Fantasme ou réalité? 54

Voici un témoignage trouvé sur le forum:

https://newagelifestyle.createaforum.com

 

De Charlie à Charlene

Bonjour à tous,

J'ai découvert ce site par hasard, et je me suis dit, et pourquoi ne pas raconteur mon histoire? J'avais 19 ans et je vivais encore avec ma mère quand une idée que je n'avais plus ressentie depuis l'âge de 7 ans m'a traversé l'esprit. J'ai commencé à m'intéresser aux vêtements que ma mère portait chaque jour pour son travail. Ma mère travaille dans un bureau, et elle est toujours très bien habillée.

Un soir, après dîner, j'ai parlé à ma mère des vêtements qu'elle portait au bureau. Contrairement aux hommes qui portent tout le temps un costume, une chemise et une cravate, j'ai constaté que ma mère changeait de style chaque jour. Je lui ai parlé de cette distinction. Elle m'a alors parlé de mélanges de styles, ou d'accessoirisassions qui lui permettent de diversifier ses options de tenues.

Ma mère m'a alors demandé pourquoi mon soudain intérêt pour ses vêtements. Je n'ai pas su lui répondre, ne connaissant pas moi-même la réponse. Après un moment de réflexion, j'ai demandé à ma mère ce qu'elle faisait de ses anciennes robes qu'elle gardait à la cave. Elle m'a dit qu'elle les gardait au cas où elles reviendraient à la mode, et si non, qu'elle finissait par les donner. Sans vraiment y réfléchir davantage, j'ai alors demandé à ma mère si j'essayais l'une de ses anciennes robes. Ma mère m'a alors regardé bouche-bée pendant un instant, avant de de répondre pourquoi pas. Elle m'a demandé si j'avais une raison de vouloir essayer l'une de ses robes. Je lui ai répondu que je ne savais pas pourquoi, mais que je me suis dit que je devrais essayer au moins une fois dans ma vie.

Plus tard, nous sommes descendus, et ma mère m'a montré différents styles de robes, en suggérant ceux que je pourrais essayer, ou en en éliminant d'autres. Avec la permission de ma mère, j'ai retiré mes vêtements pour qu'elle m'aide à mettre ma première robe. Puis, à chaque nouvelle robe que j'essayais, ma mère commentait et évaluait quelle robe m'allait le mieux. Puis ma mère m'a dit que si je voulais porter l'une des 3 robes qu'elle avait finalement sélectionnées, je ferais mieux de porter un soutien-gorge. Je n'étais pas très sûr de vouloir faire ça, mais ma mère m'a montré que ses robes étaient très amples au niveau de la poitrine, car elle a d'assez gros seins. J'ai alors dit que j'allais essayer. Peu après ma mère est revenue avec deux soutiens gorges qu'elle m'a fait essayer. L'un d'eux me convenait mieux, et elle l'a rembourré avec une paire de chaussettes roulées en boules. Ensuite ma mère m'a fait enfiler l'une des robes, et l'a fermée dans le dos. Elle m'a regardé, et m'a dit qu'en effet, avec mes nouvelles formes, elle m'allait plutôt bien.

 

Ma mère voulait savoir comment je me sentais en robe, si j'aimais cela, ou si ma curiosité était satisfaite. J'ai alors dit à ma mère que j'aimais cela plus que je n'avais imaginé. Elle m'a alors demandé si je voulais essayer autre chose, et j'ai dit OK. Peu après, ma mère est revenue avec un collant qu'elle m'a aidé à enfiler et une paire de chaussures à talons. Je n'avais jamais porté de chaussures à talons avant cela. Ma mère m'a aidé à me tenir debout. Elle m'a dit que j'avais de jolies jambes, ce qui m'a fait rougir. J'ai alors demandé à maman si elle était d'accord que je porte ces affaires. Elle m'a répondu pourquoi pas, après tout, nous étions seuls à la maison.

Nous sommes remontés pour regarder la télé, et je suis resté assis là en robe. Plus tard, j'ai voulu retirer cette robe parce que je commençais à me sentir gêné dans cette tenue. Ma mère m'a aidé pour la fermeture éclair, puis j'ai pu raccrocher la robe à sa place à la cave.

Le lendemain soir, j'ai été tenté de porter à nouveau cette robe, ou une autre. J'ai demandé à ma mère si je pouvais en essayer une autre, et elle m'a répondu bien sûr.

Cette fois, ma mère m'a à nouveau apporté un soutien-gorge et des collants, mais aussi une culotte de femme. Elle m'a dit que ce serait encore bien plus réaliste si je portais une petite culotte. Un peu honteux, j'ai tout de même fait ce qu'elle me proposait. Elle m'a demandé si la petite culotte était plus agréable à porter que mes dessous habituels. Elle avait raison, car la petite culotte était effectivement très agréable à porter, et je me sentais encore mieux en robe avec la culotte et le collant. Ma mère m'a alors dit que ce serait une bonne idée de m'acheter mes propres dessous féminins, et j'ai approuvé. Elle m'a proposé de l'accompagner pour pouvoir choisir moi-même mes dessous. J'ignorais tout des dessous féminins à cette époque. Le week-end suivant, nous sommes allés faire du shopping, et nous avons acheté quelques soutiens gorges avec de plus petits bonnets (B), et des petites culottes pour moi. Nous avons aussi regardé quelques chaussures à talons, que j'ai essayées quand personne ne regardait dans ma direction.

Plus tard à la maison, j'ai essayé l'une de mes nouvelles culottes et l'un de mes soutiens gorges, avec des faux seins. J'ai ensuite enfilé une robe et j'ai demandé à ma mère de m'aider à la fermer. C'était quelque chose que j'avais souvent fait pour ma mère, alors cela nous a fait rire.

Durant toute la semaine, j'ai porté chaque soir l'une des 3 robes, et durant toute la journée le week-end. Ma mère m'a convaincu de raser mes jambes et mes dessous de bras. Nous avons beaucoup parlé des raisons qui me poussaient à vouloir m'habiller en femme. Ma mère était étonnée de ne pas être opposée à cette idée. C'était compliqué pour moi d'expliquer mes envies, mais je me sentais bien ainsi. Ma mère voulait savoir si je voulais être une femme, ou si j'aimais juste les vêtements. Je lui ai répondu que je ne voulais pas être une femme, mais que j'aimais les vêtements féminins. Ma mère m'a alors parlé de maquillage, de perruques, ou de vernis à ongles. Elle cherchait surtout à savoir jusqu'où je souhaitais aller, afin de m'aider au mieux. Je lui ai répondu sincèrement que je n'avais jamais pensé à me faire une coiffure de femme, ou à me maquiller. Ma mère m'a alors demandé si je souhaiterais un jour sortir avec elle habillé en femme. Effrayé par cette idée, je lui ai répondu que non. Ma mère a ri, et m'a dit qu'elle non plus n'était pas prête à cela.

Durant le mois suivant, j'ai porté une robe chaque jour. Ma mère m'a même acheté quelques robes, jupes et chemisiers. Elle s'est aussi assuré que j'avais suffisamment de petites culottes, de collants et de soutiens gorges. J'ai commencé à porter des chemises de nuit le soir devant la télé. Ma mère m'a proposé de m'autoriser à m'habiller en femme quand je le voulais si je l'aidais à tenir la maison. Je me suis dit que c'était équitable, et elle m'a donc appris à faire le ménage, à repasser, à faire la lessive ou à cuisiner. Chaque week-end, nous passions nos journées à nettoyer, changer les draps, faire la lessive, repasser et cuisiner. Cela a renforcé notre relation, et j'ai beaucoup appris sur la vie des femmes.

Un jour, ma mère m'a offert une perruque, et m'a aidé à la mettre. Elle m'a dit que j'étais bien plus jolie ainsi. J'ai alors commencé à porter cette perruque chaque jour. Je me disais que maman savait ce qui était bon pour moi, et je faisais donc tout ce qu'elle me disait. Parfois, je n'avais pas envie de me travestir, et cela déplaisait à maman. Le lendemain, en général, j'essayais de lui offrir un plaisir spécial, par exemple par un massage, du dos ou des pieds.

Nous avons toujours parlé ouvertement, y compris de chose comme le mal aux pieds à force de porter des talons, ou des démangeaisons à cause des bretelles de soutien-gorge. Ma mère ne cessait de parler avec moi de ce que j'aimais, et de ce que je n'aimais pas.

Un dimanche matin, ma mère m'a demandé si elle pouvait me maquiller, juste pour voir de quoi j'aurais l'air. J'ai hésité, mais j'ai accepté. Ma mère m'a posé des faux cils, m'a épilé les sourcils, ce qui a été très douloureux, et m'a entièrement maquillé. Peu après, elle m'a donné un miroir. J'ai été ébahi de voir ce que ma mère avait réussi à faire avec un peu de maquillage. Elle m'a dit que j'étais très jolie. J'ai longuement admiré ce visage que je voyais dans mon miroir.

Depuis ce jour-là, ma mère m'a appris à me maquiller, ce que je faisais les week-ends. Ma mère m'a demandé si je voulais l'accompagner dans les magasins un dimanche. Je lui ai répondu aucune chance. Elle m'a alors dit que j'étais très jolie, et que tout le monde croirait que j'étais sa fille. J'ai encore tenté de refuser, mais finalement quelques semaines plus tard, je me suis retrouvé avec elle dans la voiture. Elle m'avait acheté un sac à main, et je m'étais entrainé à la maison à me déplacer en portant un sac. Ma mère m'a dit qu'elle allait m'apprendre à bouger comme une femme si je souhaitais l'apprendre. Elle m'a dit qu'un jour je la remercierais de m'avoir appris tant de choses qu'aucun homme n'apprend jamais. C'était une bonne chose de maitriser tout cela, car j'allais  m'aventurer dans le monde.

A notre arrivée dans le magasin, ma mère m'a montré comment marcher, et elle m'a dit qu'elle se chargerait de parler à ma place. Nous avons quitté la voiture et mon cœur battait à tout rompre. Nous avons marché dans le parking avant de nous diriger vers le magasin. J'ai poussé le caddy, car c'était plus simple et plus discret pour moi que d'essayer de marcher naturellement comme une femme. Je n'avais qu'une envie, partir en courant et retourner à la voiture, mais ma mère n'a pas cessé de me parler. Elle ne cessait de me répéter que je m'en sortais très bien et combien elle était fière de moi.

Nous avons convenu que si quelqu'un devait se rendre compte de quelque chose, j'allais me présenter comme transgenre. En fait, seule la caissière s'est rendu compte que je n'étais pas une femme. Elle m'a dit tout bas que j'étais très jolie, et que ma mère avait fait du beau travail sur moi. Je l'ai remerciée en chuchotant, et j'ai souri.

Cette expérience a été effrayante, mais s'est terminé bien mieux que je ne l'espérais. Ma mère était fière de moi, et elle n'a cessé de le répéter sur le chemin du retour.

Le lendemain, ma mère m'a demandé si j'avais déjà songé à rester ainsi à plein temps. Je n'étais pas sûr de comprendre ce qu'elle me demandait, alors elle m'a répété que je pourrais vivre complètement comme une femme si je le désirais. Je lui ai dit que je ne pourrais jamais être une femme. Elle m'a dit qu'elle le savait, mais que je pouvais vivre comme telle, ou au moins comme une sissy. Ma mère m'a alors expliqué le terme sissy, qui était nouveau pour moi. Je n'étais pas très sûr de me considérer comme une sissy, surtout après avoir lu beaucoup de choses à ce propos.

Ma mère m'a alors persuadé de ne porter que des affaires de femme pendant un mois entier. Chaque jour, je devais tout faire comme elle. Ma mère allait partir travailler, tandis que je restais à la maison, et que je travaillais comme une femme au foyer. A la fin du mois, ma mère m'a demandé ce que j'avais pensé de cette expérience. Nous avons parlé des défis que je devais relever, comme retoucher mon maquillage, ou maintenir le rasage de mes jambes et de mon visage. Ma mère m'a alors proposé d'essayer pour deux mois de plus, juste pour voir si j'étais capable de vivre comme une femme. C'était l'époque du COVID, ce qui m'a permis de rester à la maison en tant que servante de ma mère.

A l'approche de la fin du deuxième mois, ma mère et moi avons à nouveau parlé. Je l'ignorais, mais elle avait entrepris les démarches pour que je vienne travailler dans sa société en tant que sa secrétaire. Quand elle m'a dit ça, je suis resté sous le choc. Comment pouvais-je travailler dans un bureau en femme? Ma mère m'a expliqué que la fille de sa patronne avait changé de sexe pour devenir un homme. Nous en avons parlé un long moment. Ma mère avait parlé à Mary, sa patronne, qui voulait bien me former si j'acceptais de venir au bureau en femme. J'étais sous le choc en entendant tout cela. Je n'avais jamais entendu parler d'une entreprise souhaitant employer un travesti. Je n'allais pas me faire passer pour un transsexuel, ce que je n'étais pas.

Ma mère était déterminée à me faire travailler dans sa société. J'ai accepté de l'accompagner là-bas un week-end, quand il n'y avait personne, pour découvrir les lieux. Le dimanche matin, je me suis préparé en me disant que jamais je n'allais travailler dans un bureau. Ma mère m'a montré les lieux, et m'a indiqué où j'allais travailler. Au moment où nous allions repartir, la patronne de ma mère est entrée. Ma mère l'a saluée. Je tremblais en rencontrant Mary, la patronne de ma mère. Mary m'a dit que j'étais aussi jolie que ma mère l'avait dit. Nous avons parlé un moment dans le bureau de Mary. J'avais peur d'accepter cet emploi alors Mary m'a expliqué en quoi cela consistait. C'était une société intégralement féminine. Toutes les employées étaient au courant pour la fille de Mary. Je n'étais pas sûr de pouvoir vivre ainsi après quelques mois à peine en femme. Ma mère a alors demandé à Mary un délai de réflexion, afin qu'elle puisse me parler des défis qui allaient être les miens dans ce nouvel emploi. Mary a donné son accord, consciente que c'était un énorme challenge pour moi.

J'ai toujours su que ma mère voulait ce qu'il y a de mieux pour moi. Mais accepter un changement de vie aussi radical était difficile. Ma mère m'a alors dit que le mieux, c'était que je continue à vivre en femme, et que je sorte le plus souvent possible pour m'y faire. Plus je sortais avec ma mère, plus je m'habituais à me tenir comme une femme, et à marcher en talons. J'observais d'autres femmes, ainsi que ma mère, et cela m'aidait beaucoup.

Une semaine avait passé depuis ma rencontre avec Mary, la patronne de ma mère. Après y avoir longuement réfléchi, et surtout pour ne pas risquer de mettre en péril la relation entre ma mère et sa patronne, j'ai fini par accepter son offre d'emploi. Je savais que cela allait être un gros challenge pour moi, mais ma mère allait m'aider. Nous sommes allés acheter quelques nouvelles robes, jupes et chemisiers, ainsi que les escarpins assortis.

Le lundi matin, je me suis levé tôt pour prendre une douche, me raser très soigneusement, et me préparer. Ma mère a choisi ma tenue, et m'a aidé à finir de me maquiller. Nous sommes allé au bureau ensemble pour mon premier jour. Nous y sommes allés assez tôt pour voir Mary. Nous avons réglé toute la partie administrative, puis ma mère m'a montré mon bureau. Comme elle est l'une des responsables, elle a demandé à l'une des filles de me montrer les ficelles du métier. J'ai été très surpris de voir que tout le monde m'acceptait très bien dès le premier jour. A peine avais-je réalisé la situation que la journée se terminait. Ma mère m'a demandé sur le chemin du retour comment ma journée s'était déroulée. Ce qui l'intéressait le plus était de connaitre mes impressions sur le fait d'être en femme au milieu d'un bureau rempli de femmes. Je lui ai dit que j'avais été très hésitant à chaque fois qu'on m'avait présenté quelqu'un. Mais que les choses étaient devenues plus faciles au fur et à mesure que je comprenais ma fonction dans l'entreprise, ainsi que la fonction de chaque autre personne.

Cela fait maintenant 3 mois que je travaille avec ma mère au bureau. J'aime beaucoup cette vie, bien plus que je ne l'imaginais. Ma mère ne m'a jamais poussé à quoi que ce soit, mais elle a toujours été là pour moi. J'ai quitté mon ancien emploi, qui de toute façon ne me convenait pas vraiment. J'ai décidé de rester travailler avec ma mère et toutes ces merveilleuses femmes au bureau. Je me suis lié d'amitié avec plusieurs d'entre elles. Plusieurs m'ont complimenté à propos de ma décision de vivre en femme, et elles apprécient mes choix de tenues. Les goûts vestimentaires de ma mère sont très sûrs, et elle m'a appris à avoir une tenue impeccable pour le bureau.

La prochaine étape pour moi va être de me laisser pousser les cheveux, pour ne plus avoir à porter de perruque. J'ai décidé de rester comme ça pour toujours parce que j'aime vraiment cette vie. Ma mère et moi avons parlé d'un traitement hormonal, et nous avons rendez-vous avec le médecin de la fille de Mary la semaine prochaine. Elle se spécialise dans les patients transgenres, et donc elle est le meilleur médecin que je connaisse pour m'expliquer en quoi consiste un traitement hormonal.

J'espère que vous aimez mon histoire. Je suis intéressé par les histoires de ceux qui vivent en femme ou en sissy.

Merci à tous,

Charlene