Les lettres publiées sur le site "Petticoat Discipline Quarterly" (fermé depuis quelques mois) racontaient des témoignages de "petticoat discipline" (discipline par le jupon, ou "enjuponnage")
Beau-fils enfin utile
Par Kay
Chère Helga,
Je m'appelle Kay, j'ai 29 ans. Je suis lesbienne et je suis en couple depuis trois ans. Elle s'appelle Lauren, elle a 43 ans et elle a un fils que nous appelons maintenant Belle (anciennement Ben) et qui a 23 ans. Parfois, nous l'appelons notre petite Bellaweena. Je dois préciser que je suis dominatrice professionnelle et que j'aime beaucoup mon travail… et mes clients aussi, c'est certain. Lauren et moi nous sommes rencontrées par l'intermédiaire d'une amie et avons commencé une relation. Juste avant son divorce, elle avait admis être attirée par les femmes plutôt que par les hommes. Au moment de notre rencontre, elle était divorcée de son mari, qui la maltraitait émotionnellement, depuis cinq ans. Je lui ai promis que j'utiliserais mes talents d'UFC/combat pour lui botter le cul s'il essayait de lui causer des ennuis. Je pense qu'elle a été charmée et réconfortée par cela. Nous sommes donc tombées amoureuses et moins d'un an plus tard, j'emménageais avec elle.
Son fils, alors âgé de 21 ans, ne m'appréciait guère, car j'assumais un rôle parental. Peu m'importait qu'il ne soit pas mon fils biologique, ni qu'il soit adulte et seulement plus jeune de six ans que moi. Comme il vivait sous le même toit que nous, j'attendais de lui qu'il suive mes règles comme il le ferait avec sa mère. Mais il continuait à me défier. Je voulais le remettre à sa place pour son manque de respect. Dans mon esprit sombre, je me suis mise à fantasmer sur l'idée de le soumettre, de nous divertir et de nous faire plaisir, Lauren et moi. La tactique ultime, selon moi, serait de le féminiser. Je laissais de subtiles allusions à Lauren, ici et là, lui expliquant que je voulais le rendre doux et féminin pour nous. Tellement plus facile à contrôler. Elle répondait toujours un peu de la même façon: "Oh, il ne nous laisserait pas faire ça." Je lui disais que j'étais une dominatrice, que je connaissais les méthodes. Elle disait des choses comme: "Oh, tu exagères avec tes idées perverses, Kay."
J'ai insisté jusqu'au jour où elle a compris que c'était une chose à laquelle je tenais vraiment. Un soir, je lui ai de nouveau présenté l'idée. Elle a commencé à me répondre: "Tu es sérieuse, n'est-ce-pas? J'y ai repensé l'autre jour, et ce n'est pas si fou que ça." Je lui ai dit que je l'aimais beaucoup et que je savais qu'elle aimait son fils, et donc que je ne ferais jamais rien sans son accord, mais je savais qu'elle commençait à envisager cette possibilité. Elle m'a dit qu'elle m'aimait et savait que je m'y connaissais très bien. Si je pensais que c'était une bonne chose pour nous, alors elle me faisait confiance. J'ai continué à discuter et à la convaincre, au point qu'elle est devenue très enthousiaste. Parmi mes arguments, il y avait le fait qu'il était un énorme fainéant. Il n'avait pratiquement pas travaillé depuis presque quatre ans, qu'il n'avait jamais rien fait pour aider à la maison, qu'il jouait à ses jeux vidéo stupides toute la journée, se gâchant la vie. J'ai également réussi à la convaincre en lui disant que nous ne voulions pas qu'il finisse comme son père. Je lui ai également montré des histoires et des articles que j'avais sauvegardés, prônant la discipline par le jupon. Elle a commencé à comprendre comment même les mâles les plus têtus peuvent être radicalement transformés par celles qui les aiment. Je lui ai fait comprendre que Lauren pourrait avoir une précieuse petite fille efféminée, douce, gentille et obéissante, et je lui ai assuré qu'il était très satisfaisant d'avoir un mâle féminisé à ses côtés pour la servir. Elle avait une certaine aversion pour le sexe masculin et commençait à penser qu'il serait judicieux d'éradiquer la masculinité de son fils, lui donnant ainsi une image bien plus désirable.
Mon amante adorée, Lauren, était désormais totalement partante et je lui ai expliqué le projet. Fascinée, j'avais toujours demandé à mes clients travestis où ils achetaient leurs vêtements, ce qui me permit de choisir parmi de nombreuses sources. Mon métier me rapportait pas mal d'argent, donc les dépenses ne seraient pas un problème. Sa mère et moi avons cherché de jolies robes pour sissys. Nous avons choisi les modèles qui nous plaisaient le plus, quatre robes au total: deux en satin – une rose et une bleue. Puis deux uniformes de soubrette en PVC – une blanche et une noire. Bien sûr, sa tenue n'allait pas être complète sans un ou deux jupons, n'est-ce pas? Nous ne pouvions que deviner ses mensurations, mais il s'est avéré que nous étions plutôt précises. Nous avons passé un bon moment à faire les magasins. Il aurait besoin d'être fermement attaché pendant sa formation initiale, mais bien sûr, j'étais bien approvisionnée en matériel de bondage. J'ai dit à Lauren que ce plan fonctionnerait mieux si elle n'était pas à la maison, alors elle est sortie pour la soirée avec une amie.
Les hommes,
surtout les plus jeunes, sont souvent attirés par tout ce qui est sexuel et se
transforment alors en zombies décérébrés. J'ai toujours préféré les vêtements
moulants et révélateurs, même pour une tenue décontractée. Je savais qu'il
était attiré par moi; je l'ai vu fixer mes seins et mes fesses d'un air idiot,
pensant que je ne le remarquais pas. C'était l'un de mes outils contre lui.
J'avais acheté des hamburgers à emporter pour son dîner.
Je fournis à mes clients un gel comestible pour stimuler l'excitation sexuelle,
que j'ai étalé dans le burger. Le gel agit très vite: en une dizaine de
minutes, il était dur comme la pierre. Je voyais à son visage que ça avait fait
effet, mais il n'allait pas se lever et repartir avec une érection fulgurante.
J'ai sorti mon téléphone et lui ai montré des photos de clients que j'avais féminisés,
en robe ou en lingerie, juste pour avoir sa réaction, pour avoir une idée de ce
à quoi j'allais avoir affaire. Bien sûr, il était agacé et dégoûté, oh, s'il
savait que ce serait bientôt son sort. Mon plan était de le séduire. Je lui ai
dit que je le trouvais sexy et que, puisque sa mère était sortie, on pouvait
faire ce qu'on voulait. Il était sans voix et médusé. Je lui ai dit que je
savais que j'avais été une garce avec lui et que je voulais me rattraper.
Je me suis levée, j'ai enlevé mon haut et baissé mon short pour lui révéler que
je portais ma lingerie la plus sexy. Il est resté bouche bée. Je me suis
approchée et je me suis assise sur ses genoux. J'ai dit: "Tu sais, ces
hommes efféminés en robe m'excitent vraiment." Il a bégayé: "V-vraiment?"
J'ai alors sorti un sac qu'il n'avait pas remarqué de sous la table et j'ai
sorti la robe en satin bleu. Je me suis dit que pour la première fois, il était
un peu plus susceptible d'essayer la bleue plutôt que la rose. "Tu sais
que ce serait vraiment sexy si tu essayais ça pour moi." Sortant presque
de sa torpeur, il a dit: "Quoi? Non, je ne porte pas ça!" "Oh,
s'il te plaît", ai-je dit, "Juste une minute, et après je te laisse
faire ce que tu veux de moi." Il a dit: "Juste une minute?" J'ai
dit: "Oui, une minute, promis, je te l'enfilerai même." Les hommes
sont faciles à manipuler quand ils sont excités, leurs décisions ne sont pas
toujours les plus judicieuses. Sans même qu'il réponde, je l'ai déshabillé… nu
et j'ai vu sa bite bien dure, tressauter et réclamer un peu d'attention. Je lui
ai dit d'un ton joueur: "Bras en l'air!" Très vite, j'ai enfilé la
robe sur lui et l'ai fermée, puis j'ai serré la ceinture. Je lui ai ensuite
demandé de se lever et de prendre une pose. Je lui ai montré quoi faire. D'abord,
la main devant la bouche et l'autre sur les hanches, puis, j'ai fait une
révérence, lui disant d'attraper la jupe comme je lui montrais. Il a accepté à
contrecœur. "Maintenant, continue à prendre ces deux poses pour moi."
Puis j'ai sorti mon téléphone. Il a tout de suite compris ce que j'allais faire
et il a brusquement cessé ses poses et a dit: "Hé, qu'est-ce que tu
fous?" et a essayé d'enlever sa robe.
Ce qu'il n'avait pas remarqué, c'est que j'avais installé un cadenas qui bloquait la fermeture après lui avoir enfilé. Ce cadenas et la ceinture l'empêchaient de l'enlever. "Comment ça se fait? Enlève-moi ça!" a-t-il exigé. J'ai dit d'un ton sévère: "Je l'enlèverai quand tu auras posé pour mes photos." Il n'a pas vu ça comme acceptable. Il a serré le poing et s'est approché de moi. Très vite, je l'ai serré dans mes bras, je l'ai soulevé de terre et je l'ai fait tomber. J'ai ensuite attrapé son poignet et je l'ai tordu. Il a gémi de douleur et a supplié que je le lâche. "Tu vas me laisser prendre de belles photos?" "OUI!" a-t-il crié. "Tu vas prendre les poses que je te demande?" "OUI, OUI, lâche-moi!"
Vaincu, il s'est levé. "Maintenant, prends les poses, et la tête bien droite! Regarde l'appareil photo et souris!" Après quelques clichés, je relevai sa jupe et lui demandai de la tenir ainsi, révélant son pénis encore en érection. Je pris d'autres photos tandis qu'il baissait la tête de honte. "Bon, ce n'était pas si difficile, non?" Je lui dis de se retourner et que j'enlèverais la robe. Je lui demandai de tendre la ceinture pour la défaire. Cela me donna l'occasion de le retenir, lui menottant le poignet avec une paire de menottes en cuir que j'avais cachées dans le même sac que la robe. Avant qu'il ne puisse balancer son autre bras, je le tirai et le menottai à son tour. "Hé!" dit-il, choqué. "Tais-toi!" Ai-je craché. J'appuyai alors du pied sur l'arrière de son genou, le forçant à s'agenouiller, attachant des menottes à ses chevilles. Finalement, debout derrière lui, j'ai pris un bâillon phallique et je l'ai enfoncé dans sa bouche. Il ne l'a pas vu venir et j'ai bouclé la sangle à sa nuque. "Regarde-toi, bien attaché, comme j'aime." Visiblement en colère et nerveux, il se débattait contre les menottes et gémissait dans le bâillon.
"Félicitations.
Tu vas découvrir une nouvelle vie, une vie où tu nous serviras, ta mère et moi.
Il est temps que tu serves à quelque chose." Il a commencé à se débattre
et à gémir encore plus fort. "Oh, tu n'aimes pas ça? Bon, ce n'est pas
grave, je vais poster ces photos sur tes réseaux sociaux, tu vois?" Je lui
ai montré l'écran de mon téléphone. "C'est ta page, non? Si je clique sur
'télécharger un fichier' et… oh, regarde ces photos qui apparaissent." Je
me suis levée et j'ai commencé à taper en faisant semblant: "Quelle
légende? Tu te sens féminine? Comment j'ai pu accéder à ton compte? Tu avais le
mot de passe noté sur un post-it dans ton tiroir, espèce d'idiot. Et tu ne
devrais pas utiliser le même mot de passe pour tout, petit crétin!" Il a
commencé à paniquer. Je lui ai caressé doucement le visage. "Chut,
calme-toi, ne t'inquiète pas, je ne posterai pas ça tant que tu coopères. Ça te
va?" Il a hoché la tête en se calmant. Je pris son menton dans ma main.
"Bon, écoute-moi bien. Ta mère et moi sommes d'accord: tu ne fais pas
grand-chose de valable, alors nous avons décidé de te faire changer. Tu es
désormais notre serviteur. Tu feras ce que nous te disons, quand nous le
disons. Si tu es sage, tu seras récompensé. Si tu te comportes mal, en
revanche, tu seras puni et crois-moi, tu ne veux pas ça. Tu comprends, ou
dois-je me répéter Hoche la tête si tu
comprends." Il a tristement hoché la tête. "Bien! Franchement, tu
devrais vouloir ça aussi, tu ne veux pas faire plaisir à ta mère? C'est ce
qu'elle veut pour toi, alors pour une fois dans ta vie, ne sois pas si
égoïste."
Je continuai de rire: "On dirait que ta libido t'a trompé! Tu étais
tellement aveuglé par ton excitation que tu t'es laissé piéger par mon plan.
Tes désirs virils insouciants peuvent vraiment te causer des ennuis, non?"
Il parut terriblement honteux de ce que je disais, sans doute d'accord avec mes
paroles. "Je vais appeler ta mère et lui dire que tout est prêt. Mais
d'abord…" Je l'aidai à se relever, le soulevant par les bras, puis lui
ordonnai de marcher. Les menottes aux chevilles étaient légèrement lâches, ce
qui permettait de marcher à petits pas. Je descendis l'escalier jusqu'au
sous-sol, sa nouvelle demeure. Je l'allongeai sur le dos sur un tapis en latex
rembourré. Je soulevai sa jupe pour accéder à son pénis, désormais beaucoup
plus mou après l'épreuve et l'élimination du gel. J'aperçus ce petit ver
répugnant et sus ce qu'il fallait faire. J'avais une cage de chasteté en acier,
de très haute qualité, avec plusieurs tailles d'anneaux. J'ai choisi une taille
plus grande que ce dont il avait besoin, par mesure de sécurité. J'aurais tout
le temps de lui faire un ajustement plus tard. Je connaissais très bien l'effet
de la chasteté sur les hommes, ce serait un élément essentiel de son éducation.
Je lui ai dit de se détendre, qu'il allait ressentir quelque chose. "Ce
que tu ressens sur ta pauvre petite bite, c'est une cage de chasteté. Tu vas
découvrir que tu ne peux pas bander complètement dedans et que jouir t'est
impossible. Tu la porteras désormais, à moins qu'on en décide autrement. Tes
orgasmes doivent se mériter, tu n'y aura droit qu'avec un bon comportement."
Je me suis alors allongée à côté de lui, le regardant droit dans les yeux, puis
j'ai attrapé la cage et commencé à la secouer pour le stimuler. Il a gémi
lorsqu'elle a commencé à gonfler et à durcir. Cela lui a confirmé que mes
paroles étaient vraies. Je l'ai taquiné en riant: "On est vraiment
impuissants!" Je l'ai aidé à se mettre sur le ventre. Prenant une corde,
j'ai attaché ses menottes aux chevilles et les ai serrées au maximum, le
laissant ligoté. Il était incapable de bouger, visiblement mal à l'aise et
peut-être avait-il un peu mal. Je lui ai dit que je savais que ce n'était pas
amusant, mais qu'il allait devoir s'y habituer, car il allait passer beaucoup
de temps comme ça. Finalement, la pièce de résistance, j'ai enlevé mon string
et l'ai mis sur sa tête, positionnant l'entrejambe sur son nez, un petit cadeau
pour le tourmenter toute la nuit. J'étais moi-même assez excitée depuis que
Lauren m'avait donné le feu vert... disons simplement que la culotte était 'bien
portée'. "Maintenant, ne bouge plus", ai-je taquiné. "Je reviens
plus tard, pense juste au plaisir qu'on va avoir." J'ai ri. J'ai appelé
Lauren, elle était si heureuse que tout se soit bien passé et impatiente
d'avoir terminé la première étape.
À son retour, elle avait hâte de le voir. Je lui ai souri en la serrant dans
mes bras et en lui faisant un gros bisou. J'étais tout aussi impatiente qu'elle
le voie. Elle a haleté, stupéfaite: "Oh mon Dieu, regarde-le! Si mignon et
si impuissant!" Il semblait perturbé par la réaction de sa mère, ce qui
lui confirmait sans doute qu'elle le soutenait dans son malheur. Elle l'a
examiné, ne sachant comment assimiler tout cela. "Oh Kay, c'est absolument
parfait. Merci beaucoup!" Elle a failli pleurer en me serrant dans ses
bras. "On ne peut plus revenir en arrière, il nous appartient. Laisse-moi
m'occuper de son éducation et je veillerai à ce qu'il nous serve bien."
Elle s'est adressée à son fils impuissant: "Tu aimeras ça, petit trésor?
Rendre maman et sa compagne heureuses? Être notre petite princesse?" Il a
gémi à nouveau à travers le bâillon. Dieu sait ce qu'il a répondu, mais j'ai
dit d'un ton moqueur: "Je crois qu'il a dit oui, il adorera ça!" Je
lui ai dit qu'on le laisserait ici pour la nuit, qu'il digère ce qui lui
arrivait. Il me fallait juste finir de le préparer pour la nuit. Il restait
encore ce petit problème de vessie. Il était à peine plus de 20 h et il allait
sûrement avoir envie de faire pipi d'ici le lendemain matin. J'ai pris un
paquet de couches jetables pour adultes et je lui en ai mis une paire. Je lui
ai tenu la main. "Ben, ou devrais-je dire Belle, comme on te nommera
désormais, je veux que tu t'assures que si tu as envie de faire pipi, tu le
feras, ce n'est pas bien de te retenir. Et si je descends demain et que ta
couche n'est pas mouillée, je vais être très en colère, et je te promets que tu
ne veux pas ça. Serre-moi la main si tu comprends." Il a serré ma main.
"C'est bien, essaie de dormir un peu, on a une grosse journée demain."
Nous sommes montés et avons verrouillé la porte du sous-sol. Nous avons discuté
de ce qui s'était passé et de la suite, et nous avons ri en voyant les photos
que j'avais prises de lui. Cette nuit-là, nous avons eu une relation sexuelle
incroyable, excitées par ces événements excitants.
Le lendemain matin, vers 6 heures, je suis allée le chercher, sans savoir s'il
avait dormi. "Bonjour Bellaweena! Bébé a fait pipi dans sa couche?"
J'étais contente de la trouver trempée. "Bravo, je suis très fière."
Je suis sûre qu'il aurait eu très honte d'être obligé de se pisser dessus. Son
corps s'est affalé d'épuisement après que j'ai défait la corde qui le ligotait.
J'ai retiré la couche, laissant ses fesses nues pour autre chose. J'avais
l'intention de commencer chaque journée par une fessée de routine. Il la
recevrait quel que soit son comportement. J'avais acheté un meuble BDSM appelé
'cheval à fessées'. À côté se trouve une cage à barreaux épais et un tapis en
latex rembourré. C'est là qu'il passerait ses nuits, à moins qu'il ne soit
ligoté. J'avais aussi un gros sac de bondage en caoutchouc dans lequel il
allait passer un moment bien au chaud. Je lui ai retiré les menottes, mais j'ai
gardé le masque-culotte, la bouche toujours bâillonnée. Je l'ai relevé d'un
coup sec et lui ai dit d'avancer. Je l'ai positionné au-dessus de la table et
l'ai attaché fermement. J'ai ressenti une bouffée d'énergie positive en
recevant le premier coup de la longue tapette. Son corps a sursauté et il a
crié. J'ai progressivement augmenté l'intensité des coups, observant sa
réaction et ce qu'il pouvait encaisser. Mais bientôt, j'ai augmenté la
puissance et je l'ai impitoyablement enfoncé dans le derrière, le faisant
hurler dans son bâillon. J'ai dû lui donner une trentaine de coups, me faisant
un plaisir fou. Ses fesses étaient rouge cramoisi et des larmes coulaient sur
son visage tout aussi rouge tandis qu'il sanglotait. "C'était amusant,
non? Tu peux t'attendre à ça tous les jours!"
Une fois libéré, je l'ai guidé vers la cuisine. Je l'ai assis sur une chaise et
j'ai finalement retiré son masque-culotte et son bâillon. Il a soupiré de
soulagement. Je l'ai averti de ne rien dire, il ne doit parler que lorsqu'on
lui adresse la parole. Même là, son vocabulaire sera limité. "Oui,
Maîtresse Kay" et "Oui, Maman" seraient ses seules réponses
acceptables. Il était temps de le nourrir, il devait avoir faim après son
calvaire. Malheureusement pour lui, son régime alimentaire serait désormais
restreint et sain, favorisant une silhouette mince et délicate. J'espère
vraiment qu'il a apprécié ce dernier burger, haha. Au petit-déjeuner, un bol de
flocons d'avoine avec du lait de soja, des noix, des graines de lin et des
fruits secs. Le soja, les graines de lin et les fruits secs sont excellents
pour stimuler les œstrogènes. Au déjeuner, des œufs durs et une salade de pois
chiches. Et au dîner, une assiette de poulet bouilli et de légumes vapeur. Pour
s'hydrater, il boit 3 bouteilles d'eau de 600 ml par jour. Je lui ai dit de
manger. Ayant faim, il a tout mangé avec joie, puis a bu la bouteille d'eau.
"Maintenant, on va t'habiller et te maquiller comme il faut pour ton
premier jour en tant que fille." Il était environ 18 h 30, un samedi,
c'était encore très tôt. J'ai dit à Lauren que son nouveau fils serait là à 9 h
pour lui servir le petit-déjeuner au lit.
En l'emmenant aux toilettes pour le déshabiller, je lui ai rappelé qu'il y
avait des photos de lui que je cherchais juste une excuse pour les publier. À
moins qu'il n'obéisse à mes ordres. Je lui ai aussi dit que s'il avait envie de
jouir à nouveau, ce serait une raison de plus pour m'écouter attentivement et
me faire plaisir. C'est là, dans le miroir de la salle de bain, qu'il s'est vu
pour la première fois, sans doute incrédule de porter une telle tenue. J'ai
ensuite retiré la robe, dénouant d'abord la ceinture, puis déverrouillant le
cadenas, abaissant la fermeture éclair, passant ses bras dans les manches
bouffantes et la laissant tomber par terre. Il se sentait visiblement très
exposé et vulnérable, nu devant moi. Je lui ai d'abord demandé s'il avait envie
de faire caca, ce à quoi il a répondu: "Je ne sais pas." Je l'ai
giflé violemment, il était stupéfait! Élevant légèrement la voix, j'ai craché:
"Qu'est-ce que j'ai dit avant? 'Oui Maîtresse Kay!' – 'Non Maîtresse Kay!'
Je ne lui ai même pas redemandé, je l'ai juste emmené aux toilettes et je l'ai
assis en lui disant qu'il avait dix minutes. J'ai fermé la porte et je l'ai
laissé tranquille pendant que je préparais quelques affaires. Lorsqu'on lui a
demandé s'il avait fait beaucoup, il a presque simplement répondu non avant de
se reprendre, par peur, et de dire: "Non… Maîtresse Kay." "Eh
bien, tu auras une autre chance ce soir."
Le laissant sous la douche, je lui ai appliqué de la crème dépilatoire sur tout
le corps. Quelques minutes plus tard, on a raclé tous les poils, lui laissant
une peau propre et lisse. Les sissies doivent être gentilles, douces et sans
poils, même s'il n'en avait pas beaucoup. C'était difficile de tout enlever de
son pubis avec la cage de chasteté en place, mais il aurait tout le temps de
corriger la situation plus tard. Après avoir rincé la crème, je l'ai fait
entrer dans le bain et laver son corps avec un savon hydratant crémeux, surtout
sur et autour de sa cage. Il a été alerté lorsque j'ai passé la main entre ses
fesses et que je l'ai lavé soigneusement. J'ai pris une brosse à dents et, au
lieu de dentifrice, j'ai passé les poils sur un pain de savon. Sans prévenir,
lui saisissant la mâchoire d'une main, je l'ai fourrée dans sa bouche et j'ai
commencé à brosser. Il avait des haut-le-cœur et s'étouffait de dégoût. J'ai
dit d'un ton moqueur: "Oups! Ce n'est pas du dentifrice! Tu vas en avoir
le goût pendant un moment, hein?" Après l'avoir séché dans une serviette
moelleuse, j'ai séché ses cheveux dans le style le plus féminin possible avec
les cheveux qu'il avait, puis j'ai généreusement appliqué une crème hydratante
pour la peau sur tout son corps.
Et maintenant, place à une surprise spéciale! Je lui ai ordonné de se pencher et de s'attraper les chevilles. Il a frissonné de surprise lorsque j'ai commencé à lubrifier son anus… en prévision de l'insertion d'un plug anal. Au début, de taille modeste et pour quelques heures par jour, j'allais progressivement en insérer des plus gros, plus longtemps. Lorsqu'il a senti la douleur, il s'est avancé et a résisté, puis a supplié: "Non, s'il te plaît, ne mets pas ça en moi." Je l'ai simplement regardé. "Tu as fini?" Je crois qu'il a soudain compris qu'il n'avait d'autre choix que d'obtempérer, sous la menace imminente de la publication de ses photos. Il s'est simplement remis en position. Il se sentirait violé et passif d'être rempli, et cela ruinerait sa confiance en lui. Je lui ai alors ordonné de marcher et de sentir l'effet. Cela lui a donné un balancement naturel des hanches et un fessier qui vacillait. Une fois la crème hydratante absorbée et séchée, j'ai appliqué des nuages de poudre parfumée pour bébé sur tout son corps pour plus de douceur. Je l'ai rassis; il devait sentir le plug appuyer plus fort, et je l'ai attaché à la chaise avec des sangles de cuir autour de sa poitrine, de ses hanches et de ses chevilles. Je lui ai ensuite dit qu'il avait besoin d'un joli maquillage et qu'il apprendrait bientôt à le faire lui-même.
Mon idée pour son visage était un look glamour un peu surchargé. D'abord, une application de fond de teint, avec quelques ombres pour lui donner une illusion de visage plus féminin. Ses sourcils n'avaient pas besoin d'être épilés, juste dessinés au crayon. Ses paupières étaient recouvertes d'un fard à paupières rose pailleté, avec un trait d'eye-liner en forme d'ailes. De longs faux cils épais qui voletaient magnifiquement lorsqu'il clignait des yeux. Et enfin, ses lèvres étaient recouvertes d'un rouge à lèvres mat rose vif. Impossible de décrire son visage en se regardant dans le miroir, et je doute qu'il ait trouvé les mots! "Tu passes tellement pour une fille, Belle, si jolie et sexy! Je parie que tous les garçons adoreraient passer du temps avec toi." Il n'a vraiment pas apprécié que je dise ça, haha.
Le libérant de sa chaise, je l'ai conduit à son ancienne chambre, qui allait devenir son 'vestiaire'. J'ai ouvert son armoire d'un coup. "Tous tes vieux vêtements sont partis, Belle, regarde toutes les jolies nouvelles choses que tu dois porter!" Ses yeux se sont écarquillés à la vue des robes. Je crois qu'il commençait à réaliser à quel point la situation était sérieuse et permanente. Je lui ai mis une couche propre. Les couches rendraient les choses un peu plus pratiques pour le moment, pas d'interruption pour aller aux toilettes. Ensuite, je l'ai assis sur son lit pour lui enfiler des bas. Des bas nylon blancs, avec de la dentelle et des nœuds en haut. Il a poussé un gémissement de plaisir coupable qu'il essayait visiblement de réprimer lorsque je les lui ai enroulés sur les jambes. "Tu peux en profiter, Belle, tu vois comme c'est agréable d'avoir des jambes douces et rasées?" Ses pieds faisaient à peu près la même pointure que les miens, alors j'ai enfilé une paire de bottines à talons de 12 cm… et celles-ci étaient verrouillées! "Tu ne les enlèveras pas, Belle", en fermant les cadenas. Je lui ai fait faire quelques cercles pour se familiariser avec. Évidemment, c'était bizarre pour lui, mais il s'en est sorti et c'était plutôt mignon à regarder. Pour sa silhouette et sa posture, j'ai enroulé un de mes corsets autour de lui, lui disant de rentrer le ventre pendant que je le serrais. Je parie qu'il commençait à se sentir piégé. Je lui ai fait enfiler un jupon très froufroutant et moelleux, puis, pour couronner le tout, j'ai fixé des rubans de satin dans ses cheveux. Aucune telle tenue ne serait complète sans une jolie robe. Les bras levés, j'ai baissé une robe de soubrette en PVC blanc avec des détails de froufrous rose vif. La jupe reposait parfaitement sur les vagues du jupon. J'ai reculé pour admirer mon travail: "Absolument magnifique! Tu es divine, tellement magnifique. Ta mère va adorer ce que je t'ai fait."
J'ai exigé
qu'il pose pour quelques photos. L'une en train d'envoyer un baiser, l'autre
les mains sur les genoux, la bouche ouverte. "Regarde-toi! Aucune fille au
monde ne se ferait prendre morte dans une tenue aussi guindée. Et pourtant,
elle te va si bien." Il avait vraiment l'air ridicule, et c'est ce que je
voulais dire par 'ça lui va si bien'. C'était une mauviette pathétique, et il était
parfait dans ce rôle! J'ai continué: "Et tu croyais vraiment que je te
désirais. Ha! Rêve. Seuls les hommes seraient intéressés par toi ainsi
apprêtée. On va peut-être créer ta propre page Instagram, et tu pourrais avoir
des milliers d'admirateurs, imagine." C'était hilarant de voir son air
d'humiliation totale en entendant mes mots. J'ai complété son uniforme en
attachant les menottes en cuir aux chevilles, encore une fois, avec suffisamment
de jeu pour bouger et travailler, mais pas assez pour une liberté totale. Et
enfin, j'ai attaché un objet que j'aime particulièrement, un collier et une
laisse en cuir rembourrés, pour le guider. La combinaison du plug anal, des
talons, du corset, des menottes aux chevilles et maintenant d'un collier sur
lequel tirer et tirer, lui donnait énormément de mal à se déplacer.
Il était un peu plus de 8h20, l'heure de son premier cours de cuisine. Il
n'avait jamais utilisé une poêle auparavant. Je lui ai appris à faire des œufs
brouillés, le plat préféré de Lauren. Il en a préparé pour moi aussi. Il savait
faire des tartines et de la confiture, et je supervisais la préparation du café
pour qu'il soit parfait. Je me suis muni d'une cravache, avec laquelle il
recevrait un coup violent s'il ne réussissait pas. Pour l'instant, je le
laissais perfectionner la révérence. Débutant, il prenait un coup de cravache
sur les cuisses et les bras après chacune des 20 tentatives. Lauren était déjà
assise dans son lit, visiblement affamée, mais aussi impatiente de voir son
fils complètement transformé. Nous sommes enfin arrivés. "Lauren, voici ta
nouvelle fille!" Elle a mis ses mains sur sa bouche, le souffle coupé, puis
s'est mise à pleurer de joie. "Oh mon Dieu, il est… Je n'ai pas de mots.
Regarde-le! Il est vraiment…" Elle était stupéfaite et de plus en plus
émue. Belle était humiliée et vaincue. J'étais satisfaite et fière. J'ai
effleuré ses cuisses avec la cravache. "Sers le petit-déjeuner à ta mère."
Oui, Maîtresse Kay. Il a répondu en avançant d'un pas traînant, mal à l'aise.
Lauren a dit: "Oh, il réagit tellement bien."… "Quelle chance il
a! De faire une aussi jolie fille."
Lauren était encore plus ravie lorsque Belle termina le service avec une
révérence. Tandis qu'elle savourait son petit-déjeuner, je la fis s'agenouiller
au pied de son lit pour masser les pieds de sa mère. Une fois son repas terminé
et son plateau pris, je lui fis masser les épaules et le dos. "Doucement,
mais fermement", lui dis-je. Lauren appréciait déjà très vite les
bienfaits d'un fils féminisé. Elle m'embrassa et me remercia avant d'aller
prendre une douche. J'en profitai pour commencer à entraîner Belle. Il devait ranger
tout ce qu'on avait utilisé depuis ce matin. D'abord, nettoyer les casseroles,
les assiettes, etc. du petit-déjeuner. Ensuite, récupérer sa robe de la veille,
qu'il fallait laver soigneusement à la main. Ainsi que les mienne et celle de
Lauren. Enfin, nettoyer la salle de bain. Il s'était mérité d'innombrables
coups de ma part, pour des erreurs, petites ou moyennes. Lauren nous rejoignit
plus tard et fit remarquer: "Regarde ça! Il range. Je n'aurais jamais cru
le voir faire ça." "Oh oui", répondis-je. "C'est lui qui
fera tout le ménage à partir de maintenant, nous n'aurons rien à faire!"
Tout cela n'a pas pris plus de quelques heures, mais il y avait d'autres choses
à apprendre ce jour-là.
Les récompenses sont tout aussi importantes que les punitions dans l'éducation
des mâles. Ils sont esclaves de leur libido et, comme je l'ai déjà dit, il me
matait sans cesse. Même pendant sa transformation ce matin, je l'ai surpris à
fixer désespérément mes seins à travers ma robe; c'est vraiment étrange comme
leur esprit fonctionne. J'avais prévu d'utiliser cela comme un renforcement
positif. Nous nous sommes tous réunis dans le salon. J'ai défait ma robe pour
lui dévoiler mes seins nus. Je lui ai dit: "C'est bon, tu peux les
toucher." Il m'a regardée comme si c'était un piège. J'ai attrapé sa main
et les ai posés sur ma poitrine. "Vas-y, prends-les, bouge-les, fais ce
que tu veux." Il a alors été surpris par la tension soudaine dans sa cage
de chasteté, une sensation encore assez inconnue pour lui. "Tu t'y
habitueras, concentre-toi sur moi… Maintenant, répète après moi: j'obéirai à
Maîtresse Kay en toutes circonstances." Après qu'il eut prononcé sa
réplique, j'ordonnai 'Encore' à chaque fois. Cela le conditionnerait à un point
où il voudrait me faire plaisir pour obtenir des récompenses sexuelles. Je lui
dis que nous ferions cela matin et soir, tant qu'il se comporterait bien et
obéirait. Je lui dis aussi qu'il avait beaucoup de chance, car seuls les
garçons féminisés ont le droit de toucher mes seins. C'était maintenant au tour
de sa mère de gagner son obéissance. Elle devrait l'encourager un peu plus,
puisqu'elle était sa mère. Je lui dis de se placer derrière lui et de tendre la
main pour attraper son pénis en cage. Je lui demandai de caresser lentement et
fermement la cage, en déplaçant son sexe entravé, appliquant ainsi une
stimulation inconfortable, mais agréable. Je lui dis que si elle le voulait,
elle pouvait aussi lui saisir délicatement les testicules, les frotter
doucement ou les tirer. Ou même appuyer sur son plug. Puis je dis à Belle de Je
dis: "J'obéirai toujours à ma mère." J'ai dit à Lauren de dire
doucement 'Encore' à son oreille chaque fois que la phrase était prononcée.
Les mâles ignorent aveuglément la situation dans laquelle ils se trouvent lorsque
la stimulation sexuelle entre en jeu. Bien que sa mère le stimule, il ne peut
s'empêcher de respirer bruyamment, de gémir et de savourer, même s'il est
évident qu'il est frustré d'être taquiné sans relâche. Pendant un an, nous
avons eu ces séances de caresses. Cette pratique lui a non seulement donné
l'état d'esprit d'obéir, mais l'a aussi nourri d'impatience. C'est nous qui lui
procurons ce plaisir, nous devons donc être respectées. C'était une petite récompense
quotidienne pour le conditionner. Il était toujours ravi de me toucher et
d'être touché. Cela maintenait son enthousiasme à un niveau élevé et
l'empêchait de sombrer dans la rébellion mentale, lui assurant ainsi un
serviteur fonctionnel.
Tandis que Lauren continuait de me stimuler, je m'habillai. Aujourd'hui, il
allait commencer à apprendre ses nouveaux rôles. Il sera responsable de toutes
les tâches ménagères. Lauren et moi ne lèverons plus le petit doigt tant que
nous aurons notre servante féminisée. Tirant sur la laisse, je le ramenai dans notre
chambre pour lui donner une leçon importante. "Tu me respecteras en tant
que supérieure. À GENOUX!" Je pris mon pied et lui fis toucher la tête par
terre. "Tu peux commencer par m'embrasser les pieds, qu'en dis-tu?" "Oui,
Maîtresse Kay". Répondit-il. "Embrasse mon pied de haut en bas, des
orteils jusqu'à la cheville, puis redescends." Tu devrais pouvoir faire au
moins huit bisous dans chaque sens, puis quand je te le dirai, tu passeras à
l'autre pied, tu comprends?" Il a donné la réponse habituelle et s'est
livré à une séance d'adoration des pieds décente, déposant des baisers baveux,
laissant de légères traces de rouge à lèvres… tout en se faisant caresser doucement
son dos avec ma cravache. J'ai ensuite tiré son col, le redressant. Je me suis
retournée pour approcher mes fesses de son visage et j'ai baissé mon pantalon.
Je pouvais sentir sa libido reprendre le dessus. "2 bisous sur chaque fesse,
puis 3, puis 4 et 5. Puis recommencer à partir de 2. Compris?! Pas trop vite,
maintenant." Une fois de plus, son exécution était satisfaisante. C'était
tellement incroyable de le voir me lécher les fesses et d'être si impuissant à
refuser. Après cela, je lui ai dit de me remercier et qu'il ferait de même avec
sa mère. C'est l'acte de respect ultime. Cela exprime une humble gratitude et
le fait qu'il nous craint suffisamment pour nous faire plaisir. Les baisers
expriment une sorte de supplication. Une imploration de pitié et de compassion.
Cela nous donne vraiment l'impression d'être de puissantes déesses!
Quand je
suis d'humeur sadique, je sabote son travail et je le fais refaire. L'astuce
est une petite technique appelée qui consiste à faire croire à la personne
qu'elle a fait quelque chose qu'elle était sûre de n'avoir pas fait, et elle
commence à se remettre en question. Le but est de la maintenir vigilante,
toujours attentive à ne pas commettre d'erreurs. Par exemple, une fois, il
avait parfaitement plié les draps, mais une fois sorti de la pièce, j'ai fait
un gros pli sur l'un d'eux au milieu de la pile. Après l'avoir grondé, j'ai
jeté tous les draps par terre et je l'ai obligé à les refaire. Une autre fois,
j'ai déposé quelques miettes et cheveux le long du bord de la moquette et je
l'ai obligé à passer l'aspirateur dans toute la maison pour 'tout récupérer'.
Ces petits sabotages sont facilement pris pour des oublis, ce qui lui donne
vraiment l'impression d'avoir mal agi.
En deux ans, notre petit Bellaweena a bien évolué et Lauren et moi sommes
ravies! Grâce à des enjuponnages vigoureux et stricts, avec une touche de
domination, il est devenu le petit chéri docile et obéissant qu'il est
aujourd'hui. Il nous prépare de délicieux repas tous les soirs et a droit à nos
restes si nous sommes d'humeur généreuse. Il est devenu expert en maquillage et
s'habille désormais lui-même, un paradoxe où il doit créer et assurer lui-même
sa propre dégradation et humiliation.
J'ai tenu ma promesse de lui donner les orgasmes qu'il avait mérités. Le moment
venu, je le masturbe jusqu'à l'orgasme, au prix de devoir lécher son foutre,
après quoi il déteste ça. Ces orgasmes sont cependant rares et de plus en plus
difficiles à obtenir. Je l'ai libéré après le premier mois, ce qui est assez
long pour quelqu'un qui n'est pas habitué à la chasteté. Après chaque
libération, j'augmentais le délai avant la suivante. Il devait attendre un mois
de plus que la dernière fois. En deux ans, il n'a eu que six orgasmes, dont une
éjaculation accidentelle lors de l'insertion d'un nouveau plug. Je sais que ce
n'était pas de sa faute, mais il a quand même été sévèrement puni.
Pour l'instant, il est suffisamment bien dressé pour ne plus avoir besoin d'une telle récompense. Pour ma part, sa chasteté est désormais permanente. (Mais il l'ignore, haha.) Bien sûr, j'ai une solide expérience des massages prostatiques si une traite est nécessaire. Je crois que sa chasteté de longue date a forcé son psychisme à remplacer ce qu'il trouvait autrefois désirable par un désir de douceur et d'autorité féminines. Finalement, la frustration et le besoin de libération l'ont inconsciemment poussé à apprécier ces choses comme un substitut. Après tout, les créatures doivent s'adapter pour survivre, et découvrir le bon côté des choses dans les situations difficiles fait partie de notre instinct. Il a été conditionné à accepter son statut et je commence à repérer des moments où il semble s'amuser, désireux de nous faire plaisir en échange d'attentions positives comme des compliments ou des taquineries sexuelles. Je suis contente qu'il s'habitue à son rôle, mais je mentirais si je disais que je n'aime pas voir ses moments de désespoir.
Nos vies ont été enrichies, car nous avons plus de temps pour nous détendre et profiter de notre vie. C'est comme si nous étions en vacances 24h/24 et 7j/7! Féminiser et dresser Ben était vraiment la bonne décision à prendre. La satisfaction de le posséder et de nous servir est indéfectible. J'attends avec impatience chaque nouveau jour et de nombreuses années de bonheur avec ma belle partenaire et notre adorable serviteur de fils.
Kay
Quel plaisir d'avoir de vos nouvelles, Kay. Merci pour votre message et pour
vos si gentils mots à propos de mon site. Merci également d'avoir inclus ta
charmante lettre décrivant la façon dont vous avez soigné votre beau-fils, un
fainéant qui avait manifestement besoin de l'aide que sa mère et toi lui
apportez, et dont la vie de tous s'est améliorée grâce à ce soin rigoureux.
Helga
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