Je protestais: "Je ne vais pas porter ces bas."
Louise me dit calmement: "Chéri, nous n'allons pas nous
disputer à ce propos."
Je tentais de rester ferme: "Je ne veux pas me
disputer, Lou, je dis seulement que je ne porterais pas ces bas."
Elle répondit: "Robbie, souviens toi, tu étais d'accord
avec moi."
J'insistais: "Peut-être, mais je ne porterais pas de
bas."
Elle me montra la porte: "Tu connais la sortie. Tu mets
ces bas, ou tu t'en vas. Décide-toi."
Je choisis les bas, avec le porte-jarretelle. Peut-être que
Louise bluffait, mais je ne pouvais pas prendre ce risque.
Six mois plus tôt, Louise avait appris à propos de ma
relation avec Carol. Cela n'avait été qu'une histoire sans lendemain. Carol ne
comptait pas pour moi. Dieu seul sait pourquoi j'avais fait cela. Et je ne sais
toujours pas comment Louise l'avait appris.
De toute façon, cela n'a plus d'importance maintenant.
Louise me dit que si je voulais sauver notre mariage, je
devais accepter de faire tout ce qu'elle disait. Je n'avais pas le choix. Je
savais que si nous nous séparions, elle garderait la moitié de la maison, la
moitié de la voiture, la moitié de mon compte bancaire, et la moitié de mes
futurs gains. Mais je n'aurais pas droit à la moitié de son salaire (plus
important que le mien), ou la moitié de ce qu'elle possédait. Un divorce? Je ne
pouvais pas me le permettre.
J'acceptais donc ses conditions. Tout cela pour cette salope
de Carol.
Revenons aux bas. C'était la troisième fois que je cédais,
et dix minutes plus tard, je portais ces bas opaques noirs et un
porte-jarretelle noir.
La troisième fois?
La troisième fois?
Oui, j'avais cédé deux fois auparavant. La première fois,
quand Louise me dit de porter des petites culottes. Oui, des petites culottes de
femme de divers styles et couleurs qu'elle m'avait achetées. Depuis six mois,
je portais donc des petites culottes, même au travail.
Tous mes sous-vêtements masculins avaient été jetés.
La deuxième fois, elle exigea que je commence à porter un
soutien-gorge. Oui, elle m'acheta plusieurs de ces articles exclusivement
féminins et je devais en porter un chaque jour.
Donc, ce jour-là, en plus des bas et du porte-jarretelle
cités plus haut, je portais également un soutien-gorge de satin noir et une
petite culotte assortie, le tout sous mes jeans et tee-shirt bien sûr.
Heureusement, mon tee-shirt était de couleur bleu marine et on ne voyait pas le
soutien-gorge à travers, à moins de regarder très attentivement au niveau des
épaules, où on pouvait distinguer la ligne des bretelles du soutien-gorge.
Je m'étais vite habitué au soutien-gorge, bien sûr. Et
j'allais désormais m'habituer au porte-jarretelle.
Personne au travail n'avait remarqué mes sous-vêtements.
Même si au travail, je portais une chemise et un pantalon élégants, je
choisissais toujours une chemise qui cachait mon soutien-gorge.
Les choses auraient pu s'arrêter là si Janice n'avait pas
été là. Janice était une nouvelle collègue de travail. Son bureau était à côté
du mien et nous travaillions en étroite collaboration. Elle commença rapidement
à flirter avec moi, tout en ignorant que je portais une petite culotte, un
soutien-gorge et des bas avec un porte-jarretelle.
Je répondais au flirt de Janice. Ma confiance en moi avait été ébranlée par les exigences de Louise. C'était agréable de me sentir apprécié. Janice et moi allions parfois déjeuner ensemble, mais honnêtement, les choses n'allèrent jamais au-delà.
Je répondais au flirt de Janice. Ma confiance en moi avait été ébranlée par les exigences de Louise. C'était agréable de me sentir apprécié. Janice et moi allions parfois déjeuner ensemble, mais honnêtement, les choses n'allèrent jamais au-delà.
Mais quelqu'un en parla à Louise.
Elle m'attendait un soir quand je rentrais du travail. Elle me traita de tous les noms d'oiseau qu'elle connaissait avant de me dire qu'elle m'avait acheté un nouveau pantalon. Elle me dit qu'il était à l'étage, sur le lit, et que je devais aller l'enfiler.
Elle m'attendait un soir quand je rentrais du travail. Elle me traita de tous les noms d'oiseau qu'elle connaissait avant de me dire qu'elle m'avait acheté un nouveau pantalon. Elle me dit qu'il était à l'étage, sur le lit, et que je devais aller l'enfiler.
Je me rendis à l'étage et trouvais sur le lit un pantalon
noir. C'était un pantalon pour femmes, avec une fermeture sur le côté. A contrecœur,
je retirais mon pantalon et le remplaçais par le nouveau. J'ai remonté la
fermeture éclair sur le côté, puis ai remis mes chaussures avant de redescendre
me montrer à Louise.
"Il est parfait!" Me dit-elle.
Je ne savais pas comment prendre ce qu'elle venait de dire.
Je ne savais pas comment prendre ce qu'elle venait de dire.
"Tu ne porteras plus que ce genre de pantalon
désormais."
"Quoi?" Ai-je demandé, "même pour
travailler?"
"Oui Robbie, même au travail." Me dit-elle avec
fermeté.
Je balbutiais: "Mais, mais, mais…"
Je balbutiais: "Mais, mais, mais…"
"Il n'y a pas de mais, Robbie. Cela te va très
bien."
Je me plaignais: "Mais, tu es en train de me féminiser."
"Non, je ne fais que te 'repositionner' pour que tu ne
puisses plus m'être infidèle. J'avais espéré que les culottes, les bas et le
soutien-gorge suffiraient à te dissuader de regarder d'autres femmes. Mais il
est clair que je dois passer à la phase deux."
Louise m'acheta d'autres pantalons et jeans féminins. Je
portais ces pantalons pour travailler. Personne ne me dit rien. Peut-être n'avaient-ils
pas remarqué. Comme ces nouveaux pantalons n'avaient pas de poches, je devais
mettre mes affaires dans une sacoche à bandoulière que Louise m'avait achetée. Cette
sacoche pour homme n'était pas très différente d'un sac à main pour dame.
J'étais soulagé. Je me disais que la phase deux s'était bien terminée. J'avais tort, évidemment.
J'étais soulagé. Je me disais que la phase deux s'était bien terminée. J'avais tort, évidemment.
Mes cheveux commençaient à pousser. Louise me dit que je ne devais
pas les couper. Ils couvraient mes oreilles, presque jusqu'aux lobes. Ils me
donnaient un air peu soigné, et je fus soulagé quand Louise me dit que je
devais aller chez le coiffeur.
"Je t'ai pris rendez-vous chez Suzette," m'annonça-t-elle.
Suzette était sa coiffeuse. Je compris tout de suite que ce n'était pas une
bonne nouvelle quand elle ajouta: "Je pense que quelques mèches blondes
t'iraient bien."
Je n'osais pas me plaindre. Je connaissais le choix.
C'étaient les mèches blondes ou la rue.
Ainsi, le lundi suivant, j'allais au travail en portant un pantalon féminin sur une petite culotte, des bas et un porte-jarretelle. Sous ma chemise, je portais un soutien-gorge blanc et j'avais une nouvelle coiffure garnie de mèches décolorées.
Seule Janice sembla remarquer quelque chose: "j'aime ton nouveau look." Me dit-elle.
Je fus un instant tenté de lui dire que c'était de sa faute, mais je gardais le silence.
Ainsi, le lundi suivant, j'allais au travail en portant un pantalon féminin sur une petite culotte, des bas et un porte-jarretelle. Sous ma chemise, je portais un soutien-gorge blanc et j'avais une nouvelle coiffure garnie de mèches décolorées.
Seule Janice sembla remarquer quelque chose: "j'aime ton nouveau look." Me dit-elle.
Je fus un instant tenté de lui dire que c'était de sa faute, mais je gardais le silence.
Tout cela n'était pas encore la fin de la phase deux. Loin
de là. C'était désormais normal pour moi de porter un soutien-gorge, un
porte-jarretelle et des bas. Les rares fois où je ne portais pas ces
accessoires, j'avais des sensations étranges. Cela n'était jamais très long. La
plupart des fois où je ne les portais pas, c'était quand je me déshabillais pour
me préparer à me coucher, et que j'enfilais ma nuisette.
Je ne vous avais pas encore parlé de la nuisette? Ce fut
l'étape suivante, et j'avais encore cédé.
Désormais, je dormais en nuisette de satin et de dentelle. Personne d'autre ne pouvait le voir, donc cela n'avait pas vraiment d'importance, n'est-ce-pas?
Bien sûr, cela n'avait pas d'importance. Je restais un homme, aussi masculin que quand je ne portais pas de vêtements féminins.
Il me semblait que chaque jour, Louise ajoutait quelque chose dans mon "repositionnement". Un mois plus tard, mes ongles étaient vernis avec un vernis à ongles transparent. Ils étaient plus longs et entretenus. Je portais aussi un peu de parfum et un peu de mascara discret sur les cils.
Désormais, je dormais en nuisette de satin et de dentelle. Personne d'autre ne pouvait le voir, donc cela n'avait pas vraiment d'importance, n'est-ce-pas?
Bien sûr, cela n'avait pas d'importance. Je restais un homme, aussi masculin que quand je ne portais pas de vêtements féminins.
Il me semblait que chaque jour, Louise ajoutait quelque chose dans mon "repositionnement". Un mois plus tard, mes ongles étaient vernis avec un vernis à ongles transparent. Ils étaient plus longs et entretenus. Je portais aussi un peu de parfum et un peu de mascara discret sur les cils.
Peu à peu, je portais de plus en plus de maquillage, en
prenant soin de garder un look naturel. Je commençais aussi à porter des
chaussures pour dames. C'étaient des chaussures plates, qui pouvaient passer
pour des chaussures pour hommes, mais elles étaient définitivement pour femmes.
A mon poignet, je portais également un délicat bracelet qui n'avait rien de
masculin.
Louise m'acheta une montre pour dame et insista pour que je
la porte. Je commençais aussi à porter des bas fins, non sans avoir d'abord
rasé mes jambes. Bientôt j'étais épilé sur l'ensemble de mon corps. Ensuite,
Louise m'offrit des chemisiers pour dames. Ils étaient simples, de couleur
crème, blanche, ou bleue pâle. Ils auraient pu être confondus avec une chemise
d'homme, mais je me rendis compte qu'avec ces chemisiers, je ne portais plus
aucun article de vêtement masculin.
Quand je me regardais dans le miroir, je voyais une créature androgyne sans poitrine. Mon "repositionnement" était-il complet?
Quand je me regardais dans le miroir, je voyais une créature androgyne sans poitrine. Mon "repositionnement" était-il complet?
Louise avait commencé à m'appeler Bobbie. Janice, au travail
commença aussi à m'appeler ainsi, avant d'être imitée par d'autres collègues. Louise
me parlait également au féminin, me traitant de "bonne fille" quand
elle voulait me féliciter.
A notre rendez-vous suivant chez Suzette, tandis que je prenais place, Louise demanda pour moi: "Un simple brushing et un éclaircissement des mèches pour elle, s'il-vous-plait Suzette. Et puis, pouvez-vous aussi lui affiner ses sourcils?"
A notre rendez-vous suivant chez Suzette, tandis que je prenais place, Louise demanda pour moi: "Un simple brushing et un éclaircissement des mèches pour elle, s'il-vous-plait Suzette. Et puis, pouvez-vous aussi lui affiner ses sourcils?"
J'étais désormais "elle". Une fois de plus, je ne
protestais pas et mon "repositionnement" se poursuivait.
Peu après, mes oreilles furent percées et je portais des
boucles d'oreilles. Pour mon anniversaire, Louise m'offrit un joli collier que
je portais régulièrement.
Mes cheveux atteignaient maintenant mes épaules. Ma réflexion dans le miroir était toujours androgyne, avec une poitrine plate, mais désormais plus féminine que masculine.
Je commençais à me considérer comme une femme.
Un soir, après mon retour du travail, Louise me dit qu'elle avait un nouveau cadeau pour moi.
Mes cheveux atteignaient maintenant mes épaules. Ma réflexion dans le miroir était toujours androgyne, avec une poitrine plate, mais désormais plus féminine que masculine.
Je commençais à me considérer comme une femme.
Un soir, après mon retour du travail, Louise me dit qu'elle avait un nouveau cadeau pour moi.
Elle me donna une boîte qui contenait une paire de faux seins.
Ils étaient assez gros pour tenir dans un soutien-gorge avec des bonnets de
taille C.
J'avais le souffle coupé.
J'avais le souffle coupé.
"Je ne te demande pas de les porter maintenant,"
Me dit-elle, "mais tu demanderas bientôt toi-même à les porter."
Je souriais. Je ne voyais pas pourquoi je voudrais porter
ces faux seins.
Le week-end suivant, nous étions au centre commercial, à
visiter plusieurs boutiques de vêtements. En passant dans un rayon, Louise me
demanda: "Te sens-tu prête à porter une jupe?"
Je protestais: "Une jupe? Non, je suis un gars, pas une
fille."
"Chéri, regarde-toi. Tu portes du maquillage, du
parfum, des bijoux, du vernis à ongles, un soutien-gorge, une petite culotte,
un porte-jarretelle, des bas, des escarpins, une blouse et un pantalon féminin.
Tu as un sac à main, tes oreilles sont percées, et à ton poignet, il y a une
montre pour dame. Alors, es-tu un gars ou une fille?"
Une larme coula sur ma joue. Je le savais. Je ne pouvais
plus répondre que j'étais Robbie. J'étais Bobbie.
"Regarde Bobbie," Me dit ma femme, "Je suis
sûre que cette jupe t'irait bien. Avec une paire de chaussures à talons. Pas
pour le travail, bien sûr, juste pour la maison. Tu vas devoir accepter si tu
veux compléter ton 'repositionnement'. Mais je peux comprendre que tu ne sois
pas encore prête."
Je laissais échapper un soupir de soulagement.
"Je suggère que nous t'achetions quelques jupes aujourd'hui.
Inutile de les essayer. Je connais ta taille. Je les mettrais dans ta
garde-robe jusqu'à ce que tu te sentes prête à les porter. Cela me parait
juste, non?"
Je hochais la tête.
"Ensuite, nous allons t'acheter quelques paires de
chaussures, d'accord?"
Encore une fois, je hochais la tête. Les chaussures ne me
dérangeaient pas. Par contre, je ne voulais pas porter de jupe. J'étais soulagé
que louise ne me force pas à en porter.
Je suivais Louise des yeux tandis qu'elle sélectionnait quelques jupes à ma taille. Une noire qui s'arrêtait au niveau du genou, une autre qui descendait jusqu'aux mollets, et deux mini-jupes. Elle choisit ensuite quelques hauts pour moi avant d'acheter une robe d'été en coton rose. Tout cela allait coûter cher, mais l'emploi de Louise était très bien rémunéré.
Ensuite, dans une boutique de chaussures, elle me fit essayer une paire de sandales avec un talon de 8 cm, ainsi que des escarpins vernis noirs avec un talon de 10 cm.
Je suivais Louise des yeux tandis qu'elle sélectionnait quelques jupes à ma taille. Une noire qui s'arrêtait au niveau du genou, une autre qui descendait jusqu'aux mollets, et deux mini-jupes. Elle choisit ensuite quelques hauts pour moi avant d'acheter une robe d'été en coton rose. Tout cela allait coûter cher, mais l'emploi de Louise était très bien rémunéré.
Ensuite, dans une boutique de chaussures, elle me fit essayer une paire de sandales avec un talon de 8 cm, ainsi que des escarpins vernis noirs avec un talon de 10 cm.
Les deux paires étaient à ma taille, mais j'avais du mal à marcher
ou simplement à me mettre debout en les portant.
"Nous allons prendre les deux paires." Dit Louise
à la vendeuse.
L'ensemble de mes nouveaux vêtements furent rangés dans ma garde-robe, et les deux paires de chaussures dans le placard. Je me disais que je ne porterais jamais de jupe ou de chaussures à talons.
Après cela, Louise ne me mit plus la pression à propos de mon "repositionnement".
L'ensemble de mes nouveaux vêtements furent rangés dans ma garde-robe, et les deux paires de chaussures dans le placard. Je me disais que je ne porterais jamais de jupe ou de chaussures à talons.
Après cela, Louise ne me mit plus la pression à propos de mon "repositionnement".
A l'occasion, elle me faisait porter un rouge à lèvres vif
ou un vernis à ongles, rose. Une ou deux fois, elle m'a prêté une paire de
boucles d'oreilles pendantes. Suzette entretenait mes cheveux pour qu'ils
restent au niveau de mes épaules.
Mais c'était tout. J'étais encore Bobbie, l'androgyne sans poitrine. Louise m'acheta même des collants. Elle disait qu'ils étaient plus pratiques que les bas, et je crois qu'elle avait raison. Je travaillais toujours au bureau, où personne ne me traitait différemment, mis à part qu'ils m'appelaient tous Bobbie. Un soir, Janice me demanda si je voulais faire une sortie entre filles avec "les autres filles du bureau". Ce soir-là, je m'efforçais de parler avec une voix plus douce.
Mais c'était tout. J'étais encore Bobbie, l'androgyne sans poitrine. Louise m'acheta même des collants. Elle disait qu'ils étaient plus pratiques que les bas, et je crois qu'elle avait raison. Je travaillais toujours au bureau, où personne ne me traitait différemment, mis à part qu'ils m'appelaient tous Bobbie. Un soir, Janice me demanda si je voulais faire une sortie entre filles avec "les autres filles du bureau". Ce soir-là, je m'efforçais de parler avec une voix plus douce.
La vie était belle. Curieusement, notre vie sexuelle avec ma
femme était meilleure que jamais. Louise semblait aimer voir son mari en
nuisette de soie, et nous dormions dans des tenues assorties.
Un samedi d'été, Louise dut aller à son travail pour une
réunion d'urgence. La maison était chaude et étouffante et j'étais mal à l'aise
avec mes chaussures, mes pantalons, mes collants et mon soutien-gorge. Nous
n'avions pas de climatisation. Il faisait si chaud que mon maquillage coulait.
Je me préparais une boisson fraiche dans la cuisine quand je
repensais soudain à la robe d'été que Louise m'avait achetée. Je me demandais:
"Est-ce que ce serait plus confortable un jour comme aujourd'hui?"
Peut-être pouvais-je essayer. Louise n'en saurait jamais
rien. Je montais dans la chambre et retirais tout sauf ma culotte et mon
soutien-gorge. J'ouvris la garde-robe et en sortis la robe d'été rose pâle. Puis
je jetais un coup d'œil aux sandales. Cinq minutes plus tard, je me regardais
dans le miroir, avec la robe et les sandales à talons. Je me sentais bien, bien
mieux qu'en pantalon. Je relevais mes cheveux en deux couettes pour qu'ils ne
touchent plus mes épaules, ce qui me donna une agréable sensation de fraicheur.
J'attachais donc chaque couette avec un ruban rose.
Je décidais de rester ainsi, avec la robe, les sandales, et
les couettes parce que c'était plus agréable.
Quand Louise rentra du travail, elle me complimenta pour mon
nouveau look.
"Tu es une très jolie fille!" Me dit-elle, en
m'encourageant à rester ainsi pour la journée.
Avec cette chaleur, je n'avais pas besoin d'encouragement supplémentaire.
Bien sûr, maintenant que j'avais volontairement porté une
robe, le dernier tabou avait été franchi. Louise me poussa à porter des jupes à
la maison, plutôt que des pantalons, en précisant que j'avais de jolies jambes.
J'étais ravi d'accepter, avec la chaleur qui se poursuivait. Rapidement,
j'avais trois jupes préférées que je portais plus souvent, une mini-jupe en
jean, une jupe courte noire fendue à l'arrière, et une mini-jupe plissée rose,
qui était la plus courte du lot.
Louise me montra comment m'assoir en jupe, de manière à ce qu'on ne voie pas ma culotte. Elle m'apprit aussi à marcher en talons hauts, en balançant mes hanches.
Un jour, en me regardant dans le miroir, je décidais que quelque chose était nécessaire pour compléter mon apparence. Je pris les faux seins dans le tiroir où ils étaient rangés et les glissais dans mon soutien-gorge. Je portais un soutien-gorge depuis plus d'un an sans raison. Après avoir remis en place mon haut, je m'admirais dans le miroir.
Louise me montra comment m'assoir en jupe, de manière à ce qu'on ne voie pas ma culotte. Elle m'apprit aussi à marcher en talons hauts, en balançant mes hanches.
Un jour, en me regardant dans le miroir, je décidais que quelque chose était nécessaire pour compléter mon apparence. Je pris les faux seins dans le tiroir où ils étaient rangés et les glissais dans mon soutien-gorge. Je portais un soutien-gorge depuis plus d'un an sans raison. Après avoir remis en place mon haut, je m'admirais dans le miroir.
J'étais désormais complètement une fille, et une plutôt
jolie fille en plus. Louise aimait mes seins. Elle me les caressait en disant
que mon "repositionnement" était presque complet.
Elle me dit qu'il était temps de quitter mon emploi. Suzette
cherchait une apprentie pour son salon de coiffure. La rémunération ne serait
pas extraordinaire pour les deux premières années, mais ensuite, cela pouvait
être un bon début de carrière pour Bobbie.
Elle me demanda si je serais intéressé.
Je répondis timidement: "Oui."
Elle me sourit: "C'est une bonne chose, parce que j'ai
déjà dit à Suzette que tu aimerais ce travail et que tu commenceras lundi matin
à 9h. Oh, tant que j'y pense, on s'attendra à te voir porter une jupe et des
talons. D'accord?"
J'étais tout à coup anxieux. Je n'étais jamais sorti en
jupe.
"Ne t'inquiètes pas. Tout ira bien. Tu as de très jolies jambes!"
"Ne t'inquiètes pas. Tout ira bien. Tu as de très jolies jambes!"
Je souriais: "Merci. Bon, alors je commence
lundi?"
Maintenant, je travaille comme coiffeuse. J'ai une
qualification de coiffeuse styliste. C'est génial de travailler là parce que je
peux changer de coiffure, avoir des soins du visage, ou une manucure à chaque
fois que j'en ai envie. En ce moment, mes cheveux sont roux avec des mèches
blondes. Et qu'est-ce que je porte? Une jupe très courte bien sûr! J'ai
beaucoup de travail aujourd'hui, et je n'aurais sans doute pas le temps de
m'assoir. C'est plutôt une bonne chose. Ma jupe est si courte que ma culotte se
verrait. Je porte aussi une nouvelle paire de bottes à talons aiguille.
Et comment se passent les choses avec Louise? C'est génial. Elle aime me voir très belle. Parfois, elle m'emprunte l'une de mes mini-jupes, mais seulement à la maison. Elle est si sexy. Elle sait que je ne m'intéresserais jamais à une autre femme. D'ailleurs, quelle chance aurais-je habillé ainsi?
Et comment se passent les choses avec Louise? C'est génial. Elle aime me voir très belle. Parfois, elle m'emprunte l'une de mes mini-jupes, mais seulement à la maison. Elle est si sexy. Elle sait que je ne m'intéresserais jamais à une autre femme. D'ailleurs, quelle chance aurais-je habillé ainsi?
Louise dit parfois que mon "repositionnement"
n'est pas terminé. Elle dit que ce ne sera fini qu'après un rendez-vous avec
Charlie et Harry, deux types de son bureau. Apparemment, Charlie ne cesse de la
draguer et de demander si elle a une amie à présenter à Harry. Elle dit que
c'est un mec viril, mais plutôt timide.
Cela va-t-il arriver? Je ne sais pas. Il ne faut
jamais dire jamais, mais je ne me sens pas encore prêt à cela. Maintenant,
excusez-moi, je dois vous laisser. J'ai un client.
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