement au courant à son propos. "Tu es très jolie dans cette robe, et avec ces talons." A-t-elle complimenté. "Merci." "Alors ça-y-est, tu es devenue une fille." Elle a ajouté que nous n'allions pas le regretter.

Depuis le décès de mon père, ma mère n'a eu que de mauvaises expériences avec des hommes, et elle en est arrivée à la conclusion qu'ils étaient tous pathétiques. Elle semble considérer chaque homme ou garçon comme inférieur aux femmes. De plus, elle appelle les pantalons d'hommes des leggings, leurs sous-vêtements des culottes, et leurs chemises des chemisiers. Quand les hommes portent un short et un tee-shirt en été, elle dit qu'ils sont en bikini. Elle s'amuse souvent à pulvériser du parfum sur des hommes ou des garçons quand elle parvient à les prendre par surprise. Ainsi, elle était ravie d'accueillir mon fils dans la féminité.

Elle a guidé Janet par la main jusqu'à la salle de bain, où elle lui a lavé les cheveux avant de leur donner une  coiffure féminine. Elle a ensuite sorti son nécessaire à maquillage et a passé plus d'une heure à maquiller Janet pour lui donner l'apparence d'une jolie jeune femme. Peu avant qu'elle n'ait terminé, Michele est rentrée à la maison.

Elle est montée vers les chambres. En paniquant Janet nous a demandé si elle savait. Nous n'avons pas répondu. Quelques minutes plus tard, ma fille est redescendue avec plusieurs sacs et les a sortis pour les déposer dans une camionnette. En regardant par la fenêtre j'ai reconnu ma sœur, sa tante Michele au volant de la camionnette. J'ignorais ce qu'elles faisaient. Ensuite, elles sont toutes deux rentrées, sont montées vers les chambres et sont redescendues avec d'autres sacs bien plus gros. C'est alors que Janet a dit: "Oh non, elles sont allées dans ma chambre. Elles me prennent toutes mes affaires, je dois les en empêcher." Ma mère l'a retenue et l'a forcée à reprendre sa place, lui disant qu'elle devait encore vernir ses ongles. Ce faisant, elle lui a dit: "Ne t'inquiète pas ma chérie, elles te libèrent seulement de ton passé dégoûtant. Tu n'auras plus besoin de voler les affaires d'autres personnes et de les dissimuler. Si tu m'en avais parlé, j'aurais été heureuse de t'habiller en fille chez moi, et nous aurions pu garder cela secret aussi longtemps que tu voulais. Je crois que je vais te préférer en tant que ma petite fille." Alors qu'elle terminait de vernir ses ongles, Michele est rentrée et a embrassé Janet: "Salut ma nouvelle sœur."

Elle l'a ensuite prise par la main et l'a entrainée vers sa chambre. Elle a constaté que plus aucun de ses vêtements de garçon n'étaient là. Michele lui a ensuite offert de garder les affaires qu'elle avait volées, et y a ajouté des vêtements qu'elle ne portait plus. Nous avons tout rangé dans sa chambre, y compris les affaires achetées le jour même. "Où sont toutes mes affaires?" A demandé Janet. Sa grand-mère lui a répondu qu'elle n'en aurait plus besoin.

Quelques jours plus tard, ma mère a emmené Janet faire du shopping alors que j'étais au travail (je n'étais pas en accord avec ça). Elle l'a emmenée dans une boutique de seconde main, où elle pouvait acheter tout ce qu'elle voulait. Janet espérait pouvoir se racheter des pantalons et des tee-shirts d'homme. Mais elle avait l'air d'une jeune femme avec sa jolie robe et son maquillage. En entrant dans la boutique, elle a commencé à regarder les jeans et autres pantalons. Sa grand-mère lui a dit qu'elle ne regardait pas au bon endroit et l'a entrainée vers le rayon pour dames. Elle l'a ensuite poussée à choisir de nouvelles robes, jupes et hauts féminins. Janet avait espéré que sa grand-mère soit plus discrète, mais quand ma mère a choisi une première robe, elle lui a demandé si elle l'aimait. Elle avait trop peur de répondre, sachant qu'avec sa voix d'homme elle ne passerait pas inaperçue. Ma mère lui a alors demandé si le chat lui avait mangé sa langue. Elle a montré à Janet avec un enthousiasme bruyant chaque article qui pouvait éventuellement lui aller.

La gérante de la boutique a trouvé cela étrange d'acheter des vêtements d'occasion pour une jeune fille de 18 ans. Ma mère lui a expliqué que sa petite fille était très nerveuse car elle n'avait jamais porté de robe auparavant. Ma mère a continué à choisir des articles jusqu'au moment où ses bras étaient trop chargés pour y ajouter quoi que ce soit. Elle a ensuite demandé à Janet d'aller choisir de la lingerie. C'est à ce moment qu'une jeune vendeuse qui se trouvait là a remarqué que Janet était en fait un garçon. Elle l'a remarqué quand elle a commencé à sangloter. La jeune vendeuse l'a regardée étonnée et confuse.

La gérante l'a calmée et l'a entrainée vers l'arrière-boutique. Elle lui a demandé si elle était forcée par sa mère de faire quelque chose contre sa volonté. Je précise que ma mère a encore l'air jeune pour son âge. La vendeuse a tenté de retenir ma mère pendant que la gérante était avec Janet dans l'arrière-boutique. Ma mère a forcé le passage pour les rejoindre et a dit: "Chérie, pourquoi est-ce que tu pleures? Il n'y a aucune raison de pleurer." La gérante a alors dit: "J'ai bien vu qu'il s'agit d'un jeune homme." Elle a ensuite demandé à Janet si tout allait bien, ou si elle avait besoin d'aide. Après un regard vers ma mère, Janet a répondu avec sa voix de garçon: "Non merci, je vais bien maintenant." Ma mère lui a séché ses larmes et a retouché son maquillage, puis lui a fait essayer les affaires qu'elle avait sélectionnées. Elle a ensuite payé ses achats en disant: "Il est temps pour elle de grandir et d'être la femme qu'elle est supposée être, d'apprendre à parler correctement, et à s'habiller correctement." En disant cela, elle pensait évidemment qu'elle devait se comporter comme une femme.

Plus tard, je me suis demandé ce que j'avais fait. Elle n'était qu'un travesti occasionnel. J'ai demandé à Michele de lui rapporter certains de ses vêtements. Mais Michele, soutenue par ma mère, a dit que ce n'était pas une bonne chose d'avoir un travesti dans la maison qui vient fouiller dans nos affaires. Elles ont décidé que c'était mieux que Janet reste une femme en permanence. J'étais minoritaire. Mais c'est vrai qu'après ce qu'elle avait fait, c'est-à-dire nous voler, je ne voulais plus intervenir en sa faveur. Elle avait peur de la manière dont son père allait réagir, sachant qu'il allait être contre tout ça, mais je lui ai dit de ne pas s'inquiéter, que j'allais m'occuper de lui.

Quand j'ai informé mon mari Peter de la situation, il s'est montré très déçu et alarmé à propos de son fils/fille. Je lui ai  alors ordonné de lui montrer un soutien total quand il allait voir sa nouvelle fille pour la première fois, et de lui dire combien elle est formidable, ou sinon, j'allais faire venir toutes les femmes de la famille pour le forcer à s'habiller en femme lui aussi. Il a accepté et a tenu sa parole. Peu après, j'ai rassuré Janet en lui promettant que cela n'allait pas durer longtemps.

 

Pourtant, deux ans ont passé, et elle vit toujours en tant que Janet.

D'ici quelques mois, ma fille Michele a prévu d'aller s'installer avec un ami. Je songe à laisser la possibilité à Janet de vivre à la fois en tant que Jackson et en tant que Janet. Je pourrais lui laisser les deux chambres, ainsi elle pourra avoir une chambre de garçon et une chambre de fille. Elle pourra alors se changer selon son humeur. C'est d'ailleurs ce qu'elle souhaite.

Mais en ce moment, elle passe la plupart de son temps chez sa tante Michele ou chez ma mère. Elles ont suffisamment d'influence sur elle pour qu'elle reste tout le temps ma merveilleuse fille Janet. Nous allons sans doute la garder auprès de nous en tant que Janet pour quelques années de plus. Les vêtements d'homme lui sont interdits. Avec l'entrainement qu'elle a subi depuis deux ans, elle se comporte comme une vraie femme, et elle a même une voix féminine convaincante. C'est donc sans doute mieux si elle reste ainsi.

Un autre problème est la domination féminine, trop forte à mon avis, exercée par ma mère sur toute la famille. Ces dernières semaines, elle m'a demandé plusieurs fois si nous pouvions travestir mon mari. Pour l'instant, je lui ai répondu non. Je ne crois pas que le travestissement forcé dans le but d'humilier quelqu'un soit une bonne chose. Mes enfants sont contre cette idée également. Mais à force de lire les histoires sur votre site, je commence à douter de ma position. Hier, ma sœur et ma mère m'ont montré deux robes de bal, avec les dessous et les chaussures à talons, qui pourraient aller à Peter. Elles veulent l'emmener dans une fête déguisée chez une amie. Honnêtement, je crois qu'elles veulent seulement prouver qu'elles en sont capables. Elles veulent pousser leur domination à un niveau supérieur.

En y réfléchissant encore, j'ai finalement décidé de laisser une chance à ma mère et à Michele. Je vais m'arranger pour que Peter soit seul à la maison quand elles viendront avec sa tenue pour l'emmener à cette soirée déguisée. Je m'arrangerais pour éloigner nos enfants. J'ignore si elles parviendront à le travestir comme elles le souhaitent, et si elles arriveront à le persuader de sortir. J'imagine que s'il les laisse argumenter, elles y arriveront.

Si elles parviennent à réussir ce qu'elles planifient de faire, elles m'appelleront et je les rejoindrais à la soirée. Si elles parviennent à le travestir, mais qu'il refuse de sortir, je viendrais les aider à le convaincre. Si elles parviennent vraiment à faire ça, je crois que j'accepterais que les femmes règnent sur notre famille.

Merci à vous,

Amitié sincère.

Sharon

Merci pour votre lettre Sharon. Quelle merveilleuse introduction vers la féminité pour votre fils. J'apprécie tout particulièrement la douceur avec laquelle vous l'avez initié. Je crois que les participations de votre fille, de votre sœur et de votre mère ont été très utiles. J'espère que vous nous raconterez comment les choses se sont déroulées avec votre mari.

 

Helga

Voleur dans le tiroir à lingerie – deuxième partie

de Sharon

Chère Helga,

C'est à nouveau Sharon. Je vous ai écrit il y a un mois à propos de mon fils qui est devenu ma fille après que nous ayons découvert qu'il nous volait notre lingerie. A ce jour, rien n'a évolué pour lui/elle.

Ma mère et ma sœur avaient planifié d'emmener mon mari habillé en femme pour une soirée déguisée. Pour leur laisser une chance d'y parvenir vendredi soir dernier, j'ai emmené mes deux filles au restaurant. Ainsi, Peter était seul à la maison quand elles allaient venir. Elles devaient m'envoyer un texto pour me dire si elles avaient réussi à le travestir et à l'entrainer jusqu'à la soirée, ou même si elles avaient juste réussi à le travestir, mais en restant à la maison. Dans ce cas, je devais rentrer pour les aider, et accepter le fait qu'elles avaient gagné leur pari.

Mes filles et moi sommes restés au restaurant pendant près d'une heure, et je n'avais aucune nouvelle. Je les ai donc déposées chez des amis parce que je ne crois pas qu'elles aimeraient voir leur père en robe. Après les avoir déposées, j'ai pris la direction de la maison, presque sûre que mon mari avait résisté à tous leurs efforts, et décidée à ne pas leur laisser une seconde chance. C'est alors que j'ai reçu un texto me demandant de les rejoindre à la fête.

A mon arrivée, j'ai été accueillie par quelques participants à la fête, et je me suis rappelé qu'il s'agissait d'une soirée déguisée. J'étais en tenue normale. J'ai aperçu ma mère déguisée en sorcière, et Michele en Blanche Neige. J'ai ensuite vu une dame en robe de style rockabilly, avec un large jupon en dessous, des talons hauts, sans oublier des collants et un maquillage chargé. C'était mon Peter. Il est resté sous le choc en me voyant. Puis il a ri en me demandant: "Et pourquoi n'es-tu pas déguisée comme moi?" Il semblait avoir accepté volontairement de participer à tout cela.

Ma mère m'a assuré qu'il n'avait pas été volontaire du tout. A leur arrivée à la maison, elles l'ont d'abord entrainé chez ma mère. Là-bas, Michele lui a dit qu'il allait les accompagner à une soirée déguisée. En riant il leur a demandé: "Déguisé en quoi, en femme?" Elles l'ont guidé jusqu'à une petite chambre  où ma mère lui dit d'enfiler une robe de bal. Il est ressorti de la chambre  avec la robe sur ses vêtements d'homme. Il riait, pensant toujours que c'était une blague. Ma mère l'a alors fait retourner dans la chambre et lui a ordonné de se déshabiller. Il a refusé en demandant pour qui elle se prenait.

C'est alors que huit femmes qui devaient aller elles aussi à la soirée sont arrivées pour se changer. Elles étaient joyeuses et prêtes à faire la fête. Ma mère a alors laissé le choix à mon mari. Soit il obéissait, soit elle allait demander à toutes ces femmes de venir le forcer à se travestir. Naïvement, il a demandé s'il allait devoir se présenter déguisé en femme devant toutes ces femmes. Elle lui a répondu que cela se produirait d'autant plus s'il n'obéissait pas.

Elle l'a déshabillé et il s'est retrouvé en caleçon. Michele est alors entrée dans la chambre avec un soutien-gorge. Il lui a dit qu'il ne pourrait jamais porter ça, que c'était bien trop petit pour lui. Elle lui a pourtant rapidement enfilé le soutien-gorge avant de le rembourrer, disant: "Tu vois!" Elles lui ont ensuite fait enfiler la robe des années 50 et le jupon. Ma sœur lui a alors dit de regarder en l'air alors qu'elle lui enlevait son caleçon. En s'excusant d'avoir été si brusque, elle lui a promis n'avoir rien vu. Elle lui a alors redemandé de regarder en l'air et elle en a profité pour lui enfiler une petite culotte de femme. Il devait sentir la différence, mais il était trop effrayé pour s'en plaindre. Rapidement, elles ont ajouté une paire de boucles d'oreilles, un collant, et des chaussures à talons.

Ensuite, ma mère a coiffé ses cheveux et les a bouclés, puis l'a maquillé. Il ressemblait alors à l'une de ses sœurs. Elles l'ont ensuite laissé seul pendant près d'une heure pour se préparer elles aussi. Pendant cette heure, il espérait encore qu'elles s'en iraient à la fête sans lui, et qu'il n'allait pas devoir se montrer devant tous ces gens.

Quand tout le monde était prêt, un minibus est arrivé pour conduire tout le monde à la fête. Michele et ma mère ont appelé à travers la porte de la chambre: "Est-ce que Petra est prête?" Michele a ouvert la porte devant tout le monde et a dit: "Oui, elle est prête, mais elle est trop timide pour sortir." Il n'avait alors pas d'autre choix que de les suivre et faire semblant qu'il était volontaire. Les filles riaient et se moquaient de lui. Elles lui ont donné un sac à main avant de l'entrainer vers le taxi.

Je crois bien qu'il est maintenant sur une pente savonneuse. Je suis sûre que ce n'est qu'une question de temps avant qu'il ne soit obligé de s'habiller en femme et qu'on lui interdise les pantalons. Je crois qu'elles ont suffisamment de pouvoir et d'influence pour le dominer et l'obliger à vivre ne femme la plupart du temps. Sans doute pas autant que Janet, mais sans doute très souvent. La seule chose qui l'empêche est que ma fille Michele vit encore avec nous. Mais quand elle va quitter la maison d'ici cet été, je crois qu'il va devoir se soumettre. Et pour être honnête, je n'ai aucune envie de faire quelque chose pour l'empêcher. Je veux juste qu'il reste un homme quand j'en aurais besoin. C'est tout ce qui compte pour moi.

Merci à vous,

Amitié sincère.

Sharon

Merci pour votre lettre Sharon. Je me réjouis d'avoir de vos nouvelles. Voilà une bien belle manière d'initier votre mari à un mode de vie féminin, et l'aide apportée par votre sœur et votre mère rend cela encore plus spécial. J'espère que vous avez pris de nombreuses photos. Cela pourrait être utile pour le pousser à recommencer.

J'espère pouvoir publier bientôt une nouvelle lettre de Sharon à propos des progrès de son fils.

Helga

Voleur dans le tiroir à lingerie – troisième partie

de Sharon

 Chère Helga,

Bien des choses sont arrivées depuis ma dernière lettre en juin dernier. Ma fille Michele est partie pour l'université, à 150 km d'ici depuis 8 mois. Ma sœur Michele et ma mère ont fait de mon fils travesti une parfaite fille à plein temps. C'est du moins ce que j'ai longtemps pensé. Aujourd'hui, je crois plutôt qu'elles l'ont aidée à découvrir qui elle est vraiment. Elle est maintenant sous traitement hormonal et ses seins poussent joliment. Avec les leçons de ma sœur et de ma mère, elle a aujourd'hui tout d'une magnifique jeune femme. Elle a oublié Jackson, et a accepté qu'elle est Janet pour toujours. Même si Michele et ma mère sont responsables du changement de mon fils travesti en cette merveilleuse jeune femme, je pense que c'est une bonne chose. Janet est très féminine et ne porte que des robes ou des jupes comme moi. Elle possède quelques jeans pour dame, mais elle préfère montrer ses jambes.

Nous ne pensons plus à son passé de voleur de lingerie. Je ne la vois plus que comme ma merveilleuse fille. J'imagine que c'est comme cela devait toujours être. J'ai désormais deux filles dont je suis très fière.

Quant à mon mari Peter, depuis le départ de ma fille Michele, ma mère et ma sœur ont accentué leur domination sur lui. Elles venaient très souvent pendant que j'étais au travail. Pendant quelques semaines, elles l'ont aidé à s'occuper de la maison et à faire la cuisine. Elles se sont excusées pour la soirée pendant laquelle elles l'avaient obligé à se travestir en femme et à les accompagner à une fête. Il leur a pardonné, disant que c'était oublié.

Mais j'ai réalisé qu'il n'acceptait pas notre nouvelle fille. Il l'a même insultée un jour, ne réalisant pas que j'étais là pour l'entendre. Le lendemain, alors qu'il nous conduisait au centre commercial, il a fait une plaisanterie sexiste sur les femmes au volant. Cela nous a mis en colère.

A notre retour à la maison, Peter s'est endormi sur le sofa. Ma sœur lui a délicatement retiré l'une de ses chaussettes. Je pouvais deviner ce que ma sœur et ma mère allaient faire en regardant l'expression de leur visage. Elle a verni les ongles de ses doigts de pied en rouge. C'est alors qu'elle lui retirait sa seconde chaussette qu'il s'est réveillé. Il n'a pas vu ce qu'on lui avait fait, et il nous a demandé pourquoi nous avions ces sourires. Ma mère a alors pointé du doigt son pied, lui demandant pourquoi il vernissait ses ongles. Embarrassé, il a dit que ce n'était pas lui qui avait fait ça. Ma mère lui a alors dit qu'il n'avait pas besoin de nous cacher des choses, sous-entendu qu'elle ne le croyait pas. Ma sœur et ma mère l'ont ensuite nargué pendant les 10 minutes suivantes. Il a demandé s'il pouvait avoir du dissolvant pour vernis. Je suis sortie de la pièce pour en trouver. Elles en ont profité pour prendre l'ascendant sur lui. Quand je suis revenue, les orteils de ses deux pieds étaient vernis. Elles le dominaient complètement mentalement. Il détestait perdre ainsi sa fierté et sa virilité, mais il se montrait incapable de leur résister. Tandis que l'une d'entre elles lui parlait gentiment, mais comme à une jeune fille, l'autre se montrait très sévère avec lui. L'effet mental que ce traitement avait sur lui le rendait incapable de leur désobéir.

Elles l'ont alors entièrement déshabillé. Il se retrouvait entièrement nu avec ces deux femmes qui se moquaient de la petite taille de son pénis. Elles lui disaient qu'avec cet équipement, il ferait mieux d'être une femme. Il m'a regardé la tête basse de honte et m'a demandé: "Tu ne vas tout de même pas les laisser faire?" Il s'est ensuite soudain mis à courir pour se sauver, mais la seule échappatoire était la porte qui menait au jardin. Je suis sortie dans le jardin, et j'ai appelé Peter avant de le trouver caché derrière le cabanon. Je lui ai dit d'arrêter de se comporter ainsi, et que les voisins pouvaient le voir. Je l'ai pris par la main et je lui ai dit de se comporter en homme et de faire face.

Mais dès que nous sommes rentrés, il est resté paralysé devant Michele qui s'est moquée de lui. Il s'est alors emparé d'une arme et leur a demandé de partir. Je lui ai vite pris l'arme des mains et je l'ai calmé, lui disant d'arrêter de se comporter de manière aussi stupide. A peine avais-je réussi à le pousser à s'excuser, ma mère lui a dit avec un petit rire: "De rien, mon chéri, on t'a déjà vu comme ça, et on va te rhabiller." Peu après, elle lui avait fait enfiler une petite culotte, suivie par un soutien-gorge fortement rembourré. Je suis alors sortie et ne suis revenue qu'après 20 minutes, pour le retrouver entièrement habillé en femme, avec une ancienne robe de ma sœur. Il portait aussi une perruque et se faisait maquiller. Quand il était prêt, j'aurais pu le prendre pour une vraie femme si je n'avais pas su ce qui s'était passé. Il me lançait un regard misérable. Je l'ai alors regardé avec mépris, et je l'ai traité de sissy.

La même chose arrive désormais régulièrement. En général une à deux fois par semaine. Elles le déshabillent, puis le déguisent en femme, se moquant de lui et l'humiliant, tout en lui parlant comme s'il était une jeune fille, et en lui disant combien "elle est jolie". Il semble incapable de les en empêcher. Il m'a demandé si je ne voulais pas les arrêter, mais je lui ai dit que c'était à lui de se débrouiller.

Tout cela ne m'intéresse pas. Je ne cesse de le traiter de mauviette et de sissy. Mais j'avoue que j'y trouve aussi des avantages. D'une certaine manière, il a maintenant accepté que son fils soit une jeune femme. Je me dis également qu'il y a une raison pour que cela arrive et qu'il soit incapable de résister. Au début, j'étais gênée de le voir forcé de se mettre nu devant moi, mais je m'y suis faite. Ma sœur Michele et ma mère sont toujours les bienvenues à la maison pour lui faire subir ce qu'elles veulent, du moins tant qu'il ne décide pas de s'imposer.

Ma mère lui a offert dix petites culottes à sa taille et deux chemises de nuit. Elle veut qu'il porte une petite culotte tous les jours, même sous ses vêtements normaux, et une chemise de nuit pour dormir. J'ai rangé tout cela dans son tiroir, mais pour l'instant, il refuse de porter ces affaires. Quand elles ne sont pas là, il refuse de porter quoi que ce soit de ce genre. Pourtant, je l'appelle maintenant tout le temps Petra, ou sissy.

 Sharon

Merci pour votre lettre Sharon. C'est merveilleux que vous ayez maintenant deux filles. Vous avez raison de l'aider à découvrir sa vraie personnalité, qu'elle recherchait en volant de la lingerie. C'était le signe que son désir le plus profond était d'être l'une d'entre nous.

Il semble que Peter reçoive le traitement approprié, et qu'il ne tardera pas à faire partie du club des sissys. C'est mérité si j'en juge par son comportement. Vous ne pourrez en tirer que des avantages. Non seulement il sera bien plus respectueux vis-à-vis de votre  magnifique nouvelle fille, mais en plus il se montrera plus soumis envers vous. C'est toujours compliqué de se comporter en macho quand on porte un soutien-gorge et une petite culotte. Que planifiez-vous pour son avenir? Sera-t-il votre servante?

Helga

 

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