Une histoire trouvée il y a longtemps sur Internet, traduite de l'anglais.
Attention: certains passages sont assez hard!!!!
Portez toujours des sous-vêtements propres, au cas où vous devriez aller chez le médecin
PREMIERE PARTIE
Ces deux derniers mois n'ont été pour moi qu'un cauchemar. Mais heureusement, la fin est proche. Je suis allongé sur mon lit d'hôpital, ma maison depuis ces huit dernières semaines. Non, pas ma maison, ma prison. Mais aujourd'hui, je vais retrouver la liberté.
Mon histoire au cours de ces deux derniers mois est incroyable, si incroyable que je ne saurais même pas expliquer ce qui m'est arrivé. Je suis immobilisé par des plâtres et des bandages restrictifs depuis huit semaines après un terrible accident de voiture. J'ai enduré quatre opérations, et des douleurs intolérables. Aujourd'hui, mes pansements vont être enlevés, et je vais enfin pouvoir sortir d'ici. A tout moment, je m'attends à voir mon médecin et mes infirmières entrer pour me libérer. Vous pourriez vous dire: mon pauvre Kerry, pas étonnant que tu te sentes aussi mal. Ce serait un cauchemar pour tout le monde." En fait, mon immobilisation n'a pas été le plus gros problème. C'est ce qui s'est produit alors que je gisais là, impuissant et incapable de me défendre, qui choquerait le lecteur même le plus obscène et le plus pervers. Laissez-moi vous raconter mon histoire en attendant l'instant de ma libération.
Votre mère vous a-t-elle dit que vous deviez toujours porter des sous-vêtements propres, au cas où vous devriez aller chez le médecin à l'improviste? Eh bien la mienne me l'a certainement dit. Mais comme la plupart des hommes, je ne me rendais pas compte de la sagesse des paroles de ma mère. Elle doit être assise là-haut, au paradis, à agiter son doigt en disant: "Je te l'avais bien dit."
Mais dons mon cas, le problème n'était pas que mes sous-vêtements étaient sales, mais qu'ils n'étaient pas adéquats. J'ai été pris en flagrant délit. Vous allez sans doute dire que je l'ai mérité. Je suis marié, et même si mon mariage n'est pas très heureux, et je dirais même épouvantable, j'avais prononcé mes vœux devant l'autel.
Ma femme s'était absentée pour le week-end. C'était pour un séminaire avec l'ensemble des employés de son entreprise. C'était un événement annuel destiné à améliorer la cohésion et le moral dans l'entreprise, afin de fortifier l'efficacité de la créativité dans les relations professionnelles. Elle était la seule femme avocate dans un cabinet avec cinq hommes. Malgré les problèmes dans notre mariage, je faisais toujours confiance à Jane. Même si nous n'avions pas eu de rapports sexuels depuis six mois, je continuais à croire qu'il restait un espoir pour notre mariage. Elle était partie depuis quelques heures quand, le samedi en début d'après-midi, quelqu'un a frappé à la porte de notre appartement. J'ai ouvert pour découvrir Marissa, notre voisine, qui se tenait là, avec un air désespéré.
"Je suis désolée de t'embêter, Kerry, mais est-ce que tu pourrais m'aider?"
Marissa était l'une de ces filles que vous ne pourriez pas imaginer mariée un jour. Elle était jeune, magnifique, et adorait faire la fête et sortir avec des garçons. Ce samedi après-midi, elle était plus jolie que jamais. Elle savait certainement que Jane était sortie.
"Bien sûr Marissa, qu'est-ce que je peux faire pour toi?" Elle était magnifique. Même dans les vêtements de tous les jours qu'elle portait à la maison, elle était belle. Elle portait une mini-jupe en jean très moulante, et un chemisier blanc translucide. Aux pieds, elle portait des escarpins en cuir noir à talons hauts. Ses cheveux châtains soyeux lui tombaient sur les épaules.
"Mon magnétoscope ne fonctionne pas correctement, je me demandais si tu pouvais y jeter un coup d'œil? Enfin, si Jane peut se passer de toi pendant une quinzaine de minutes."
"En fait, Jane est partie pour le week-end." Marissa a feint la surprise. La toile était tissée, et la mouche que j'étais était sur le point d'y plonger. Elle était exceptionnellement vive et charmante. Après avoir examiné son magnétoscope (qui semblait fonctionner parfaitement) nous avons commencé à discuter en buvant un verre de vin. Je me suis rapidement détendu, et Jane est devenue le sujet de notre conversation. Elle s'est montrée particulièrement gentille et compréhensive. C'était l'appât qui devait attirer la mouche au centre de la toile. Et le moment venu, l'araignée a bondi.
Qui pourrait me blâmer pour cela? J'étais en manque d'affection et de contact féminin. Elle s'était approchée de moi sur le canapé dans un geste d'empathie et de solidarité. Cela n'a pas été long avant que nous soyons dans les bras l'un de l'autre, à nous embrasser passionnément avant de nous retrouver nus, à baiser ensemble comme des adolescents écervelés. Après un moment, Marissa a pris quelques affaires de rechange, et nous sommes allés dans mon appartement car elle s'attendait à voir revenir sa colocataire avant la fin de l'après-midi. Cet après-midi s'est prolongé dans la soirée, et finalement a duré toute la nuit. Nous avons continué à faire l'amour pendant presque toute la journée du dimanche. Jane ne devait pas revenir avant le lundi matin vers huit heures, et donc Marissa est aussi restée avec moi pour la nuit de dimanche.
J'avais mis le réveil pour qu'elle puisse se lever à temps, avant le retour de Jane. Alors que Marissa prenait une douche, je me sentais encore totalement épuisé par ce week-end de baise que je me suis rendormi. C'est le tintement des clés dans la serrure de la porte d'entrée qui m'a réveillé. Je me suis levé d'un bond, et j'ai couru dans la salle de bain en panique. J'ai été soulagé en constatant que Marissa n'était plus là.
"Bonjour Kerry." Ai-je entendu depuis l'entrée.
"Bonjour chérie." Je ne pense pas que cela sonnait de manière très convaincante. Puis soudain, j'ai paniqué. Là, dans un coin de la salle de bain, j'ai vu trainer le soutien-gorge et la petite culotte de Marissa. C'étaient des dessous roses, en dentelles, très sexy. Jane ne possédait rien de tel. En plus, je l'avais constaté, la taille du soutien-gorge de Marissa dépassait nettement celle de Jane. Qu'allais-je faire? J'ai verrouillé la porte de la salle de bain en essayant de retrouver mon calme. J'ai ouvert le robinet de la douche, puis j'ai entr'ouvert la porte pour appeler Jane:
"Chérie, tu peux me sortir une chemise et un pantalon pour le boulot?"
"Et tu t'étonnes que les choses se passent si mal entre nous, alors que tu ne me demande même pas comment s'est passé mon week-end? Je suis juste bonne à te chercher ceci ou cela." A-t-elle répondu en s'approchant de la porte de la salle de bain. Elle m'a lancé mes vêtements, puis est allée dans le salon. Je me suis dit: "Super! J'ai le temps de trouver une solution." Après avoir pris une douche et m'être rasé, j'ai enfilé la culotte et le soutien-gorge, puis ma tenue de travail par-dessus. Avec ma veste, le soutien-gorge n'était pas visible. J'ai ensuite essayé de me comporter le plus normalement possible pour ne pas éveiller ses soupçons, mais je suis sorti aussi vite que possible. J'étais vraiment perturbé en montant dans ma voiture. Avant même de comprendre ce qui m'arrivait, alors que je venais de griller un feu rouge pour tourner, l'autre voiture qui venait en sens inverse était sur moi. Ma voiture a été littéralement écrasée et je me suis retrouvé piégé dans l'épave. Mes jambes, mon bassin, mes bras, ma poitrine et mon visage palpitaient de douleur. Il y avait du sang partout. Je pensais que j'allais mourir.
Les ambulanciers m'ont sorti de la voiture. Ensuite, je me suis retrouvé allongé sur une civière, l'ambulance fonçant vers l'hôpital, avec les gyrophares et la sirène hurlante. J'avais tellement mal que je ne pouvais pas bouger. Je tombais dans un demi-sommeil avec la morphine.
Quand l'ambulance s'est arrêtée, tout ce que j'ai vu, ce sont les lumières du plafond de l'hôpital qui défilaient et un groupe de médecins et d'infirmières qui s'affairaient autour de moi. Avant que je ne m'en rende compte, mes vêtements m'étaient retirés, coupés avec de grandes paires de ciseaux.
Avec la panique et la confusion dues à mon accident, je ne pensais plus au soutien-gorge et à la petite culotte que je portais. Quand je m'en suis rappelé, les médicaments qu'on m'avait donnés semblaient me préserver de tout sentiment d'inquiétude ou de panique, sentiment que j'aurais certainement ressenti dans cette situation en temps normal.
J'ai pu le lire sur leurs visages. Ils ont soudainement arrêté de me déshabiller et ont eu un mouvement de recul. Un instant de silence a suivi, et les visages étonnés qui m'entouraient allaient et venaient entre mon visage et mes sous-vêtements. Puis, j'ai entendu quelques rires étouffés, puis quelques rires francs. Au début, ils avaient essayé de cacher leur surprise, mais finalement ils se sont lâchés.
"Encore un de ces putains de travelos." Ai-je entendu murmurer l'un des médecins.
"Votre lingerie est si jolie, Kerrie." M'a dit une jolie infirmière qui me parlait comme à une autre femme. "Je sais que si nous la coupons, vous serez très triste. Ne vous inquiétez pas, nous n'avons pas besoin de vous l'enlever. Pour le moment, vous pouvez la garder."
C'est ainsi que pendant l'heure suivante, je restais allongé là, sur un lit d'hôpital, à subir toutes sortes d'examens, juste vêtu de la lingerie fine de Marissa. Je me retrouvais l'objet de toutes les plaisanteries de la part du personnel, comme le radiologue, les étudiants en médecine, les infirmières, la femme de ménage, qui s'amusaient beaucoup de ma situation. Même un électricien qui est venu changer une ampoule dans ma chambre. Chaque membre du personnel qui me voyait riait et me disait combien j'étais jolie. Si j'étais embarrassé devant tous ces étrangers, imaginez ce que j'ai ressenti quand Jane est venue à l'hôpital. J'ai entendu l'une des infirmières lui expliquer à l'extérieur de ma chambre qu'ils avaient découvert quelques chose d'inhabituel en me retirant mes vêtements, mais sans lui dire quoi. L'infirmière ne voulait pas interférer sur sa réaction. Et quelle réaction! Qu'allais-je dire? Etait-il mieux de dire la vérité, que je baisais notre voisine de palier, ou plutôt de la laisser croire que j'étais une sorte de pédé?
En fait, je n'ai pas dit grand-chose. La morphine avait comme ralenti mon cerveau. Elle a juste dit avec un dégoût dans sa voix: "Tu es un malade. J'en ai marre de toi." Avant de sortir en furie.
Avant son départ, j'ai entendu qu'elle parlait à voix basse avec l'infirmière. Je pensais l'avoir entendu dire quelque chose comme "Eh bien, si c'est ce qu'elle veut, vous pourriez la traiter comme telle" ou quelque chose du genre. Mais comme je l'ai dit, j'avais reçu une dose de morphine, qui m'enlevait une partie de ma lucidité, et j'ai pu me tromper.
La même jolie jeune infirmière qui m'avait parlé plus tôt restait là, les bras croisés, avec un air de satisfaction sur le visage. Elle avait l'air d'avoir pitié de ma femme. Elle s'est alors avancée vers moi.
"Là, Kerrie. Ne pleure pas. Tu es une si jolie fille". Elle posa sa main et caressa mon pénis sous la culotte en dentelle. "Mmmmm. Quel beau clitoris tu as là-dessous".
"Je ne suis pas une fille, bon sang", ai-je dit, essayant de lutter contre le sentiment de nonchalance que la drogue causait en moi.
"Seule une fille féminine avec très bon goût porterait de si jolies choses" répondit-elle avec défi.
Il s'est avéré que j'avais les deux jambes cassées, ainsi que mon bassin, des côtes, et ma nuque était douloureuse. La chirurgienne responsable de mes soins, le Docteur Vivienne Lipski, m'a dit que j'allais devoir subir plusieurs opérations et que je serais forcé de rester à l'hôpital pendant quelques mois. Peu de temps après, j'ai été transféré dans un autre service. J'ai été placé dans une chambre individuelle.
Fidèle à la parole de l'infirmière qui m'a dit que la lingerie était trop belle pour être coupée, ils m'ont laissé le soutien-gorge et la culotte rose ce premier jour. Le personnel soignant de ce service était différent de celui des urgences mais ils ont agi de la même manière. Ils m'ont traité comme une fille. L'infirmière qui s'occupait de moi ce jour-là s'appelait Heather. Elle s'est présentée à moi. Je lui ai dit mon nom pour qu'elle puisse l'écrire sur la tête du lit. En le notant, elle a épelé mon nom au féminin, K-E-R-R-I-E.
"Ce n'est pas comme ça qu'on épelle Kerry", ai-je dit.
"Oh si c'est bien ça", m'a-t-elle répondu fermement.
"Mais, c'est la version féminine", ai-je insisté.
"Exactement", dit-elle. "Je sais bien comment écrire votre nom, Mme Marquez".
"Monsieur Marquez".
"Pour moi, vous ne ressemblez pas vraiment à un monsieur, ma chérie. Regardez votre jolie lingerie. Vous avez si bon goût. Je suis tellement jalouse. Lorsque vous vous sentirez un peu mieux, nous devrions prendre le temps d'avoir une longue conversation entre filles sur nos lingeries, nos vêtements et nos parfums préférés, et sur tout ce que nous aimons, y compris les hommes. Vous savez bien, toutes ces choses à propos de quoi, nous autres filles, aimons bavarder pendant des heures".
"Mais je ne suis pas une fille", ai-je crié avec colère.
"Mais bien sûr que si, ma chérie," a-t-elle insisté avec aplomb. J'ai commencé à vouloir donner des coups de pied et à lutter contre la colère et la frustration, mais mes bras et mes jambes étaient immobilisés, et je restais impuissant, même si les effets de la morphine s'estompaient.
"Attention, Kerrie, ma chérie. Si vous continuez ainsi, vous vous allez blesser encore davantage votre joli petit corps. Vous êtes une fille si fragile et délicate. Oh, j'en connais, des hommes qui aiment les filles vulnérables et innocentes comme toi. Peut-être que je pourrais t'en présenter quand tu te sentiras mieux…" Elle injectait de la morphine dans mon goutte-à-goutte pendant qu'elle disait cela. Une fois de plus, mes émotions se sont estompées, et ma colère s'est dissoute dans un demi-sommeil. C'était comme si j'étais spectateur de ce qui m'arrivait.
"Maintenant, Kerrie avec I-E, on dirait qu'il y a longtemps que vous n'avez pas eu l'occasion d'aller dans un salon de beauté pour vous faire épiler. Nous allons devoir raser votre corps, car le docteur Lipski va devoir effectuer sur vous une série d'opérations pour vous aider à vous remettre de ce terrible accident."
Elle a alors pris un de ces bols d'hôpital stériles en métal et l'a rempli d'eau tiède et de savon et a sorti un rasoir jetable. Elle a ensuite procédé au rasage de tout mon corps. Elle a rasé partout, sauf sous ma culotte en dentelle. Quand elle en est arrivée là, une étincelle brillait dans ses yeux, et elle souriait.
"Vous savez Kerrie," m'a-t-elle doucement murmuré à l'oreille. Je sentais son haleine chaude. "Je ne suis pas qu'une infirmière. Je suis aussi une femme au sang chaud, tout comme vous. Je sais à quel point c'est dur pour une fille d'être allongée comme ça pendant si longtemps. Et si son corps doit se réparer, son esprit doit être soulagé lui aussi. Une partie du bien-être psychologique d'une fille est son bien-être sexuel."
Elle a commencé à caresser mon sexe flasque sous la culotte. Malgré la morphine, il a commencé à durcir.
"Mmmmm, bonne fille," murmurait-elle en ronronnant. "Tu sais que tu as un gros clitoris, Kerrie. Je vais devoir te raser ton clitoris et ta chatte. Elle a alors baissé la culotte et a rasé les poils autour de la base de mon pénis et les poils de mon scrotum, puis autour de mon anus. Après dix minutes, j'étais complètement lisse. Mon anus était humide et savonneux. Elle l'a caressé de son doigt, puis, tout d'un coup elle y a enfoncé son doigt. Puis un deuxième doigt, et puis un troisième. Mon dos s'est arqué dans une douleur proche de l'agonie. Après avoir joué avec mon trou du cul pendant un moment, elle a pris son sac, l'a ouvert, et en a sorti un gros vibromasseur. Elle l'a mis en route avant de me pénétrer avec. De son autre main humide et savonneuse, elle caressait mon pénis.
"Nous, les filles, nous savons comment nous donner du plaisir, n'est-ce pas, Kerrie?"
Malgré la douleur, la stimulation de mon pénis a suffi à m'amener à l'orgasme alors qu'elle me pénétrait avec le vibromasseur. Ce n'était que mon premier jour avec Heather. Elle s'occupait de moi à chaque fois qu'elle travaillait. Et à chaque fois, elle refusait de me considérer comme un homme. Chaque jour, elle faisait quelque chose de différent pour me faire me sentir comme une fille. Un jour, elle m'a maquillé le visage. D'autres jours, elle vaporisait son parfum sur moi pour que je me sente mieux.
"Le parfum aide une fille à se sentir bien." Disait-elle. D'autres jours, elle s'asseyait près de moi et me parlait. Peu importait à quel point je protestais que j'étais un homme, elle ne m'écoutait pas. D'autres jours, elle m'a apporté de la lingerie et elle me la faisait porter, et même une nuisette, qu'elle m'enfilait pour dormir la nuit. La seule chose qu'elle faisait chaque jour était de me baiser avec son vibromasseur. Au bout de quelques jours, mon anus était si relâché que je ne ressentais plus aucune douleur, et avec sa stimulation de ce qu'elle appelait mon clitoris, j'avais un orgasme à chaque fois.
Un samedi, elle est venue accompagnée d'un de ses amis infirmiers. Il s'est assis près de moi et m'a tenu la main, en me parlant très gentiment. Lui aussi me traitait comme une femme. Au bout d'un moment, Mark, ce type, s'est penché sur le lit et a commencé à m'embrasser. C'était révoltant. Mais je ne pouvais rien faire pour le repousser. J'étais allongé là à plat sur le dos et avec mes jambes tendues en traction. Mon anus était exposé. Il a retiré la petite culotte à froufrous qu'Heather m'avait mise et il ne lui a pas fallu longtemps avant qu'il ne me pénètre de sa queue. Il était en sueur et poilu. Il m'a baisé pendant que Heather regardait et tenait ma main, disant que j'étais une fille courageuse. J'ai senti son sperme chaud et puant entrer en moi alors qu'il grognait comme un porc se roulant dans la boue, profitant de chacun de ces instants dégoûtants. Alors qu'il jouissait en moi, elle m'a chuchoté à l'oreille que les femmes doivent souvent simplement s'allonger sur le dos et laisser les hommes grogner sur elles et savourer leur plaisir égoïste et hédoniste, puis sentir du sperme collant et nauséabond couler entre leurs jambes toute la journée. Cela faisait partie de la dure condition féminine.
Vous qui lisez cela, vous êtes choqués? Attendez, il y a pire.
Les autres infirmières n'en ont pas fait autant qu'Heather, mais chacune d'elles m'a traité comme une fille, et bon nombre d'entre elles ont encouragé Heather. Même le docteur Lipski me traitait comme une femme.
Puis, les opérations sont arrivées. Le docteur Lipski m'avait dit que j'aurais besoin de plusieurs opérations. Cela a commencé par mes jambes qui avaient été fracturées. Quand je suis revenu du bloc opératoire le lendemain de mon accident, les fractures étaient réduites, mais j'ai dû rester avec les jambes en traction pendant huit semaines pendant que mes os se réparaient. J'étais trop somnolent à cause de la morphine pour signer le formulaire de consentement. Alors Jane a signé pour moi, comme ma plus proche parente. Ses conversations à voix basse devant ma porte avec Heather et le docteur Lipski sont devenues presque quotidiennes.
A aucun moment de mes huit semaines dans cette chambre, la colère de Jane envers moi n'a faibli. Elle s'est jointe à cette ridicule plaisanterie de ma traiter en femme. Elle m'a apporté des parfums, du rouge à lèvres, des savons parfumés, toutes sortes de cadeaux féminins.
Après quelques semaines, elle est venue aux heures de visite accompagnée de Jason, l'un des avocats de mon bureau. Au début, il lui tenait simplement compagnie, mais, au bout d'un moment, je voyais qu'ils commençaient à se tenir la main ou avoir d'autres contacts physiques devant moi. Cela me mettait tellement en colère que je tentais de donner des coups de pieds, et que je les insultais, mais Heather se contentait d'augmenter mon dosage de morphine. Bientôt, Jason et ma femme s'embrassaient devant moi. Jane semblait ravie de me dire combien elle était heureuse, qu'elle était amoureuse. J'étais hors de moi.
Peu de temps après mon opération des jambes, on a opéré les fractures de mes bras. Après cela, je n'ai plus subi d'opération pendant plusieurs semaines. Je recevais des médicaments et des injections chaque jour. Personne ne me disait à quoi servaient ces traitements, sauf une fois, Heather, qui a laissé échapper que cela allait m'aider à me sentir beaucoup plus féminine.
Le docteur Lipski m'a dit un jour qu'elle allait devoir m'opérer pour arranger mon cou, mon visage, ma poitrine et mon bassin, mais qu'elle attendait que mes os soient bien ressoudés.
Donc, ces opérations ont débuté il y a deux semaines. Ils ont commencé par réparer mon bassin cassé. A mon retour de la salle d'opération, l'ensemble de mon aine me brûlait d'une douleur intense. Toute cette partie de mon corps était bandée, et un cathéter permettait de vider ma vessie. Ils me l'ont enlevé ce matin, et j'espère que très bientôt, le docteur Lipski me retirera mes bandages et que je pourrais enfin me lever et uriner normalement. Il y avait un aspect positif après cette opération. Heather ne pouvait plus jouer avec mon anus et mon clitoris, je veux dire pénis.
Après mon bassin, ils ont opéré ma poitrine, semble-t-il pour réparer des côtes fracturées. Comme pour mon bassin ma poitrine a été terriblement douloureuse au début. Elle était bandée avec une telle épaisseur de pansement qu'elle semblait avoir doublé de volume. Aujourd'hui, je n'ai plus mal, et je suis impatient qu'on me retire ces bandages.
La dernière opération s'est concentrée sur mon visage et mon cou. Mon visage est couvert de bandages depuis une semaine, et, comme le docteur Lipski a dû intervenir sur mon larynx, on m'a interdit de parler depuis ces derniers jours. J'espère que je pourrais à nouveau parler aujourd'hui, quand le docteur viendra.
Je ne sais pas vraiment ce qu'ils ont fait à mon visage. Comme d'habitude, c'est Jane qui a signé le formulaire de consentement. Mais j'ai une confiance totale dans le jugement et les compétences du docteur Lipski.
Je serai si heureux de sortir d'ici et de mettre fin à ces deux mois d'enfer. Je vais aussi pouvoir régler les problèmes de ma relation avec Jane et remettre Jason à sa place. J'ai aussi l'intention d'aller voir les autorités au sujet de Heather. Je veux aussi rapidement me faire couper les cheveux. Mes cheveux sont si longs maintenant. Qui aurait pensé qu'une simple coupe de cheveux pourrait devenir aussi importante pour moi?
"Ah Kerrie, le grand moment est arrivé!"
M'a dit le docteur Lipski en entrant dans la chambre. Elle était magnifique, comme d'habitude. Chers lecteurs, mon histoire est sur le point de se terminer. Je vais enfin être libéré de cet enfer. J'ai payé cher pour mon infidélité, et je suis prêt à tout recommencer avec Jane. D'ailleurs, elle est arrivée en même temps que le docteur Lipski, et Heather est là elle aussi. Je les regarde à travers mes bandages.
"Je t'ai apporté de nouveaux vêtements, Kerrie," me dit Jane. Ils sont enveloppés dans un sac et accrochés à un cintre. Je n vois donc pas ce qu'elle m'a apporté.
"Un peu de patience, on va devoir retirer un bandage après l'autre." Me dit le docteur Lipski.
Je hoche la tête, impatient d'en finir.
"Infirmière, commençons par les bandages du visage et du cou. Mais ne parlez pas encore Kerrie."
Heather fait ce que le docteur lui ordonne. Mon visage me semble différent. Mes lèvres semblent plus épaisses, et ma peau plus tendue. Heather commence à me brosser les cheveux. Je veux protester, mais le docteur Lipski me fait signe de me taire en mettant son doigt sur la bouche.
"Quand nous vous aurons enlevé tous les bandages, vous pourrez vous lever et vous voir dans le miroir en pied dans le coin."
Je hoche la tête.
"Infirmière, les bandages de la poitrine, maintenant."
Mon excitation se décuple alors que ces horribles bandages tombent l'un après l'autre. Mais attendez… Oh mon Dieu! J'ai deux énormes seins, comme une femme!
"Que m'avez-vous fait". Je suis furieux et je peux voir Jane faire un large sourire. Et maintenant, elle rit!
"Hahahahahahahahahha. Le vœu de Cendrillon s'est réalisé."
"Tu es une très jolie fille Kerrie!" s'exclame Heather.
"Ma voix. Ma voix. Que lui est-il arrivé. Elle est tellement aigue. J'ai l'air d'une fille."
"Bien sûr, Kerrie. Et c'est une jolie voix!"
Je lutte mais mes bras et mes jambes sont encore ligotés. Heather commence à retirer mes bandages à l'aine.
"Oh mon Dieu. Où est ma bite! Elle n'est plus là!"
"Votre clitoris est maintenant d'une taille normale, chérie. Et regardez, vous avez une très jolie chatte." Me dit Heather.
"Hahahahahahahahah" Le rire débridé de Jane est terrible à entendre.
Je baisse les yeux et je vois que mon bassin est complètement différent. Heather tient un miroir entre mes jambes et c'est vrai, j'ai une chatte et plus de bite. Les lèvres de ma chatte et épaisses et glabres.
"Est-ce que tu aimes mes nouvelles boucles d'oreilles, Kerrie?" Me demande Jane, montrant deux boucles d'oreilles qui semblent être des boules en frome d'œufs gros comme des œufs de caille. "Je les ai gardés en souvenir! Hahhahahahahahahah."
"Oh non, espèce de Salope! Ce sont mes testicules!"
"Ne vous excitez pas trop, ma chérie, sinon, je vais devoir vous donner un calmant." Ajoute le docteur Lipski.
Heather me détache enfin, et je me lève difficilement pour me regarder dans le miroir. Mon corps est lisse, sans aucun poil. Ma masse musculaire a disparu mon visage a changé. Mes lèvres épaisses font une moue qui ressemble à celle d'un mannequin. Mes cheveux me tombent sur les épaules. J'ai deux gros seins sur ma poitrine et je n'ai plus de bite entre les jambes.
"Oh mon Dieu. Je suis une femme". Ma voix est aiguë.
"Regarde, Kerrie, les vêtements que je t'ai achetés." Jane les retire du sac, et brandit devant elle une robe à imprimé floral rose et bleu dont la jupe est assez courte. Elle a des manches longues et un dos plongeant. Elle sort également la culotte et le soutien-gorge que je portais le jour de mon accident.
"Ils sont propres, comme neufs. Ma chérie. Je suis sûre que tu ne pensais plus les revoir."
Je suis abasourdi. Je reste sans voix. Alors que je me tiens là figée par l'incrédulité, Heather et Jane s'avancent et m'aident à enfiler la lingerie. Le soutien-gorge est parfaitement ajusté et soulève mes seins. La robe est parfaitement ajustée.
Je crois que je vais m'évanouir…..
SECONDE PARTIE
Une année a passé, et, malgré mes protestations, je n'ai rien pu faire pour changer ma situation. Pendant longtemps, j'ai refusé d'accepter que j'étais désormais une femme, alors Jane et les médecins m'ont fait consulter un psychiatre. Il m'a dit que j'étais manifestement une femme, une femme très sexy et bien développée et que mon histoire sur mon hospitalisation et ma féminisation forcée était incroyable, d'autant plus à notre époque de droits et de démocratie. Il a ajouté qu'il soupçonnait chez moi de forts délires paranoïaques compatibles avec une schizophrénie. Il m'a placé dans une institution psychiatrique pendant une semaine. Des infirmiers en ont profité pour me violer pendant que j'étais en camisole de force. Ma seule façon d'en sortir a été de signer des papiers pour dire que j'acceptais de vivre sous la tutelle de "ma sœur" Jane Marquez.
A mon retour à la maison, ou plutôt dans l'appartement de Jane et Jason, j'ai trouvé des fleurs envoyés par de nombreuses connaissances, accompagnées de condoléances. Tout le monde croyait que j'étais mort suite à mon accident.
Un matin, Marissa a frappé à la porte pour partager ses condoléances avec Jane. J'ai été présenté comme la nouvelle bonne.
Une fois, j'ai essayé de m'enfuir, mais Jane m'a fait retrouver et pour me punir, m'a renvoyé dans l'institution psychiatrique où je suis resté un mois, encore une fois le jouet sexuel en camisole de force des infirmiers. Finalement, Jane m'a sorti de là.
Maintenant, je m'occupe du ménage et de la cuisine pour elle et Jason. Je suis forcé de les regarder s'embrasser et se câliner. Parfois, elle m'oblige à regarder quand ils font l'amour, et elle me dit que je suis bien mieux en femme, que j'étais un amant tellement pathétique.
Un soir, elle a invité Marissa à dîner. J'ai dû cuisiner et assister à leur dîner. J'ai écouté Marissa raconter à Jane toute l'histoire du week-end où elle était partie, comment Kerry était entré chez elle et l'avait séduite, profitant du fait qu'elle avait récemment rompu avec son petit ami et qu'elle était vulnérable. Elles ont pris beaucoup de plaisir à comparer leurs souvenirs sur ma capacité à faire l'amour. Marissa a dit qu'elle s'était terriblement ennuyée et qu'elle n'avait jamais eu à simuler autant d'orgasmes qu'avec Kerry. Ensuite, Marissa a dit à Jane qu'elle avait délibérément laissé ses sous-vêtements dans la salle de bain parce qu'elle pensait que Kerry, ce gros porc, ne méritait rien d'autre que d'être confondu par sa femme.
À cela, Jason rit. "Eh bien, je crois qu'il se retournerait dans sa tombe s'il savait que pendant ce temps, Jane et moi avons baisé ensemble tout le week-end!"
Hard en effet, mais a titre personnele c'est ce que j'aime.
RépondreSupprimerJe sais! ;-)
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