De mari à femme au foyer
Sarah Jane
Chère Tatie Helga
L'année dernière, ma femme Jessica Elizabeth vous a écrit pour vous raconter comment j'étais devenue sa femme au foyer. Elle m'a demandé de vous raconter mon histoire.
Il y a près de quatre ans, j'ai été licencié. Ma femme avait un travail très bien payé, donc je n'étais pas pressé de retrouver un emploi. Je trouvai néanmoins un emploi à temps partiel, qui m'occupait pendant deux matinées. Le reste du temps, je m'occupais de notre foyer, faisant le ménage, le linge, le repassage, les courses et la cuisine. Chaque jour, quand ma femme rentrait du travail, je faisais en sorte de lui servir son dîner. Au bout de quelque temps, je faisais aussi la cuisine durant le week-end.
A cette époque, j'ai commencé à ressentir le désir de porter des dessous féminins, et je me suis acheté cinq petites culottes de femme de diverses couleurs. Je les portais pendant qu'elle était au travail. Elle ne risquait pas de les découvrir, puisque je m'occupais du linge. A l'occasion, je portais aussi un soutien-gorge de ma femme. Un vendredi soir, alors que j'avais pris ces habitudes depuis six mois, ma femme est rentrée plus tôt que d'habitude de son travail. Quand elle est entrée dans la cuisine, elle m'a interpelé, et je me suis retourné vers elle. Elle m'a alors demandé depuis combien de temps je portais des culottes de femme. Elle m'a expliqué qu'elle venait de voir ma culotte dépasser de mon pantalon. Je lui ai alors avoué que j'en portais depuis près de six mois, et qu'à l'occasion, j'avais porté l'un de ses soutiens gorges.
Elle m'a accompagné dans notre chambre et a regardé dans mon tiroir à sous-vêtements. Elle y a trouvé trois petites culottes, une violette, une rose et une blanche. Elle m'a alors demandé si j'en avais d'autres. Je lui ai répondu que j'avais encore la rose que je portais, et une violette qui était dans le panier à linge. Elle m'a alors demandé de lui apporter un sac poubelle, ce que j'ai fait. Elle y a mis tous mes sous-vêtements d'homme et m'a demandé de sortir pour les jeter à la poubelle. Plus tard, pendant le dîner, elle m'a dit de ne pas m'en faire, qu'elle allait m'acheter de nouveaux sous-vêtements, du genre que j'aimais porter.
Le jour suivant, nous sommes allés faire des courses, et, après avoir acheté les produits de première nécessité, nous sommes allés au rayon lingerie, où nous avons acheté trois nouvelles petites culottes pour moi, une bleue, une jaune et une rouge, ainsi que huit soutiens gorges assortis aux culottes. J'allais ainsi pouvoir porter un ensemble culotte et soutien-gorge chaque jour. Sur le chemin du retour, nous nous sommes arrêtés pour acheter une paire de faux seins que j'allais pouvoir glisser dans mes soutiens gorges. Elle m'a alors dit que j'allais devoir porter un soutien-gorge rembourré chaque jour, y compris quand j'allais travailler. Pour être sûre que j'obéisse, elle m'a dit qu'elle ferait en sorte de commencer sa journée un peu plus tard ces jours-ci, et qu'elle me déposerait à mon travail. Elle a ajouté que si je n'osais pas faire cela, je pouvais aussi démissionner de mon emploi.
J'ai néanmoins continué à assurer mon emploi pendant trois semaines, avant de finalement quitter mon emploi. Ma femme m'a alors dit que désormais, j'allais pouvoir être une femme au foyer à plein temps. Un peu confus parce qu'elle avait employé le terme de femme au foyer, j'étais tout de même très content de m'occuper de la maison, et de faire la cuisine. Rapidement, je m'habituais aussi à porter des jupes, chaque jour, même pour sortir faire des courses.
Après deux mois, je remarquais que ma poitrine semblait grossir. Quand j'en ai parlé à ma femme, elle m'a dit que c'était une bonne chose, et m'a annoncé que les pilules de vitamines que je prenais étaient en fait des hormones féminines. Je dois admettre que j'aimais cette sensation de voir mon soutien-gorge se remplir sans avoir besoin d'y glisser des faux seins. Elle m'a dit que, puisque mon apparence commençait à se féminiser, je devais avoir un nom féminin. Elle m'a alors annoncé que j'allais désormais porter son nom de famille, et que j'allais être rebaptisée Sarah Jane.
Pour officialiser ma nouvelle identité, nous avons fait des demandes pour un nouveau passeport, un nouveau permis de conduire, et mon nom a également été changé auprès de ma banque et sur ma carte de crédit. Après cela, nous sommes sorties faire les boutiques, et elle m'a emmenée chez un bijoutier. J'étais un peu surpris quand elle m'a montré des bagues de fiançailles, et de mariage, et qu'elle m'a demandé lesquelles me plaisaient. Je lui ai montré des modèles ressemblant à celles eu je lui avais offertes quand nous nous sommes mariés. Quand la vendeuse s'est approchée de nous, ma femme a dit qu'elle voulait acheter une bague de fiançailles et une alliance pour son mari. La vendeuse semblait autant sous le choc que moi. Je suis ressortie de la bijouterie avec une alliance féminine, et une bague de fiançailles en or avec un diamant. Avant de rentrer, ma femme m'a dit que, maintenant que j'avais de jolies bagues, je devais aussi avoir des boucles d'oreilles. Ainsi, je me suis retrouvée avec de petits boutons d'or dans chaque lobe.
A notre retour à la maison, j'ai préparé une salade pour le dîner, et après manger, ma femme m'a brossé les cheveux, qui que je n'avais plus fait couper depuis longtemps, et qui atteignaient maintenant mes épaules. Elle m'a ensuite fait une raie au milieu, et écarté mes cheveux de chaque côté pour mettre en valeur mes oreilles.
J'arrête ma lettre ici. Je vous promets de vous écrire prochainement pour vous raconter la suite de ma transition.
Sarah Jane
Merci pour votre lettre, Sarah Jane. Je suis sûre que les lecteurs seront contents pour vous. C'est si rare de se trouver ainsi avec la personne que l'on aime. Mes félicitations. L'enthousiasme de votre femme pour votre féminisation va sans aucun doute vous aider dans la poursuite de votre transition.
Merci d'avance pour vos prochaines lettres.
Tatie Helga
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