Les lettres publiées sur le site "Petticoat Discipline Quarterly" racontent des témoignages de "petticoat discipline" (discipline par le jupon).
Ma vie en jupes
Chère Tatie Helga,
J'ai grandi dans une famille avec deux sœurs et sans père, parce qu'il
avait été tué lors de la guerre du Vietnam quand j'avais 2 ans. Megan a 2 ans
de plus que moi, et Beth est plus jeune d'une année. En l'absence d'une figure
d'autorité paternelle, je suis devenu quelque peu sauvage et incontrôlable.
Même si je ne crois pas avoir été un mauvais garçon, je me suis souvent attiré
toutes sortes de problèmes. J'ai dépassé les bornes pour ma mère l'année de mes
12 ans. J'ai été renvoyé de l'école pour une semaine après m'être battu. Comme
il ne restait que quelques jours avant les congés de printemps, j'allais devoir
attendre deux semaines entières avant de retourner à l'école. Secrètement, je
me réjouissais d'avoir deux semaines de vacances, mais je ne réalisais pas que
la punition qui m'attendait allait changer ma vie pour toujours.
Je me tenais là le soir et, en apprenant mon renvoi de l'école par ma mère
qui lisait le compte-rendu de l'école sur mon attitude, Beth l'a interrompue en
disant quelque chose du genre: "C'est dommage qu'il ne soit pas une fille.
Il ne se serait pas attiré autant de problèmes si c'était le cas." Maman a
arrêté de lire et m'a regardé bizarrement. Puis elle m'a envoyé me coucher. Il
était encore tôt, mais je savais bien que je n'avais pas intérêt à discuter.
Le matin suivant, elle m'a réveillé après le départ de Beth et Megan pour
l'école. Après un bain, je suis retourné dans ma chambre pour m'habiller et
maman m'y attendait. Elle avait une petite culotte de fille dans sa main et me
dit de l'enfiler. J'ai vu une robe et un caraco sur le lit, ainsi qu'une paire
de chaussures Mary Janes et des socquettes blanches. Mes supplications se sont
révélées inutiles et quelques minutes plus tard, je portais d'anciens vêtements
de Megan. Nous étions au début des années 80, mes cheveux étaient assez longs
et maman n'a pas mis longtemps à me faire une coiffure de fille en utilisant un
peigne, une brosse, et des ciseaux. Elle m'a dit que je resterais habillé ainsi
jusqu'à mon retour à l'école, deux semaines plus tard.
Inutile de préciser que mes sœurs ont pris beaucoup de plaisir à se moquer
de moi et à m'apprendre à me comporter en fille. Je devais leur obéir ou faire
face à de nouvelles punitions. Comme mon comportement s'est amélioré après
cela, ma mère a rangé des robes et des jupes dans mon placard, et des dessous
de fille dans mes tiroirs, et a fréquemment trouvé un prétexte pour m'habiller
en fille. Les vêtements qu'elle me faisait porter étaient appropriés pour mon
âge, même s'ils ne l'étaient pas pour mon genre. Ils comportaient des soutiens
gorges rembourrés, des collants, et des chaussures à talons. A 15 ans, j'ai dû
apprendre à me maquiller seul. On m'emmenait souvent en public, et heureusement
pour moi, je passais aisément pour une fille. Mes seuls problèmes étaient
d'éviter de trop attirer les garçons qui ne réalisaient pas que j'étais un
garçon moi-même.
C'était inévitable que certaines amies de mes sœurs apprennent de quelle
manière inhabituelle j'étais puni, et on me demanda de me présenter en fille
devant elles. Elles adoraient me taquiner, mais en général, elles me traitaient
comme l'une des leurs. A ma connaissance, elles ont toutes gardé le secret.
J'ai souvent participé à des fêtes de famille en robe, ou en jupe avec un haut
féminin, et parfois, j'étais le seul à porter une telle tenue, car les vraies
femmes étaient souvent en pantalon. J'ai subi à ces occasions de nombreuses
taquineries de mes cousins, surtout des garçons. Souvent, ceux qui racontent
leurs expériences sur votre site parlent de l'humiliation qu'ils ont ressentie
en étant habillé en fille devant des filles, mais pour moi, cela a été bien
pire de me retrouver exposé devant des garçons. Je me suis souvent senti
inadapté, tant je me sentais moins masculin qu'eux, et j'étais souvent
malheureux au point d'en pleurer.
Même si mes sœurs m'ont beaucoup taquiné lors des premiers jours, elles m'ont
ensuite beaucoup aidé à me présenter en fille convenable pour éviter
l'humiliation quand je devais me présenter devant d'autres personnes. Elles
sont devenues mes meilleures amies. Elles semblaient apprécier que je sois
"l'une des filles."
Cela s'est poursuivi jusqu'au moment où je suis parti pour la fac, à 18
ans. J'étais soulagé de me dire que cette partie de ma vie était enfin
terminée. Pendant mes études, j'ai pris un emploi à temps partiel dans un
bureau de comptabilité. L'une des expertes comptables était particulièrement
gentille avec moi. Elle s'appelait Nancy et avait 25 ans, donc 7 ans de plus
que moi. J'ai été surpris quand elle m'a demandé de sortir avec elle, et après
cela, nous sommes devenus très proches. Elle était plutôt énergique, et comme
je n'avais aucune expérience, j'étais content de la laisser diriger tout ce que
nous faisions ensemble.
Je l'ai ramenée avec moi à la maison, rencontrer ma famille pour quelques
semaines pendant les vacances d'été. Malheureusement pour moi, maman avait
gardé sur la cheminée une photo de Megan, Beth et moi en robes d'été, prise
quand j'avais 16 ans. Nancy a posé des questions sur cette photo. Elle avait
reconnu mes deux sœurs, mais elle se demandait qui était la troisième fille,
car elle leur ressemblait comme si elle était une troisième sœur. Sans hésiter,
maman lui a expliqué que c'était moi, et lui a ensuite raconté comment j'en
étais arrivé à porter des vêtements de fille. Je restais assis là avec ma tête
dans les mains, certain que Nancy ne voudrait plus jamais entendre parler de
moi après cela.
Sa réaction a été l'exacte opposée. Elle a demandé s'il restait certaines
de mes anciennes robes dans la maison. Maman lui a répondu qu'elles étaient
toujours dans mon placard, ainsi que mes petites culottes, mes soutiens gorges,
et ma lingerie. Nancy s'est alors tournée vers moi et m'a demandé d'enfiler une
tenue plus appropriée pour passer une soirée entre filles. Bien entendu, je
n'avais aucune envie de faire cela et j'ai commencé à protester. Elle s'est
alors tournée vers ma mère en lui demandant si cela lui poserait un problème si
elle (Nancy) me donnait une fessée. En riant, maman a répondu que non. Avant
que je ne puisse réagir, Nancy s'est saisie de moi et a demandé à Megan de me
baisser mon pantalon. Peu après, j'étais allongé sur les genoux de ma petite
amie, avec mon caleçon baissé, et la suppliant d'arrêter alors qu'elle me
fessait durement. Ce n'est qu'au moment où j'ai finalement accepté de
m'habiller en fille pour elle qu'elle m'a relâché. Alors que je remontais mon
caleçon, je ne pouvais empêcher mes larmes de couler. Les quatre femmes m'ont
entrainé vers mon ancienne chambre où j'ai dû leur faire un défilé de mode.
Nancy m'a maquillé, bien que j'aurais pu me maquiller seul. Après avoir montré
toutes mes tenues, maman nous a tous invité à sortir pour le dîner, et je
portais la même robe d'été que je portais sur la photo qui avait tout
déclenché.
Pour faire court, j'ai passé les trois semaines suivantes en jupes, à
servir les femmes de la maison, y compris ma fiancée. A mon retour à la fac, j'ai
emménagé dans l'appartement de Nancy. Elle dominait clairement notre relation.
Je n'étais pas autorisé à porter de pantalon à la maison, et elle a jeté tous
mes sous-vêtements masculins, m'obligeant à porter des petites culottes et des
bas ou collants en nylon à plein temps. Quand j'allais en cours, je portais un soutien-gorge
quand il faisait assez froid pour que je puisse le dissimuler sous un pull, et
un caraco quand il faisait plus chaud. Je devais faire en sorte d'avoir le
corps toujours épilé, et les ongles de mes doigts de pied étaient toujours
vernis. J'étais chargé de l'entretien de la maison, y compris la cuisine, le
ménage, la lessive, et je lavais notre lingerie à la main. J'ai appris
qu'aucune désobéissance ne serait tolérée en me retrouvant souvent allongé sur
les genoux de Nancy, avec ma jupe relevée et ma petite culotte baissée.
Après l'obtention de mon diplôme, nous nous sommes mariés. J'ai fait les vœux
de l'aimer, de l'honorer et de lui obéir. Ses vœux étaient de m'aimer, de
m'honorer, et de me chérir. Nancy a repris ses études pour passer un Master
tandis que je travaillais pour entretenir notre foyer. Après la réussite de son
diplôme, elle a trouvé un emploi très bien rémunéré, et je suis devenu sa femme
au foyer et sa servante à plein temps. Je me souviens que je la regardais avec
tristesse quand elle a rassemblé mes dernières affaires d'homme pour les donner
à une œuvre caritative. J'avais compris à ce moment alors que je ne porterais
plus jamais de vêtement masculin.
Il y a deux ans, elle a commencé à me faire porter une cage de chasteté. Je
la porte en permanence, sauf quand elle décide de me l'enlever. Pour le monde
extérieur, nous sommes un couple lesbien. Je ne suis pas vraiment belle, mais
on me prend malgré tout pour une femme. Seules nos familles et quelques amis
connaissent la vérité. Je fais le ménage dans les maisons de mes sœurs et de ma
mère chaque semaine. A l'occasion, Nancy loue mes services en tant que bonne
auprès de ses amies. Ce sont toujours des expériences humiliantes pour moi,
mais elle m'explique que c'est nécessaire pour me remémorer à chaque instant où
est ma place.
Pardon d'avoir été si long. Si vous le souhaitez, je vous raconterais
d'autres expériences de ma vie en fille, quand j'étais adolescent, ou en tant
que servante et femme d'intérieur de mon épouse.
Jami