Les lettres publiées sur le site "Petticoat Discipline Quarterly" racontaient des témoignages de "petticoat discipline" (discipline par le jupon).
Mon parcours de sissy.
Par Lexi
Chère Tatie Helga,
J'espère que vous vous portez bien, malgré la pandémie actuelle. Je me nomme Lexi, ou Alexa, et je suis une sissy. Je vous écris sous la direction de ma Maîtresse Victoria. Nous avons lu les histoires publiées sur votre site depuis des mois, et nous en sommes de grands fans. Elle a décidé de superviser l'écriture de ma lettre pour vous raconter la manière dont elle a fait de moi la sissy super féminine que je suis aujourd'hui, et pour vous demander conseil sur ce que nous devrions faire à l'avenir. Pardon pour la longueur de cette histoire, je ne raconte que ce que Maîtresse estime nécessaire. Maîtresse a choisi de joindre à cette lettre une photo de moi, prise lors d'un séjour au Canada, et nous espérons qu'elle sera publiable. J'ai passé l'ensemble du séjour en tant que sa servante, et je n'ai pratiquement jamais quitté l'hôtel.
Mon petticoating (travestissement forcé) a débuté pour moi au lycée, après que je me sois attiré des ennuis pour avoir proféré des commentaires sexistes inappropriés sur quelques filles de ma classe. Le Principal a expliqué cela à ma mère, et lui a demandé de faire en sorte que cela n'arrive plus jamais. Dès mon retour à la maison, j'ai trouvé une pile d'anciens vêtements de ma sœur Nikki sur mon lit. Ma mère m'a ordonné de me déshabiller et d'enfiler ces vêtements, me menaçant de m'obliger à retourner à l'école en fille si je ne lui obéissais pas immédiatement. Une fois habillé en fille, je devais redescendre pour assister à un conseil de famille. Je me suis déshabillé à contrecœur avant de commencer à enfiler ces vêtements. D'abord, une petite culotte jaune et un soutien-gorge assorti. Après avoir lutté pendant près de vingt minutes avec la fermeture du soutien-gorge, j'ai enfilé la robe d'été blanche que ma mère avait sortie pour moi, ainsi que des chaussures à talons assorties. J'étais terriblement gêné de porter une robe aussi courte et des talons, mais je savais que je ne devais plus attendre pour redescendre. J'ai ensuite subi un sermon de près d'une heure, asséné par ma mère et ma sœur à propos du respect dû aux femmes, et au fait de devoir découvrir les choses de leur point de vue. Ensuite, elles m'ont fait poser pour une série de photos sexy, pour s'assurer que je ne recommence jamais à me comporter de la même manière. Et effectivement, cela ne s'est plus jamais produit, et je n'ai plus jamais rien fait de répréhensible pour éviter à tout prix de me retrouver à nouveau travesti, d'autant plus que j'en ai été menacé constamment.
Trois ans plus tard, j'étais à la fac, et je sortais avec une magnifique fille prénommée Victoria. Nous vivions au même étage dans un bâtiment d'internat, et donc nous pouvions passer tout notre temps ensemble. Elle m'intimidait tant qu'elle a naturellement dominé notre relation, et principalement au lit, mais j'étais bien trop amoureux et désireux de poursuivre cette relation pour me plaindre. Un jour ma mère m'a envoyé l'une des photos prises le jour de mon travestissement à l'époque du lycée, pour me rappeler le "bon vieux temps". Maîtresse Victoria a vu la photo sur mon téléphone avant moi, et elle a instantanément commencé à rire de façon hystérique. Quand j'ai vu la photo, mon estomac s'est noué. Sur cette photo je portais la robe de Vichy blanc, tenant l'ourlet de la jupe avec une main, et envoyant un baiser de l'autre main. J'avais complètement oublié l'existence de cette photo!
Après avoir expliqué le contexte de cette photo à Maîtresse Victoria, et lui avoir dit qu'il s'agissait d'un événement unique qui ne s'était jamais reproduit, elle m'a dit que si je n'étais pas un misogyne, cela ne me poserait pas de problème de me travestir à nouveau. Elle a ajouté qu'elle espérait que je n'avais aucune opinion sexiste, car ce serait la fin de notre relation. Pour lui démontrer ma bonne volonté, j'ai accepté d'enfiler l'une de ses petites culottes, le soutien-gorge assorti, puis sa mini-jupe en jean et un haut "hello Kitty". Elle a pris quelques photos, ajoutant que si je n'étais pas un misogyne, je n'avais aucune raison d'en être gêné, et me promettant de ne jamais les montrer à personne. Ce même soir, elle a mené comme jamais notre relation sexuelle, et j'ai pris plus de plaisir que je n'en avais jamais eu. Après cela, elle m'a demandé d'enfiler une nuisette violette pour venir me coucher auprès d'elle dans le lit. Je lui ai demandé ce qui se produirait si sa colocataire rentrerait cette nuit-là, mais elle m'a répondu de ne pas m'inquiéter, car elle était chez son petit ami. Cette nuit a été le début d'une période où elle me demandait de me travestir régulièrement, et me traitait de sexiste quand je refusais. Une fois travesti, elle m'offrait des séances de sexe inoubliables, puis je me changeais pour enfiler une nuisette et dormir auprès d'elle. Pendant cette période, j'ai pris goût au travestissement en compagnie de Vicky, et à la manière dont elle dirigeait ma vie quand j'étais en fille. Au bout d'un certain temps, elle avait rassemblé dans un tiroir une grande quantité de vêtements féminins qui m'étaient destinés, et que j'enfilais dès que j'entrais dans sa chambre.
Un jour, à mon arrivée dans sa chambre, j'ai eu la surprise de la trouver avec sa colocataire, Mademoiselle Cynthia, qui était d'habitude chez son petit ami. "Hé, bébé, je viens juste de raconter à Cynthia combien tu adores porter mes vêtements. Nous nous sommes dit que nous devrions te faire un soin complet du corps! Tu ne trouves pas que ce serait génial?" J'ai tout de suite commencé à protester, tentant d'expliquer à Cynthia que je n'aimais pas m'habiller en fille, et que je voulais seulement démontrer à Victoria que je n'étais pas un misogyne. Victoria m'a interrompu en montrant une photo de moi en nuisette bleu ciel, avec un large sourire sur mon visage.
"Tu vois Cyn, il adore être une fille très féminine. Alex, à moins que tu ne veuilles que j'envoie un message à ta mère, accompagné de ces photos, pour lui montrer que tu as repris ton passe-temps favori, tu vas arrêter de te comporter en salope, et tu vas nous laisser nous occuper de toi. Ou alors tu préfèrerais peut-être te travestir à nouveau pour ta mère et ta sœur? Non? Alors tu vas enfiler une jolie robe, ma princesse." En réalisant que si ma mère me voyait à nouveau en robe, elle penserait que j'aime cela, et elle voudrait m'imposer de m'habiller en fille pour toujours, j'acceptais de laisser les filles me faire ce qu'elles voulaient, mais je demandais à Maîtresse Victoria de ne plus jamais m'appeler "Princesse". Elles m'ont ordonné de prendre une douche, et de me raser tout le corps, le visage et les jambes. Je n'avais jamais été très poilu, mais la sensation d'être complètement glabre était étrange. En sortant de la douche, je me suis séché avant d'enfiler la petite culotte et le soutien-gorge qu'elles m'avaient donné. C'était un ensemble de dentelles roses qui me faisait me sentir très féminin sur ma peau douce. Ensuite, je me suis emmitouflé dans une serviette pour dissimuler la petite culotte et le soutien-gorge à la vue d'autres locataires que je pouvais croiser dans les couloirs.
A mon retour dans la chambre, les filles m'ont arraché la serviette, et Mademoiselle Cynthia a crié avant de partir dans un fou rire. "Oh mon Dieu, tu as l'air adorable! Je n'imaginais pas qu'un garçon pourrait être aussi mignon en petite culotte. Tu as de la chance, tu as un corps naturellement féminin. Tu devrais le montrer d'avantage avec fierté, ma fille." Maîtresse a poursuivi: "Ouais bébé, montre nous ces courbes féminines en prenant la pose." Comme j'avais pris l'habitude de poser pour elle, je m'efforçais de prendre les positions qu'elle m'avait montrées, en étant rouge de honte. Je me suis penché sur le côté, mes mains sur mes hanches, mais les yeux timidement baissés. "Wow, tu es si mignonne, mon cœur, mais n'oublie pas de faire la moue avec ta bouche et de battre des cils comme je te l'ai montré. Maintenant, assied-toi devant la coiffeuse, et nous allons te maquiller pour te faire belle." Les filles m'ont pris une main chacune pour me guider jusqu'à la chaise avant de me faire assoir. Cynthia m'a montré comment m'assoir en croisant les jambes très haut et m'a dit de toujours m'assoir ainsi, ou au moins avec les genoux joints quand j'étais en fille. Mes jambes épilées frottant l'une sur l'autre me donnaient des sensations inédites, qui, étrangement, m'excitaient. J'ai fermement croisé mes jambes pour tenter de dissimuler mon érection naissante.
Au même moment, je me suis rendu compte que j'allais devoir porter des pantalons au sein du campus pour dissimuler mes jambes rasées. Je ne pouvais rien y changer dans l'immédiat, alors j'attendais patiemment que Mademoiselle Cynthia en finisse avec mon maquillage. Une demi-heure de fond de teint, de blush, d'ombre à paupière, de crayon pour les yeux, de mascara, de rouge à lèvres et de gloss plus tard, je ressemblais à une caricature de garçon efféminé. Mes cheveux courts et ma poitrine plate montraient bien que j'étais un garçon, mais mon visage était celui d'une adolescente prête à sortir pour la soirée. Mes lèvres roses brillantes, mes joues roses, mes yeux bleus aux paupières scintillantes et aux longs cils me faisaient ressembler à une sirène. "C'est fini, Vicky, regarde comme ton petit copain est mignon. Tu vas devoir le surveiller pour l'empêcher de se trouver un mec avec de telles lèvres et un aussi joli cul." Maîtresse Victoria a éclaté de rire et m'a demandé si j'aimerais me trouver un mec. Je lui ai répondu franchement que je n'étais absolument pas attiré par les mecs, et que je voulais partager ma vie avec une femme. "Oui, oui, j'en suis sûre, ma jolie," m'a dit Cynthia en me faisant un clin d'œil, "bon, il est temps de t'habiller." Maîtresse s'est dirigée vers ses tiroirs, et après avoir fouillé pendant quelques secondes, a sorti une mini-jupe fleurie et un haut court assorti.
Je me suis tourné pour enfiler ces vêtements dans l'espoir de cacher mon érection à la vue de Mademoiselle Cynthia. Malheureusement, la jupe ne couvrait que difficilement mon cul, et le haut mettait en évidence mon nombril. Ensuite, elles m'ont aidé à enfiler et à fermer des chaussures à brides et à talons laissant voir mes orteils. Les filles m'ont ensuite demandé de poser pour des photos où je devais faire la révérence, envoyer des bisous, et finalement, lever ma jupe pour exposer ma petite culotte. J'ai d'abord refusé de prendre cette dernière pose, mais Maîtresse m'a demandé si je préférais lever ma jupe devant ma mère et Nikki. Sachant que je n'avais pas le choix, je relevé ma jupe, exposant ma petite culotte tendue par mon érection, ce qui a encore fait rire Mademoiselle Cynthia. "Oh mon Dieu, c'est si mignon. Il a la moitié de la taille de celui de Matt, comment peux-tu jouir avec un si petit truc?" Maîtresse Victoria éclata de rire, "Oh arrête, Cyn, il est très doué avec sa langue, et puis, je trouve ça mignon." J'ai énormément rougi en entendant cela, et j'ai baissé la tête de honte en regardant ma jupe relevée pendant qu'elles prenaient des photos en riant. J'aurais voulu que tout cela s'arrête, mais j'avais peur que Maîtresse Victoria ne tienne sa parole de tout dire à ma mère. Après quelques nouveaux commentaires moqueurs à propos de la taille de mon sexe, Maîtresse s'est placé derrière moi et a baissé ma culotte.
J'ai relâché ma jupe et je me suis baissé pour remonter ma culotte. Une claque sur mes fesses et une sévère réprimande de sa part m'ont arrêté. Elle ne m'avait jamais traité ainsi devant d'autres. "Qu'est-ce que tu crois pouvoir faire? Laisse ta culotte et relève tout de suite ta jupe, sissy!" J'ai immédiatement fait ce qu'elle m'ordonnait, même si je détestais être vu ainsi par Mademoiselle Cynthia. Je suis resté dans cette position jusqu'au moment où Maîtresse Victoria m'a demandé de me rajuster. Elle m'a ensuite demandé de m'accroupir et elle a placé une perruque blonde sur ma tête. "Prends ta clé, nous allons dans ta chambre." J'ai immédiatement refusé, expliquant que d'autres personnes allaient me voir. "Peut-être que quelques personnes pourraient te voir dans ta jolie tenue, mais aucune d'entre elles ne pourrait te reconnaitre. Si tu veux, je peux aussi envoyer ces photos à ta mère et à tes amis. Je suis sûre que Mike et Greg vont te trouver adorable." La tête basse, j'acceptais ma défaite, sachant que je ne pouvais que lui obéir.
J'ai laissé les filles fixer ma perruque et me vaporiser un peu de parfum fruité, puis nous sommes sortis. A part une fille hilare, nous n'avons croisé personne. En ouvrant ma porte, je priais pour que mon colocataire, Mike, soi absent, et heureusement, il n'était pas là. Maîtresse Victoria et Mademoiselle Cynthia ont ouvert le tiroir où je rangeais mes caleçons et ont les ont tous mis dans un sac poubelle, les remplaçant par mon nouvel assortiment de dessous féminins. Elles m'ont ensuite fait mettre à genoux. "Tu vois, princesse," m'a dit Mademoiselle Cynthia, "ces dernières semaines, tu as plus souvent été la sissy de Victoria que son petit ami, et il semble que tu aimes ça. Elle a donc décidé que ce serait désormais officiel, désormais, tu l'appelleras Maîtresse, ou Maîtresse Victoria, et moi, tu m'appelleras mademoiselle Cynthia. On va t'enfermer dans une cage de chasteté, et on ne t'en libèrera que si on est satisfaites de toi. Tu porteras aussi tes petites culottes et tes soutiens gorges chaque jour sous tes vêtements, et dès que ta journée de cours sera terminée, tu viendras dans notre chambre pour enfiler tes vêtements de fille. Est-ce que c'est compris, sissy?"
Ignorant Mademoiselle Cynthia, je me suis tourné vers Maîtresse Victoria pour la supplier de ne pas me faire ça. Elle m'a alors saisi, m'a poussé sur mon lit, m'a relevé ma jupe avant de me fesser, tout en me réprimandant. "Tu vas devoir être une bonne fille et nous obéir, si non, tu seras sévèrement punie. Désormais, tu répondras au nom de Lexi, Alexa, ou simplement sissy. Tu n'es plus un mec, et tu dois apprendre à accepter cela, ou alors tout va devenir très compliqué pour toi. Maintenant, à moins que tu ne veuilles que tout le monde ne sache qui tu es vraiment, je te suggère de faire exactement tout ce qu'on te demandera." Alors qu'elle arrêtait de me fesser, je luttais pour retenir mes larmes de peur et d'humiliation de couler. Après cela, je me suis mis à genoux devant Mademoiselle Cynthia pour lui demander de me pardonner mon comportement irrespectueux. Depuis ce jour, ma vie a complètement changé.
Je porte désormais chaque jour une petite culotte et un soutien-gorge. Je me rase et m'hydrate le corps tous les jours. J'utilise désormais des produits d'hygiène et des parfums féminins. J'ai appris à parler, à bouger, et à agir continuellement comme une sissy. J'ai appris à me maquiller, et Maîtresse Victoria ne cesse de me corriger. Je passe la plupart de mon temps avec Maîtresse Victoria et Mademoiselle Cynthia, parfois habillé en fille, parfois en garçon efféminé, et à l'occasion, je leur sers de servante, elles et leurs amies. Je ne suis autorisé de porter des vêtements de garçon que pour aller en cours. A leur demande, je dépense tout mon argent en maquillage, vêtements ou accessoires féminins. Je dois porter une cage de chasteté en permanence, mais j'ai le droit de me soulager une fois par semaine, ou deux fois par mois devant Maîtresse Victoria et Mademoiselle Cynthia, selon mon obéissance. Je n'ai plus couché avec Maîtresse Victoria depuis plus de trois mois, ce qui m'amène à me première question. Maîtresse Victoria dit qu'elle a besoin de se trouver un vrai mec pour la satisfaire, ce que je trouve injuste, parce que je suis toujours techniquement un mec. J'essaye de lui faire comprendre que si elle me retire ma cage de chasteté, je pourrais encore la satisfaire, mais elle a des doutes, maintenant que je suis si féminin. Elle parle parfois et même flirte avec d'autres gars, mais pour l'instant, elle n'est pas allée plus loin. Cela me rend très malheureux car je sais que je ne pourrais plus jamais concurrencer ces gars auprès d'elle.
Maîtresse Victoria veut que je vous demande ce qu'elle doit faire à ce propos. Elle dit que si vous ne nous donnez pas une bonne raison pour ne pas le faire, elle sortira bientôt et couchera avec d'autre gars. Elle souhaite aussi vous demander jusqu'où elle pourra me pousser. Elle a déjà décidé que je rentrerais chez moi en robe pour les prochaines vacances pour me montrer à ma famille, mais elle hésite à me montrer à mes amis. Elle pense que c'est dans mon intérêt de leur montrer ma vraie nature. Elle envisage de me faire porter une jolie robe de bal, et d'organiser une fête pour que j'y fasse mon coming-out auprès de tous nos amis de l'internat. Elle veut que je vous demande ce que vous nous conseillez à ce propos. Elle dit aussi que si vous n'avez pas d'argument à opposer à son projet, elle le mettra en œuvre.
Tatie Helga, je vous en prie, dites-lui de ne pas me faire ça. Mes amis perdraient tout le respect qu'ils ont pour moi. Maîtresse a aussi décidé que pour achever de détruire ce qui me reste de mon égo de mâle, j'allais devoir commencer à sortir avec des garçons, pour que je me rende compte, en me comparant à eux, que je n'ai rien en commun avec un vari mec. Mademoiselle Cynthia dit même qu'une sissy comme moi a besoin de la compagnie de mâles, mais je lui dis respectueusement qu'elle se trompe. Je n'ai jamais été attiré par les mecs! Je vous en prie, aidez-moi, Tatie Helga. Je me suis résigné à être une bonne sissy pour Maîtresse Victoria, et même pour ma famille, mais je ne pourrais pas supporter l'humiliation d'être découvert ainsi par des garçons, et surtout pas par mes plus vieux amis. Je ne veux pas non plus voir Maîtresse Victoria sortir avec d'autres gars. Je l'aime, et ça me fait mal de l'imaginer avec un autre gars, d'autant plus que je n'ai pas pu coucher avec elle depuis des mois. De son côté, elle pense que vous serez d'accord qu'une sissy comme moi doit être exposée aux hommes. De plus elle est certaine que vous serez d'accord pour dire qu'elle a besoin d'un "vrai mec" dans sa vie.
Je vous en prie, Tatie Helga, j'espère vraiment que vous serez d'accord avec moi.
Lexi
Merci pour votre lettre, Lexi. Vous avez bien de la chance d'avoir été ainsi initiée par votre maman et votre sœur, puis d'avoir trouvé votre Maîtresse Victoria pour vous aider à progresser. Je dirais que, puisqu'elle est en charge de votre relation, c'est à elle de choisir si elle veut rencontrer des hommes pour satisfaire ses besoins. Par contre, si le fait de mettre votre famille au courant me semble un choix évident, je pense que de vous exposer auprès de garçons, et surtout auprès de vos amis, va beaucoup trop loin. Je vous suggère de progresser plus prudemment.
Tatie Helga
Un recit passionnant. Et la photo st des plus jolie, la sissy prédestinée !
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