Ré-éduquer Alex
Chère Helga
Je m'excuse par avance pour la longueur de cette lettre, mais je tenais à partager avec vous mon expérience, maintenant assez intense du "petticoating". J'espère que vous ne la trouverez pas trop longue pour être publiée.
Alors que je pensais pratiquement tout connaitre ce qu'il y avait à savoir sur le sujet, je suis gênée d'admettre que je n'ai découvert votre site Web que récemment, après en avoir été informée par une amie. Vous voyez, j'utilise peu l'ordinateur. Cependant, j'en ai maintenant lu une grande partie, et c'est merveilleux de savoir que je suis en si bonne compagnie. Cela m'a aussi donné envie de vous écrire cette lettre.
Je me suis toujours sentie plus confiante pour éduquer des filles. Mes deux premiers enfants étaient justement des filles, et j'en étais ravie. Mais quand mon troisième enfant, un garçon (né Alex Jr.), est né (il y a environ 16 ans maintenant), j'avoue que je ne me suis pas sentie prête à faire face, d'autant plus avec l'attitude autoritaire de mon mari quand il s'agissait d'éducation. Selon lui, les filles doivent être féminines, et les garçons virils (comprenez: machos), et jamais les deux ne devaient interférer.
Ainsi, quand Alex Jr. avait douze ans, son comportement s'est considérablement détérioré, mais mon mari se contentait de dire que "un garçon se doit d'être un garçon". Secrètement, je rêvais d'essayer la 'petticoat discipline' (discipline par le jupon), dont je connaissais l'existence depuis quelque temps (je ne me souviens pas quand j'en ai entendu parler la première fois). Je trouvais cette idée fascinante, mais, aussi longtemps que mon mari dirigerait la famille, il était inutile de simplement l'évoquer. Mon mari n'était qu'un cochon de macho. C'est vrai: il n'aurait même pas autorisé Alex de jouer avec un GI Joe, parce que c'était comme "jouer à la poupée" pour lui.
Tout cela a changé il y a environ trois ans et demi, quand j'ai appris les infidélités de mon mari avec des secrétaires, des femmes rencontrées dans des bars, et même quelques-unes de mes amies. Cette situation a entrainé notre séparation, qui m'a laissée seule pour élever nos trois enfants. Mais cela m'a aussi ouvert la possibilité de mettre Alex en jupons.
A cette époque, Alex s'approchait de son treizième anniversaire, et, bien sûr, le soudain départ de son père n'arrangeait en rien son comportement. Il était de plus en plus maussade, obstiné et provocant, et je savais que si je n'agissais pas rapidement, il allait bientôt être irrécupérable.
Pour me préparer, j'ai commencé par fouiller dans la garde-robe de sa grande sœur Heather, pour y chercher les tenues les plus féminines possibles, avec l'intention de les retoucher pour Alex. Avec l'insistance de mon ex pour que les filles soient vraiment féminines, il y avait un grand choix de tenues. Quand Heather m'a demandé ce que je faisais, je lui ai expliqué mes intentions, et elle (qui avait été plus d'une fois la victime du comportement épouvantable d'Alex), s'est montrée enthousiaste, et a offert de m'aider. Elle m'a aussi proposé de demander à sa jeune sœur Jennifer de se joindre à nous. Je dois dire que j'étais ravie d'avoir des alliées, et j'acceptais son offre.
Heureusement, la première occasion de commencer ne s'est pas fait attendre. Son école m'a appelée pour m'informer qu'il avait volé le journal intime d'une camarade de classe dans son sac à dos, et l'avait ensuite lu à haute voix à ses camarades, avant de le souiller de plusieurs dessins vulgaires. Lorsqu'il est rentré à la maison, je lui ai dit que le principal avait appelé pour me donner les détails de son délit et qu'il risquait la punition de sa vie. Je lui ai ordonné de prendre une douche et de se laver les cheveux (qu'il avait toujours gardés assez longs, comme beaucoup de garçons de son école). Pendant ce temps, je lui ai choisi une robe de soirée bleu pâle avec des manches bouffantes, un décolleté orné de dentelles, et une jupe en crinoline, et je l'ai déposée sur son lit, avec une petite culotte en dentelle blanche de Jennifer et l'un de ses anciens soutiens gorges d'adolescente. J'ai également choisi une paire de socquettes blanches et une paire d'escarpins bleus à talons mi hauts, qui pouvaient lui aller selon moi.
Je pense qu'il est inutile de préciser qu'il était sous le choc et écœuré en découvrant ce qui allait être sa punition, mais je savais qu'on était dans le type de situation où "ça passe ou ça casse". Soit il se soumettait à sa féminisation à cet instant, soit il ne le ferait jamais. Avec une voix forte et sévère, je lui ai dit que s'il ne m'obéissait pas, j'allais être forcée de le fesser – ce que je n'avais jamais fait, mais que son père avait souvent fait. En retenant ses larmes, et ses lèvres frémissantes (et sans doute en se souvenant de la main ferme de son père), il a pris entre ses doigts tremblants la petite culotte pour l'enfiler. Je l'ai ensuite aidé à mettre le soutien-gorge, les socquettes et la robe, la fermant dans son dos pour lui (Je me souviens que je me suis dit qu'elle lui allait plutôt bien, alors que je l'avais retouchée sans lui faire essayer). A mon ordre, il a ensuite enfilé les chaussures, après quoi j'ai coiffé ses cheveux dans un style féminin. Heather et Jen semblaient folles de joie, et ont proposé de le maquiller et de lui faire les ongles, mais (pour cette première fois), j'ai refusé. Je les ai néanmoins autorisées à lui mettre un collier de perles, un bracelet assorti et des barrettes. Malheureusement, nous n'avions pas d'autres boucles d'oreilles que celles qui conviennent aux oreilles percées, et nous avons donc renoncé à lui en faire porter pour le moment.
J'ai ainsi réussi à obtenir tout ce que j'espérais. Son attitude s'est immédiatement calmée, et, même s'il a boudé pendant une bonne partie de la soirée, il s'est montré étonnamment bien élevé et poli. Cette transformation était aussi spectaculaire que le changement de la nuit en jour.
Pendant les mois suivants, j'ai saisi la moindre opportunité pour lui faire mettre une robe, et j'ai agrandi sa garde-robe avec des robes des jupes, des dessous en satin et dentelles, des chaussures, du maquillage, etc… Avec l'enthousiaste participation de ses sœurs, son déguisement se complétait progressivement. Le maquillage et le vernis à ongles sont devenus habituels pour lui, ainsi que les talons hauts, et une grande variété de bijoux ou d'autres accessoires.
Trois ans plus tard, il passe environ 70-80 pour cent de son temps à la maison en robes. Je ne pourrais pas dire qu'il aime maintenant ses affaires de fille, mais il se change sans un murmure ou sans se plaindre. Il est aussi bien des fois sorti ainsi en public, pour faire du shopping, aller chez le coiffeur, ou même au restaurant ou au cinéma. Au début, il était terrorisé à l'idée d'être reconnu, mais maintenant, il sait que tant qu'on ne va pas dans un centre commercial trop proche de chez nous, il est toujours regardé par les passants comme une jeune fille. L'été dernier, il s'est fait percer les oreilles, et il porte maintenant toujours des boucles d'oreilles avec ses tenues féminines. Ses jambes sont constamment épilées, et il porte maintenant un soutien-gorge d'adulte. Grâce aux leçons de ses sœurs, il a appris à se coiffer, à se maquiller ou à vernir ses ongles, et il se débrouille très bien tout seul. Ce sont ses sœurs qui achètent les accessoires de maquillage pour lui, et elles choisissent toujours des couleurs très délicates comme du rose pour ses lèvres et ses ongles, ou du rouge très sophistiqué, et toujours avec de l'ombre à paupière, du mascara, du blush, etc… Récemment, Heather lui a même montré comment poser des faux cils (il n'a pas encore essayé, mais ce sera sans doute pour bientôt).
Les filles et moi avons tendance à choisir ses tenues pour lui, car, quand on lui en laisse la possibilité, il choisit plutôt des tenues simples, sans accessoire. Bien sûr, nous préférons des tenues plus somptueusement féminines, avec de jolis bijoux, et très souvent des talons dramatiquement hauts (qu'il maitrise maintenant plutôt bien!). Nous avons aussi commencé à l'appeler "Alice" quand il est en fille.
J'envisage en ce moment de nouvelles étapes. J'aimerais lui faire poser de faux ongles pour l'été, qu'il devait garder en permanence, et bien sûr qui devront toujours être vernis. Je songe aussi (comme c'est à la mode en ce moment chez les adolescentes) de lui faire faire un piercing du nombril, mais j'hésite encore. Ses cheveux sont maintenant assez longs pour être coiffés en de nombreux styles très féminins, y compris des chignons, que ses sœurs adorent lui faire. Curieusement, cela ne semble pas le déranger.
Je songe aussi à lui acheter une garde-robe plus adulte, pour changer des tenues excessivement féminines d'adolescente qu'il porte habituellement. Je me suis rendue compte qu'il apprécierait sans doute d'être autorisé à porter une simple minijupe en jean, ou une robe d'été toute simple, bien sûr avec les bijoux et les accessoires typiques de son âge. C'est d'autant plus vrai quand nous sommes en public, et qu'il apprécie des tenues plus discrètes. Cela pourrait être une récompense quand il se comporte bien.
A propos de son comportement, il (je devrais dire "elle") s'est considérablement améliorée. Il est timide, poli, et même quelque peu féminin. C'est une bonne chose qu'il accepte ces longues périodes de féminité sans protester, car cela devient difficile de trouver un prétexte pour le punir!
Merci Helga, de me laisser partager cette histoire avec vos lecteurs.
Christine
Je me demande ci il ya eu des fait réels ou pas plus ou moins du même style ????
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