Quelques créations signées "Roger", cet auteur hélas aujourd’hui disparu du Web.
J'adorais cet auteur à l'époque. Il a été l'un des premiers à publier ce genre de "captions".
Étranges fantasmes que ceux-ci: La féminisation d'hommes ou de garçons. Des histoires imaginaires, illustrées ou non, de garçons transformés en filles, bien souvent contre leur gré. Blog réservé aux adultes, même si les histoires et les illustrations resteront très "soft".
Quelques créations signées "Roger", cet auteur hélas aujourd’hui disparu du Web.
J'adorais cet auteur à l'époque. Il a été l'un des premiers à publier ce genre de "captions".
Version originale sur:
http://knightstgcaps.blogspot.fr/
Il y a maintenant presque quatre mois que Knight ne donne plus signe de vie sur son blog. J'espère qu'il va bien...
J'ai encore un petit espoir... Après tout, bobbie99999, dont je traduis également régulièrement des créations, vient de revenir après plus de six mois d’absence!
Une histoire assez ancienne (vous pouvez voir les dates citées au cours du récit) trouvée il y a longtemps sur le site malheureusement disparu "Bobbie's Sissy's stories".
On me considère généralement comme assez attirante, et dès le lycée, j'ai compris comment je pouvais utiliser mes charmes pour contrôler et manipuler les gars auxquels je plaisais. Mes amies étaient souvent surprises de voir les garçons que je choisissais pour être mes petits amis "stables". Ils n'étaient pas vraiment des athlètes, mais juste des garçons vraiment sympas qui étaient ravis et reconnaissants d'avoir la chance de sortir avec quelqu'un comme moi (j'étais la capitaine de l'équipe des pom-pom girls). Je savourais leur dévouement vis-à-vis de moi. Ils dépensaient beaucoup d'argent pour essayer de me faire plaisir, m'emmenaient dans de beaux endroits, bref, ils faisaient tout ce que je désirais. Je dois aussi préciser que quand je parle de relation "stable", je dois dire que les garçons devaient accepter de ne sortir qu'avec moi – tandis que j'étais libre de rencontrer d'autres gars. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai toujours aimé ce genre de configuration. Si je découvrais qu'un de mes petits amis était sorti avec quelqu'un d'autre, je le larguais dans la seconde.
J'ai rencontré mon mari Robert alors que j'étais étudiante. Je me suis comportée avec lui comme avec les autres gars que j'avais connus au lycée. Il était très intelligent et plutôt mignon, même s'il n'était ni très grand, ni athlétique, pas vraiment le genre de type qui a la chance de sortir avec les filles les plus populaires. Dès notre premier rendez-vous, j'ai constaté à quel point il était amoureux de moi. Il ne cessait de me dire à quel point j'étais jolie, et m'a offert des cadeaux incroyables (il avait même trouvé un emploi uniquement pour avoir les moyens de m'offrir des choses), il faisait aussi la plupart de mes devoirs (comme je l'ai dit, il était très intelligent), et en général, il faisait tout ce que je lui demandais.
Dès le début de notre relation, j'ai compris qu'il avait une attirance particulière pour mes pulls. Il me demandait souvent d'en porter, et il m'a offert de magnifiques pulls en cachemire, ou d'autres pulls de laine. La première année, il m'a acheté plus d'une douzaine de pulls, et ce qu'il aimait le plus, c'était que je les porte sans rien en dessous. Et non seulement il me trouvait jolie dans ces pulls, mais en plus, il me demandait de les garder sur moi quand nous faisions l'amour! Il me caressait et m'embrassait les seins à travers mon pull, et ne voulait pas que je le retire.
Je suis sortie pendant deux ans avec Robert en lui imposant les mêmes conditions qu'à mes petits amis du lycée. Je lui disais que s'il voulait sortir avec moi, il lui était interdit de rencontrer d'autres filles, mais que si j'en avais envie, je pouvais sortir de mon côté avec d'autres gars. Il avait compris dès le début de notre relation qu'il connaitrait de nombreuses soirées seul chez lui, tandis que je sortais faire la fête. Je ne compte plus les vendredis ou samedis soirs où je sortais pendant qu'il s'occupait de faire mes devoirs. Ce que je préférais, c'était mes rapports sexuels avec d'autres, parce que j'étais d'autant plus excitée sachant que Robert restait chez lui seul pendant ce temps (et parfois d'autres garçons subissaient le même sort au même moment). Je suis même sortie régulièrement pendant six mois avec le colocataire de Robert. Je crois qu'en même temps, je voulais tester le dévouement de Robert pour moi. Parfois, je rentrais après les cours et je confiais à Robert mes devoirs, et pendant qu'il allait travailler à la bibliothèque, je m'envoyais en l'air avec son colocataire.
Malgré tout cela, Robert m'est resté fidèle. Le jour de notre remise des diplômes, il me demanda en mariage, et j'acceptais – pour bien des raisons, entre autres parce que sa famille était riche, qu'il m'était entièrement dévoué, et aussi parce que je l'aimais beaucoup. Mais je lui ai fait comprendre que j'exigerais de lui une totale loyauté, tandis que j'avais besoin d'être libre de rencontrer d'autres hommes, même après notre mariage. Il était affligé de devoir accepter ces concessions, mais il savait qu'il n'avait pas le choix s'il voulait vraiment m'épouser. Ainsi, nous nous sommes mariés en juin 1991.
Même si c'était évident pour Robert et moi que j'étais la personne "dominante" dans notre relation, nous ignorions tout à l'époque des relations de domination/soumission, et je crois même que j'ignorais le mot de "fétichisme" – je savais seulement que Robert était fasciné par les pulls de femmes. Nous avons cependant connu un mariage heureux. Robert était (et il est toujours) concepteur de logiciels et travaille depuis son bureau à la maison, tandis que de mon côté, j'ai occupé plusieurs emplois. Notre vie sexuelle était très satisfaisante (surtout pour moi!). En fait, nous sommes entrés dans une certaine routine au cours de laquelle je sortais avec un autre homme le samedi soir, avant de coucher avec Robert le dimanche.
Cette routine, évidemment, laissait Robert frustré la plupart du temps, et je remarquais que plus il était frustré et excité, plus il m'était dévoué, et plus il était obsédé par mes pulls. Je dois préciser que, quand la mode était aux pulls assortis il y a environ trois ans, il m'a acheté tous les pulls possibles et imaginables. Mais nous n'avons jamais réellement parlé de son fétichisme, jusqu'à il y a environ deux ans. C'est là qu'avec l'acquisition d'un nouvel ordinateur, nous avons découvert l'univers des sites Internet pour adultes, et toutes les pratiques dont j'ignorais jusque-là l'existence, et auxquelles s'adonnaient des tas de gens. Je réalisais à ce moment que j'étais sans doute une "dominatrice", tandis que Robert était plutôt un "soumis".
Un dimanche, je décidais de vérifier à quel point Robert était fasciné par mes pulls. Ce soir-là, j'ai posé au sol l'un de mes pulls les plus doux et sexy et je lui ai demandé de se prosterner pour pouvoir le caresser et l'embrasser. Il semblait d'abord déstabilisé et n'a pas bougé pendant un moment. J'ai alors insisté, lui disant que je savais à quel point il adorait mes pulls, et que je voulais le voir "faire l'amour" à l'un d'eux. Il s'est alors agenouillé, et a commencé à caresser le pull, à l'embrasser, à le sentir, à en lécher les boutons, à se caresser la joue avec – il était presque hystérique! Je ne pouvais m'arrêter de rire en le regardant, mais il continuait, et bientôt, j'ai vu se former une tâche humide au niveau de sa braguette.
Après cela, j'ai décidé qu'il était temps pour moi d'avoir une vraie conversation avec Robert. Après mes explorations sur Internet, j'avais appris beaucoup sur la domination féminine, et j'avais constaté que tous les hommes soumis ne se ressemblent pas. Par exemple, Robert n'était pas attiré par le cuir ou le latex, et il n'appréciait pas la douleur, mais par contre, plus je le mettais dans une situation humiliante, plus il semblait y prendre du plaisir. J'ai aussi exploré les fichiers sauvegardés par Robert sur son ordinateur, et j'ai découvert qu'il avait téléchargé de nombreuses histoires. Certaines de ces histoires parlaient d'hommes féminisés en soubrettes, et la plupart parlaient de domination féminine et d'humiliation des hommes. J'ai même découvert une histoire qu'il avait écrit lui-même, pour décrire ses fantasmes, dans laquelle il se mettait en scène habillé en femme (avec un pull, bien évidemment) et dans laquelle il me servait de bonne, à moi et à mes amants.
Voilà toutes les raisons qui m'ont poussée à avoir cette conversation avec lui. J'ai commencé par lui dire que j'avais découvert son histoire fantasmée. Je pense qu'il rêvait au font de lui que je la lise, mais quand je lui ai dit que je l'avais lue, il semblait choqué et s'est même mis à pleurer. Il me disait qu'il était désolé, que ce n'était qu'un fantasme. A cet instant, je lui ai ordonné de se déshabiller et de se mettre à genoux devant moi. Ensuite, je lui ai dit que cette histoire décrivait ce qu'il désirait vraiment, et qu'il ne devait pas être désolé parce que je trouvais cela très mignon. Je suis alors allée à mon placard pour en sortir un pull en laine mauve. En lui montrant ce pull, je lui ai dit que j'étais convaincue qu'il voulait vraiment être féminisé pour porter d'aussi douces affaires, et pour me servir. Il a baissé la tête et éclaté en sanglots, mais sans chercher à me contredire. J'ai ajouté qu'il aimait savoir que je couchais avec d'autres hommes, et que sa place était plutôt d'être ma servante féminisée que d'être mon mari aimant. Il a continué à sangloter en silence, la tête basse.
Quelques dessins "vintage" que Bobbie utilise pour raconter ses histoires de "petticoat punishment" (punition ou éducation par le jupon).
Version originale sur: https://bobbie99999.tumblr.com/