Merci à lui!!!
Je vous rappelle l'adresse de son blog: https://soitfemmeettaistoi.blogspot.fr/
Étranges fantasmes que ceux-ci: La féminisation d'hommes ou de garçons. Des histoires imaginaires, illustrées ou non, de garçons transformés en filles, bien souvent contre leur gré. Blog réservé aux adultes, même si les histoires et les illustrations resteront très "soft".
Vous pourrez en trouver davantage sur: https://www.deviantart.com/phahn
Les lettres publiées sur le site "Petticoat Discipline Quarterly" racontent des témoignages de "petticoat discipline" (discipline par le jupon).
Ce n'est pas un jeu.
Chère Tatie Helga,
Ce soir, quand ma femme est rentrée à la maison, elle portait un certain nombre de sacs de courses. Je savais bien que ma femme adorait faire les magasins, et donc la voir ainsi n'était pas une surprise. En homme bien élevé, je lui proposais de l'aider à tout porter dans la chambre. Alors que je ressortais de la chambre, elle me rappela pour me montrer ses achats. Elle me montra un nouveau soutien-gorge, quelques petites culottes, et une nuisette. Comme souvent, je lui donnais mon avis sur ses nouvelles acquisitions. A ma grande surprise, Connie me dit alors qu'elle les avait achetées pour moi. Alors qu'étonné, je me pointais du doigt, je me souvins d'une conversation qu'on avait eue plus tôt pendant laquelle elle m'avait dit qu'elle désirait me féminiser. Connie me poussa à retirer mon short pendant qu'elle me retirait mon tee-shirt. J'essayai de la repousser, mais sans succès tant elle semblait déterminée. Quelques minutes plus tard, je portais une nouvelle petite culotte, un nouveau soutien-gorge et une nuisette. Je dis à Connie que nous avions convenu d'y réfléchir sérieusement d'abord. Elle me répliqua que je devais y réfléchir, mais pas elle. Elle ajouta qu'elle avait décidé de me féminiser, que je le veuille ou non.J'ai essayé de savoir pourquoi elle tenait tant à cette idée d'avoir un mari féminisé. Ses réponses à mes questions se résumèrent à des "ça m'excite", et à quelques "et pourquoi pas?". Je lui ai dit que je ne voulais pas jouer à ce jeu, mais c'est à ce moment que Connie me dit que ce n'était pas un jeu. Elle me rappela que je lui avais donné une procuration qui lui donnait droit d'accès à mes comptes en banque, ainsi que le titre de propriété de notre maison l'année précédente pour des raisons financières. Connie me dit alors qu'elle préparait tout cela depuis ce jour-là. J'avais l'impression qu'on me tenait par les couilles. Connie me dit que la plupart des hommes commencent par résister, mais finissent par se soumettre après quelques semaines, comme j'allais le faire. J'essayais de rappeler à Connie nos projets d'avenir, mais elle avait changé d'avis sans même m'en parler. Connie m'expliqua que tout allait commencer le lendemain, et que nous allions continuer ainsi jusqu'à la fin de nos vies. Elle avait acheté des tenues pour moi le mois précédent, et elle me montra tout ce qu'elle avait rassemblé pour moi. Je découvris dans l'autre chambre ce qui ressemblait au placard appartenant à une autre femme. Tout y était, de la lingerie aux chaussures.
Connie me demanda d'aller prendre un bain, et de prévoir quelques rasoirs. Alors que je la regardais sans comprendre, elle m'expliqua que tous les poils de mon corps allaient devoir disparaitre. Je commençai évidemment par refuser, mais Connie me montra mon portefeuille vide, et que mes clés de voiture avaient disparu. C'est à cet instant que je compris qu'elle me tenait. Je fis donc ce qu'elle me demandait. Quand j'avais fini, Connie me fit enfiler une petite culotte, une nuisette, une robe de chambre et des mules, le tout en rose. Elle me regarda longuement avant de me dire que ce n'était pas si mal. En constatant que j'avais une érection, elle me dit que je semblais apprécier ma nouvelle petite culotte.
Elle me montra comment elle avait organisé les tiroirs dans ma nouvelle chambre. Je lui demandai si tout cela était à moi, et elle répondit que oui. Connie me fit m'allonger sur le lit, baissa ma petite culotte, et m'offrit une fellation. Je ne mis pas longtemps à éjaculer sur mon ventre. Connie me demanda de ne pas bouger, le temps de trouver une serviette pour m'essuyer. Après m'avoir essuyé, elle fixa une cage de chasteté sur mon pénis. Elle m'ordonna fermement de ne pas bouger pendant qu'elle faisait cela. Je ne voyais pas ce qu'elle faisait avec ma nuisette ramenée sur ma tête. Je sentais juste quelque chose de froid au niveau et de serré autour de mes organes génitaux, puis, après un clic, Connie m'annonça que c'était en place avant de rebaisser ma nuisette.
Connie m'ordonna ensuite de la suivre dans la cuisine. Elle me montra deux flacons de pilules et me servit un verre d'eau. Elle me tendit une pilule de chaque que j'avalais avec un peu d'eau. Voulant savoir ce que c'était, je posais la question à Connie. Elle me répondit que l'une d'entre elles devait détruire mes testicules, et que l'autre allait débuter le processus de féminisation. Je sentis des larmes couler sur mes joues. Alors que je commençais à pleurer, Connie me dit que tout irait bien, que j'allais être suivi médicalement. Je lui dis que je ne voulais pas devenir une femme, que je ne voulais pas perdre mes couilles. Elle me répondit que la plupart des hommes ont du mal à l'accepter au début, mais qu'ils finissent tous par se soumettre à la volonté de leur femme, et que je n'allais pas faire exception. Je demandais à Connie si elle plaisantait à propos des pilules, alors elle me montra sur l'écran de son ordinateur les sites qui décrivaient les effets et les dosages d'hormones pour un homme de mon âge. Je lisais des descriptions à propos de peau adoucie, de seins qui grossissent, ou de hanches qui s'élargissent. Je pleurais encore plus en lisant tout cela, comprenant que Connie savait exactement ce qu'elle me faisait.
Connie me suggéra aussi de parcourir des sites parlant de servantes féminisées au service de Maitresses sévères pour me préparer à mon nouveau rôle. Je demandai à Connie comment sa mère et sa sœur allaient réagir. Elle me répondit que c'était sa sœur, qui était infirmière, qui allait régulièrement me faire des prises de sang pour me suivre médicalement. Elle ajouta que la plupart des tenues dans mon nouveau placard avaient été choisies par sa mère. J'étais coincé, et je le savais. Connie me montra la liste de tous mes rendez-vous du premier mois, de l'épilation au laser, à la manucure, pédicure, coiffure, ou soins de beauté. Ensuite, elle me montra la liste des tâches que je devais accomplir, comme le ménage, la lessive, le repassage. Je devais aussi suivre des cours de cuisine avec sa sœur et sa mère. Je lui demandai pourquoi tout cela arrivait si vite. Elle me répondit que je n'avais toujours pas compris, qu'elle planifiait tout depuis plus d'un an.
Connie me montra que mon opération pour me faire retirer mes organes génitaux était déjà planifiée, et qu'après cela, mon dosage hormonal allait pouvoir être modifié. Je vis que je devais avoir de vrais seins au bout de six mois, mais elle referma son agenda avant que je ne puisse en lire plus. Je ne pouvais d'ailleurs pas distinguer grand-chose tant mes yeux étaient pleins de larmes. Ce n'était pas seulement de vagues recherches que Connie avait effectuées. C'était un plan savamment préparé. Je ne sais plus quoi vous demander désormais. Le projet de Connie débute demain. Je l'ai aidée à mettre mes anciens vêtements dans des sacs poubelles avec une cage de chasteté qui enserrait mon pénis.
Je suppose que tout ce que je peux vous demander, c'est comment rendre Connie heureuse. J'aimerais pouvoir vous demander comment échapper à tout cela, mais je sais qu'il est déjà trop tard. J'aimerais que vous m'expliquiez comment me comporter désormais, comment faire pour que tout se passe le mieux possible.
Merci à vous
Bobby
Merci pour votre lettre Bobby, et pour tous les détails qui décrivent la découverte de votre nouvelle vie. J'imagine que pour l'instant, tout cela vous semble un peu effrayant, mais ne vous en faites pas, non seulement les choses se passeront bien, mais vous découvrirez que cela sera merveilleux. C'est une chose qui peut arriver à une personne si elle accepte d'être totalement dévouée à celle qu'elle aime, de se soumettre à sa volonté, de découvrir une forme de paix intérieure et de tranquillité d'esprit.
Bien sûr, c'est bien que vous ayez déjà compris qu'il n'y a pas d'autre voie pour vous. Le mieux est que vous l'acceptiez, que vous appreniez à devenir une parfaite servante et que vous appreniez l'obéissance. Elle dirige désormais votre vie, et vous lui appartenez. Vous lui avez laissé le contrôle, et elle s'en est saisie.
Tatie Helga
Parmi les thèmes récurrents chez Becky, celui de "l'académie Stephanie"
Un nouvel auteur m'a permis de publier ses créations sur mon site! Un grand merci à lui!
En plus, il publie des captions en français! (ce qui me fait moins de travail de traduction 😀)
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Ma vie désormais
De Sally
Chère Tatie Helga,
Je suppose que vous recevez énormément de mails qui vous racontent des transformations similaires à la mienne, mais probablement que la plupart d'entre elles ne sont pas aussi inattendues. J'ai subi tant de changements dans ma vie ces 12 derniers mois. Tout a commencé l'année dernière, quand, comme tant d'autres gens, j'ai perdu mon emploi et je me suis retrouvé terriblement endetté. Je sortais avec une fille à cette époque, et j'ai été très surpris quand elle m'a soutenu. Je ne mesure que 1.62m tandis qu'elle est une magnifique beauté de près de 1.80m. Evidemment, c'était un piège. J'étais fou d'elle, je le suis toujours. J'étais très heureux quand elle m'a proposé de venir habiter chez elle pour économiser un loyer, puis de vendre ma voiture pour payer une partie de mes dettes. Elle m'a ensuite proposé de prendre en charge mes remboursements de prêts. Je ne pouvais pas croire à quel point j'étais chanceux. J'ai dû signer un accord que son avocat avait rédigé "juste pour la forme". En fait, c'était une cession de tout ce que je possédais et une procuration. Mais je ne l'ai pas lu. Au lieu de cela, je me suis installé dans ma nouvelle vie sans me soucier du reste.
Amanda avait un bon emploi. Elle a commencé à me demander de m'occuper de quelques tâches dans la maison – repasser les vêtements, faire le ménage ou la lessive. Cela me semblait acceptable. Après tout, je pouvais bien m'occuper de tout cela, et je n'avais rien de mieux à faire. En plus, elle semblait heureuse de rentrer le soir dans une maison propre et rangée, et je voulais lui faire plaisir. C'était une période heureuse pour moi. Puis en mars, c'était mon anniversaire. Elle m'a fait comprendre qu'elle m'avait préparé un joli cadeau. Il s'est avéré qu'il s'agissait d'une robe de soubrette noire, avec un tablier blanc et une coiffe – une tenue assez austère et simple. J'ai d'abord cru que c'était une blague et j'ai bien ri, mais le soir même, elle m'a fait porter cet uniforme, puis le lendemain, puis le jour suivant. Depuis, ma vie est devenue vraiment horrible. Cela n'a été qu'une descente aux enfers progressive. J'ai d'abord été obligé de me procurer une petite culotte pour aller avec la robe, puis une combinaison et un jupon, puis des bas, des chaussures et tout le reste. Le pire s'est produit à la mi-avril lorsqu'elle m'a forcé à mettre une cage de chasteté, dont je n'ai pas été libéré depuis. Mon obsession pour elle m'a conduit à accepter un véritable servage et ma soumission, bien malgré moi. Plus tard, son nouveau petit ami est arrivé. C'était un grand joueur de football américain qui faisait près de 2m, et très musclé.
Désormais, je suis en vêtements féminins tous les jours. Du lundi au vendredi, je travaille 17 heures par jour en tant que servante, et je suis soumis à leurs deux volontés. Je dois porter un corset, et ma taille s'est réduite jusqu'à faire moins de 60 cm, comme celle d'un mannequin de mode! Je dois m'occuper de tout dans la maison, et presque chaque soir, je suis le témoin de leurs rapports sexuels. Je dois m'allonger chaque jour sur les genoux de mon "Maître", ou de ma "Maîtresse" pour être fessé. C'est très humiliant, mais je suis impuissant à faire quoi que ce soit pour y changer quelque chose. Un jour, il y a environ six semaines, je me suis plaint auprès de ma Maîtresse (mon ex petite amie) et elle m'a relu les clauses du contrat que j'avais signé. Je ne possède plus rien, et elle peut me punir à chaque fois que je fais mine de me rebeller. Elle m'a alors ordonné de me changer. J'ai enfilé une robe bleue, et elle m'a fait sortir et monter dans sa voiture. Elle m'a ensuite déposé dans un centre d'hébergement pour sans-abris. J'étais obligé de rester là durant la nuit. J'ai détesté cela, mais plus que tout, j'ai cru que je ne reverrais jamais Amanda. Quand elle est revenue me chercher le lendemain, je l'ai suppliée de me reprendre. Après m'avoir obligé à signer un nouveau contrat, elle m'a permis de rentrer avec elle. A ce moment-là, j'étais si soulagé que je n'ai plus discuté lorsqu'elle m'a remis ma robe de soubrette et ma cage de chasteté. Je déteste cela, mais je ne vais plus prendre le risque d'être jeté dehors.
Ils seront de retour dans quelques minutes. Je dois finir ma lettre et me préparer à les accueillir.
"Sally" (J'ai toujours du mal à accepter le prénom qu'ils m'ont donné.)
Grand Merci à lui!!!
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Ma vie en jupes
Chère Tatie Helga,
J'ai grandi dans une famille avec deux sœurs et sans père, parce qu'il avait été tué lors de la guerre du Vietnam quand j'avais 2 ans. Megan a 2 ans de plus que moi, et Beth est plus jeune d'une année. En l'absence d'une figure d'autorité paternelle, je suis devenu quelque peu sauvage et incontrôlable. Même si je ne crois pas avoir été un mauvais garçon, je me suis souvent attiré toutes sortes de problèmes. J'ai dépassé les bornes pour ma mère l'année de mes 12 ans. J'ai été renvoyé de l'école pour une semaine après m'être battu. Comme il ne restait que quelques jours avant les congés de printemps, j'allais devoir attendre deux semaines entières avant de retourner à l'école. Secrètement, je me réjouissais d'avoir deux semaines de vacances, mais je ne réalisais pas que la punition qui m'attendait allait changer ma vie pour toujours.
Je me tenais là le soir et, en apprenant mon renvoi de l'école par ma mère qui lisait le compte-rendu de l'école sur mon attitude, Beth l'a interrompue en disant quelque chose du genre: "C'est dommage qu'il ne soit pas une fille. Il ne se serait pas attiré autant de problèmes si c'était le cas." Maman a arrêté de lire et m'a regardé bizarrement. Puis elle m'a envoyé me coucher. Il était encore tôt, mais je savais bien que je n'avais pas intérêt à discuter.
Le matin suivant, elle m'a réveillé après le départ de Beth et Megan pour l'école. Après un bain, je suis retourné dans ma chambre pour m'habiller et maman m'y attendait. Elle avait une petite culotte de fille dans sa main et me dit de l'enfiler. J'ai vu une robe et un caraco sur le lit, ainsi qu'une paire de chaussures Mary Janes et des socquettes blanches. Mes supplications se sont révélées inutiles et quelques minutes plus tard, je portais d'anciens vêtements de Megan. Nous étions au début des années 80, mes cheveux étaient assez longs et maman n'a pas mis longtemps à me faire une coiffure de fille en utilisant un peigne, une brosse, et des ciseaux. Elle m'a dit que je resterais habillé ainsi jusqu'à mon retour à l'école, deux semaines plus tard.
Inutile de préciser que mes sœurs ont pris beaucoup de plaisir à se moquer de moi et à m'apprendre à me comporter en fille. Je devais leur obéir ou faire face à de nouvelles punitions. Comme mon comportement s'est amélioré après cela, ma mère a rangé des robes et des jupes dans mon placard, et des dessous de fille dans mes tiroirs, et a fréquemment trouvé un prétexte pour m'habiller en fille. Les vêtements qu'elle me faisait porter étaient appropriés pour mon âge, même s'ils ne l'étaient pas pour mon genre. Ils comportaient des soutiens gorges rembourrés, des collants, et des chaussures à talons. A 15 ans, j'ai dû apprendre à me maquiller seul. On m'emmenait souvent en public, et heureusement pour moi, je passais aisément pour une fille. Mes seuls problèmes étaient d'éviter de trop attirer les garçons qui ne réalisaient pas que j'étais un garçon moi-même.
C'était inévitable que certaines amies de mes sœurs apprennent de quelle manière inhabituelle j'étais puni, et on me demanda de me présenter en fille devant elles. Elles adoraient me taquiner, mais en général, elles me traitaient comme l'une des leurs. A ma connaissance, elles ont toutes gardé le secret. J'ai souvent participé à des fêtes de famille en robe, ou en jupe avec un haut féminin, et parfois, j'étais le seul à porter une telle tenue, car les vraies femmes étaient souvent en pantalon. J'ai subi à ces occasions de nombreuses taquineries de mes cousins, surtout des garçons. Souvent, ceux qui racontent leurs expériences sur votre site parlent de l'humiliation qu'ils ont ressentie en étant habillé en fille devant des filles, mais pour moi, cela a été bien pire de me retrouver exposé devant des garçons. Je me suis souvent senti inadapté, tant je me sentais moins masculin qu'eux, et j'étais souvent malheureux au point d'en pleurer.
Même si mes sœurs m'ont beaucoup taquiné lors des premiers jours, elles m'ont ensuite beaucoup aidé à me présenter en fille convenable pour éviter l'humiliation quand je devais me présenter devant d'autres personnes. Elles sont devenues mes meilleures amies. Elles semblaient apprécier que je sois "l'une des filles."
Cela s'est poursuivi jusqu'au moment où je suis parti pour la fac, à 18 ans. J'étais soulagé de me dire que cette partie de ma vie était enfin terminée. Pendant mes études, j'ai pris un emploi à temps partiel dans un bureau de comptabilité. L'une des expertes comptables était particulièrement gentille avec moi. Elle s'appelait Nancy et avait 25 ans, donc 7 ans de plus que moi. J'ai été surpris quand elle m'a demandé de sortir avec elle, et après cela, nous sommes devenus très proches. Elle était plutôt énergique, et comme je n'avais aucune expérience, j'étais content de la laisser diriger tout ce que nous faisions ensemble.
Je l'ai ramenée avec moi à la maison, rencontrer ma famille pour quelques semaines pendant les vacances d'été. Malheureusement pour moi, maman avait gardé sur la cheminée une photo de Megan, Beth et moi en robes d'été, prise quand j'avais 16 ans. Nancy a posé des questions sur cette photo. Elle avait reconnu mes deux sœurs, mais elle se demandait qui était la troisième fille, car elle leur ressemblait comme si elle était une troisième sœur. Sans hésiter, maman lui a expliqué que c'était moi, et lui a ensuite raconté comment j'en étais arrivé à porter des vêtements de fille. Je restais assis là avec ma tête dans les mains, certain que Nancy ne voudrait plus jamais entendre parler de moi après cela.
Sa réaction a été l'exacte opposée. Elle a demandé s'il restait certaines de mes anciennes robes dans la maison. Maman lui a répondu qu'elles étaient toujours dans mon placard, ainsi que mes petites culottes, mes soutiens gorges, et ma lingerie. Nancy s'est alors tournée vers moi et m'a demandé d'enfiler une tenue plus appropriée pour passer une soirée entre filles. Bien entendu, je n'avais aucune envie de faire cela et j'ai commencé à protester. Elle s'est alors tournée vers ma mère en lui demandant si cela lui poserait un problème si elle (Nancy) me donnait une fessée. En riant, maman a répondu que non. Avant que je ne puisse réagir, Nancy s'est saisie de moi et a demandé à Megan de me baisser mon pantalon. Peu après, j'étais allongé sur les genoux de ma petite amie, avec mon caleçon baissé, et la suppliant d'arrêter alors qu'elle me fessait durement. Ce n'est qu'au moment où j'ai finalement accepté de m'habiller en fille pour elle qu'elle m'a relâché. Alors que je remontais mon caleçon, je ne pouvais empêcher mes larmes de couler. Les quatre femmes m'ont entrainé vers mon ancienne chambre où j'ai dû leur faire un défilé de mode. Nancy m'a maquillé, bien que j'aurais pu me maquiller seul. Après avoir montré toutes mes tenues, maman nous a tous invité à sortir pour le dîner, et je portais la même robe d'été que je portais sur la photo qui avait tout déclenché.
Pour faire court, j'ai passé les trois semaines suivantes en jupes, à servir les femmes de la maison, y compris ma fiancée. A mon retour à la fac, j'ai emménagé dans l'appartement de Nancy. Elle dominait clairement notre relation. Je n'étais pas autorisé à porter de pantalon à la maison, et elle a jeté tous mes sous-vêtements masculins, m'obligeant à porter des petites culottes et des bas ou collants en nylon à plein temps. Quand j'allais en cours, je portais un soutien-gorge quand il faisait assez froid pour que je puisse le dissimuler sous un pull, et un caraco quand il faisait plus chaud. Je devais faire en sorte d'avoir le corps toujours épilé, et les ongles de mes doigts de pied étaient toujours vernis. J'étais chargé de l'entretien de la maison, y compris la cuisine, le ménage, la lessive, et je lavais notre lingerie à la main. J'ai appris qu'aucune désobéissance ne serait tolérée en me retrouvant souvent allongé sur les genoux de Nancy, avec ma jupe relevée et ma petite culotte baissée.
Après l'obtention de mon diplôme, nous nous sommes mariés. J'ai fait les vœux de l'aimer, de l'honorer et de lui obéir. Ses vœux étaient de m'aimer, de m'honorer, et de me chérir. Nancy a repris ses études pour passer un Master tandis que je travaillais pour entretenir notre foyer. Après la réussite de son diplôme, elle a trouvé un emploi très bien rémunéré, et je suis devenu sa femme au foyer et sa servante à plein temps. Je me souviens que je la regardais avec tristesse quand elle a rassemblé mes dernières affaires d'homme pour les donner à une œuvre caritative. J'avais compris à ce moment alors que je ne porterais plus jamais de vêtement masculin.
Il y a deux ans, elle a commencé à me faire porter une cage de chasteté. Je la porte en permanence, sauf quand elle décide de me l'enlever. Pour le monde extérieur, nous sommes un couple lesbien. Je ne suis pas vraiment belle, mais on me prend malgré tout pour une femme. Seules nos familles et quelques amis connaissent la vérité. Je fais le ménage dans les maisons de mes sœurs et de ma mère chaque semaine. A l'occasion, Nancy loue mes services en tant que bonne auprès de ses amies. Ce sont toujours des expériences humiliantes pour moi, mais elle m'explique que c'est nécessaire pour me remémorer à chaque instant où est ma place.
Pardon d'avoir été si long. Si vous le souhaitez, je vous raconterais d'autres expériences de ma vie en fille, quand j'étais adolescent, ou en tant que servante et femme d'intérieur de mon épouse.
Jami