Il y a déjà plusieurs mois, je suivais régulièrement un site hélas disparu. Ce site présentait des "captions" en anglais créées par "Sissy Bimbo".
J'espère que cet auteur ne m'en voudra pas de publier ici les traductions de ses créations.
Étranges fantasmes que ceux-ci: La féminisation d'hommes ou de garçons. Des histoires imaginaires, illustrées ou non, de garçons transformés en filles, bien souvent contre leur gré. Blog réservé aux adultes, même si les histoires et les illustrations resteront très "soft".
Il y a déjà plusieurs mois, je suivais régulièrement un site hélas disparu. Ce site présentait des "captions" en anglais créées par "Sissy Bimbo".
J'espère que cet auteur ne m'en voudra pas de publier ici les traductions de ses créations.
Les lettres publiées sur le site "Petticoat Discipline Quarterly" (fermé depuis quelques mois) racontaient des témoignages de "petticoat discipline" (discipline par le jupon, ou "enjuponnage")
Une bonne solution
Chère Helga,
J'ai lu avec intérêt les nombreuses lettres d'épouses et de mères qui souhaitent contrôler les activités sexuelles non autorisées et les émissions qui en résultent chez leurs "filles".
Il y a quelques années, j'en avais assez de l'attitude machiste et de la paresse de mon mari. J'envisageais de le quitter et de voler de mes propres ailes lorsque j'ai découvert qu'il fréquentait des sites pornographiques mettant en scène de la féminisation forcée et des actrices porno transsexuelles. Comme il semblait avoir un penchant pour ce genre de choses, quelques recherches plus poussées m'ont convaincue qu'une solution était peut-être à portée de main.
Je lui ai lancé un ultimatum. Soit il devenait Susan, ma servante féminisée à domicile, soit je partais, point final. Après moult discussions et débats, il a accepté. Je n'ai pas perdu de temps. J'ai immédiatement jeté tous ses vêtements masculins et nous sommes allés acheter de la lingerie, des pantalons moulants pour femmes, des chemisiers, des ballerines et quelques sacs à main. De retour à la maison, je l'ai habillé: soutien-gorge, culotte, pantalon, chemisier en soie et ballerines. Je lui ai demandé de mettre ce dont il avait besoin dans son sac à main, je l'ai maquillé et nous sommes allés au salon de beauté. Il a été coiffé de la manière la plus féminine possible, ses sourcils ont été épilés et mis en forme, des ongles en acrylique ont été posés sur ses doigts et il s'est fait percer les oreilles. La semaine suivante, il a commencé l'épilation de sa barbe par électrolyse. Il était très, très mécontent, ressemblant plus à une sissy qu'à un homme ou une femme. Je lui ai dit qu'il allait pouvoir s'habiller comme une femme "normale" quand il le mériterait.
Il a finalement appris quelle était sa place: rester à la maison, faire
toutes les tâches ménagères, la cuisine et les courses, etc. Il aimait en fait
porter de jolis uniformes de bonne à froufrous, à ma grande surprise.
Le problème était que sa libido était toujours hors de contrôle et qu'il
passait un temps insupportable à se masturber, voire à avoir des orgasmes
spontanés, souillant sa culotte de façon répugnante. J'ai insisté pour qu'il
porte des serviettes hygiéniques féminines sous sa culotte, ce qui a résolu
certains symptômes, mais pas tout le problème. J'ai commencé à le maintenir
très serré dans une culotte gaff, mais j'en ai eu assez des gémissements
incessants sur l'étroitesse et l'inconfort de la gaff. J'ai sérieusement
envisagé la cage de chasteté, mais j'ai finalement trouvé une solution plus
simple: la castration.
J'ai pris rendez-vous avec un médecin dans une grande ville voisine et, le jour
J, j'ai conseillé à Susan de mettre une culotte en coton, des bas, et non des
collants, et une robe ample. Il a obéi, ignorant ce qui l'attendait. Une fois
chez le médecin, lorsqu'il a appris qu'il était là pour qu'on lui enlève les
testicules, il a piqué une crise, se comportant comme une "drama
queen". Après une bonne fessée et une bonne discussion, il a consenti,
même s'il avait ruiné son maquillage à force de pleurer. Je l'ai remaquillé et
lui ai tenu la main avec amour pendant que le médecin lui coupait ses
testicules inutiles et le suturait.
Depuis, Susan est devenue beaucoup plus passive et docile. Il se dispute
rarement avec moi et, s'il le fait, un simple mot sec ou une petite tape sur
les fesses suffit généralement à le calmer. Il a suivi une école d'esthétique
et travaille maintenant à temps plein comme esthéticienne. Il fait aussi un
excellent travail ménager, même si je l'aide de temps en temps. Il est sous
hormones et nous avons fait changer son nom. Il est tellement plus heureux
d'être libéré de son intoxication à la testostérone.
Je joins une photo de mon mari, heureux et féminin. Elle a été prise environ trois semaines après sa castration.
Madeline
Version originale de ces captions sur le forum russe http://madhouse.ucoz.ru/ (anciennement tg-wonderland)
Un témoignage trouvé sur le forum:
https://newagelifestyle.createaforum.com/index.php
Nouveau ici, mais hésitant
Je ne suis pas sûr d'avoir ma place sur ce site, alors peut-être que vos réponses me le diront. Laissez-moi d'abord vous parler de ma situation. Il y a deux ans, on m'a diagnostiqué une maladie traitable par des médicaments. Le médecin m'a dit qu'un effet secondaire du médicament pouvait provoquer une croissance mammaire chez certains hommes. Six mois plus tard, j'étais parmi ces hommes qui commencent à avoir des seins. Même si je savais que c'était possible, cela ne m'a pas aidé à mieux gérer la situation. Ma femme m'a toujours soutenu dans tous mes choix. Elle m'a rapporté quelques soutiens gorges, car je me plaignais de trimballer mes seins partout avec moi. J'ai acquis beaucoup plus de respect pour les femmes à forte poitrine, c'est sûr. Je ne voulais pas avoir de seins ni porter de soutien-gorge, même avec une femme qui me soutenait. Six mois plus tard, il était temps de porter un soutien-gorge à bonnets plus grands, alors ma femme m'en a rapporté un nouveau, accompagné d'une culotte assortie. Je lui ai fait comprendre que les petites culottes n'étaient pas mon truc, ce qui lui convenait parfaitement. Ma femme m'a dit que si je voulais les essayer ou les porter, elle serait d'accord. Un matin, après ma douche, j'ai trouvé cette culotte sur mon lit avec le soutien-gorge assorti. Je suppose que ma femme voulait me pousser à les porter tous les deux, alors je l'ai fait. À ma grande surprise, la culotte m'allait bien et je l'ai bien aimée. Même si je me sentais extrêmement gêné de porter un soutien-gorge et une petite culotte devant ma femme, ça ne la dérangeait pas du tout.
Au fil des semaines, ma femme m'a acheté quelques soutiens gorges supplémentaires, car ma poitrine avait plus ou moins cessé de pousser, ainsi qu'une sélection de petites culottes. Elle m'a convaincu de porter une nuisette au lit et même de me raser les jambes. Je craignais qu'elle ne cesse de m'aimer ou ne me trouve bizarre. Un jour, elle m'a prouvé le contraire en rapportant à la maison une robe, une jupe, un chemisier et une paire de talons hauts. Sous le choc, j'ai voulu savoir ce qu'elle manigançait. Ma femme m'a expliqué qu'elle voulait me voir en robe depuis que j'avais des seins. Elle pensait que je pourrais être bien en robe et que ça me plairait. Bien sûr, j'ai refusé pendant quelques jours, puis ma femme a insisté pour que j'essaye au moins. À sa grande surprise, tout m'allait plutôt bien, même les talons hauts. Je me suis senti complètement bizarre en me voyant dans le miroir. Ma femme m'a dit qu'avec mes cheveux longs, j'étais vraiment très jolie et qu'elle adorait ça. Je me suis dit: "Tu plaisantes", mais ma femme m'a répété que j'étais très jolie. Nous en avons parlé au dîner, et ma femme était ravie que je lui permette au moins d'expérimenter avec moi. J'ai eu du mal à refuser, car elle m'avait toujours soutenu, moi et ma poitrine. Ma femme m'a dit que ma poitrine m'enlevait mon prétendu air viril et lui avait fait découvrir un nouveau moi qu'elle aimait beaucoup. Elle a ajouté qu'elle aimerait que je m'habille désormais de façon plus féminine à la maison. J'ai cru qu'elle plaisantait, mais non. Au fil du temps, je me suis retrouvé à m'épiler les jambes et les aisselles, comme ma femme. Elle m'a aussi acheté des robes pour que je puisse porter quelque chose de différent chaque jour.
Me voilà donc, un mari féminisé avec une femme heureuse. Oui, je ne porte que des vêtements féminins quand je suis à la maison. Non, je ne sors pas habillé de la même façon, mais je porte toujours un de mes soutiens gorges, ce qui attire les regards et les sourires des gens.
Voilà mon histoire, ou mon cauchemar? À vous de voir.
Merci de m'avoir accordé du temps pour lire cette lettre.
Connie… désormais
Diverses réactions, et réponses ont suivi, que je ne traduirais pas ici, et "Connie" a répondu ou réagi pour donner plus de détails, ou raconter la suite de ses aventures.