Ma petite
amie avait pris l'habitude de parler de me féminiser quand nous faisions
l'amour. Au début, cette idée me rebutait, puis, petit à petit, elle commença à
m'exciter. Elle m'en parlait à chaque rapport sexuel, et j'en étais arrivé à
entrer en érection simplement en
l'entendant me chuchoter ce qu'elle voulait me faire.
Elle
décrivait en détails les tenues qu'elle voulait me faire porter, et à quelle
point j'allais devenir une petite salope. Bientôt, elle me faisait lui dire que
je voulais qu'elle me travestisse, et que je me mettrais à genoux devant elle
pour sucer son godemiché.
Puis, elle
commença à vraiment me travestir. C'était comme un fantasme devenant réalité,
et même si je n'avais jamais désiré cela, j'en étais très excité. Elle passait
des heures à m'habiller, à m'enfiler des corsets et à les lacer, ou à me
maquiller. Il semblait que nous faisions des progrès à chaque fois que nous
faisons l'amour. Elle ajoutait progressivement des éléments à notre pratique.
Nous
regardions des films pornos et elle me disait que j'étais la fille dans la
vidéo pendant qu'elle me masturbait. Je savourais tout cela déguisé en
lingerie. Quand je prenais mes vitamines, elle faisait semblant que c'étaient
des hormones féminines pour m'exciter et elle me massait la poitrine avec une
crème hydratante en me disant que cela me ferait pousser des seins.
Bientôt, elle
ajouta dans sa collection de godemichés à lanières un modèle qui imitait
l'éjaculation et elle me disait qu'elle y mettait une solution spéciale d'œstrogènes
qui allaient ainsi pénétrer mon corps. Après m'avoir injecté ce liquide, elle
m'introduisait un plug anal pour que je le conserve en moi.
Pour être
honnête, toutes ces pratiques que nous faisions pour faire semblant de me féminiser
me plaisaient beaucoup et j'étais très heureux. Un jour, elle remplaça les
films pornos hétéros par des films gays. Elle me faisait l'amour pendant que je
regardais les films et que je lui disais que je voulais une bite dans ma
bouche, une autre dans mon cul, et une dans chaque main.
Ma poitrine
commençait à me démanger à force d'être massée, et je sentais une gêne au
niveau de mes hanches, mais je pensais que cela venait de l'excès de sexe.
Quand je lui en parlai, elle dit que je devais être un peu fatigué et elle a
augmenté mon dosage de pilules de vitamines, ce qui me semblait correct. Après
tout, ce n'étaient que des vitamines. Elle me prenait par derrière deux fois
par jour, et me massait la poitrine deux fois par jour et même trois fois les
week-ends.
Nous ne
quittions pratiquement plus la chambre, et j'étais épuisé, mais le sexe était
fantastique.
Deux mois
plus tard, je commençais à m'inquiéter et j'ai demandé à mon médecin d'examiner
le gonflement de ma poitrine. Il m'a demandé s'il y avait des cas de
gynécomastie dans ma famille, mais je n'en connaissais pas. Il m'a fait faire
une prise de sang et m'a prescrit un supplément de vitamines si je me sentais
fatigué. Je ne devais pas m'inquiéter outre mesure et revenir le voir si les
choses s'aggravaient.
Idiot que
j'étais, je suis rentré à la maison et en ai parlé à ma petite amie, qui
semblait très concernée par mes inquiétudes. Elle alla m'acheter un flacon de vitamines
plus fortes et j'ai pris deux semaines de congé. Elle m'a préparé un remède
maison avec des herbes qu'elle appliqua comme un cataplasme sur ma poitrine et
que je devais garder toute la journée en le maintenant avec un soutien-gorge.
Pour la nuit, elle m'en appliquait un nouveau que je devais garder en dormant.
Elle insistait toujours pour me prendre par derrière avec ce liquide qu'elle
m'injectait. Comme elle m'offrait aussi une fellation je ne me plaignais pas.
J'en étais
arrivé à oublier la prise de sang et j'ai trop attendu pour avoir les
résultats. Après une nouvelle visite chez le médecin, j'ai été obligé de faire
une nouvelle prise de sang. De retour à mon travail, je me sentais mieux et
j'ai attendu sans inquiétude le résultat de cette prise de sang. Nous gardions
les mêmes habitudes à la maison, mais je ne portais le soutien-gorge avec le
traitement aux herbes uniquement la nuit. L'odeur des herbes médicinales
n'aurait pas été très discrète au travail. Mais le gonflement de ma poitrine ne
diminuait pas, et mes mamelons étaient très sensibles.
Le vendredi
après-midi, je pus enfin retourner chez le médecin pour avoir les résultats de
ma prise de sang. Le docteur semblait très inquiet parce que j'avais un niveau
très anormal d'œstrogènes dans le sang. Il m'a prescrit des tests
supplémentaires et a examiné ma poitrine, disant que j'avais de vrais seins qui
poussaient.
A mon retour
à la maison, ma petite amie m'a dit qu'elle allait me préparer des repas plus
virils, comme de bons steaks, plutôt que les crudités qu'elle me faisait manger
depuis quelque temps. Elle m'a rassuré en me disant qu'ils avaient sans doute
fait une erreur avec mon test sanguin, mais pour que j'arrête de m'inquiéter
elle m'a dit qu'elle ne m'injecterait plus cette solution dans l'anus. Elle me
préparait une boisson énergisante trois fois par jour, et je continuais les
cataplasmes aux herbes durant la nuit.
Je ne sais
pas trop quand cela s'est produit, mais un matin, alors que je passais devant
le miroir en petite culotte et soutien-gorge, j'ai remarqué que j'avais énormément
changé. Mes hanches avaient changé de forme et j'avais clairement une paire de
seins. Mon visage semblait plus doux, plus féminin, et mes jambes épilées
ressemblaient à celles d'une jeune femme.
Le téléphone
a sonné et c'était le docteur qui me demandait de passer le voir car il avait
reçu les résultats de mes dernières analyses.
Je
m'habillais en vitesse, en oubliant que je portais encore ma petite culotte et
mon soutien-gorge, et j'allais le voir.
Le docteur
m'a annoncé que mon corps était saturé de 3 différentes substances contenant
des œstrogènes. Mon niveau de testostérone était au plus bas, et mon niveau d'œstrogènes
était le même que celui d'une jeune fille à la puberté. Il m'a demandé si je
prenais des médicaments contenant des œstrogènes par choix délibéré, alors je
lui ai répondu que je ne prenais que des vitamines et des cataplasmes aux
herbes.
Il m'a alors
demandé de me déshabiller pour m'examiner, et c'est là que je me suis souvenu
de mes sous-vêtements féminins…
Bref, j'ai
fini par comprendre que ma petite amie ne faisait pas semblant de me féminiser,
et qu'elle m'avait fait prendre à mon insu plusieurs substances féminisantes.
Les cataplasmes aux herbes contenaient des phyto-œstrogènes, et j'avais avalé
diverses pilules d'hormones, pensant prendre des vitamines. Le docteur m'a
expliqué que mon corps était si saturé d'hormones féminines qu'il allait sans
doute encore continuer à se développer comme celui d'une femme, même en
arrêtant complètement les traitements que je prenais. Pour me débarrasser de
mes seins, je devais envisager une opération chirurgicale.
J'ai
évidemment tout arrêté et j'ai quitté ma petite amie. Mes seins ont continué à
pousser et cela devenait impossible de les dissimuler. J'ai fini par remettre
un soutien-gorge. J'avais gardé les affaires que ma petite amie avait laissées.
Un jour, j'ai
rappelé ma petite amie et je lui ai proposé de passer pour discuter. Elle m'a
dit qu'elle était désolée, et j'ai fini par lui proposer de rester pour la
nuit. Nous avons fait l'amour normalement, mais elle m'a caressé les seins en
me donnant énormément de plaisir. J'ai fini par lui demander de revenir… Et de
continuer son œuvre.
Je ressemble
maintenant à une femme, et je vis à plein temps en femme. Ma petite amie et moi
nous comportons comme un couple de lesbiennes. Elle m'a persuadé d'essayer le
sexe avec des hommes. J'ai tenté l'expérience plusieurs fois, et maintenant
j'aime les hommes autant que les femmes. Ma petite amie ne fait l'amour qu'avec
moi.
Nous
recherchons activement un moyen de continuer à utiliser mes organes génitaux,
parce qu'avec toutes les hormones, c'est devenu difficile d'avoir une érection,
même si nous faisons l'amour plus que jamais.
J'ai appris
à aimer ce que je suis devenu, malgré la manière dont ma petite amie m'a dupé.
Je ne changerais désormais pour rien au monde.
J'aurais pu
porter plainte contre elle, mais j'ai décidé d'accepter mon sort de de savourer
ma vie avec elle.