dimanche 13 décembre 2020

Don - Donna (Histoire)

Une petite histoire trouvée sur un site espagnol. Il semble qu'il s'agisse déjà de la traduction d'une histoire parue dans les années 90 dans une revue spécialisée américaine.

Il y a vingt ans, lorsque je me suis mariée, j'étais une femme au foyer typique. Mon mari, Don, travaillait dans une usine locale, pendant que je m'occupais de la maison. En peu de temps, nous avons eu trois enfants et mes journées consistaient à faire les courses, la cuisine, le ménage et bien sûr à m'occuper des enfants.

Aujourd'hui, les choses sont bien différentes. J'ai un emploi enrichissant et bien rémunéré en étant associée dans la direction d'une agence de voyages, mais plus important encore, c'est maintenant moi qui porte le pantalon dans la famille, tandis que Don porte littéralement la culotte! Mes journées de ménage font partie du passé. Aujourd'hui, c'est Don qui reste à la maison et qui s'occupe de tout. Pour être précise, je devrais dire c'est "Donna", et non Don qui reste à la maison. En effet, depuis 10 ans, j'ai forcé mon mari à vivre comme une servante féminisée.

Ma transformation de femme au foyer en femme dominatrice, et celle de Don, de mari traditionnel en femme soumise, a débuté lorsqu'un nouveau couple, Karen et Andy, ont emménagé dans la maison voisine. Je suis vite devenue très proche de Karen. Elle m'a exhortée à m'affirmer et à devenir plus exigeante dans ma relation avec Don et à trouver un emploi. Elle me disait souvent que les femmes sont supérieures aux hommes et que nous devrions être au pouvoir, pas eux. Un jour, j'ai mis au défi Karen de me montrer que ce n'étaient pas que des mots. Elle m'a invitée à lui rendre visite ce soir-là. Ce que j'ai vu dépassait tout ce que j'avais imaginé. Je pensais que Karen me montrerait comment elle et son mari Andy partageaient toutes les décisions et les corvées. Au lieu de cela, j'ai découvert qu'elle dominait totalement Andy. Je fus accueillie à la porte par Andy, qui m'accompagna jusqu'au salon, où Karen attendait. Alors que je m'asseyais, Karen a demandé à Andy de nous servir à boire, et pendant qu'il était sorti, elle m'a expliqué qu'Andy était en réalité son esclave! Il était formé pour obéir à chacun de ses ordres. Karen s'est vantée:

"Andy accepte de faire tout ce que je lui demande. Il sauterait même d'une falaise si je lui ordonnais."

Pendant la suite de la soirée, Karen m'a démontré à quel point ce qu'elle disait était vrai. Karen a ordonné à Andy de lécher mes chaussures, ce qu'il a fait sans montrer un signe d'hésitation. Elle lui a également ordonné de me faire un cunnilingus, et pourtant j'avais mes règles ce jour-là! Pendant qu'il s'activait, elle m'a précisé qu'il la suçait ainsi tous les soirs, mais n'était pas autorisé à avoir des rapports sexuels avec elle. Il ne pouvait se soulager qu'en se masturbant avec l'autorisation de Karen. Quand je lui demandais si les rapports sexuels ne lui manquaient pas, Karen m'a répondu en riant qu'elle avait de nombreux rapports sexuels, mais avec d'autres hommes. Elle m'a expliqué qu'elle couchait avec ses amants, et qu'Andy était ensuite chargé de lui nettoyer la chatte avec sa langue. Elle m'a aussi parlé d'une variété de punitions douloureuses et humiliantes qu'elle infligeait à Andy pour le soumettre. Elle le fessait régulièrement. Parfois, elle le frappait au niveau du sexe. Elle l'obligeait à garder des positions inconfortables ou lui infligeait des lavements. Elle l'obligeait à s'habiller avec de la lingerie ou des vêtements féminins.

Ce même soir, Karen a obligé Andy à s'habiller en femme de la tête aux pieds. Il portait des bas, un porte-jarretelles, une culotte rose, un soutien-gorge blanc rembourré, un chemisier bleu à volants et une jupe bleu marine qui lui arrivait aux genoux. Il portait également une longue perruque blonde et était maquillé  avec du rouge à lèvres, du fard à paupières et du eye-liner. J'étais surprise de voir à quel point Andy était convaincant en tant que femme, et j'ai même mentionné que je n'aurais jamais cru "qu'elle" était en réalité "lui", si je l'avais croisé sans le connaitre. Karen m'a expliqué qu'Andy sortait régulièrement en public habillé en femme. Même au travail, elle lui demandait de porter des culottes, des bas et un porte-jarretelles sous ses vêtements d'homme, et il dormait toujours en culotte, avec un soutien-gorge rembourré et une chemise de nuit.

Même si j'ai d'abord été choquée par ce que j'avais vu et entendu cette nuit-là, j'étais aussi envieuse de la position de domination de Karen sur son mari. Quand j'en ai parlé à Karen le lendemain, elle a proposé de m'aider à soumettre Don. Je lui ai dit que je doutais que cela soit possible. Elle a alors éclaté de rire en me disant que ce serait facile:

"Les hommes sont comme les chevaux. Une fois que tu as brisé leur volonté, ils font tout ce que tu veux. Tous les hommes ne sont en réalité que des petits garçons à l'intérieur, et peu importe combien ils protestent, ils sont beaucoup plus heureux lorsqu'ils servent une femme dominante."

La nuit suivante, Karen a invité Don chez elle sous prétexte de l'aider pour certaines tâches. Puis, comme pour le séduire, elle l'a fait se déshabiller avant de l'attacher. C'est alors qu'elle a enchainé ses couilles, et qu'elle l'a soumis à une série de violences physiques et psychologiques. Quand je suis arrivée quelques heures plus tard, les fesses et la bite de Don étaient rouges de douleur, et il était visiblement dans un état de confusion et de détresse. Mais comme Karen l'avait dit, sa volonté était brisée, et il était déjà soumis. Avant mon arrivée, Karen avait expliqué à don comment m'accueillir, et donc, dès qu'il a posé les yeux sur moi, il s'est mis à quatre pattes sur le sol, a rampé vers moi avant de m'embrasser les pieds et de me promettre d'être pour toujours mon esclave dévoué.

Comme Karen et moi l'avions planifié, j'ai ordonné à Don de s'allonger par terre sur le dos. Karen et moi nous sommes ensuite relayées pour le frapper ou pour caresser sa bite. Nous l'avons ainsi amené plusieurs fois à la limite de l'orgasme, mais sans le laisser venir. Quand enfin nous l'avons laissé éjaculer, nous avons fait en sorte que le jet de sperme lui couvre la poitrine et le visage. Depuis cet instant, Don a été mon esclave complet et total.

Karen et moi n'avons pas mis longtemps à créer notre propre agence de voyages, particulièrement réservée aux femmes. Notre succès a été tel que nous avons forcé nos maris à quitter leurs emplois pour devenir nos servantes à plein temps. Renonçant à leur identité, Don est devenu Donna, et Andy est devenu Andriana. Karen et moi avons forcé Donna et Andriana à prendre des hormones féminines, et après quelques mois de ce traitement, j'ai commencé à remarquer que la peau de mon mari s'adoucissait, et que sa silhouette se féminisait. J'ai également remarqué un effet des hormones sur les sentiments de Donna. À bien des égards, Donna se comportait de plus en plus comme une vraie femme chaque jour. Elle prend soin de son apparence, est plus instable émotionnellement, plus féminine dans sa façon de marcher et dans ses manières, et elle répond plus positivement aux regards d'admiration des hommes, ce qui avait pourtant d'abord été une source de gêne considérable.

Aujourd'hui, Donna est mon esclave féminisée. Peu de temps après leur féminisation, nous avons déménagé dans une nouvelle ville avec Karen et Andriana. Ainsi, personne ne sait que ma servante est en réalité mon mari. Donna est vraiment très attirante et peut facilement passer pour une femme même en portant un petit maillot de bain.

Que pourrais-je souhaiter de plus?

6 commentaires:

  1. Franchement a lire ces histoires ca l air simple comme bonjour leur féminisation ca ce passé toujours très bien ya jamais de difficultés ils acceptent tout sans jamais dire quoique que ce soit😊

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    1. Si ça devait m arriver j eccepterais sans difficulté lol

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  2. Réponses
    1. Il ne faut pas sous-estimé la force de persuasion des femmes ... j'avais lu le récit d'un homme assez macho devenu Transexuelle qui avait été totalement féminisé par sa compagne, le récit véridique était illustré de photos était paru dans un magazine SM appellé "Secret Magazine"... ce magazine existe toujours mais la version en français a été arreté apres quelques numeros.

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  3. Je met pas en doute la force de persuasion des femmes ou je tique un peu beaucoup ç est sur la trop grande facilité d abdiquation des hommes sur ces récits comme sur la série pensylvannia ou tout ce passe toujours très bien a lire le recit😊

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  4. Cela me fait fantasmer et j'aurais aime le vivre mais temporairement. Je ne pense pas que j'aurais tout accepte, surtout une soumission a vie

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