samedi 17 avril 2021

La nouvelle fille du lycée. (histoire)

 Une histoire trouvée il y a longtemps sur Internet.

L'été était là et je n'avais rien à faire. Encore une année de lycée et ensuite j'allais devoir décider quoi faire de ma vie.

Comme mes parents travaillaient tous les deux, j'étais seul à la maison et je passais cette première semaine de vacances à me morfondre. Parfois, quand je sortais dans le jardin, je voyais ma voisine, Susan, qui faisait du jardinage. Je n'engageais pas la conversation avec elle parce que j'étais assez timide, et jusque-là nos échanges se limitaient à un simple bonjour. Ce jour-là, elle s'approcha de la clôture et engagea la conversation. Elle se montra très sympathique, et ne me fit pas du tout me sentir intimidé ou inconfortable. La conversation était si agréable que temps passa très vite et qu'une heure s'était écoulée avant même que je ne m'en rende compte. Elle parla avec moi du lycée, des filles, ou me demanda quels étaient mes projets pour l'été. Je lui répondis que je n'avais aucun projet, et que je vivais au jour le jour. Je pense qu'elle avait compris que je n'avais aucune petite amie sans que je lui dise.

Le lendemain, je sortis dès que possible dans le jardin, espérant la revoir.

Je jetais un coup d'œil au-dessus de la clôture, mais je ne la vis pas dans son jardin. Alors que j'allais rentrer dans la maison, je la vis sortir du patio en maillot de bain. Susan me salua de la main, puis me dit qu'elle voulait me parler. Je ne pouvais cesser de la regarder. On ne peut pas dire qu'elle était très belle, mais je crois que toute son attitude la rendait très séduisante. Elle était un peu plus grande que moi, avait des cheveux bruns qui lui tombaient sur les épaules, n'avait qu'une modeste poitrine, mais je trouvais que ses jambes étaient magnifiques. En s'approchant de la clôture pour pouvoir me parler, Susan me dit qu'elle avait parlé de moi avec son mari, et elle me demanda si cela m'intéresserait de l'aider à faire quelques menus travaux dans la maison. Elle voulait repeindre quelques pièces, et poser du papier peint, et me dit qu'une paire de mains supplémentaire serait bienvenue. De plus, elle me donnerait un peu d'argent, et cela nous permettrait de mieux nous connaitre. Elle ajouta que si j'étais intéressé, nous pourrions commencer le lundi suivant, dès que tout le monde serait au travail, et qu'elle allait profiter du week-end pour acheter le nécessaire.

Le lundi suivant, je me rendis dans sa maison où Susan m'attendait. Tout était prêt pour commencer à peindre. Susan précisa qu'à la fin de la semaine, quand la peinture serait sèche, nous allions pouvoir poser les papiers peints.

Les jours suivants, en travaillant, Susan et moi parlions de choses et d'autres. Plus d'une fois, je me surpris à l'admirer alors qu'elle se penchait en avant ou qu'elle escaladait l'escabeau. Je suis sûre qu'elle se rendait compte que je regardais ses jambes ou ses seins quand elle se penchait, mais elle ne cherchait pas à dissimuler quoi que ce soit. Un jour, alors que ses mains étaient souillées de peinture, elle me demanda si je pouvais sortir son linge du séchoir et le plier soigneusement pour elle. En sortant ses affaires du séchoir, je me rendis compte qu'il s'agissait essentiellement de sa lingerie et de ses collants. Je regardais avec attention chaque pièce de lingerie avant de la déposer dans le panier à linge. La plupart étaient des petites culottes en dentelle. Je les trouvais si jolies et je les caressais de la main. Je me caressais la joue avec l'une de ses culottes encore chaude du séchage quand Susan entra dans la pièce et me surprit: "Tu aimes bien mes petites culottes, on dirait?" Je ne savais pas quoi répondre. Elle fit un grand sourire, puis sans rien ajouter, elle retourna à sa peinture. Je restais là, totalement embarrassé, et ignorant quoi faire. Je pris le panier à linge et l'emmenais pour le montrer à Susan. Susan était en haut de l'escabeau et me demanda d'emmener tout cela dans sa chambre. Je devais ensuite tout déposer sur le lit pour laisser refroidir la lingerie avant de la ranger  Je commençais par essayer de m'excuser, mais elle m'interrompit, me disant que c'était inutile, et qu'elle supposait que j'avais juste été un peu curieux.

En arrivant dans la chambre de Susan, je découvris d'autres sous-vêtements sur son lit. Après avoir déposé la lingerie que j'avais apportée, j'examinais ces autres affaires. J'étais étrangement excité en détaillant et en touchant la lingerie de Susan, et je pris un string que je tins devant moi, faisant mine de l'essayer. Je sentis soudain que j'avais une forte érection. C'est à ce moment précis que Susan vint me rejoindre dans la chambre, et vit dans quel état d'excitation je me trouvais. Elle me dit simplement: "Et pourquoi tu ne l'essayes pas?" Je dois admettre que j'en avais très envie, mais je ne pouvais pas faire ça, même si cela ne semblait pas la déranger. La fin de la journée fut consacrée à nettoyer les pinceaux et les rouleaux, puis à retirer les adhésifs de peintre. Enfin, je rentrais chez moi, promettant de revenir le lendemain.

Le lendemain matin, à peine mes parents étaient-ils partis pour aller travailler que je frappais à la porte de la maison de Susan avant d'entrer. Elle était assise dans sa cuisine et buvait un café. Elle m'en offrit un. Elle me dit que nous n'étions pas pressés parce que nous avions pris de l'avance la veille. La discussion en arriva à l'incident de la veille, et elle m'avoua qu'elle était excitée à l'idée que je m'intéresse à sa lingerie. Elle avait eu du mal à penser à autre chose depuis. J'aurais voulu lui avouer que c'était pareil pour moi, mais je ne pouvais pas parler. De toute façon, elle devina à quoi je pensais en découvrant que j'avais une nouvelle érection. Susan me dit qu'elle avait une idée, puis, me prenant par la main, elle m'entraina vers sa chambre à coucher.

 

Sur le lit se trouvait une sélection d'ensembles de lingerie. En me regardant dans les yeux, Susan prit mes mains et me dit que si j'avais envie d'essayer, je pouvais le faire, et que cela serait notre secret. Personne d'autre ne devait jamais l'apprendre, et, comme nous avions environ la même taille, il n'y aurait aucun problème. Je voyais dans ses yeux qu'elle était sincère, mais j'hésitais toujours. Elle me poussa sur le lit, puis choisit pour moi un ensemble blanc qu'elle posa sur moi. Je ne pouvais plus résister, et je lui pris la petite culotte des mains. Avec son aide, je me retrouvais en petite culotte, soutien-gorge et bas, avec en prime, une paire de ses escarpins aux pieds. J'adorais sentir la douceur de la lingerie sur ma peau, et la manière dont elle enserrait mon corps. Mais avec mon érection, la petite culotte ne m'allait pas vraiment. Susan me poussa devant un miroir pour que je puisse me voir. J'étais plutôt confus de me sentir comme une fille, mais de ne voir qu'un garçon en lingerie de femme. Susan comprit ce que je ressentais en voyant mon expression. Elle me dit qu'il y avait un moyen de résoudre le problème: elle devait me faire vraiment ressembler à une femme. Ne comprenant pas où elle voulait en venir, je lui demandai de m'expliquer. Elle m'expliqua alors que, si j'en avais envie, elle pouvait commencer par m'épiler le corps, puis me maquiller, et qu'elle pouvait trouver un moyen de me coiffer différemment. Elle pouvait m'aider, mais je devais faire ce qu'elle me demandait.

Susan m'aida à retirer la lingerie, puis me guida jusqu'à la salle de bain, où elle m'enduisit le corps de crème dépilatoire, ne me laissant qu'un petit triangle de poils au niveau du pubis. Durant tout le temps où elle s'affairait sur moi, j'avais une érection, mais cela ne semblait pas la déranger outre mesure. C'était une véritable torture pour moi. Après une demi-heure, elle me poussa sous la douche où tous les poils de mon corps disparurent. Ma peau me sembla soudain plus douce sans tous ces poils. Une fois séché, Susan m'aida à me rhabiller. En m'aidant à remonter la petite culotte, Susan murmura quelque chose à propos de mon problème d'érection que nous allions devoir solutionner. Après m'avoir fait assoir sur son lit, elle m'enfila doucement les bas l'un après l'autre. Ensuite, elle me mit un soutien-gorge dont elle remplit les bonnets avec une paire de bas couleur chair. Ensuite, Susan me fit assoir devant sa coiffeuse, mais dos au miroir. Sur la table, il y avait tous les ustensiles de maquillage de Susan, et elle commença à les utiliser sur moi, me faisant promettre de ne pas me regarder avant qu'elle ait fini.

Une fois le maquillage terminé, Susan me demanda de fermer les yeux, et me fit promettre de ne pas les ouvrir avant qu'elle ne le dise. Elle allait vite revenir. Après un instant qui me sembla une éternité, elle revint et plaça une perruque sur ma tête et fit encore quelques ajustements de coiffure. Une fois satisfaite, elle me retourna vers le miroir et me dit d'ouvrir les yeux. Je ne pouvais pas croire ce que je voyais. Cette personne que je voyais dans le miroir, c'était moi! Je ressemblais à une fille. Avec sa lingerie, un maquillage léger, et cette perruque, j'étais transformé en une très jolie adolescente, qui pouvait entrer en compétition avec les plus jolies filles du lycée. Debout devant le miroir, je voyais une fille avec des cheveux auburn qui lui tombaient sur les épaules, un ensemble culotte et soutien-gorge blanc, avec un porte-jarretelles assorti, des bas et des escarpins avec des talons de près de 10 cm. Le problème, c'était que j'avais toujours une érection. Susan le voyait bien sûr, alors elle me demanda de la laisser faire. Elle écarta la petite culotte, prit mon pénis dans une main et en un instant, c'était fini. Je n'avais jamais été touché ainsi par une femme, mais tout s'était passé si vite que je n'avais aucune chance d'aller plus loin. Ensuite, elle se dirigea vers son placard et en sortit une robe légère bleu clair. J'appris plus tard qu'on appelait ce genre de robe une robe fourreau. Elle m'allait parfaitement, et je dois admettre que je me sentais bien dedans. C'était merveilleux d'aller et venir dans la chambre entièrement habillé en femme. Susan me dit que je pouvais rester habillé ainsi toute la journée si je le souhaitais. Cela avait demandé tant d'efforts pour en arriver là que cela aurait été dommage que je me change tout de suite. Je ne pouvais pas croire ce qui m'arrivait. Le reste de la journée passa très vite. J'étais si heureux que je crois que ma joie affectait Susan elle aussi. Elle me prenait dans ses bras à chaque occasion, me disant combien j'étais jolie et sexy. J'adorais juste aller et venir dans la maison, et parfois m'assoir en laissant la robe remonter juste assez pour découvrir le haut de mes bas. Malheureusement, la fin de la journée arriva. Je dus me changer et rentrer chez moi. Voyant que j'étais malheureux de la quitter, Susan me dit que nous pourrions refaire la même chose chaque jour si je le souhaitais, mais que j'allais devoir m'habituer à l'aider dans la maison habillé en fille. J'acceptais sans hésitation et lui donnais rendez-vous pour le lendemain.

Le lendemain matin, à mon arrivée, Susan avait choisi et préparé des vêtements pour moi. Elle me dit d'entrer et de l'appeler quand je serais prêt. Ce jour-là, j'enfilais un ensemble culotte et soutien-gorge couleur chair, des bas gris, des escarpins noirs, une mini-jupe noire et un chemisier de soie beige. Avant de m'habiller, je me maquillai du mieux que je pouvais et je me coiffais de la perruque comme Susan me l'avait montré. Je m'asseyais sur le lit pour remonter mes bas et les attacher au porte-jarretelles, et je dissimulais difficilement mon érection dans la petite culotte. Une fois complètement habillé, j'appelai Susan. A son entrée dans la chambre, elle me complimenta pour mon joli maquillage, me précisant qu'avec l'habitude, je deviendrais encore bien meilleur. Elle s'assit sur le lit à côté de moi et m'embrassa, d'abord sur la joue, puis sur les lèvres. J'ignorais comment réagir. Peu après sa langue explorait l'intérieur de ma bouche. Sa main qui était posée sur ma cuisse remonta sous ma jupe, et commença à caresser mon érection à travers la petite culotte. Elle cessa de m'embrasser pour me demander si j'aimais le prénom Nicole. Je répondis que oui, et elle m'annonça que désormais, je m'appelais Nicole. Elle me dit qu'elle s'était toujours demandé ce que cela lui ferait de faire l'amour avec une fille. Elle se leva alors et s'assit sur un fauteuil de l'autre côté de la pièce. Là, elle écarta ses jambes pour les poser sur les accoudoirs du fauteuil et remonta sa jupe, révélant qu'elle ne portait pas de culotte. Elle me demanda alors de m'approcher tout en se caressant. Une fois près d'elle, elle me demanda de me mettre à genoux et d'utiliser ma langue pour lui donner du plaisir. Je n'avais jamais fait une chose pareille, et j'ignorais comment faire, mais Susan me dit que je n'avais qu'à me laisser guider par ses réactions. Après avoir glissé mes mains sous ses cuisses pour prendre appui, j'approchais mon visage. Je pouvais voir qu'elle était humide et je sentais son plaisir féminin. Je sentais ses poils pubiens me chatouiller les joues tandis que je sortis ma langue pour la lécher. Je plongeais ma langue en elle autant que je pouvais et je buvais son jus. Susan replia ses jambes pour les placer sur mes épaules et prit ma tête dans ses mains pour me guider. J'avais du mal à respirer tandis que ma langue et mes lèvres s'activaient sur elle. Elle eut soudain des spasmes et s'effondra en arrière. Elle relâcha la prise qu'elle avait sur moi et me demanda d'arrêter. Après quelques minutes, elle retira ses jambes de mes épaules et me repoussa au sol. En repoussant mes genoux vers mes épaules, elle vint se glisser entre mes jambes, et m'embrassa longuement et profondément. Susan se pencha ensuite vers ma petite culotte, qu'elle écarta pour prendre mon érection en main. Elle me masturba vigoureusement pendant un instant, et je crus que j'allais éjaculer. Mais elle ralentit son mouvement pour venir embrasser mon gland de ses lèvres et le chatouiller avec sa langue. Je n'avais jamais rien ressenti de tel. Ensuite, elle prit mon sexe entièrement en bouche, tout en enfonçant un doigt dans mon cul. Tandis qu'elle me suçait, elle faisait aller et venir son doigt en moi. Après quelques instants, je perdis presque connaissance tant le plaisir était intense alors qu'elle semblait avaler avec délectation tout mon jus. Je n'avais jamais connu un tel plaisir et je serais incapable de le décrire. Après cela, la journée fut consacrée à nos travaux jusqu'au moment où je dus me changer pour rentrer chez moi. La même routine s'installa les jours suivants. Susan me trouva de nouvelles tâches à accomplir, comme faire la lessive, passer l'aspirateur, faire les poussières ou nettoyer la salle de bain.

Le lundi matin suivant, à mon arrivée, Susan me dit qu'elle avait une surprise pour moi. En m'entrainant jusqu'à la chambre, elle me dit qu'elle avait une nouvelle tenue pour moi, et qu'elle avait hâte que je l'essaye. Dans la boîte qui se trouvait sur le lit, je vis d'abord une paire d'escarpins avec une bride de cheville et des talons démesurés. Ensuite, je découvris la lingerie, un porte-jarretelles noir, des bas nylons à coutures, un soutien-gorge à dentelle noir et une culotte string assortie. Ensuite, elle sortit une robe d'un carton, et je vis que c'était un uniforme de soubrette. J'en avais vu dans des magazines. Je la trouvais très jolie et j'avais hâte de l'essayer. Mais avant cela, Susan a insisté pour que je m'épile à nouveau et que je prenne une douche. Peu après, Susan m'aida à me maquiller pour que mon apparence soit parfaite. Avant de m'habiller, elle m'a fait enfiler une culotte spéciale pour maintenir mon sexe dissimulé entre mes jambes. Ensuite, j'ai enfilé toutes les pièces de lingerie, puis les chaussures avec son aide. La bride qui se fermait autour de la cheville donnait un air très sexy à mes jambes. Pour finir, elle m'aida à passer la robe. Je me sentais particulièrement féminine, au point que je souhaitais ne plus jamais devoir retirer cette tenue. Susan savait ce que je ressentais, et elle me dit exactement ce que j'avais envie d'entendre. Cette tenue m'appartiendrait aussi longtemps que je resterais chez elle, et je devais en prendre soin. Désormais j'allais devoir porter cet uniforme tous les jours, sauf quand elle me demanderait de porter autre chose. Elle me dit alors qu'il y avait encore un accessoire supplémentaire pour compléter cette tenue. Elle me demanda de m'approcher de la coiffeuse, de baisser ma culotte, et de prendre appui sur la table. Susan vint derrière moi et s'accroupit. Elle commença à me caresser entre les fesses. J'écartai les jambes pour lui faciliter l'accès, et je sentis qu'elle pénétrait mon cul avec son doigt. Puis, un instant plus tard, je sentis que quelque chose de bien plus gros remplaça son doigt. Après un peu de résistance et de douleur au niveau de mon anus, je me sentis soudain comme rempli d'un objet qui me semblait énorme. J'ignorais de quoi il s'agissait. Susan se redressa et me demanda de me tourner. Je ressentais une forme d'inconfort, mais en même temps une certaine excitation. Elle m'expliqua qu'il s'agissait d'un plug anal, et que je devais le porter en permanence.

Pendant les quelques semaines suivantes, je me sentais comme au paradis. Je portais mon uniforme de soubrette et je faisais de mon mieux pour satisfaire Susan. Je faisais cela avec mes doigts ou avec ma bouche, mais jamais je ne pus la pénétrer avec mon sexe. Elle me stimulait parfois jusqu'à la jouissance, mais c'était assez rare pour me laisser dans un état d'excitation constant. Susan m'interdit de me donner du plaisir solitaire. Les jours passaient et les travaux de décoration de la maison étaient terminés, mais Susan me donnait de l'occupation en me faisant faire le ménage, ou toutes les tâches quotidiennes. Pendant ce temps-là, Susan pouvait s'adonner à ses loisirs. J'en étais arrivé à être tellement à l'aise dans ma tenue que je répondais à la porte quand le facteur ou une autre personne venait. J'étais devenu une vraie servante dévouée.

Un soir, chez moi, mes parents m'annoncèrent qu'ils avaient une mauvaise nouvelle. Mon père était muté dans une autre ville, et ma mère avait décidé de le suivre. J'étais dévasté. Je ne voulais pas quitter mon lycée pour la dernière année qui me restait, et bien sûr, je ne voulais pas quitter Susan et notre petit arrangement. Je ne dormis pas de la nuit, et le lendemain, j'annonçai la mauvaise nouvelle à Susan. Dans un premier temps, elle sembla très déçue, puis elle se ressaisit, me disant qu'elle trouverait sûrement une solution. Puis sans perdre un instant de plus, elle m'indiqua mon travail de la journée. Le soir, alors que je me changeais pour rentrer chez moi, Susan me dit qu'elle parlerait avec son mari, et qu'ils allaient chercher ensemble une solution pour que je puisse rester.

Le lendemain, alors que je faisais la poussière dans le salon, Susan m'appela depuis la chambre. Je le retrouvai dans une tenue que je n'avais encore jamais vue. Elle portait un soutien-gorge à balconnets noir, un porte-jarretelles noir, et les mêmes bas et chaussures que moi. Elle se tenait près du lit, et à mon entrée, elle me demanda de m'approcher. Je vis qu'elle tenait une cravache dans sa main. Avec sévérité, elle me dit que ces derniers temps, mon travail n'était pas assez soigné et que je devais être puni. Elle m'ordonna de m'incliner et de prendre appui sur le lit, et elle remonta ma robe. Puis soudain je ressentis une terrible douleur alors qu'elle venait de me frapper les fesses de sa cravache. J'ignorais comment j'avais pu mériter cela. Elle m'ordonna ensuite de me mettre à genoux pour lécher ses chaussures, et comme je ne réagissais pas assez vite, je reçus un autre coup de cravache sur les fesses. Je me mis en position, en prenant soin de ne surtout pas filer ses bas, et je commençais à embrasser et lécher ses pieds. Après un moment, elle me cravacha une nouvelle fois pour m'ordonner de remonter le long de ses jambes. Je continuais à embrasser ses jambes en me redressant lentement pour me retrouver en contact avec peau nue de ses cuisses au-dessus de ses bas. Je vis alors son minou humide et je voulus le lécher, mais elle m'arrêta. Elle m'ordonna de me relever et de lécher ses tétons qui dépassaient au-dessus de son soutien-gorge. Je léchais avec délectation alternativement chaque téton tandis que Susan commençait à me masturber. Au moment où j'allais atteindre l'orgasme, elle me repoussa et m'ordonna de reprendre ma position au-dessus du lit. Elle me caressa les fesses, puis me retira brusquement mon plug anal. Cela fut si soudain que j'eus l'impression que tous mes intestins étaient arrachés en même temps que le plug, et mon érection retomba aussitôt. Susan s'allongea sur le lit et m'ordonna de la lécher. Je me mis en position entre ses jambes, et je commençais à me mettre consciencieusement à l'ouvrage. Elle prit ma tête entre ses mains, me disant de ne pas arrêter. Soudain, je sentis quelqu'un me toucher les fesses. Ce n'était pas Susan, dans sa position, cela lui aurait été impossible d'atteindre mon cul. Susan retenait fermement ma tête avec ses mains et je ne pouvais donc pas voir qui se trouvait derrière moi. Je sentis que quelque chose me pénétrait, et je ressentis de la douleur et du plaisir en même temps. J'essayais de me concentrer sur le plaisir de Susan, mais au même moment, je ressentais des sensations encore inconnues. Quelqu'un me sodomisait vigoureusement et je me disais que c'était ce qu'une femme pouvait ressentir quand on lui faisait l'amour. A cet instant, je me sentais vraiment comme une femme.

Je sentais que Susan était proche de l'orgasme, alors je me concentrais sur son clitoris. Au même moment, je sentais que la personne qui était en moi accélérait le mouvement et était sans doute proche de l'éjaculation. Les deux gémirent de plaisir quasiment au même moment, et j'avais l'impression de pouvoir sentir le sperme qui coulait en moi. A cet instant, je connus un plaisir si intense que j'éjaculais moi aussi sans même avoir touché mon sexe, et je m'effondrai sur le lit. La personne qui était derrière moi resta en moi pendant un long moment, et je me sentais heureux d'avoir pu donner du plaisir. Quand finalement, il se redressa et que je pus me tourner pour le voir, je réalisai qu'il s'agissait de Dave, le mari de Susan.

En regardant l'heure, Susan me dit qu'il était temps pour moi de rentrer chez moi. Sans un mot de plus Dave et elle quittèrent la chambre et me laissèrent seul pour me laver et me changer. Bientôt cette période folle et la plus heureuse de ma vie allait se terminer, et j'allais partir au loin avec mes parents. Deux jours plus tard, j'entrai comme d'habitude chez Susan et je découvris Dave et elle attablés dans la cuisine à boire leur café. C'était la première fois qu'il était présent le matin, et j'ignorais comment réagir. Susan me dit simplement de faire comme d'habitude et d'aller me changer, puis de venir les rejoindre parce qu'ils devaient me parler. Une fois habillé et maquillé, je retournai dans la cuisine et me tins devant eux. Ils me regardaient en souriant. Susan parla la première. Elle m'annonça que Dave était allé parler à mes parents pour leur expliquer que je ne me sentais pas bien à l'idée de déménager et de quitter mon lycée. Il leur avait expliqué que ce serait difficile pour moi de m'adapter à une nouvelle école et à de nouveaux amis, après avoir vécu ici si longtemps. Mes parents étaient conscients de mes difficultés, mais ils ne pouvaient pas passer à côté d'une telle opportunité de carrière. Dave leur avait alors proposé que je vienne habiter chez lui et Susan pour terminer ma dernière année de lycée. Il suffisait que mes parents acceptent de leur laisser l'autorité parentale, et ainsi, Dave et Susan pouvaient s'occuper pleinement de moi. Entendant cette proposition, mes parents n'hésitèrent pas longtemps et acceptèrent de signer les papiers nécessaires.

En entendant cela, je débordais de joie. Je n'étais pas obligé de partir. Susan me dit alors que, puisqu'ils étaient désormais responsables de moi, ils allaient me faire suivre un traitement hormonal pour développer la poitrine que je devais avoir. Elle ajouta que je devais remercier Dave pour tout ce qu'il avait fait pour moi. Je m'approchais alors de Dave, et je vis qu'il ouvrait sa braguette. Je me mis à genoux devant lui, et dégageais son sexe de son caleçon. Je tremblais d'excitation et d'appréhension en même temps. J'embrassais le gland avant de le prendre en bouche. Il me prit la tête et dirigea le rythme du mouvement de va-et-vient. Je le sentais durcir de plus en plus dans ma bouche. Je luttai d'abord contre une envie de vomir, puis, progressivement je m'habituais. Finalement je le sentis éjaculer avec force dans ma gorge, et je nettoyai soigneusement son sexe avec ma langue.

Je savais que j'avais trouvé ce que je voulais être. J'allais être la nouvelle fille du lycée à la prochaine rentrée!

 

1 commentaire:

  1. Magnifique histoire, j'apprécie toujours tes traductions et tes créations.

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