Les lettres publiées sur le site "Petticoat Discipline Quarterly" racontaient des témoignages de "petticoat discipline" (discipline par le jupon).
UNE TRANSITION EN DOUCEUR
Par Karen
Chère Helga,
Je me nomme Karen. C'est la première fois que je vous écris, mais je suis une lectrice régulière de votre site depuis quelques mois. Je crois qu'il est temps que je vous écrive pour vous raconter comment j'ai féminisé mon propre fils. Comme votre site a été pour moi une source d'inspiration, j'ai pensé que vous voudriez en savoir plus.
Le minable pathétique qui me servait de mari m'a quittée avant même que mon fils ne commence l'école, me laissant malheureusement seule pour l'élever. Ma mère m'avait enseigné à être une femme forte, indépendante et dominatrice, et je crois que mon mari ne pouvait pas supporter que je sois celle qui portait la culotte dans notre relation. Nous nous sommes bien sûr affrontés car il ne se pliait pas à ma volonté dominante. Il était donc inévitable que nous finissions par nous séparer. En conséquence, j'étais d'autant plus déterminée qu'il ne se passerait pas la même chose entre mon fils et moi, et qu'il allait rester toute sa vie un "fils à maman" sous mon contrôle total.
Ainsi, alors qu'il s'approchait de l'âge adulte et de la fin de ses études, j'ai décidé de rechercher sur Internet des moyens d'atteindre mon objectif, d'autant plus que dans cette période, c'était de plus en plus difficile de lui imposer ma volonté. Il semblait vouloir gagner son indépendance, et j'étais plus déterminée que jamais que cela n'arrive pas. J'avais moi-même quelques idées, mais je ne voulais pas me montrer possessive à l'excès, au point de le faire fuir. Après mon expérience avec mon mari, je savais qu'une approche plus douce et délicate fonctionnerait mieux, plutôt que de tenter d'imposer quoi que ce soit à mon fils contre son gré.
Peu de temps avant Noël dernier, au cours de mes recherches en ligne, après avoir recherché des sites sur la domination des femmes sur les hommes, je suis tombée sur votre site Web. J'ai été immédiatement intriguée, car je n'avais jamais entendu parler de la pratique du petticoating auparavant (punition, ou éducation par le jupon). J'ai vite été fascinée par les diverses histoires vraies ou fictives à ce sujet. Compte tenu de toutes les expériences positives que les femmes ont eues avec les hommes en jupons, vous ne serez pas surprise d'apprendre que j'ai rapidement décidé que pour garder mon fils sous ma ferme influence, la meilleure option pour moi était de l'habiller en fille. De plus, j'étais très attirée par l'idée d'avoir une fille à la maison avec qui partager des activités féminines. J'ai toujours regretté que mon mari et moi ne soyons pas restés ensemble assez longtemps pour essayer d'avoir une fille.
Cependant, je ne voulais pas lui imposer des vêtements de filles. Je voulais être plus subtile que ça, rendre sa transition aussi naturelle et aussi indolore que possible. Je réfléchissais encore à la façon dont je pourrais faire cela quand mon problème s'est pratiquement résolu de lui-même. Mon fils est rentré un jour à la maison après l'école, bouleversé au point de pleurer. Je l'ai fait asseoir et lui ai demandé ce qui le rendait si triste. Il s'est ouvert à moi et m'a dit qu'il avait invité une fille dont il était tombé amoureux à l'école et qu'elle avait refusé catégoriquement, le traitant de fils à maman pathétique. Il a continué à pleurer en me disant qu'aucune fille ne l'aimait parce qu'il était trop petit et qu'il n'était ni beau ni athlétique. Mon ex-mari n'était pas non plus grand ou athlétique et mon fils lui ressemblait à cet égard, mais heureusement pour moi, cela le rendait parfait pour le port de jupons.
Je l'ai laissé pleurer quelques minutes de plus, puis je lui ai dit que peut-être, il n'aurait pas dû naître garçon, et qu'il aurait peut-être mieux valu qu'il soit une fille. Comment ça, une fille? M'a-t-il demandé. Je lui ai expliqué qu'avec sa carrure et son caractère, il aurait peut-être mieux valu qu'il naisse fille. Il m'a répondu: Porter des robes et me maquiller? Je lui ai alors demandé s'il aimerait essayer une de mes robes, sans lui parler d'autres choses comme des sous-vêtements féminins par exemple, juste pour voir s'il aimerait cela. Il m'a répondu qu'il était un garçon, et que les garçons ne portent pas de robes. J'ai alors essayé de lui expliquer qu'il n'était pas nécessaire d'être une fille pour s'habiller ou agir comme telle, qu'il suffisait de voir tous les travestis et transsexuels dans le monde, et que beaucoup d'hommes s'habillent en femme parce qu'ils trouvent cela plus agréable que de porter des vêtements d'homme. Je lui ai alors dit que c'était à lui de choisir, et qu'il n'y avait aucune pression de ma part (pas encore), mais la graine était semée, et il me suffisait d'attendre de la voir germer. Je me suis dit que s'il pensait que c'était son choix de s'habiller en fille, son éventuelle transition pourrait se faire plus facilement et rapidement.
C'et dès le week-end suivant, un samedi matin, qu'il est venu me voir pour me demander si j'étais sérieuse au sujet de ma suggestion de lui faire essayer l'une de mes robes. Je lui ai répondu: Bien sûr, pourquoi, tu veux essayer? Il m'a répondu qu'il ne savait pas, mais je sentais qu'il était tenté, et qu'il suffisait juste d'un coup de pouce de ma part dans cette direction. Je lui ai dit: Si c'est ce que tu veux, tu peux. Je vais monter choisir une de mes robes et la mettre dans ta chambre. C'est à toi de décider si tu as envie de l'essayer ou pas. Je ne vais pas te mettre la pression ou te regarder faire. Essaye-la et tu verras bien si tu aimes ou pas. Mais si tu décides de l'essayer, tu vas devoir te déshabiller avant, sinon elle ne t'ira pas. OK, a-t-il doucement répondu. Je me suis rapidement dépêchée de monter les escaliers, j'ai choisi l'une de mes plus jolies robes dans ma garde-robe et je l'ai posée sur le lit de mon fils dans l'espoir qu'il l'essaye. J'ai quitté sa chambre et il n'a pas fallu longtemps avant qu'il n'y entre à son tour. Il a fermé la porte derrière lui et je n'ai pas pu m'empêcher d'écouter à la porte aussi discrètement que possible pour qu'il ne sache pas que j'étais toujours là. J'attendais d'être sûre qu'il porte ma robe avant de pouvoir entrer dans sa chambre pour vraiment débuter sa féminisation.
Je suis restée à attendre à sa porte pendant ce qui m'a semblé être une éternité. Finalement, je l'ai entendu faire les cent pas dans sa chambre, expérimentant probablement l'effet que la robe lui faisait en se déplaçant. Je suis alors entrée pour le voir porter ma robe. Mon cœur s'est envolé. Je ne peux pas vous dire à quel point j'étais heureuse à ce moment-là. Il m'a regardé, un peu choqué que je sois entrée ainsi, mais je lui ai rapidement dit qu'il était ravissant dans cette robe et je lui ai fait un câlin. Rompant l'étreinte, j'ai baissé les yeux pour voir qu'il portait toujours ses chaussettes. Je lui ai souri et lui ai dit que les femmes ne portaient généralement pas de chaussettes avec une robe et lui ai dit de les enlever pendant que j'allais lui chercher une paire de mes chaussures à essayer. Vraiment? A-t-il demandé. Tu portes déjà une robe, une jolie paire de chaussures ne fera pas de différence, n'est-ce pas? Tu auras l'air plus naturel dans cette robe. Il a acquiescé à contrecœur. Je lui ai choisi une paire de sandales à lanières avec un petit talon qui serait assez grandes pour s'adapter à ses pieds.
Je l'ai ensuite encouragé à descendre les escaliers et nous nous sommes assis pour discuter de ce qu'il ressentait dans ses nouveaux vêtements. Il m'a dit que la robe était très différente de ses vêtements habituels, mais qu'il ne trouvait pas cela "horrible". J'en étais ravie. Je lui ai alors demandé s'il aimerait faire l'expérience d'autres articles féminins comme des sous-vêtements, des bas, les cheveux longs et du maquillage entre autres pour voir s'il aimerait cela ou non. Quand il m'a dit oui après de nouveaux encouragements de ma part, j'étais si heureuse que je lui ai donné un autre câlin. Cependant, je ne pense pas qu'à ce moment-là, il ait réalisé que je finirais par faire de lui une fille plutôt que de me limiter à de simples jeux de déguisements.
Je lui ai demandé de garder sur lui ma robe et mes chaussures pour le reste de la journée pour s'y habituer, ce qu'il a fait, ne se changeant qu'à l'heure du coucher pour se mettre en pyjama. Au cours des jours et des semaines qui ont suivi, comme je ne voulais pas le bousculer, j'ai fait découvrir à mon fils d'autres vêtements féminins, mais aussi des sous-vêtements féminins, des soutiens gorges avec rembourrage, des bas et des collants, une perruque dont les cheveux tombaient sur ses épaules, du maquillage, du parfum, des bijoux, de la crème hydratante, et je lui ai fait raser tous ses poils. Chaque jour, je lui permettais de choisir s'il préférait porter ses vêtements normaux ou mes affaires, mais bien sûr je l'encourageais toujours à porter des vêtements féminins plutôt que les siens, ce qu'il a finalement fait assez souvent, ce qui bien sûr me réjouissait.
Voyant à quel point les choses allaient bien sans trop d'effort de ma part, j'ai décidé de commencer progressivement à me débarrasser de ses vieux vêtements de garçon et de les remplacer définitivement par un mélange des miens et de nouveaux vêtements féminins. Ainsi, au fil du temps, j'ai remplacé ses pantalons, t-shirts, chemises et pulls par des jupes, des robes, des hauts et des chemisiers féminins; ses caleçons par des petites culottes de femme; ses chaussettes par des bas et des collants; ses chaussures par des chaussures pour femmes; ses pyjamas par des nuisettes, etc. J'ai également ajouté de nombreuses touches féminines à sa chambre, en ajoutant une coiffeuse avec miroir, avec laquelle il allait pouvoir se maquiller plus facilement, un dessus de lit plus féminin, des fleurs, des décorations comme des rideaux roses à la place de ses anciens rideaux bleus. Je ne crois pas qu'il était particulièrement ravi de tous les changements que je faisais, surtout quand il a commencé à comprendre qu'ils allaient être permanents et que je le féminisais sans même qu'il s'en rende compte. De plus, ma domination sur lui s'accentuait, d'autant plus quand il portait ses nouveaux vêtements. Sa féminisation fonctionnait de manière spectaculaire, et quand il était en fille, il se montrait aussi doux et vulnérable que quand il était petit. C'était exactement ce que je voulais. Je voulais affirmer ma domination sur lui alors même qu'il approchait de l'âge adulte.
Cependant, les choses sont arrivées à un point critique quand, environ trois mois après qu'il ait essayé sa première robe, je me suis dit que c'était le bon moment et je me suis faufilé dans sa chambre une nuit alors qu'il dormait et j'ai échangé ses dernières affaires de garçon restantes contre des vêtements de fille. Le lendemain matin, il est sorti en courant de sa chambre et a descendu les escaliers dans sa chemise de nuit pour me dire que tous ses vêtements de garçon avaient disparu. Il était tellement bouleversé qu'il était pratiquement en larmes. Je lui ai alors carrément dit que je pensais qu'il était temps pour lui de terminer sa transition , qu'il était maintenant une fille et qu'il n'aurait plus besoin de ses vieux vêtements. Je pense que cette annonce était trop dure pour lui et il s'est effondré et a commencé à pleurer. Je l'ai bien sûr réconforté, rassuré en lui disant qu'il était une jolie fille et que son nouveau nom était Rachel, ma fille très spéciale. J'ai réalisé à ce moment-là que j'avais atteint mon objectif d'avoir une domination complète sur mon fils.
Une fois qu'il s'était suffisamment calmé, je l'ai raccompagné à l'étage dans sa chambre pour l'habiller et le maquiller pour son premier jour de vraie femme. Comme j'étais encore vêtue uniquement de ma chemise de nuit également, je l'ai ensuite pris par la main et l'ai conduit dans ma chambre pour voir s'il voulait bien m'aider à m'habiller à son tour, ce qu'il a fait avec quelques encouragements. Il s'est particulièrement intéressé à mes parties intimes de femme car je ne pense pas qu'il n'en avait jamais vu auparavant en vrai. Il s'est montré très attentionné et a fait un travail formidable. Pour tout vous dire, c'était un test pour voir s'il ferait une bonne servante à l'avenir, car c'était ce que j'avais en tête pour la prochaine phase de sa féminisation. En ce moment, je suis en train de rechercher des tenues de soubrette sur Internet et je planifie sa formation de femme de chambre. J'étudie également la possibilité de lui imposer une cage de chasteté pour le rendre aussi soumis que possible, car j'ai lu votre site Web, entre autres, que cela peut faire des merveilles pour garder un homme sous contrôle total.
J'espère que vous avez apprécié la lecture de ma lettre et que vous la considérerez pour une future publication sur votre site Web. Je vous en remercie au passage, car votre site a été la source d'inspiration principale pour la féminisation de mon fils. Je ne manquerai pas de vous tenir au courant de mes progrès avec mon fils, si cela vous estimez que cela présente un intérêt pour vous.
Salutations,
Karen
Merci pour votre lettre Karen. Quelle introduction merveilleuse et sensible au jupon, faite avec amour et compassion. Je sais qu'elle va continuer à s'améliorer, à devenir plus féminine et à apprendre à aimer sa nouvelle vie. Je sais à quel point nos lecteurs aimeraient des nouvelles de votre part.
Helga
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