Ceci est la traduction d'une très ancienne histoire trouvée sur Internet.
J'écris
ceci pour vous raconter ce qui m'est arrivé. Ma sœur me surprit alors que
j'étais dans sa chambre à fouiller dans ses tiroirs. Elle me demanda ce que je
faisais là? Je bredouillais quelque chose, en essayant vaguement d'expliquer
que je n'avais plus de sous-vêtement propre, que je voulais lui emprunter l'une
de ses culottes, et que je ne voulais pas que cela se sache. Elle ne crut pas
un mot de ce que je disais. Je fus donc obligé de lui avouer que j'étais très
attiré par la douceur de la lingerie féminine et que j'étais curieux de
découvrir ce qu'on pouvait ressentir en la portant. Je n'ai que seize ans. Ma
sœur a dix-huit ans. Elle commença par me traiter de petit pervers, puis me
suggéra, puisque j'étais si attiré par les vêtements féminins, de m'habiller
entièrement en fille pour une journée afin de découvrir ce que je pouvais
ressentir.
Je
trouvais cette idée excitante et je lui demandais de préciser son idée sans
vraiment réaliser ce qui m'attendait. A peine quelques minutes plus tard, je me
retrouvais nu dans la salle de bain avec tous les poils de mon corps épilés.
Tina me vernit également les ongles des mains et des pieds en rouge vif. Elle
enroula ensuite mes longs cheveux avec des bigoudis. Nous étions en 1972 et
j'avais les cheveux longs, comme beaucoup de garçons à l'époque, et ma sœur sut
en tirer avantage.
Elle
coupa les pointes avec ses ciseaux avant de les enrouler soigneusement. Elle
enveloppa ensuite mes cheveux dans une serviette avant de me raccompagner dans
sa chambre pour compléter ma transformation. Elle commença par me tendre une
petite culotte de dentelle rose et un soutien-gorge assorti. Un petit fou-rire
nous prit en constatant que le soutien-gorge pendait lamentablement devant ma
poitrine parce que je n'avais pas de seins pour le remplir. Tina sortit alors
une boîte de son placard dans laquelle se trouvait une paire de faux seins.
Elle s'en était servie plus jeune pour exagérer la taille de sa poitrine pour
un costume d'Halloween. Ils étaient fabriqués en une sorte de gel qui leur
donnait un poids et une apparence réaliste. A peine glissés dans mon
soutien-gorge, je ressentis immédiatement leur effet féminisant.
Je
rougissais. Ma sœur s'amusait beaucoup. Elle me fit enfiler un collant et un
jupon avant d'entreprendre de me maquiller. Elle me fit enfiler une robe pull
rose sans décolleté pour dissimuler ma fausse poitrine. Elle ajouta à ma tenue
une paire de bottes blanches. En essayant plusieurs pour compléter mon look,
elle évoqua l'idée de me percer les oreilles, et peu après, je me retrouvais
avec un anneau d'or dans chaque lobe.
Elle
ne m'autorisa pas à me regarder dans la glace avant de m'avoir séché les
cheveux et coiffé. Elle sembla elle-même très étonnée par le réalisme de ma
transformation. En me découvrant dans le miroir, je vis une jeune fille assez
jolie pour se présenter à un concours de beauté et pour avoir de bonnes chances
de le gagner. Je ne pouvais pas m'empêcher de me demander où j'étais? Je
recherchais en vain la moindre ressemblance avec le garçon que j'étais…
Mon
état de garçon pouvait encore se deviner en raison de ma manière de parler ou
de bouger, et surtout dans mes difficultés à me déplacer ne talons. Tina me dit
qu'elle devait m'enseigner l'art d'être une fille. Elle me fit alors m'exercer
à maîtriser les talons, à m'assoir avec une mini-jupe, ou à acquérir d'autres
manières féminines. Après quelques heures, mes maladresses avaient été gommées,
et elle parvint à me convaincre de sortir pour une séance de shopping. Elle
choisit également un nouveau prénom pour moi. Elle décida que je m'appellerais
Barbara Elizabeth, et elle me surnomma Barbie pendant le reste de la journée.
J'étais devenu sa poupée mannequin grandeur nature. Au centre commercial,
j'étais effectivement comme une poupée Barbie alors que ma sœur me faisait
essayer une tenue après l'autre. Au fast-food où nous déjeunions, Tina
rencontra des amies à elle. Elle me présenta comme sa nouvelle sœur, et leur
raconta toute l'histoire de ma transformation. Elles félicitèrent Tina en riant
bruyamment. A ce moment, j'aurais voulu disparaitre de la surface de la terre.
Ma sœur fit promettre à ses amies de garder le secret, et elles nous
accompagnèrent pour continuer à faire les boutiques. Les amies de Tina
parvinrent à la persuader de m'emmener avec elle pour la soirée dansante prévue
le soir même, et de me trouver une jolie robe pour cette occasion.
A
ce moment-là, j'étais piégé. Je ne pouvais rien dire sans risquer de révéler ma
vraie nature en public. Je m'estimais cependant heureux qu'elles ne m'imposent
pas de trouver un garçon pour me servir de cavalier pour la soirée. Par contre,
elles m'imposèrent d'accepter au moins trois danses, dont au moins un slow.
J'acceptai… Quel autre choix avais-je?
A
notre retour à la maison, Tina me fit ranger nos achats dans mon placard, et,
pour ajouter à mon humiliation, y ajouta un peu de sa lingerie, de ses
vêtements et même quelques chaussures à talons hauts. Elle m'aida à passer ma
nouvelle robe et à retoucher mon maquillage avant de descendre à la cuisine
pour préparer le dîner et attendre maman qui allait revenir de son travail. Plus
l'heure de son retour approchait, plus mon appréhension était forte. Comment
allait-elle réagir en me découvrant habillé en fille, et qu'allait lui raconter
Tina?
Maman
réagit de manière presque hystérique en entrant dans la cuisine et en
découvrant ses deux "filles" dans leur plus belle tenue en train de
préparer le repas du soir. Tina lui expliqua immédiatement qu'elle m'avait
surpris dans sa chambre, puis qu'elle avait décidé de me faire passer une
journée en fille. Elle lui détailla même ses plans pour la soirée. Maman
n'était pas enchantée par ce qu'elle entendait. Elle me regarda et me demanda
de tourner sur moi-même. Elle me dit que j'étais bien jolie en fille, mais me
rappela qu'elle avait donné naissance à un garçon. Elle me dit que si cela
avait été un costume d'Halloween, elle aurait toléré mon travestissement, mais
là, j'allais devoir être puni. Elle ajouta qu'elle allait y réfléchir et
qu'elle me ferait part de sa décision à notre retour de la soirée dansante.
Elle rappela à ma sœur de prendre sa pilule "au cas où", puis lui dit
de m'en donner une également. Après tout, si je sortais en fille, je devais me
comporter complètement comme telle.
Après
le dîner et après avoir retouché notre maquillage, Tina m'emmena dans sa
voiture pour aller chercher ses amies. A notre arrivée à la soirée, ce ne fut
pas long avant que plusieurs garçons ne viennent nous inviter à danser. D'un
simple regard, ma sœur me rappela que je devais accepter. En me sentant humilié
et ridicule, j'acceptais la première invitation d'un garçon. Il me prit par la
main pour m'entrainer jusqu'à la piste de danse. Heureusement, il ne s'agissait
pas d'un slow, et je n'avais pas à me laisser enlacer par lui. Par contre,
j'avais toutes les peines du monde à ne pas commettre de faux-pas avec mes
talons. J'étais soulagé à la fin de cette première danse. Je retournais vers
Tina et ses amies dans l'espoir de trouver un peu de protection. Mais cela ne
m'aida pas beaucoup. Elles étaient toutes plutôt jolies et elles attiraient
l'attention de tous les garçons. Je compris vite que mes gros faux seins
allaient m'attirer des problèmes. Tous les garçons me regardaient avec envie.
J'étais terrifié.
J'aurais
voulu partir en courant. Je recevais une bonne leçon en découvrant les choses
d'un point de vue de fille et non plus de mon point de vue de garçon. Même si
personne ne m'avait approché, je me sentais un peu comme si j'étais violé. Je me
tassais à chaque fois qu'un garçon approchait, d'autant plus quand je savais
que j'allais devoir danser un slow. Je demandais à Tina un sursis, mais elle
éclata de rire. Il n'allait pas y avoir de retour en arrière, je devais aller
jusqu'au bout, en espérant m'en sortir. Pendant ce temps, les filles savouraient
la situation. Elles adoraient me voir parler gentiment avec un garçon et
flirter. J'en finis avec les trois danses convenues, mais elles insistèrent
pour que je fasse la dernière danse, qui était un slow. Je dansais avec le même
garçon que j'avais rencontré en début de soirée. J'étais terrorisé quand il me
plaqua contre lui. Il me dit qu'il avait passé la soirée en espérant pouvoir
sortir avec moi, et qu'il voulait me raccompagner chez moi. Je refusais. Après
tout, je dansais avec lui uniquement parce que Tina m'y avait forcé. A la fin
de la danse, tout ce que je voulais était de rentrer à la maison au plus vite.
Je cherchais du regard Tina et ses amies, mais je ne les trouvais pas. Je
sortais à leur recherche en me disant qu'elles me faisaient une blague. La
voiture n'était plus sur le parking. Elles m'avaient laissé seul pour me forcer
à accepter que le garçon me raccompagne. Il me dit que Tina était allée manger
une glace et nous allions la rejoindre. Je ne pouvais pas croire qu'elle
m'avait laissé dans cette situation. Je n'avais pas d'autre choix que d'aller
avec lui.
Il
ne prit pas le chemin direct vers le glacier. Il fit un détour pour s'arrêter
au bord du lac. Je parvins à le repousser alors qu'il tentait de m'embrasser.
J'ignorais comment réagir, d'autant plus que je n'avais jamais vécu cela dans
la position de la fille. Heureusement, il n'était pas agressif, parce j'avais
compris dès la première fois qu'il me serra dans ses bras qu'il était bien plus
costaud que moi. Il aurait pu me forcer à faire ce qu'il voulait. Je me
trouvais dans la situation de vulnérabilité dont Tina parlait parfois et dont
je m'étais souvent moqué. Je sentais qu'elle avait fait exprès de me laisser là
pour me donner une leçon.
Finalement,
il me conduisit jusqu'à la boutique du glacier où je retrouvais Tina et ses
amies. Il me souhaita bonne nuit et partit. En riant, Tina me demanda des
détails sur mon aventure avec ce garçon. Je lui racontais tout, en
reconnaissant que je m'étais senti vulnérable. Elle me répondit: "Il était
temps que tu te rendes compte de la réalité en voyant les choses du point de
vue opposé, Barbie. Va aux toilettes pour retoucher ton rouge à lèvres, et
ensuite on rentrera à la maison. Je suis curieuse de voir quelle punition maman
te réserve."
"Ah,
mes filles sont de retour. Barbara, assez-toi, j'ai trouvé quelle sera ta
punition. Comment s'est déroulée ta journée en fille? Ta curiosité est-elle
satisfaite? J'ai beaucoup réfléchi à la meilleure manière de te punir, et je
suis contente d'entendre à quel point tu étais mal à l'aise pendant la soirée,
parce que j'ai décidé que tu resterais en fille pendant une journée
supplémentaire. Je vais également ajouter quelques détails qui devraient
t'embarrasser encore quelques temps. D'abord, tu garderas tes boucles
d'oreilles, puisqu'elles sont percées. Je pense aussi te faire décolorer les
cheveux et te faire faire une permanente. J'ai d'autres idées que tu pourras
découvrir demain. Bonne nuit Barbie!"
Je
me tournais et me retournais durant toute la nuit dans mon lit, incapable de
trouver le sommeil. Qu'avait-elle l'intention de me faire? On allait être
dimanche, et le temps libre allait permettre d'effectuer de nombreuses
activités. Je savais qu'elle allait sans doute m'emmener à la messe habillé en
fille. Heureusement, elle ne perdait jamais de temps à parler avec qui que ce
soit durant les cérémonies religieuses, alors je ne risquais pas grand-chose.
Je me souvins alors qu'elle et Tina devaient aller à la répétition d'un
mariage. J'ignorais ce qu'on faisait dans ces répétitions, mais je sentais que
j'allais bientôt le découvrir, en étant exposé en fille à toutes les femmes de
la famille. Celle que je redoutais le plus était ma cousine Karen. Elle s'était
toujours moquée de mes cheveux longs en disant que j'étais efféminé. Elle avait
une fois essayé de persuader Tina de me déguiser en guide (les scouts féminins)
pour aller vendre des cookies avec elles. Je me demande si ce n'est pas cette
idée qui m'avait donné envie d'en savoir plus sur les vêtements féminins.
Désormais elle allait me voir en fille.
Cette
nuit d'anticipation de l'humiliation qui m'attendait fut interminable. Le matin
n'apporta pas de soulagement. Il débuta par une visite chez la coiffeuse de ma
mère. Elle travailla longuement sur mes cheveux qui finirent blonds et bouclés.
Mon visage fut maquillé et mes ongles manucurés et vernis. De retour à la
maison, maman me fit enfiler une minirobe rouge et des chaussures à talons aiguilles
rouges. Elle voulait que j'attire l'attention. La robe moulait mon corps et
mettait en valeur mes faux seins. En me découvrant dans le miroir, je me sentis
comme si j'allais arpenter un trottoir pour me prostituer.
Quand
je parlais de mon sentiment à maman et à Tina, elles éclatèrent de rire et me
souhaitèrent la bienvenue dans le monde de la féminité. "Le rôle d'une
femme est de donner du plaisir aux hommes, et tu as l'air de quelqu'un qui peut
donner du plaisir à un homme. Nous devrions peut-être te trouver une place sur
un trottoir, mais d'abord, allons à la répétition de mariage."
Tante
Diane nous accueillit. Elle fut enthousiaste quand maman me présenta comme
Barbara. Elle appela immédiatement ses filles Karen et Elaine pour leur
présenter la nouvelle sœur de Tina. Elles rirent de manière hystérique en
découvrant ma nouvelle apparence. Elles étaient impatientes de parler à leurs
amies de leur cousin qui voulait devenir une fille. Tante Diane annonça qu'elle
avait une bonne idée pour s'amuser à mes dépends. Elle voulait organiser une cérémonie
de mariage pour rire. Je devais jouer le rôle de la mariée en portant la robe
de Tante Diane tandis que Tina allait jouer le rôle de l'époux en portant un
smoking.
Presque
immédiatement, je fus conduit dans la chambre de tante Diane pour revêtir son
ancienne robe de mariée. Elle m'allait étonnamment bien. J'avais souvent
fantasmé à l'idée de porter une robe de mariée, et je ne parvins pas à cacher
mes sentiments en laissant échapper un soupir. Karen me demanda ce que je
ressentais. Je ne pouvais que lui avouer la vérité. Maman intervint en
réalisant que ce n'était pas la première fois que je portais une robe, ou que
j'en rêvais. Elle exigea que je lui explique. Je lui avouais tous mes
fantasmes, et lui racontais la fois où Karen avait tenté de pousser Tina à me
déguiser en guide. En entendant cela, maman devint comme folle. Tante Diane
demanda à Karen et Elaine de finir de me maquiller et d'attacher le voile à mes
cheveux, puis elle entraina maman vers une autre pièce pour discuter en privé.
Elles emmenèrent Tina avec elles. Je me demandais de quoi elles allaient
parler.
Peu
après, les trois femmes étaient de retour, et en voyant leur air sérieux, je
compris que j'allais avoir des problèmes. Maman rompit le silence glacial, en
m'annonçant que, puisque j'aimais tant m'habiller en fille, j'allais rester
ainsi plus longtemps. Elles avaient décidé que, puisque ce n'était pas un
simple jeu passager inspiré par la curiosité, j'allais expérimenter la vie en
fille. Je n'allais pas être autorisé à choisir mes vêtements, même si je devais
les supplier. Elles disaient qu'après tout, les filles n'ont pas d'autre choix
que de se comporter en filles.
Elles
ajoutèrent que j'allais être une fille le plus complètement possible. Tina
ajouta qu'elle m'aiderait à trouver un petit ami. Tout le monde se réjouissait.
Je pleurais. Maman me dit qu'elle allait s'arranger avec son médecin pour me
faire prescrire la pilule. Elle mentionna également un traitement hormonal pour
me féminiser davantage et pour me donner une vraie poitrine de femme. J'allais
devoir apprendre à faire le ménage, la cuisine, la couture, comme
"n'importe quelle jeune fille sage". J'allais également être l'une
des demoiselles d'honneur lors du mariage d'Elaine.
Voilà
comment ma nouvelle vie commença. Je suis resté en robe, et maman, comme elle
l'avait dit, m'emmena chez son médecin pour me faire prescrire des hormones. On
parle maintenant d'implants mammaires. Je m'occupe de toutes les tâches
ménagères. Mes vêtements de garçon ont été jetés et mon placard est rempli de
robes et de chaussures à talons. Je ne suis pas sûr de mes sentiments. Je suis
toujours un peu étonné par l'attention que je reçois et que je n'avais jamais
dans le passé. D'un autre côté, je ne crois pas avoir envie de renoncer à ma
vie de garçon. Nous verrons bien ce que l'avenir me réserve…