Étranges fantasmes que ceux-ci: La féminisation d'hommes ou de garçons. Des histoires imaginaires, illustrées ou non, de garçons transformés en filles, bien souvent contre leur gré. Blog réservé aux adultes, même si les histoires et les illustrations resteront très "soft".
mardi 29 juillet 2025
dimanche 27 juillet 2025
lundi 21 juillet 2025
Traduction du russe. Auteur: Julia (Юлия)
Quelques créations de Julia, cet auteur russe, toujours avec son thème favori: "maman voulait avoir une fille."
samedi 19 juillet 2025
lundi 14 juillet 2025
Lettre de "Petticoat Discipline Quarterly"
Les lettres publiées sur le site "Petticoat Discipline Quarterly" (fermé depuis quelques mois) racontaient des témoignages de "petticoat discipline" (discipline par le jupon, ou "enjuponnage")
Beau-fils enfin utile
Par Kay
Chère Helga,
Je m'appelle Kay, j'ai 29 ans. Je suis lesbienne et je suis en couple depuis trois ans. Elle s'appelle Lauren, elle a 43 ans et elle a un fils que nous appelons maintenant Belle (anciennement Ben) et qui a 23 ans. Parfois, nous l'appelons notre petite Bellaweena. Je dois préciser que je suis dominatrice professionnelle et que j'aime beaucoup mon travail… et mes clients aussi, c'est certain. Lauren et moi nous sommes rencontrées par l'intermédiaire d'une amie et avons commencé une relation. Juste avant son divorce, elle avait admis être attirée par les femmes plutôt que par les hommes. Au moment de notre rencontre, elle était divorcée de son mari, qui la maltraitait émotionnellement, depuis cinq ans. Je lui ai promis que j'utiliserais mes talents d'UFC/combat pour lui botter le cul s'il essayait de lui causer des ennuis. Je pense qu'elle a été charmée et réconfortée par cela. Nous sommes donc tombées amoureuses et moins d'un an plus tard, j'emménageais avec elle.
Son fils, alors âgé de 21 ans, ne m'appréciait guère, car j'assumais un rôle parental. Peu m'importait qu'il ne soit pas mon fils biologique, ni qu'il soit adulte et seulement plus jeune de six ans que moi. Comme il vivait sous le même toit que nous, j'attendais de lui qu'il suive mes règles comme il le ferait avec sa mère. Mais il continuait à me défier. Je voulais le remettre à sa place pour son manque de respect. Dans mon esprit sombre, je me suis mise à fantasmer sur l'idée de le soumettre, de nous divertir et de nous faire plaisir, Lauren et moi. La tactique ultime, selon moi, serait de le féminiser. Je laissais de subtiles allusions à Lauren, ici et là, lui expliquant que je voulais le rendre doux et féminin pour nous. Tellement plus facile à contrôler. Elle répondait toujours un peu de la même façon: "Oh, il ne nous laisserait pas faire ça." Je lui disais que j'étais une dominatrice, que je connaissais les méthodes. Elle disait des choses comme: "Oh, tu exagères avec tes idées perverses, Kay."
J'ai insisté jusqu'au jour où elle a compris que c'était une chose à laquelle je tenais vraiment. Un soir, je lui ai de nouveau présenté l'idée. Elle a commencé à me répondre: "Tu es sérieuse, n'est-ce-pas? J'y ai repensé l'autre jour, et ce n'est pas si fou que ça." Je lui ai dit que je l'aimais beaucoup et que je savais qu'elle aimait son fils, et donc que je ne ferais jamais rien sans son accord, mais je savais qu'elle commençait à envisager cette possibilité. Elle m'a dit qu'elle m'aimait et savait que je m'y connaissais très bien. Si je pensais que c'était une bonne chose pour nous, alors elle me faisait confiance. J'ai continué à discuter et à la convaincre, au point qu'elle est devenue très enthousiaste. Parmi mes arguments, il y avait le fait qu'il était un énorme fainéant. Il n'avait pratiquement pas travaillé depuis presque quatre ans, qu'il n'avait jamais rien fait pour aider à la maison, qu'il jouait à ses jeux vidéo stupides toute la journée, se gâchant la vie. J'ai également réussi à la convaincre en lui disant que nous ne voulions pas qu'il finisse comme son père. Je lui ai également montré des histoires et des articles que j'avais sauvegardés, prônant la discipline par le jupon. Elle a commencé à comprendre comment même les mâles les plus têtus peuvent être radicalement transformés par celles qui les aiment. Je lui ai fait comprendre que Lauren pourrait avoir une précieuse petite fille efféminée, douce, gentille et obéissante, et je lui ai assuré qu'il était très satisfaisant d'avoir un mâle féminisé à ses côtés pour la servir. Elle avait une certaine aversion pour le sexe masculin et commençait à penser qu'il serait judicieux d'éradiquer la masculinité de son fils, lui donnant ainsi une image bien plus désirable.
Mon amante adorée, Lauren, était désormais totalement partante et je lui ai expliqué le projet. Fascinée, j'avais toujours demandé à mes clients travestis où ils achetaient leurs vêtements, ce qui me permit de choisir parmi de nombreuses sources. Mon métier me rapportait pas mal d'argent, donc les dépenses ne seraient pas un problème. Sa mère et moi avons cherché de jolies robes pour sissys. Nous avons choisi les modèles qui nous plaisaient le plus, quatre robes au total: deux en satin – une rose et une bleue. Puis deux uniformes de soubrette en PVC – une blanche et une noire. Bien sûr, sa tenue n'allait pas être complète sans un ou deux jupons, n'est-ce pas? Nous ne pouvions que deviner ses mensurations, mais il s'est avéré que nous étions plutôt précises. Nous avons passé un bon moment à faire les magasins. Il aurait besoin d'être fermement attaché pendant sa formation initiale, mais bien sûr, j'étais bien approvisionnée en matériel de bondage. J'ai dit à Lauren que ce plan fonctionnerait mieux si elle n'était pas à la maison, alors elle est sortie pour la soirée avec une amie.
Les hommes,
surtout les plus jeunes, sont souvent attirés par tout ce qui est sexuel et se
transforment alors en zombies décérébrés. J'ai toujours préféré les vêtements
moulants et révélateurs, même pour une tenue décontractée. Je savais qu'il
était attiré par moi; je l'ai vu fixer mes seins et mes fesses d'un air idiot,
pensant que je ne le remarquais pas. C'était l'un de mes outils contre lui.
J'avais acheté des hamburgers à emporter pour son dîner.
Je fournis à mes clients un gel comestible pour stimuler l'excitation sexuelle,
que j'ai étalé dans le burger. Le gel agit très vite: en une dizaine de
minutes, il était dur comme la pierre. Je voyais à son visage que ça avait fait
effet, mais il n'allait pas se lever et repartir avec une érection fulgurante.
J'ai sorti mon téléphone et lui ai montré des photos de clients que j'avais féminisés,
en robe ou en lingerie, juste pour avoir sa réaction, pour avoir une idée de ce
à quoi j'allais avoir affaire. Bien sûr, il était agacé et dégoûté, oh, s'il
savait que ce serait bientôt son sort. Mon plan était de le séduire. Je lui ai
dit que je le trouvais sexy et que, puisque sa mère était sortie, on pouvait
faire ce qu'on voulait. Il était sans voix et médusé. Je lui ai dit que je
savais que j'avais été une garce avec lui et que je voulais me rattraper.
Je me suis levée, j'ai enlevé mon haut et baissé mon short pour lui révéler que
je portais ma lingerie la plus sexy. Il est resté bouche bée. Je me suis
approchée et je me suis assise sur ses genoux. J'ai dit: "Tu sais, ces
hommes efféminés en robe m'excitent vraiment." Il a bégayé: "V-vraiment?"
J'ai alors sorti un sac qu'il n'avait pas remarqué de sous la table et j'ai
sorti la robe en satin bleu. Je me suis dit que pour la première fois, il était
un peu plus susceptible d'essayer la bleue plutôt que la rose. "Tu sais
que ce serait vraiment sexy si tu essayais ça pour moi." Sortant presque
de sa torpeur, il a dit: "Quoi? Non, je ne porte pas ça!" "Oh,
s'il te plaît", ai-je dit, "Juste une minute, et après je te laisse
faire ce que tu veux de moi." Il a dit: "Juste une minute?" J'ai
dit: "Oui, une minute, promis, je te l'enfilerai même." Les hommes
sont faciles à manipuler quand ils sont excités, leurs décisions ne sont pas
toujours les plus judicieuses. Sans même qu'il réponde, je l'ai déshabillé… nu
et j'ai vu sa bite bien dure, tressauter et réclamer un peu d'attention. Je lui
ai dit d'un ton joueur: "Bras en l'air!" Très vite, j'ai enfilé la
robe sur lui et l'ai fermée, puis j'ai serré la ceinture. Je lui ai ensuite
demandé de se lever et de prendre une pose. Je lui ai montré quoi faire. D'abord,
la main devant la bouche et l'autre sur les hanches, puis, j'ai fait une
révérence, lui disant d'attraper la jupe comme je lui montrais. Il a accepté à
contrecœur. "Maintenant, continue à prendre ces deux poses pour moi."
Puis j'ai sorti mon téléphone. Il a tout de suite compris ce que j'allais faire
et il a brusquement cessé ses poses et a dit: "Hé, qu'est-ce que tu
fous?" et a essayé d'enlever sa robe.
Ce qu'il n'avait pas remarqué, c'est que j'avais installé un cadenas qui bloquait la fermeture après lui avoir enfilé. Ce cadenas et la ceinture l'empêchaient de l'enlever. "Comment ça se fait? Enlève-moi ça!" a-t-il exigé. J'ai dit d'un ton sévère: "Je l'enlèverai quand tu auras posé pour mes photos." Il n'a pas vu ça comme acceptable. Il a serré le poing et s'est approché de moi. Très vite, je l'ai serré dans mes bras, je l'ai soulevé de terre et je l'ai fait tomber. J'ai ensuite attrapé son poignet et je l'ai tordu. Il a gémi de douleur et a supplié que je le lâche. "Tu vas me laisser prendre de belles photos?" "OUI!" a-t-il crié. "Tu vas prendre les poses que je te demande?" "OUI, OUI, lâche-moi!"
Vaincu, il s'est levé. "Maintenant, prends les poses, et la tête bien droite! Regarde l'appareil photo et souris!" Après quelques clichés, je relevai sa jupe et lui demandai de la tenir ainsi, révélant son pénis encore en érection. Je pris d'autres photos tandis qu'il baissait la tête de honte. "Bon, ce n'était pas si difficile, non?" Je lui dis de se retourner et que j'enlèverais la robe. Je lui demandai de tendre la ceinture pour la défaire. Cela me donna l'occasion de le retenir, lui menottant le poignet avec une paire de menottes en cuir que j'avais cachées dans le même sac que la robe. Avant qu'il ne puisse balancer son autre bras, je le tirai et le menottai à son tour. "Hé!" dit-il, choqué. "Tais-toi!" Ai-je craché. J'appuyai alors du pied sur l'arrière de son genou, le forçant à s'agenouiller, attachant des menottes à ses chevilles. Finalement, debout derrière lui, j'ai pris un bâillon phallique et je l'ai enfoncé dans sa bouche. Il ne l'a pas vu venir et j'ai bouclé la sangle à sa nuque. "Regarde-toi, bien attaché, comme j'aime." Visiblement en colère et nerveux, il se débattait contre les menottes et gémissait dans le bâillon.
dimanche 6 juillet 2025
jeudi 3 juillet 2025
Auteur original: Linda Trainer
Version originale sur le site: http://lindastgcaptions.blogspot.com/
Mauvaises nouvelles pour mon mari féminisé
"Ma chérie, as-tu une minute pour parler?" ai-je appelé du bas de l'escalier. Mon cher mari, Lily, est descendu aussitôt.
"Oui, Martha. Tu as besoin de quelque chose?" a-t-il demandé.
"Oh, tu es vraiment jolie aujourd'hui! Ce haut rose te va à ravir et met vraiment en valeur ton… développement. Et j'adore ce collier!" ai-je roucoulé.
"Merci, Martha", a-t-il répondu doucement. Je voyais bien qu'il était à la fois ravi et un peu gêné par mes compliments.
"Chérie, il faut qu'on parle. Je sais que tu attendais avec impatience nos vacances aux Bahamas, demain", ai-je commencé.
"Oh oui, Martha. Je n'attends que ça!" a-t-il répondu, ardent.
"Oui, eh bien", ai-je commencé. "Il y a eu un changement de programme. Tu n'y vas pas", ai-je dit d'un ton neutre. Complètement déstabilisé par mon annonce, il a répondu: "Quoi? Non! On prépare ce voyage depuis des mois!" Ses yeux commençaient à s'embuer. Cette annonce le mettait plutôt en colère.
"Allons, Lily, vraiment! Réfléchis-y. Regarde-toi. Regarde comme tu as changé! Tes cheveux, ta poitrine, tes hanches. Tu es devenue si féminine! Comment veux-tu que je parte en vacances romantiques aux Caraïbes avec toi? Tu as à peine l'air d'un homme! Inutile de dire que tu ne peux plus enlever ton haut sur la plage maintenant que tes seins ont autant grossi", ai-je expliqué.
"Mais j'ai fait tout ça pour TOI! TU voulais que je devienne plus féminine, plus distinguée. J'ai fait tous ces changements parce que TU le voulais!" Il commençait à pleurer en parlant. Bon sang, les hormones le rendent tellement émotif! Je posai ma main sur son épaule.
"Oh, Lily, bien sûr que je sais. C'est comme ça que je te veux. Douce, féminine et gentille. J'adore t'avoir comme ma douce petite femme au foyer. Tu es si belle, tu sens si bon et tu prends si bien soin de moi. Tu es exactement comme je te veux. À la maison, bien sûr. Mais en vacances romantiques? Eh bien, ça ne marchera évidemment pas."
"Alors tu as annulé tous nos projets de vacances?" demanda-t-il bêtement.
"Oh, mon Dieu non, idiote. Le voyage est payé. Je pars avec Ben."
"Ben? Qui est Ben?" demanda Lily.
"Ben Martins, idiote. Mon éditeur", dis-je. Puis les pleurnicheries commencèrent vraiment.
"Tu pars en vacances avec Ben?!? Pourquoi? Comment? Que se passe-t-il?" Lily commençait à devenir un peu hystérique.
"Eh bien, Lily, Ben et moi avons passé beaucoup de temps ensemble à finaliser mon dernier livre. Et il traverse une période difficile depuis son divorce. Bref, ces deux derniers mois, lui et moi sommes devenus plutôt… proches. C'est vraiment un homme très gentil. Et tellement grand et beau!" Les pleurs ont redoublé quand j'ai dit ça.
J'en avais assez des sanglots de Lily.
"Calme-toi. Tu sais que c'est le mieux. Écoute, je suis une femme et j'ai des besoins – et crois-moi, il sait vraiment comment les combler! Ben et moi allons pouvoir passer de merveilleuses vacances romantiques ensemble, comme toi et moi ne pouvons plus le faire. De plus, tu as pris beaucoup de retard dans tes tâches ménagères et ça te donne une semaine entière pour te rattraper."
Lily n'a pas trouvé de réponse.
"Et comme je passerai plus de temps avec Ben dans son appartement à notre retour des Bahamas, j'ai pensé que ce serait sympa si tu pouvais y aller pendant notre absence pour tout ranger. C'est vraiment le bazar et tu ne voudrais pas que je couche dans un appartement qui n'est pas propre, n'est-ce pas?"
"Eh bien, n'est-ce pas?" répétai-je d'un ton un peu plus sévère, au cas où Lily penserait à une question rhétorique.
"Non, je suppose que non", répondit-il faiblement.
"Non, bien sûr que non", acquiesçai-je.
"Maintenant, reprends-toi. Je sais, allons au centre commercial et je t'achèterai quelque chose de joli pour te remonter le moral. Et pendant qu'on y est, tu peux m'aider à choisir un nouveau bikini et peut-être une nuisette sexy pour mon voyage. OK? Maintenant, sèche tes larmes et prends ton sac à main."