samedi 29 octobre 2022

Une lettre de "Petticoat Discipline Quarterly"

Les lettres publiées sur le site "Petticoat Discipline Quarterly" racontaient des témoignages de "petticoat discipline" (discipline par le jupon).

De Bernie à Bernice

Par Martha

Chère Helga,

Je connais votre mensuel en ligne depuis quelques années maintenant grâce à une amie, et j'ai décidé de vous raconter mon expérience avec mon mari Bernie.

Bernie, que j'aime depuis de nombreuses années, a toujours été très agressif lors de nos rapports sexuels. J'aime le sexe, mais pas aussi agressif, ou brutal comme lui l'aime. Je préfère une approche plus douce, et je dois admettre que je préfère les rapports buccaux, que ce soit en donnant ou en recevant. Pourtant, quand je le suçais, et même quand j'acceptais d'avaler, il ne semblait jamais satisfait. Il voulait toujours me pénétrer de son machin, que ce soit par devant ou par derrière.

Il y a quelque temps, j'en parlais avec Julie, mon médecin. Je la connais depuis de nombreuses années, comme mon docteur, mais aussi en tant qu'amie proche. Oui, j'ai une relation très proche avec elle. Bernie n'a jamais été au courant de ma relation avec Julie, et pourtant il était aussi son patient. Il parlait d'elle comme son médecin lesbienne. Julie n'a jamais caché qu'elle n'avait aucun intérêt pour les hommes, mais comme elle est un bon médecin, elle a beaucoup d'hommes comme patients, et elle est très respectée.

Revenons à ma discussion avec elle. Elle s'est montrée extrêmement compréhensive et m'a demandé ce que je désirais. Je lui ai expliqué qu'il devait y avoir un moyen de calmer Bernie, de changer sa nature agressive, et de le rendre plus attentif à mes désirs. Julie a évoqué l'idée d'une thérapie de couple, mais il allait devoir accepter cette idée, et exprimer sa volonté de changer. Nous savions toutes les deux que cela n'arriverait pas. L'autre option pouvait être une prescription médicamenteuse qui freinerait sa libido. Julie et moi avons parlé de plusieurs traitements possibles, y compris d'hormones féminines. Nous étions d'accord qu'en raison de son attitude, ces médicaments allaient devoir lui être administrés à son insu. Nous avons également discuté des effets à court et long terme d'un tel traitement, tels que:

- Un changement lent et progressif de son attitude jusqu'au moment où il se montrerait plus soumis qu'agressif;

- Un changement lent et progressif de son corps, avec la possibilité d'une féminisation et même le développement de seins.

De plus, elle a précisé qu'après quelques semaines d'un tel traitement, Bernie aurait de plus en plus de mal à entrer en érection, et que ses éjaculations allaient se faire plus rares et moins consistantes.

Plus nous en parlions, plus j'étais "excitée". Julie a alors annoncé qu'elle allait lui prescrire une combinaison d'œstrogènes et de progestérone, ainsi que des inhibiteurs de testostérone, mais qu'il fallait d'abord lui faire un check-up complet, y compris une prise de sang.

Nous étions proches de son check-up annuel, et donc Julie a pu lui faire passer tous les tests nécessaires pour être sûre qu'il ne subirait pas d'effets négatifs de ce traitement. Julie a pu constater qu'il était en parfaite santé, et que son corps allait sans doute bien tolérer l'administration d'hormones féminines et d'inhibiteurs de testostérone sans effets secondaires non désirés.

J'ai commencé à vider les petites capsules dans ses boissons et sa nourriture comme Julie l'a prescrit. Les changements ont été incroyables. Dès la première semaine, Bernie semblait avoir changé de personnalité, et après plusieurs semaines, il semblait moins intéressé par le sexe. Pour être sûre que ces changements n'étaient pas qu'une impression, j'ai initié quelques rapports sexuels, me montrant désireuse de lui donner ce qu'il désirait. La première fois, le rapport sexuel s'est bien passé et il s'est montré bien moins agressif, mais il a refusé encore une fois de me faire un cunnilingus. Après six semaines, les changements chez Bernie étaient évidents. Il ne montrait plus d'intérêt pour le sexe, et il m'a même avoué avoir des problèmes d'érection, ce que je savais bien sûr déjà. Lors d'une consultation avec Julie, il s'est plaint auprès d'elle de son impuissance grandissante. Julie lui a expliqué que c'était sans doute lié au stress dans son travail, mais aussi à l'âge. Etonnamment, il a accepté ce diagnostic.

Ma vie était désormais bien plus agréable, d'autant plus que Bernie, se sentant coupable de son impuissance, me proposait de me satisfaire oralement. C'était merveilleux, d'autant plus qu'il m'a avoué y prendre beaucoup de plaisir, non pas sexuel, mais c'était pour lui une grande satisfaction de me rendre heureuse.

Après quelques mois, on voyait des changements sur son corps. Ses hanches s'arrondissaient, et ses pantalons étaient de plus en plus serrés. On pouvait aussi voir deux bosses adorables se développer sur sa poitrine. Un soir, alors que nous parlions, il m'a dit qu'il sentait qu'il changeait, dans son esprit et dans son corps, et que cela lui faisait peur: Il craignait de ne plus pouvoir être un homme. En même temps, il m'a avoué qu'il aimait les sensations que lui donnaient ces changements, même si sa silhouette se féminisait. J'ai saisi l'occasion pour lui dire que j'avais remarqué ces changements, et que j'aimais mon nouveau mari.

Je lui ai ensuite proposé d'essayer l'un de mes pantalons pour voir s'il lui allait. A ma surprise, il a accepté, et il est resté longtemps à se regarder dans le miroir et à savourer sa nouvelle silhouette. Mon pantalon lui allait très bien, et il mettait en valeur ses hanches arrondies. En le taquinant, je lui ai demandé s'il voulait essayer l'un de mes hauts, ce qu'il a accepté. Il ne pouvait pas croire combien cela accentuait sa poitrine naissante bien visible derrière la fine étoffe. Le pauvre Bernie semblait aimer ce qu'il voyait, mais surtout, il était déconcerté. Je l'ai consolé en lui disant que j'adorais "le nouveau Bernie", et que, puisque son corps changeait, il allait peut-être devoir porter des vêtements plus confortables, au moins quand il était à la maison. D'abord sous le choc, il a consenti à essayer, tant que cela aller rester dans la maison.

Le lendemain, je suis allée lui acheter quelques pantalons de femme, quelques jupes et robes, ainsi que quelques hauts. Je lui ai aussi acheté des petites culottes, ainsi que des chaussures de femme sans talons. A mon retour à la maison, je lui ai tendu une petite culotte, et je lui ai demandé de l'essayer. Il donnait l'impression qu'il allait se mettre à pleurer, mais il m'a obéi. Je lui ai expliqué que, puisque désormais, des pantalons de femme lui allaient mieux, une petite culotte en dessous n'était que naturelle. Il a admis qu'il aimait bien la sensation d'en porter une. Après le dîner, je lui ai dit que j'avais une autre surprise pour lui. Je l'ai entrainé dans notre chambre et je lui ai demandé de se déshabiller.

Pensant que nous allions faire l'amour, il a accepté, mais quand je lui ai montré une robe et que je lui ai demandé de l'essayer, il a éclaté en sanglots. Il sentait que c'était inévitable, mais il me suppliait. Il a sangloté: "Tu essayes de faire de moi une femme." Je lui ai alors dit que oui, et je lui ai ordonné d'enfiler la robe. Alors qu'il sanglotait, je lui ai tout raconté, à propos du docteur Julie, à propos des hormones, à propos de ses seins qui poussaient, à propos de son impuissance et finalement à propos des projets que j'avais planifiés depuis le premier jour où je lui ai donné des hormones. Il allait devoir porter des vêtements féminins tout le temps quand il était à la maison, et il allait devoir porter une petite culotte, une gaine et des bas chaque jour à son travail sous ses affaires d'homme. Il devait partir à la retraite dans un mois, alors je lui ai dit qu'après cela, il allait porter des vêtements féminins en permanence. Il ne pouvait dire que "Oh mon Dieu" en pleurant et en me suppliant de ne pas lui faire cela. Julie avait eu raison. Il était devenu si soumis et dépendant qu'il pouvait à peine faiblement protester tout en m'obéissant.

Au moment de sa retraite, j'avais rassemblé toute une garde-robe pour lui, des petites culottes, soutiens gorges, gaines, bas, robes, chaussures, etc. La première fois que je lui ai fait porter un soutien-gorge, puis une robe avec des chaussures à petit talon, j'étais très excitée de voir à quel point il avait l'air féminin. Je crois qu'il aimait bien ça lui aussi, mais il n'était pas prêt à l'admettre. J'ai littéralement dû le forcer à sortir de la maison, mais puisqu'il portait des robes en permanence, il allait aussi devoir le faire en public. Je l'ai aidé à se maquiller et à se coiffer, ayant laissé ses cheveux pousser au-dessus de ses oreilles, et avec quelques bijoux, je l'ai entrainé vers sa première sortie. Il était si nerveux, et cela se voyait, mais j'étais déterminée à ne pas revenir en arrière. Son nouveau rôle de soumis efféminé me donnait trop de plaisir. Je l'ai rassuré en lui disant qu'il était très convaincant, et j'ai complété son changement en l'appelant Bernice. Notre première sortie a été très difficile pour lui, parce que certaines personnes se sont clairement aperçues qu'il était un homme, mais beaucoup l'ont simplement accepté en tant que Bernice.

Il s'est rendu à sa consultation suivante chez le docteur Julie complètement habillé en Bernice, mais il a été très honteux quand l'assistante médicale l'a appelé Monsieur Sorenson. Il n'y avait qu'une seule autre personne dans la salle d'attente, une femme qui lui a fait un sourire. L'assistante lui a demandé de se déshabiller, puis d'enfiler une blouse, et elle l'a complimenté pour sa nouvelle apparence. Le docteur Julie est entrée et l'a fait s'installer sur un fauteuil de gynécologie, avec les jambes sur les repose-pieds. Il avait l'air vraiment humilié dans cette position. Le docteur a écarté les repose-pieds, et a commencé à l'examiner.

Elle parlait fort en l'examinant, lui imposant un examen rectal digital, et passant beaucoup de temps à soupeser et palper ses testicules, mesurant leur dimension, leur sensibilité, et cherchant la moindre anomalie. Le pauvre Bernice a grimacé alors qu'elle lui pinçait un testicule, puis l'autre. Elle a ensuite examiné ses tétons, parlant de leur taille et de leur sensibilité. Elle lui a dit qu'il avait atteint un point de non-retour. S'il continuait à prendre le traitement, les changements allaient être irréversibles, mais s'il arrêtait, son corps et sa personnalité allaient progressivement revenir à ce qu'ils étaient quelques mois auparavant. Bernice s'est mis à pleurer, puis il a dit qu'il ne voulait pas revenir en arrière, qu'il aimait sa nouvelle vie, et qu'il préférait désormais les vêtements féminins. Julie lui a alors demandé s'il souhaitait se féminiser d'avantage, et après quelques minutes, il a dit que oui. Elle lui a demandé d'y réfléchir très sérieusement, et lui a donné rendez-vous pour le mois suivant.

Bernice semblait vraiment prendre du plaisir dans sa nouvelle féminité, et en semblait même fier. La première fois qu'il a croisé un ancien collègue qui l'a immédiatement reconnu, Bernice lui a simplement dit qu'il adorait le nouveau sentiment de liberté que sa nouvelle vie lui donnait. Il m'a confié après quelque temps qu'il aurait souhaité que je le féminise des années plus tôt, car il était fatigué de jouer à être le "macho" que tout le monde s'attendait à voir en lui.

Lors de la consultation suivante chez le docteur Julie, Bernice a exprimé son désir d'aller plus loin, et, après une longue discussion entre nous et Julie, il a demandé à se faire retirer les testicules. Elle a accepté, mais elle lui a dit qu'il devait garder son pénis, qu'il pouvait encore servir si par exemple, on décidait d'une opération de changement de sexe pour Bernice.

Quelques années ont passé, et Bernice et moi vivons toujours ensemble. La plupart des gens l'ont accepté en tant que Bernice, même si certains parlent de lui comme de la lopette qui a autrefois été un homme. En fait, Bernice prend plutôt cela comme un compliment, et dit que bien de ces machos rêvent en réalité d'être à sa place. Bernice me fait merveilleusement l'amour, et adore me lécher sans rien  attendre en retour. Bernice encourage également ma relation avec Julie.

Bon, je crois que ma lettre est assez longue, mais j'avais besoin de partager mon expérience sur la manière de changer un homme macho en une servante obéissante, une amie, et une amante dévouée.

Cordialement,

Martha

Toronto, Ontario

Merci pour votre lettre Martha, merci pour cette histoire qui raconte comment vous avez aidé votre mari à améliorer sa vie. Je suis heureuse pour vous que cela ait si bien fonctionné.

Helga

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